On connaît les célèbres « carrés » d’Hermès en foulard, voici aussi des carrés en châle. Celui-ci en soie et cachemire s’appelle Brandenburg et n’est pas sans rappeler les uniformes de la garde royale danoise. Il est vendu dans les boutiques Hermès au prix de 895 €.
septentrion
26 avril 2015 @ 08:47
Il est splendide!
Francine du Canada
26 avril 2015 @ 14:54
Soie et cachemire… je veux bien mais 895€ ? Je ne crois pas. FdC
Baia
26 avril 2015 @ 16:05
Oh mais si FDC, c’est bien le prix ! Ces châles sont beaucoup plus grands que les carrés classiques.
Trianon
26 avril 2015 @ 18:07
c’est le tarif FDC….les carrés de twill de soie sont déjà aux alentours de 285 euros, en 90, or ces chales sont plutot de grande taille (130) et en cachemire
marielouise "2"
26 avril 2015 @ 19:05
C’est pas cher du tout 895 euros pour un chale de cette qualite! Il existe des echarpes bien plus chere
Trianon
27 avril 2015 @ 20:09
vous faites la pub de Dacia? » nous n’allons quand même pas acheter une voiture aussi peu chère »…
l'Alsacienne
26 avril 2015 @ 19:47
Le prix du châle est exact, vérifié sur le site de la prestigieuse maison.
A court d’idées pour la fête des mères ?
Michèle
26 avril 2015 @ 21:05
Hermès Paris
Brandebourgs, Châle en cachemire et soie (140 x 140cm) de Cathy Latham 895,00 €
Brandebourgs Gavroche en twill de soie (45 x 45 cm) 145 €
Michèle
Francine du Canada
27 avril 2015 @ 18:29
Merci mesdames mais je crois m’être mal fait comprendre (encore un exemple des différences culturelles dans l’utilisation de la langue); lorsque je dis « je ne crois pas », je veux dire que je ne paierais pas un tel prix pour ce châle. Pour moi, Hermès c’est l’illustration parfaite du snobisme et je crois qu’on peut se procurer des accessoires de très bonne qualité qui agrémenteront nos tenues à bien meilleur prix; je pari que je pourrais acheter deux châles italiens (en soie et cachemire) pour le prix d’un Hermès. Ceci dit, je ne veux blesser personne et je respecte vos goûts et vos idées. Amicalement, FdC
Julie de Mtl
26 avril 2015 @ 18:29
Je veux bien aussi soie et cachemire mais pas ce modèle qui fait mémère
Marc
26 avril 2015 @ 18:55
Francine,
Il coûte vraiment 895€ :
http://france.hermes.com/la-maison-des-carres/cha-cac-brandebourgs-rose-fuchsia-mauve-71097.html?xtmc=140&xtnp=1&xtcr=2
Francine du Canada
27 avril 2015 @ 18:34
Merci Marc; comme mentionné ci-dessus, il y a en moi une barrière qui se refuse à payer 895€ pour un châle. Amicalement, FdC
Française de Suisse
26 avril 2015 @ 19:40
Extrêmement délicat, j’en suis à mon 3ème fil tiré en 3 mois à cause des griffes de ma bague de fiançailles, j’en suis malade…
Michèle
26 avril 2015 @ 20:41
Au XVII et XVIIIe siècles, en quittant leur pays, pour des motifs politiques ou pour s’engager dans d’autres armées, les Hongrois emportent des objets constitutifs de leur uniforme: bonnet, dolman, cette fameuse petite veste brodée de brandebourgs, pelisse, sabretache… En France, apparus assez tardivement, à la fin du XVIIe siècle, ils eurent un tel succès avec leur étrange costume, si différents des modes vestimentaires militaires d’Europe occidentale, qu’au siècle suivant, Louis XVI créait la charge de Colonel Général des Hussards.
Après la Révolution, puis l’Empire, la mode hussarde se développe, les régiments se multiplient et leur costumes, leurs armes, leur sellerie « à la hongroise » sont adoptés par d’autres corps. Après 1870, tous les corps de notre armée de terre succombent à la tentation hussarde puisque tous les officiers sont vêtus du dolman jusqu’en 1900.
Au début du Second Empire les hussards portent un dolman de couleur différente selon le régiment. Il s’agit d un vêtement d’apparat vers 1838, traits caractéristiques de leur uniforme, les hussards portent aussi une pelisse à 18 rangées de brandebourgs, une ceinture à cordon fourragère et une sabretache.
source : Culture communication
En 1937, la maison Hermès lance le fameux carré, qui offre des exemples de mise en scène de motifs historiques ou militaires. Les sources d’inspiration de cette iconographie sont puisées dans les traditions équestres de la maison, ainsi que dans la collection privée d’Émile Hermès.
L’édition limitée foulard de soie Hermès Carré Brandebourg a été réédité en Allemagne. Conçu à l’origine par Cathy Latham-Audibert en 1972, le motif est inspiré par des dessins d’uniformes militaires de la collection Émile Hermès.
source :Paris 14.
Michèle
Zeugma
26 avril 2015 @ 21:41
J’aime flâner dans la boutique « Hermès » de Sèvres-Babylone à Paris, magnifiquement installée dans l’ancienne piscine Lutétia et m’installer au salon de thé.
Le personnel est toujours extrêmement aimable.
Les prix peuvent sembler extravagants mais « Hermès » c’est « Hermès » ; tout est beau, très beau, les matières sont sublimes et la qualité incomparable.
(J’ai voulu voir le prix d’une « suite junior » dans un palace de Londres où j’avais – jadis – mes habitudes : neuf cents livres la nuit ! sans le petit déjeuner ! Comme quoi « Hermès » n’est pas si cher pour des objets qui se transmettent de génération en génération.)
flabemont8
27 avril 2015 @ 16:19
Et de plus , Zeugma , si vous entortillez votre personne dans ce châle fabuleux pour avoir moins froid, vous vaudrez cher ! Mon précieux , comme dit dans le Seigneur des Anneaux !
Caroline
26 avril 2015 @ 21:51
Ce foulard est joli,mais je n’aime pas trop sa couleur rose bonbon ou fushia!
agnes
27 avril 2015 @ 07:55
C’est le prix qui fait son charme.
Julie de Mtl
27 avril 2015 @ 11:36
D’accord avec toi Agnes pour certains le prix fait le charme d’un produit
warwick
27 avril 2015 @ 13:32
Comme nous sommes chez Hermès, j’encourage cette manufacture qui depuis 1837 reste majoritairement entre les mains de la famille à résister aux grands conglomérats qui rêvent d’avaler cette prestigieuse griffe pour en faire une autre fabrique de camelote de luxe.
On sait ce que sont malheureusement devenues certaines marques qui faisaient la renommée du luxe français.
merlines
28 avril 2015 @ 08:47
Je recommande le superbe roman de Jean Diwo, » La calèche » qui retracer, bien que romancée, la saga de la famille Hermès. Livre captivant tiré de faits réels.
Bonne journée.
merlines
28 avril 2015 @ 08:49
retracE, pardon
JACQUES
29 avril 2015 @ 23:34
Le motif évoque l’uniforme du régiment des Guides sous le second empire (voir le portrait d’Edouard ANDRE par WINTERHALTER).