Sortie en librairie début novembre et pour le moment en anglais du livre « The turbulent early life of the man who married Queen Elizabeth II » écrit par Philip Eade. L’ouvrage revient sur l’enfance difficile du prince Philippe de Grèce, futur duc d’Edimbourg de Corfou à la France, puis en Allemagne et en Grande-Bretagne, les tensions qui régnaient entre ses parents le prince André de Grèce et la princesse Alice de Battenberg, les drames qui l’on frappé encore adolescent mais aussi sa profonde force de caractère qui lui a permis de continuer son chemin. (Merci à Michèle)
Kalistéa
13 octobre 2011 @ 08:12
Quelle Beauté! Je me souviens…c’était l’image du prince charmant pour les jeunes filles que nous étions:S’il avait rendu malheureuse Elisabeth,nous aurions été tres déçues,mais il a bien tenu son role à ses cotés( l’accent sur le o,j’y renonce) c son soutien, son amour n°1.Je crois que ss lui elle n’aurait pas si bien « assumé »!
MoniqueDN
13 octobre 2011 @ 09:42
Ce livre semble très intéressant. Magnifique photo du duc d’Edimbourg jeune homme !
Jef
13 octobre 2011 @ 11:52
C’était vraiment une bombe quand il était jeune !!
Pomeline
13 octobre 2011 @ 13:46
Mais grave !!! :D
caroline3
13 octobre 2011 @ 21:59
Je ne le trouve pas si beau que ça .Par contre il était extremement élégant , très » classe » , comme tous les jeunes hommes de son époque , qui paraissent aujourd hui extraordinairement beaux car très soignés , en tous cas beaucoup plus que les jeunes d aujourd ‘ hui .
Yannick
13 octobre 2011 @ 22:19
Carrement !
Palatine
13 octobre 2011 @ 12:15
Oui, et vous avez remarqué que les princesses héritières choisissent toujours des conjoints avec des physiques de jeunes premiers.
Mayg
13 octobre 2011 @ 12:57
Elles peuvent se le permettre…
Palatine
13 octobre 2011 @ 14:10
Oui, en effet, c’est le privilège qui est attaché au statut. Mais je comprends les parents de ces jeunes filles : ils ont peur que le pretendant épouse leur fille pour ce meme statut.
Anne-Cécile
13 octobre 2011 @ 20:15
Pourquoi les hommes joueraient de leur richesse ou de leur pouvoir pour s’offrir une jeune beauté et pas les femmes?
Palatine
13 octobre 2011 @ 21:08
Vous avez tout à fait raison.
Mayg
13 octobre 2011 @ 21:10
Anne Cécile,
Je n’ai jamais dit le contraire.
Caroline
13 octobre 2011 @ 23:37
Palatine,pas forcemment! Par exemple,le prince Daniel de Suede!!!
belveze
13 octobre 2011 @ 13:20
Dans nos lycées dans les années cinquante et soixante, nous disions les seules choses intéressantes que l’Angleterre possède sont le tartan et le duc d’Edimbourg, il est vrai que c’était un bel homme mais il se murmure que le prince n’a pas toujours été très fidèle, il a eu une jeunesse agitée, exilé , des parents qui ne s’entendaient plus et personne pour veiller sur lui à part son oncle Louis de Mountbattem,c’est grace à lui qu’il a connu la princesse Elizabeth
mimi
13 octobre 2011 @ 15:17
J’avais lu que le prince Harry ressemblait à son grand père parternel. Avec ces photos, je ne retrouve aucune ressemblance.
j21
13 octobre 2011 @ 21:11
et pour cause!
JAusten
13 octobre 2011 @ 21:54
Je trouve que c’est plutôt William qui fait très Mountbatten. Harry c’est plutôt côté Spencer mais avec les yeux rapprochés de son père (hérités de la reine Mary)
Kalistéa
14 octobre 2011 @ 14:27
exactement J austen! Et ,en plus le nez en trompette de David ,ancien roi(non couronné)EdWard VIII.
A cause de l’insinuation ds la réponse de J 21.
philippe gain d'enquin
13 octobre 2011 @ 19:59
Y parle-t’on des maîtres et amants prêtés au prince ? Sachant que l’ « on ne prête qu’aux riches », ou qu’ « il n’y a pas de fumée sans feux »… Une biographie sans nul doute intéressante d’un personnage qui à défaut d’être sympathique est pleinement royal.
philippe gain d'enquin
13 octobre 2011 @ 20:00
C’est exaspérant ces touches qui filent : lire svp : « maîtresses » et…
caroline3
13 octobre 2011 @ 22:01
et amantes non ?
philippe gain d'enquin
14 octobre 2011 @ 13:42
Il me paraissait chere Caroline que maîtresses équivalait à « amantes »; du moins dans mon dictionnaire…
Zeugma
14 octobre 2011 @ 10:13
Les « touchent qui filent » … Et mon oeil. Monsieur Denquin nous a laissé échappé là un beau lapsus révélateur.
philippe gain d'enquin
14 octobre 2011 @ 13:41
Vous me surestimez et je vous en remercie mais j’ai réellement voulu écrire : « maîtresses et amants »
HRC
14 octobre 2011 @ 17:58
lapsus ou pas lapsus, on ne va pas alerter l’inquisition !
un homme superbe, à tous ses âges, le duc d’Edimbourg !
aubert
14 octobre 2011 @ 10:59
Puisque vous m’avez traité de je ne sais plus trop quoi il ya quelques jours, je vais vous renvoyer l’ascenseur et vous donner du grain à moudre: ..quel faux-c…!!!
philippe gain d'enquin
14 octobre 2011 @ 13:39
mille merci à vous cher Aubert, vous égayez cette journée déjà bien ensoleillée, et pour déborder dans le registre sportif nouvel opium du peuple : zéro, la balle au centre!
aubert
15 octobre 2011 @ 13:40
Cher Philippe je m’attendais presque à: non, quel beau-c.., mais vous êtes trop bien élevé.
aubert
15 octobre 2011 @ 13:48
mais au fait en êtes-vous certain. L’oncle oui, bien sûr, mais le neveu ? je l’ignorais…(et ne me répondez pas :on ne peut tout savoir).
aubert
15 octobre 2011 @ 13:51
…le guignol jaune(et oui je suis lyonnais) qui apparait dans mon texte n’est pas intentionnel, il est arrivé par inadvertance,encore une touche qui file!
jay
14 octobre 2011 @ 13:40
certainement tres beau ..
mais a part son titre et son physique …. pas d argent ….
ca fait un peu etalon au bon pedigree
en effet la Princesse pouvait se permettre de choisir qui elle voulait !!!
aubert
15 octobre 2011 @ 13:44
La souveraine a en effet la réputation de s’y connaître en matière d’étalon !
philippe gain d'enquin
16 octobre 2011 @ 19:23
Vous faites dans la mesure… (lol)
aubert
17 octobre 2011 @ 15:29
…métrique !