Lors de la construction du haut barrage d’Assouan, plusieurs sites et temples égyptiens sont mis en péril. Le gouvernement égyptien sollicite l’aide de l’UNESCO pour les déplacer. L’Espagne et d’autres pays prêtent également leur concours. En remerciement, l’Egypte offre le temple d’Amon de Debod en cadeau à l’Espagne en 1968. Il sera installé à Madrid près de la place d’Espagne au sein d’un petit parc avec une très belle vue panoramique sur la ville.
grannydc
1 décembre 2016 @ 09:08
Très belle mise en valeur !!
Laurent F
1 décembre 2016 @ 12:23
Je ne savais pas que l’Egypte avait donné 4 temples en remerciement : Un aux Etats-Unis, un aux Pays-Bas, un à l’Italie et celui-ci qui est le seul en plein air. Ils ne sont plus sur place mais au moins ils ont été sauvés de la destruction.
patricio
1 décembre 2016 @ 12:54
J’adore cet endroit. Effectivement on a une très belle vue sur la capitale et surtout sur le palais royal et la cathédrale de l’Almudena.
Amitiés
Patricio
Jean Pierre
1 décembre 2016 @ 13:57
Nasser et Franco s’appréciaient.
Antoine
2 décembre 2016 @ 00:07
Arracher ces monuments à leur site naturel me semble un non sens. Leur place n’est pas en Espagne, ni au British Museum, ni sur la place de la Concorde, ni même au Louvre. L’art français n’est pas épargné. Dans ma région, la chapelle quasi complète d’un château renaissance a déménagé à New-York au musée des cloîtres.
emy
2 décembre 2016 @ 11:24
C’est tout à fait vrai, mais dans le cas de la construction de ce barrage, ces monuments seraient sous l’eau, actuellement, comme beaucoup d’autres le sont… C’est toujours mieux de les déplacer que de les « couler ».
patricio
2 décembre 2016 @ 14:10
La moitié du cloître de Saint Guilhem le désert, dans l’Hérault est aussi partie aux musée des cloître de New York. Peut être parlons nous du même ?
Amitiés
Patricio
Corsica
2 décembre 2016 @ 15:15
La donation de quatre temples lors de la construction du barrage d’Assouan a au moins permis leur conservation. Sinon ils auraient sombré, comme ce fut le cas de dizaines d’autres.