Ce diadème en camée, or, diamants, perles et nacre a été offert à l’impératrice Joséphine par son beau-frère Joachim Murat, roi de Naples, époux de Caroline Murat.
Ce diadème en camée, or, diamants, perles et nacre a été offert à l’impératrice Joséphine par son beau-frère Joachim Murat, roi de Naples, époux de Caroline Murat.
Laurent F
29 novembre 2019 @ 08:59
Typique de la mode antique, Il est exposé au Musée Masséna à Nice
septentrion
30 novembre 2019 @ 08:23
Merci Laurent F pour cette info.
Baboula
29 novembre 2019 @ 10:30
Très beaux camées ,il est rare d’en voir d’aussi grande taille .
Sait-on où se trouve ce bandeau ?
Gatienne
1 décembre 2019 @ 09:55
Flatteur, en photo, mais je vous l’assure, beaucoup moins somptueux dans sa vitrine: un bandeau qui paraît lourd à porter et sans cet éclat que les flashs semblent refléter.
Laure-Marie
29 novembre 2019 @ 10:42
Où peut-on voir cette merveille?
COLETTE C.
29 novembre 2019 @ 11:00
Représentatif des bijoux de l’époque. Je pense au diadème porté par Victoria de Suède lors de son mariage.
COLETTE C.
29 novembre 2019 @ 11:01
Est-il dans un musée, ou dans la famille ?
Muscate-Valeska de Lisabé
29 novembre 2019 @ 11:45
Tout à fait son style.
N’a-t-elle pas poser pour un célèbre portrait avec ce diadème ?
Ciara
29 novembre 2019 @ 12:28
Il est exposé à Nice au Musée Massena
Baboula
29 novembre 2019 @ 17:34
Merci Ciara,on nous parle peu de ce musée .
Francois
29 novembre 2019 @ 13:06
Tres bel Objet de vitrine
Pas facile de porter cela aujourd’hui
Mayg
29 novembre 2019 @ 14:38
Bof, ce n’est pas le plus beau diadème que j’ai ou voir.
Juliette d
29 novembre 2019 @ 14:42
Ce diadème doit être très lourd et il ne me plait pas beaucoup.
marianne
29 novembre 2019 @ 14:45
Extra-ordinaire, au sens propre du terme .
Michèle 2
29 novembre 2019 @ 15:29
Ce diadème est un ravissement. Délicat et élégant, il me charme. Il repose des diadèmes en diamants (que j’aime aussi, soyons honnête).
Elsi
29 novembre 2019 @ 15:39
Si j´avais ete a la place de Josephine, j´aurais fait integrer un fond dans ce truc, de cette maniere j´aurais toujours eu mes pralines ou petits-fours a portee de main … euh de tete. Mais sans blague, les camees sont magnifiques.
ciboulette
29 novembre 2019 @ 17:22
Il est beau , mais je préfère celui qui appartient à la couronne suédoise , plus léger .
Danielle
29 novembre 2019 @ 18:33
Beau mais difficile à porter, je préfère celui de la famille royale suédoise.
Gérard St-Louis
29 novembre 2019 @ 23:03
Je préfère nettement celui de la Cour de Suède.
Miléna K
30 novembre 2019 @ 08:09
Mochissime
Muscate-Valeska de Lisabé
2 décembre 2019 @ 23:42
Vous n’en voudriez même pas pour remplacer votre couronne,chère Milena!😉😚…
Baboula
30 novembre 2019 @ 10:20
Ce sont les bottes de son mari …
https://www.lefigaro.fr/flash-eco/une-paire-de-bottes-portees-par-napoleon-cedee-a-plus-de-117-000-euros-20191129
kalistéa
30 novembre 2019 @ 12:16
Il est exact qu’il yu a un portrait de Joséphine portant ce diadème.
Muscate-Valeska de Lisabé
2 décembre 2019 @ 23:41
Merci Kali.
Gérard
30 novembre 2019 @ 12:19
Ce diadème aurait donc été offert à Joséphine par son beau-frère Joachim Murat, futur roi de Naples. Il serait passé ensuite en diverses mains, et il appartenait
à la fin du XIXe siècle à Charles Le Bargy (1858-1936), l’une des principales figures de la scène parisienne à la Belle-Epoque, sociétaire du Théâtre français entre 1887 et 1913. Le diadème était chez un antiquaire d’Orléans avant 1914 où Georges Chapsal (1853-1940) l’acquit pour son importante collection de bijoux, composée de 1202 pièces qu’il donna au musée Masséna de Nice en 1922. L’historien Georges Lacour-Gayet, son correspondant, pensait qu’il avait été porté par la future impératrice Joséphine lors de la soirée du 3 janvier 1798 où Talleyrand reçut Bonaparte à l’Hôtel des Relations extérieures, ancien hôtel de Galliffet et aujourd’hui Institut culturel italien. Joséphine avait orné les tresses de ses cheveux avec un diadème de camées dont la description a été donnée, dit-il, par la duchesse d’Abrantès (1784-1838) dans ses Mémoires historiques sur Napoléon Ier.
Pièce maîtresse de la collection Chapsal, le diadème fut exposé avec l’ensemble de la collection de bijoux anciens à Bruxelles, puis au musée Galliera en 1922, avant sa présentation définitive au musée Masséna dans une salle aménagée à cet effet avec le concours du donateur.
Ce diadème a été prêté pour différentes expositions internationales notamment au Musée du Luxembourg à Paris en 2014, exposition consacrée à Joséphine pour le bicentenaire de sa mort, et auparavant en 2012 à la National Gallery de Victoria à Melbourne. Il est alors décrit comme un diadème en or pur, taillé dans un seul bloc, soit un camée-coquille, composé de nacre, de perles, de pierres précieuses et semi-précieuses, dont des rubis et des turquoises, et de camées. L’exposition était consacrée à Napoléon et son temps dans ce qui est le plus grand et le plus ancien
musée d’Australie. Le diadème avait également été emprunté en 2010 par le Musée du Diamant d’Anvers et en 2011 par le Grimaldi Forum de Monaco pour une exposition sur les fastes des cours d’Europe.
Murat devait beaucoup à Joséphine qui l’avait soutenu auprès de son époux
ainsi que Mme Tallien pour qu’il soit nommé général de brigade sous le Directoire car à l’époque Napoléon se méfiait de lui depuis qu’en Italie en 1796 il aurait eu peur et avait reculé devant l’ennemi.
septentrion
30 novembre 2019 @ 14:50
Les bottes de Napoléon qui avaient été mises aux enchères ont été adjugées plus de 117 000 euros vendredi. Elles étaient restées jusqu’à cette vente dans la famille du sénateur Paul Le Roux (1850-1923).
Alinéas
30 novembre 2019 @ 15:09
Magnifiques camées… Il me paraît lourd en comparaison avec celui de Victoria de Suède qui le portait lors de son mariage !!!
Sheiley
30 novembre 2019 @ 19:47
Le diadème suédois est plus léger, les camées étant montés séparément. Sur la princesse Victoria il était vraiment mis en valeur avec son chignon bas pour son mariage. Une mariée ravissante et élégante dans sa simplicité.
Auberi
1 décembre 2019 @ 15:08
Très à la mode le camée porté en bague en ce moment, je n’avais jamais vu ça