Tableau d’Henri Baron « fête officielle au palais des Tuileries pendant l’exposition universelle de 1867″ où pas moins de 11 millions de visiteurs firent le déplacement sous le règne de l’empereur Napoléon III et de l’impératrice Eugénie.
Ce tableau m’a toujours étonné quand on voit les robes des dames… La crinoline se portait encore (voir la robe de couronnement de Sissi comme reine de Hongrie, créée par Worth) alors qu’ici ce n’est pas du tout le cas…
VOir ce tableau est toujours émouvant
Quelques annees apres tout cela partit en fumée
Comme quoi les moments de gloire ne sont guère éternels
Et il faut bien se méfier de l’eau qui dort
Du faste sûr de lui
Une traînée de poudre et plus rien
Henri Charles Antoine Baron (Besançon 1816-Genève 1881), Fête officielle au palais des Tuileries pendant l’Exposition universelle de 1867, aussi dite Souper dans la salle de théâtre des Tuileries à l’occasion de l’Exposition universelle de 1867, 1867. Salon de 1868. Aquarelle avec rehauts de gouache sur papier 55 x 95 cm. Signée sur la rampe « H. Baron 1867 ». Dépôt du Musée du Louvre au Château de Compiègne.
L’auteur peignit pour le duc d’Aumale et l’impératrice Eugénie.
Jean Pierre
23 avril 2017 @ 12:16
Entre le puritanisme Louis Philippard et l’austérité compassée républicaine, heureusement qu’il y eut le second empire.
Gérard St-Louis
2 mai 2017 @ 20:06
Et dire que quatre ans plus tard, on mangeait du rat à Paris…
Leonor
23 avril 2017 @ 14:37
Ah, ces robes qui servaient de ramasse-poussière !
Claude MARON
2 mai 2017 @ 12:03
Ce tableau m’a toujours étonné quand on voit les robes des dames… La crinoline se portait encore (voir la robe de couronnement de Sissi comme reine de Hongrie, créée par Worth) alors qu’ici ce n’est pas du tout le cas…
Gérard
2 mai 2017 @ 22:08
Mais en 1867 à Paris on était à l’avant-garde de la mode et c’était la fin des crinolines ou plus exactement c’était des crinolines à tournure.
Francois
24 avril 2017 @ 12:37
VOir ce tableau est toujours émouvant
Quelques annees apres tout cela partit en fumée
Comme quoi les moments de gloire ne sont guère éternels
Et il faut bien se méfier de l’eau qui dort
Du faste sûr de lui
Une traînée de poudre et plus rien
val
24 avril 2017 @ 15:26
Quest ce qu’il devait être magnifique ce palais ?
Gérard
25 avril 2017 @ 12:02
Henri Charles Antoine Baron (Besançon 1816-Genève 1881), Fête officielle au palais des Tuileries pendant l’Exposition universelle de 1867, aussi dite Souper dans la salle de théâtre des Tuileries à l’occasion de l’Exposition universelle de 1867, 1867. Salon de 1868. Aquarelle avec rehauts de gouache sur papier 55 x 95 cm. Signée sur la rampe « H. Baron 1867 ». Dépôt du Musée du Louvre au Château de Compiègne.
L’auteur peignit pour le duc d’Aumale et l’impératrice Eugénie.