C’est de saison : une terrine de potiron et châtaigne en vente à l’épicerie fine Fauchon installée place de la Madeleine à Paris, maison fondée en 1886, fréquentée au fil des ans par de nombreuses personnalités, Chefs d’Etat et membres du Gotha.
Euh…. Et que font-ils avec le potiron et la châtaigne, chez Fauchon ? C’est-y vraiment différent de ce qui mijote en ce moment dans mon faitout ?
…….Ah oui, je lis sur le dessus du pot que c’est » à tartiner ». Pourquoi pas.
Je ne connais pas cette recette, mais j’aime beaucoup tout ce que propose la maison Fauchon. Je pense notamment aux éclairs salés et sucrés (c’était l' »éclair week » il y a quelques semaines), au coulibiac, au saumon fumé au yuzu et au thé, aux madeleines à la framboise, à leur thon, à leur thé, leur soupe du jour.
Une visite place de la Madeleine est l’occasion de visiter la Pinacothèque de Paris (installée dans une partie des anciens ateliers Fauchon) et le traiteur Fauchon pour déjeuner et rapporter des délices de la maison.
Au fait, une maison qui s’appelle « Fauchon » ….. mais….. voilà qui est sacrément bien nommé . Parce qu’il ne faut pas être fauché pour aller chez Fauchon.
Fauchons, qu’il dit, le patron…..
Très peu pour moi.
Mme De Gaulle y faisait ses emplettes , parait-il .Il nous manque le prix , ça doit être prohibitif , pour les sucreries , je me laisse tenter, mais pour le salé , à Noël , j’ai frôlé la crise cardiaque …
Voilà que la maison Fauchon lance une terrine luxe à base de légumes considérés comme bourratifs, faisant grossir, rustiques et pas chers.
Il est temps que les légumes oubliés reviennent en potages, gratins, tartes et autres préparations.
C’est bon, économique et tient au corps.
Je viens de modifier les étiquettes qu’auparavant je gribouillais sur mes confitures et autres tentatives de conserves.
Avant, c’était » Mûres, l’année » , et basta, sur petit bout de papier standard autocollant.
Dorénavant, ce sera :
» Gelée de mûres sauvages de [ Saintonge, par exemple ] . Fruits cueillis et triés à la main. Cuisson au sucre de canne, en bassine de cuivre ancestrale, antiquité garantie par ses bosselages. Pectine naturelle, issue de pommes vertes cueillies sur l’arbre garanties bio. Tournée à la cuillère en bois de Grand’Mère. Mise en pots grâce à l’entonnoir à confiture brocanté à l’Ile de Ré ( ou ailleurs, faut juste que ça jette). Verres anciens parce que j’avais utilisé tous les autres ; ébouillantés à l’eau de source, nettoyés au torchon en pur lin ancien. »
Ca va me prendre plus de temps pour faire les confiotes, mais apparemment, ça paie.
Leonor
6 octobre 2015 @ 10:21
Euh…. Et que font-ils avec le potiron et la châtaigne, chez Fauchon ? C’est-y vraiment différent de ce qui mijote en ce moment dans mon faitout ?
…….Ah oui, je lis sur le dessus du pot que c’est » à tartiner ». Pourquoi pas.
Antoine
6 octobre 2015 @ 11:49
Mieux vaut être averti : c’est plus cher qu’à « Leader Price ».
Claudia
6 octobre 2015 @ 11:57
C’est donc une terrine végétarienne ?
Juliette
6 octobre 2015 @ 13:20
Je ne connais pas cette recette, mais j’aime beaucoup tout ce que propose la maison Fauchon. Je pense notamment aux éclairs salés et sucrés (c’était l' »éclair week » il y a quelques semaines), au coulibiac, au saumon fumé au yuzu et au thé, aux madeleines à la framboise, à leur thon, à leur thé, leur soupe du jour.
Une visite place de la Madeleine est l’occasion de visiter la Pinacothèque de Paris (installée dans une partie des anciens ateliers Fauchon) et le traiteur Fauchon pour déjeuner et rapporter des délices de la maison.
Leonor
6 octobre 2015 @ 21:46
Au fait, une maison qui s’appelle « Fauchon » ….. mais….. voilà qui est sacrément bien nommé . Parce qu’il ne faut pas être fauché pour aller chez Fauchon.
Fauchons, qu’il dit, le patron…..
Très peu pour moi.
bianca
6 octobre 2015 @ 16:15
….a tartiner ?….Bof !!!
Caroline
6 octobre 2015 @ 22:09
A tartiner ou à déguster avec une petite cuillère apéritive!
bianca
7 octobre 2015 @ 17:29
En verrine Caroline, oui ça me semble préférable au niveau du goût !
Juliette
7 octobre 2015 @ 20:17
En amuse-gueule, sur des tomates-cerises ou des endives.
Dans la même collection, je préfère les champignons à la truffe.
framboiz07
7 octobre 2015 @ 00:41
Mme De Gaulle y faisait ses emplettes , parait-il .Il nous manque le prix , ça doit être prohibitif , pour les sucreries , je me laisse tenter, mais pour le salé , à Noël , j’ai frôlé la crise cardiaque …
l'Alsacienne
7 octobre 2015 @ 05:01
Voilà que la maison Fauchon lance une terrine luxe à base de légumes considérés comme bourratifs, faisant grossir, rustiques et pas chers.
Il est temps que les légumes oubliés reviennent en potages, gratins, tartes et autres préparations.
C’est bon, économique et tient au corps.
Leonor
8 octobre 2015 @ 14:10
Je viens de modifier les étiquettes qu’auparavant je gribouillais sur mes confitures et autres tentatives de conserves.
Avant, c’était » Mûres, l’année » , et basta, sur petit bout de papier standard autocollant.
Dorénavant, ce sera :
» Gelée de mûres sauvages de [ Saintonge, par exemple ] . Fruits cueillis et triés à la main. Cuisson au sucre de canne, en bassine de cuivre ancestrale, antiquité garantie par ses bosselages. Pectine naturelle, issue de pommes vertes cueillies sur l’arbre garanties bio. Tournée à la cuillère en bois de Grand’Mère. Mise en pots grâce à l’entonnoir à confiture brocanté à l’Ile de Ré ( ou ailleurs, faut juste que ça jette). Verres anciens parce que j’avais utilisé tous les autres ; ébouillantés à l’eau de source, nettoyés au torchon en pur lin ancien. »
Ca va me prendre plus de temps pour faire les confiotes, mais apparemment, ça paie.
Au fait, si vous cherchez des confitures vraiment bonnes, mais alors vraiment :
http://www.christineferber.com/Christine-Ferber.html
La Fée Confiture
Niedermorschwihr, Alsace.
Ce n’est sans doute pas l’Alsacienne qui me contredira …. ? ;-)