La presse allemande laisse entendre que le prince héritier Ernst August et la princesse héritière Ekaterina de Hanovre ont fait le choix de prénommer leur fils Welf August. Le bébé est né le 14 mars dernier en pleine dispute familiale entre le prince héritier et son père le prince Ernst August.
Mary
3 avril 2019 @ 10:42
Bon, ça change un peu !
oui
4 avril 2019 @ 07:59
Nan c’est moche
Anne-Cécile
3 avril 2019 @ 11:17
La tradition datait de 1914 d’ainsi prénommer l’héritier Ernst August. En pleine dissension familiale, le père du nouveau-né n’a peut-être pas eu envie de faire porter symboliquement à son enfant une si lourde hérédité.
Welf August reste par ailleurs un prénom bien Hanovre, maintes fois porté.
Pour les grands-parents russes, un prénom bien germanique qui doit leur écorcher les oreilles.
Quentin
3 avril 2019 @ 11:32
Ernst August de Hanovre séparé de Caroline de Monaco, il interdit à son petit-fils de porter son nom.
En guerre avec son fils aîné depuis deux ans, Ernst August de Hanovre allait-il vers un pas vers la réconciliation avec l’arrivée de son petit fils ? Malheureusement non. L’ancien compagnon de Caroline de Monaco refuse même de reconnaître l’enfant et de lui donner son nom.
La Maison de Hanovre continue de se déchirer. Pourtant, alors que sa santé est défaillante – il a été hospitalisé d’urgence début février en Autriche à cause d’une pancréatite -, Ernst August de Hanovre aurait bien besoin du soutien de sa famille et notamment de son fils aîné. Car ce n’est pas le premier pépin auquel a dû faire face l’ex compagnon de Caroline de Monaco (ils sont séparés depuis des années mais toujours légalement mariés). En 2018, son altesse royale était déjà passée par la case hôpital à cause de sa consommation excessive d’alcool.
Mais même affaibli, Ernst August de Hanovre reste ferme sur un point, la guerre qu’il livre à son fils aîné depuis des années. Au coeur de ce drame familial, une querelle de succession. Après avoir cédé les possessions de la maison royale à Ernst August Jr dans les années 2000, le patriarche a voulu les récupérer en 2017. Alors que son fils s’apprêtait à épouser la créatrice de mode russe Ekaterina Malysheva, le père craignait pour l’avenir du patrimoine familial. Il s’est même opposé publiquement à cette union et a refusé d’assister au mariage. Les choses se sont ensuite envenimées quand Ernst August Jr a décidé de vendre le château de Marienburg, demeure historique du clan.
Mais on pensait une réconciliation possible grâce à un heureux événement. Le 14 mars dernier, Ernst August Jr et Ekaterina Malysheva ont accueilli un fils. S’il s’agit de leur second enfant, c’est le premier garçon du couple, faisant de lui l’héritier de la dynastie des Hanovre. Le bébé de la réconciliation ? Eh bien non ! Ernst August senior campe sur ses positions. Selon le journal allemand Bunte, son altesse royale refuse de reconnaître l’enfant en tant qu’héritier et successeur légitime de la Maison de Hanovre. Le grand-père refuse également que le petit garçon porte son nom, brisant par là la tradition familiale qui veut que les fils aînés soient appelés Ernst August. Le nouveau né ne répondrait ainsi qu’au nom d’August. Une bien triste querelle qui prive un bébé de son grand-père.
https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/ernst-august-de-hanovre-separe-de-caroline-de-monaco-il-interdit-a-son-petit-fils-de-porter-son-nom_427821?amp
Trianon
3 avril 2019 @ 12:42
très honnêtement, je ne crois pas que Ernst August ait le moindre pourvoir d’interdire un prénom choisi par les parents.Sinon, où irait-on?
les parents ont tous les pouvoirs en ce domaine
Muscate-Valeska de Lisabé
3 avril 2019 @ 15:20
Pourquoi dites-vous »compagnon »de Caroline de Monaco?
Ernst-August est son mari,point,Quentin.
Gérard
5 avril 2019 @ 14:50
Oui son mari et plus du tout compagnon.
Corsica
3 avril 2019 @ 18:15
Si la nouvelle vient de Bunte, via Gala, on peut avoir des doutes sur sa véracité… N’est-ce pas lui qui avait mis en une des photos de Charlène avec un autre homme lors d’un séjour aux Caraïbes ce qui lui permettait de titrer «la princesse a un amant » ou qui a été condamné pour fausses nouvelles sur l’état de santé de Michael Schumacher ?
En tout cas, si cette nouvelle est vraie, est-ce à dire que le prince Ernst August ne reconnaît pas ce nouveau-né comme héritier en second ?
Menthe
4 avril 2019 @ 12:45
Effectivement Corsica, Bunte est un tabloïd allemand !
Gibbs
3 avril 2019 @ 11:50
Cliquer sur Welf
https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=3&cad=rja&uact=8&ved=2ahUKEwju49be37PhAhUkAWMBHcNTAcYQFjACegQIChAK&url=https%3A%2F%2Ffr.wikipedia.org%2Fwiki%2FGuelfes_et_gibelins&usg=AOvVaw0LF_qU-qdGepHgmlfiqyoZ
Silvia
3 avril 2019 @ 12:35
C est navrant de voir toutes ces querelles…..le papy devrait se réjouir f avoir une descendance.😃🤔
Ludovina
3 avril 2019 @ 12:51
Il semblerait que le papa de ce bébé prénommé Welf-August ait plus la tête sur les épaules que son propre père, dont il a honoré les dettes, et assume les responsabilités qui sont les siennes avec discernement.
Vitabel
3 avril 2019 @ 13:08
Welf est moins pire que Ernst !
Mayg
4 avril 2019 @ 15:45
Et bien moi, je préfère encore Ernst.
Auberi
3 avril 2019 @ 13:09
Welf August ? À leurs souhaits donc
Fanie
3 avril 2019 @ 13:19
Il ne faut pas exagérer, Ernst August junior s’il avait voulu aurait pu donner son prénom a son fils, que le grand-père le veuille ou non. Après vu qu’il s’est opposé au mariage, en toute logique il ne reconnaît pas les enfants. Mais pas sûr que ça ai une valeur légale pour le titre. En tout cas ce n’est pas lui qui va lire « l’art d’être grand-père » de Victor Hugo
COLETTE C.
3 avril 2019 @ 14:03
Je ne connaissais pas ce prénom.
Mésentente familiale regrettable !
Martine
3 avril 2019 @ 18:00
Triste mesquinerie
Caroline
3 avril 2019 @ 23:25
Le père a tort de donner un autre prénom à son fils à cause de sa dispute avec son père parce qu’ on s’ appelle Ernest August depuis au moins huit générations. Le bébé devait s’appeler Frederik August ou George August comme ses lointains ancêtres.
Alinak
29 avril 2020 @ 08:35
Welf ne sort pas non plus de nul part, bien au contraire, je trouve que ce prénom est même plus historique et dynastique que Georges ou Frederick. Welf est le nom de l’ancienne Maison Welf, une dynastie de la noblesse franque remontant à l’époque carolingienne du viiie siècle. La famille venait à l’origine du Maasgau et des domaines voisins sur les rives de la Moselle en Austrasie ; elle était très proche avec la dynastie impériale des Carolingiens.
Depuis le milieu du viiie siècle, les ancêtres des Welf étaient propriétaires autour de Weingarten (autrefois appelé Altdorf) sur la Schussen, dans l’actuelle région de Haute-Souabe en Allemagne. Bien que la branche aînée mâle s’éteignit à la mort de Welf III d’Altdorf, duc de Carinthie et margrave de Vérone, en 1055, ils existent des descendants de sa sœur Cunégonde d’Altdorf et de son époux Alberto Azzo II d’Este. Ainsi, les maisons de Brunswick et de Hanovre, à laquelle appartiennent nos protagonistes, en descendent. D’ailleurs, la maison de Hanovre est aussi dite la « nouvelle maison Welf », et forme ainsi l’une des plus anciennes familles de haute noblesse européenne encore existe. En somme, Ernst August Junior a préféré aller puiser une légitimation de sa famille dans les racines lointaines de son histoire, remontant à près d’un millénaire, plus que dans une tradition datant de 100 ans. Ce choix de prénom est bien plus historique et symbolique, et il y renoue, à l’occasion, avec une histoire qui doit faire la fierté des Hanovre à travers une ascendance illustre.
CAROLINE VM
4 avril 2019 @ 10:49
Je ne vois pas ce qu’il peut « interdire » : les parents font ce qu’ils veulent en la matière !
Leonor
4 avril 2019 @ 22:09
Pour le moment, c’est hypothèse de Bunte. Qui n’est pas » LA presse allemande ». C’est Bunte, et c’est pas terrible.
Pas la peine de discuter sur un blabla de Bunte.
L'Alsacienne
5 avril 2019 @ 09:29
En effet, je ne pense pas que qu’un tiers puisse interdire le choix du prénom d’un enfant, si ce n’est l’Etat-Civil.
Est-ce une bonne chose que de donner un prénom de génération en génération ? ou prénom d’un enfant ou proche prédécédé ?
L’enfant sera souvent comparé à son homonyme. Or lui, c’est LUI et l’autre, c’est l’ AUTRE.