Dans l’aile du département des objets d’art au musée du Louvre à Paris est exposé ce tapis d’alcôve réalisé en 1668 par la manufacture de La Savonnerie et qui ornait l’alcôve de la Grande Chambre du roi Louis XIV aux Tuileries.
Une merveille.
Dans l’histoire des la Savonnerie on peut lire que un tisserand expérimenté devait travailler pendant une année complète pour produire environs trois mètres de tapis et encore plus selon la complexité des motifs.
Pour avoir visité la manufacture des Gobelins, c’est toujours le cas je pense ! Le particulier ne commande pas aux Gobelins, la manufacture ne travaille que sur des commandes de l’Etat (enfin quand on en avait encore les moyens !!)
Une vraie merveille, comme le dit Erato. Je crois qu’à cette époque, et jusqu’à notre XXème siècle, la notion « le temps c’est de l’argent » était inconnue. Le savoir faire et le talent étaient respectés.
Val,je crois qu’on utilise le nettoyage à sec pour ce tapis!
Je ne comprends pas que ce tapis d’une grande valeur historique soit exposé à la poussière dans la grande salle régulièrement visitée par des centaines de touristes!On aurait dù le protéger avec une grande vitrine par exemple!!
Oui comme a Fontainebleau une partie des tentures sont protégées par du plastique et les volets sont fermés a cause de la lumière qui abime. Domage mais pour conserver ces magnifiques chef d’oeuvres il n’y a pas d’autres solutions.
Ceux qui y avaient accès se faisaient mousser quand ceux de l’antichambre s’attendaient à un savon. Les Princes pour leur part bullaient, quand les princesses faisaient tapisserie… Vive la moquette!
Erato
25 janvier 2015 @ 11:45
Une merveille.
Dans l’histoire des la Savonnerie on peut lire que un tisserand expérimenté devait travailler pendant une année complète pour produire environs trois mètres de tapis et encore plus selon la complexité des motifs.
Laurent F
26 janvier 2015 @ 17:16
Pour avoir visité la manufacture des Gobelins, c’est toujours le cas je pense ! Le particulier ne commande pas aux Gobelins, la manufacture ne travaille que sur des commandes de l’Etat (enfin quand on en avait encore les moyens !!)
Francky
25 janvier 2015 @ 12:36
A partir de 1668, Louis XIV a-t-il souvent habité aux Tuileries ?
Shandila
25 janvier 2015 @ 13:06
Une vraie merveille, comme le dit Erato. Je crois qu’à cette époque, et jusqu’à notre XXème siècle, la notion « le temps c’est de l’argent » était inconnue. Le savoir faire et le talent étaient respectés.
Danielle
25 janvier 2015 @ 15:45
Pour l’avoir vu récemment, je peux assurer que ce tapis est une merveille.
flabemont8
25 janvier 2015 @ 18:15
Les tapis de la Savonnerie sont réputés à juste titre, celui-ci est une splendeur . Je comprends qu’il ait fallu longtemps pour en fabriquer un .
Caroline
25 janvier 2015 @ 19:18
Quel véritable chef d’oeuvre d’antan!
C’est dommage de le nettoyer régulièrement avec un aspirateur!
val
26 janvier 2015 @ 15:14
Caroline,
Vous croyez que l’on passe l’aspirateur sur un tel tapis , je n’ose y croire :) enfin sinon comment fait on ?
Caroline
26 janvier 2015 @ 23:44
Val,je crois qu’on utilise le nettoyage à sec pour ce tapis!
Je ne comprends pas que ce tapis d’une grande valeur historique soit exposé à la poussière dans la grande salle régulièrement visitée par des centaines de touristes!On aurait dù le protéger avec une grande vitrine par exemple!!
val
27 janvier 2015 @ 15:46
Caroline,
Oui comme a Fontainebleau une partie des tentures sont protégées par du plastique et les volets sont fermés a cause de la lumière qui abime. Domage mais pour conserver ces magnifiques chef d’oeuvres il n’y a pas d’autres solutions.
Gérard
2 février 2015 @ 04:49
Mais on ne peut pas tout mettre sous vitrine, tableaux, tapis, fresques… On empêche au moins de marcher sur le tapis.
bianca
26 janvier 2015 @ 13:27
Les tapis de la Savonnerie sont de pures merveilles il faut des mois pour réparer parfois un petit carré de ceux-ci, comme pour les tapis persans.
Philippe gain d'enquin
27 janvier 2015 @ 22:48
Ceux qui y avaient accès se faisaient mousser quand ceux de l’antichambre s’attendaient à un savon. Les Princes pour leur part bullaient, quand les princesses faisaient tapisserie… Vive la moquette!