Ce poussin a été réalisé dans les ateliers de Fabergé à Saint Petersbourg en Russie. Il a été acquis par la reine Alexandra d’Angleterre qui en commanda 300 exemplaires.
MoreCe poussin a été réalisé dans les ateliers de Fabergé à Saint Petersbourg en Russie. Il a été acquis par la reine Alexandra d’Angleterre qui en commanda 300 exemplaires.
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Anne-Cécile
20 avril 2020 @ 07:25
Très mignon, mais je préfère encore les vrais, comme toutes les œuvres animales de la nature.
Menthe
20 avril 2020 @ 09:51
Sa place est déjà toute trouvée dans mon intérieur, il complétera ma petite collection d’oiseaux🦆🐤🦆🐦
Galetoun
20 avril 2020 @ 08:50
300 exemplaires ! Génial !
JE
20 avril 2020 @ 14:07
Pas juste des poussins. Des fleurs en pot miniature et émaillées, miniatures de toutes sortes.
Faites une recherche sur ce type de travail des ateliers Fabergé à St-Petersburg au temps des tsars, vous serez éblouis.
Jean Pierre
20 avril 2020 @ 09:03
On se demande toujours ce qu’il y a dans les œufs de Fabergé. Voici la réponse.
Muscate-Valeska de Lisabé
20 avril 2020 @ 09:56
Joliiiiii!!!
Françoise2
20 avril 2020 @ 09:12
Magnifique, 300 poussins? mais où sont-ils passés?
Nivolet
20 avril 2020 @ 10:47
Dans la collection royale anglaise.
Karabakh
20 avril 2020 @ 21:15
Tout à fait. L’affreuse Mary s’est empressée de les « acheter » à l’encan de la révolution russe.
Nivolet
21 avril 2020 @ 10:25
Oui Karabakh, la conduite de cette famille vis à vis de ses cousins à été celle d’usuriers de la plus basse espèce.
Bien cordialement
Nuage Pâle
20 avril 2020 @ 09:29
300 ! C’est de l’élevage industriel .
Corsica
20 avril 2020 @ 22:08
Mon nuage préféré, merci pour le fou rire ! C’est hyper bien trouvé.
marianne
20 avril 2020 @ 09:31
C’est très original , j’ adore !
Claudia
20 avril 2020 @ 09:42
Ah les oeufs ont enfin éclos….
Guizmo
20 avril 2020 @ 10:48
Trop mimi !
Ghislaine-Perrynn
20 avril 2020 @ 11:36
je n’aime pas .
ciboulette
20 avril 2020 @ 11:40
J’aime mieux un poussin vivant !
Leonor
20 avril 2020 @ 18:39
Une de nos poules a commencé à couver … Mais, j’en suis triste,je ne suis pas auprès d’elle en ce moment, confinement ailleurs oblige. C’est Blanchette, fille de Colombine, poules dites naines . Des couveuses invétérées. Si on ne les surveille pas, elles vont piquer les oeufs de tout le poulailler, pour les couver, toutes petiotes qu’elles sont.
Et, misère ,si après il y a des mâles dans la couvée, – et il y en a forcément -, vous avez un problème sur les bras.
Nuage Pâle
21 avril 2020 @ 13:06
Comment ,vous ne savez pas faire des chapons ? Et c’est délicieux les coquelets .
Je vois ,vous les laissez mourir de leur belle mort .
Leonor
22 avril 2020 @ 12:59
Non, impossible de les laisser mourir de leur belle mort, les mâles. Ils s’étripent avant. Littéralement, s’étripent, dès qu’ils approchent de leur âge adulte, et qu’ils prennent conscience de la puissance de leurs ergots .
Les mâles ensemble, ‘jvous jure, c’est pas toujours malin ! Et y’a pas que dans le règne animal …
Nous en avons eu UN, de malin. Nommé Noé, parce que, déjà, il avait su survivre à une inondation.
Noé ne cocoricotait pas. Ainsi, il ne défiait donc pas le pacha en chef, Du Guesclin. Lequel lui laissa la vie sauve ,à condition qu’il ferme son bec et ne s’approche pas du harem.
C’était sans compter avec l’intelligence rusée de Noé.
Du Guesclin est un lève-tard. Curieux pour un coq, mais comme dit, c’est un pacha. Les poules,elles, sont au matin pressées d’aller picorer et vaquer à leurs affaires. Elles se lèvent donc et sortent bien avant leur Seigneur et Maître, qui bulle, l’inconscient. Et Noé,qui a pigé le truc, les attend à la sortie du poulailler , et en coche autant qu’il peut, l’une à la suite de l’autre, le salopiaud !
Un survivor, Noé !
Authentique. C’est archi-marrant d’observer la vie du poulailler !
Nuage Pâle
23 avril 2020 @ 12:03
Très intéressant ,futé Noé ,ou Moïse ,( je viens de regarder les 10Commandements ) pour la 63 éme fois,une fois par an depuis sa sortie ) . En fait c’est pareil avec beaucoup de races animales,mais nombreux mâles dominants tolèrent des mâles soumis quand il y a du boulot à faire. J’espère que ça se passe mieux avec vos alpagas .
Vivement la pluie ,portez-vous bien chère Léonor.
Huguette
20 avril 2020 @ 12:13
Pour en savoir plus…
http://writings2.over-blog.com/2017/04/les-animaux-bijoux-de-faberge.html
Alinéas
20 avril 2020 @ 14:12
Mignon tout plein mais je préfère les petits animaux vivants comme entre-autres, le caneton en compagnie de ses frères et soeurs à la queue leu-leu derrière leur maman sur une mare ; je craque !
Mer déchaînée
20 avril 2020 @ 18:09
Très jolie , sans lire j ai crû que c était un pâtissier qui l avait confectionné ? Et qu’ il était en sucre ? Lol 😁
Karabakh
20 avril 2020 @ 21:16
C’est mignon mais c’est… particulier.
Caroline
20 avril 2020 @ 22:42
Huguette,
J’ ai adoré voir votre lien car je collectionne quelques animaux décoratifs comme ma tortue en jade vert clair par exemple.
En quelle matière est fait ce poussin Fabergé ? Quelle taille ?
Gérard
21 avril 2020 @ 18:36
Ce poussin en or constitue l’un des éléments de la collection royale britannique de Fabergé. Les familles régnantes de Russie, de Grande-Bretagne et de Danemark avaient pris l’habitude de s’offrir des cadeaux pour les anniversaires et pour Noël qu’elles commandaient chez Fabergé à Saint-Pétersbourg. Des commandes très importantes ont été passées par le roi Édouard VII avec le concours de la Sandringham Commission qui supervisait la ferme royale de Sandringham.
Cette collection s’est poursuivie avec le roi George V et la reine Mary puis avec la reine mère Elizabeth mais il ne s’agissait plus alors de commandes.
Ce poussin de la ferme de Sandringham est en calcédonite, roche particulièrement rare en jaune, en or rouge pour les pattes et en rubis pour les yeux.
Les dimensions sont de 3,1 x 2,8 × 2,7 cm et il s’agit d’or à 72 zolotniks c’est-à-dire 750 millièmes. 
C’était un cadeau du roi à la reine Alexandra. Le créateur en fut Henrik Immanuel Wigström, d’origine finlandaise, né en 1862 et qui mourut dans sa résidence d’été en 1923 à Terijoki (aujourd’hui Zelenogorsk) près de Saint-Pétersbourg. Il était le chef des ateliers de Fabergé depuis 1903. Cette œuvre est de 1907.
Pendant la guerre la situation fut très difficile pour Fabergé et après la révolution la maison ferma.
Rappelons que la famille Fabergé était une famille d’origine huguenote française.
Nuage Pâle
24 avril 2020 @ 13:12
Fabergé ! $Dommage collatéral, d’une révolution qui tua beaucoup de talents .