Cette broche en forme d’aigle et composée de turquoises, a été dessinée par le prince Albert pour les porteurs du train de la reine Victoria.
Cette broche en forme d’aigle et composée de turquoises, a été dessinée par le prince Albert pour les porteurs du train de la reine Victoria.
Louise.k
12 janvier 2021 @ 01:41
Je n’aurais pas aimé être un porteur du train de la reine Victoria..
Iankal21
12 janvier 2021 @ 21:16
Évidemment… les 12 broches étaient offertes aux personnes qui portaient la traîne nuptiale de la Reine.
Je pense que le turquoise est la pierre qui symbolise l’amour vrai (true love)
Louise.k
13 janvier 2021 @ 17:15
Jy avais pensé…mais ils auraient pu être aussi les porteurs de bagages!
Mer Limpide 🌊
12 janvier 2021 @ 03:25
Ah ! Par contre celui là moi pas aimer !🌊
Baboula
12 janvier 2021 @ 04:53
Le prince Albert avait ses raisons et son » bon goût » pour choisir des turquoises ,au demeurant très belles mais ce n’est pas la pierre qui me vient à l’esprit pour habiller des aigles .
Françoise
12 janvier 2021 @ 06:37
Que les turquoise sont belles
Charlotte (de Brie)
12 janvier 2021 @ 06:40
Les porteurs le recevaient en cadeau ou devaient l’arborer en portant les augustes bagages ?
Enfin personnellement, je l’aurais dissimulé sous mon revers de veste et pourtant j’aime les turquoises !
Francois
12 janvier 2021 @ 09:28
Bien laid .
Pascal
12 janvier 2021 @ 10:51
Je crois que le prince Philippe a lui aussi imaginé une broche pour la reine Elisabeth, à tout prendre il me semblait plus doué ,mais il y a des choses qu’il vaut mieux laisser aux professionnels.
Menthe
12 janvier 2021 @ 10:54
Aucun des bijoux dessinés par l’époux de Victoria, présentés jusqu’à présent sur le site, ne sont a mon goût. Ils manquent tous de finesse.
Jean Pierre
12 janvier 2021 @ 13:41
Même un prince Albert ?
Menthe
13 janvier 2021 @ 16:39
JP, roi du piercing? 😯
framboiz 07
12 janvier 2021 @ 14:03
Le goût allemand de l’époque ?
Noëlle Gaël
12 janvier 2021 @ 11:25
Ces boules de turquoises répétitives me mettent mal à l’aise. Elles me font penser à une éruption cutanée. Pas très réussi comme bijou à mon avis.
Iris Iris
12 janvier 2021 @ 13:09
Moi de même !
Bambou
12 janvier 2021 @ 11:45
Pas mal, les pin’s….!
Phil de Sarthe
12 janvier 2021 @ 11:55
Ils devaient avoir fière allure! J’aurais cru qu’il ait des choses plus essentielles en tête !
Cosmo
12 janvier 2021 @ 12:06
Une broche pour les porteurs du train de la reine Victoria ? Voilà qui est étrange. Je sais que la grande majorité du personnel des palais royaux est homosexuelle mais je l’ignorais pour le XIXe siècle.
Baboula
12 janvier 2021 @ 12:45
Cosmo,enfin,ce n’est pas une génération spontanée ,ça remonte à l’antiquité 😁
Cosmo
12 janvier 2021 @ 13:24
Voire avant…mais dans le personnel du palais c’est probablement récent…quoique…
Jean Pierre
12 janvier 2021 @ 13:40
La reine remonte aussi à l’antiquité.
Muscate-Valeska de Lisabé
12 janvier 2021 @ 12:56
Un aigle-shtroumphf qui a attrapé la varicelle.
Je n’aime pas du tout.
ML
12 janvier 2021 @ 13:56
Moi non plus ! Cette chose est ,tout simplement, horrible
Roxane
13 janvier 2021 @ 23:40
J’adore l’aigle-Schtroumpf 🤣🤣🤣
Laurent
12 janvier 2021 @ 13:23
Très laid comme tout ce que Cher Albert a créé imaginé dessiné
Il suffit de voir Balmoral et les grands travaux de Buckingam
J’ai un peu d’indulgence pour Osborne à l’extérieur
Robespierre
12 janvier 2021 @ 20:38
Oui, mais à l’intérieur, quelle pâtisserie !
Le Guyader
12 janvier 2021 @ 13:27
Pas facile à porter beaucoup trop chargé
DEB
12 janvier 2021 @ 13:51
Elle ressemble étrangement à la broche, effectivement dessinée par le Prince Albert, et offerte à ses demoiselles d’honneur ( cf article mars 2010 ici même)
Leonor
12 janvier 2021 @ 13:55
Je plains les porteurs en question. Ils devaient être tétanisés à l’idée de pouvoir perdre ces bijoux-pins. Ou de les abîmer.
Vitabel
12 janvier 2021 @ 17:44
Ou de les porter…
COLETTE C.
12 janvier 2021 @ 16:44
Il était adroit.
Ciboulette
12 janvier 2021 @ 17:36
Comme la plupart d’entre vous , je n’aime pas .Les goûts du prince Albert me semblent très discutables ( voir Balmoral )
Baboula
12 janvier 2021 @ 20:16
Vous trouvez ? Un gros patapouf qui a de petites ailes .très loin d’un aigle royal .
Cosmo
13 janvier 2021 @ 16:02
Aussi élégant que le style victorien…
Erica
12 janvier 2021 @ 17:37
La broche n’ était bien évidemment pas destinée aux porteurs de train de la reine mais à ses demoiselles d’ honneur ,porteuses de traine lors de son mariage ,il y en avait douze ,une pour chacune .C’ est une erreur de traduction .
Leonor
13 janvier 2021 @ 18:07
Aaaah !
Teresa2424
12 janvier 2021 @ 17:57
El color de la turquesas es hermoso
El águila es símbolo alemán, y Victoria y Alberto eran descendientes de alemanes
Raphaëlle
12 janvier 2021 @ 19:56
Attention, il ne s’agit pas de porteurs de train ou de bagages : « train » en anglais signifie « traîne ». Le prince consort a donc créé cette broche à destination des demoiselles qui portaient la traîne de la reine lors de leur mariage.
June
12 janvier 2021 @ 20:40
Cet aigle me fait plutôt penser à un perroquet.
Danielle
12 janvier 2021 @ 20:53
Je prends les turquoises et les perles et en fait un ou deux autres bijoux mais surtout pas u aigle.
Gérard
12 janvier 2021 @ 22:15
Ces 12 broches ont été créées à partir de 1839 à l’occasion du mariage de la reine Victoria avec le prince Albert de Saxe-Cobourg.
Les turquoises et les perles sont le symbole de l’amour véritable, les rubis l’image de la passion, les diamants symbolisent l’éternité.
Le joaillier londonien en 1839-1840 fut d’abord Charles du Vé et par la suite R & V Garrard.
Les personnes qui tenaient la traîne de la reine étaient des jeunes filles de la haute société placées sous la houlette de la maîtresse des robes la duchesse de Sutherland.
On peut voir de telles broches à Woburn Abbey chez les ducs de Bedford ou à Hatfield House chez les marquis de Salisbury.
La reine Mary en acheta une en 1925 qui est depuis dans la collection royale.
La princesse Marie-Louise de Schleswig-Holstein, petite-fille de la reine Victoria qui vécut de 1872 à 1956 et qui avait brièvement épousé le prince Aribert d’Anhalt, jusqu’à ce qu’elle le trouve au lit avec un jeune homme, cette princesse avait une broche à l’aigle Cobourg.
Caroline
12 janvier 2021 @ 22:30
Cette broche plairait beaucoup à la reine de Danemark aimant les turquoises et le rouge !
Baboula
13 janvier 2021 @ 14:01
Cela ne suffit pas pour être séduite par lourdaud volatile
Gérard
13 janvier 2021 @ 14:25
Les demoiselles d’honneur de la reine Victoria pour ses noces étaient les filles des ducs de Norfolk et de Richmond, du marquis d’Anglesey, des comtes de Cowper, Jersey, De La Warr, Radnor, Errol, Stanhope, Carlisle et Verulam.
Lady Mary Howard était la fille du duc de Norfolk, premier pair du royaume, comte maréchal héréditaire. Lady Mary Howard a épousé Thomas, 4e comte de Foley, en 1849, et a été l’une des dernières survivantes des demoiselles d’honneur de la reine, après Lady Jane Ellice, née Bouverie.
Lady Caroline Gordon Lennox était l’une des plus belles débutantes de la saison de Londres 1837, et avait la beauté de la famille Paget grâce à sa mère, la duchesse de Richmond. Le duc, alors lord March, fut aide de camp du prince d’Orange à Waterloo.
Lady Caroline a épousé le cinquième comte de Bessborough et, passant la majeure partie de sa vie conjugale et de son veuvage en Irlande, elle a consacré beaucoup de son temps aux soins des locataires irlandais de son mari.
Lady Adelaide Paget était l’une des filles du premier marquis d’Anglesey, l’un des officiers de cavalerie les plus distingués de la guerre et qui perdit une jambe à Waterloo. Lady Adelaide a épousé l’honorable Frederick Cadogan des comtes Cadogan en 1851 et l’une de ses filles fut demoiselle d’honneur de la reine.
Lady Eleanor Paget, sa nièce qui avait le même âge, était la fille du deuxième marquis d’Anglesey. En 1847, Lady Eleanor épousa Sir Sandford Graham, deuxième baronnet Graham (de Kirkstall), mais mourut un an après.
Lady Elizabeth Howard, fille du 6e comte de Carlisle et d’une fille du duc de Devonshire, était la sœur cadette de la duchesse de Sutherland, maîtresse des robes. Lady Elizabeth a épousé l’honorable révérend Francis Grey, recteur de Morpeth, des vicomtes Howick, à la fin de cette même année.
Lady Catherine Lucy Wilhelmina Stanhope vécut longtemps et était très belle et connue comme Lady Wilhelmina Stanhope, elle épousa en 1843 Lord Dalmeny, fils aîné du comte de Rosebery, qui est décédé avant son père. Lady Dalmeny, en 1854, se remaria avec Lord Harry George Powlett, qui, en 1864, succéda à son frère comme duc de Cleveland. Par son premier mariage, la duchesse a eu plusieurs enfants, son fils, le comte de Rosebery, fut premier ministre et chef du Parti libéral.
Lady Sarah Villiers était l’une des trois filles du comte et de la richissime comtesse de Jersey, et d’une exceptionnelle beauté. Lady Sarah, Lady Clementina et Lady Adela étaient adorables. Lord et Lady Jersey étaient les rois de la société. Lord Jersey avait été pendant de nombreuses années dans la maison du roi Guillaume IV, occupant deux fois le poste de Lord Chambellan. Sous Victoria il avait la responsabilité des chevaux royaux. Lady Sarah Villiers avait à peine dix-huit ans et était la plus jeune du groupe des demoiselles d’honneur. Elle se fiança au prince Nicholas Esterhazy, noble hongrois, dont le père avait longtemps occupé le poste d’ambassadeur en Grande Bretagne. La princesse passa la plupart de son temps dans les beaux domaines de son mari, mais mourut en 1857.
Lady Elizabeth Sackville-West était la fille aînée du comte De La Warr et, en 1844, elle épousa M. Hastings Russell, qui finit par hériter du titre et des biens du duc de Bedford, son cousin, en 1872. La duchesse fut maîtresse des robes à Sa Majesté plus d’une fois, et avait également été l’une des dames (extra) de la Chambre de la Reine. La duchesse est décédée ayant survécu à son mari quelques années.
Lady Ida Hay représentait l’une des anciennes familles écossaises, celle des comtes d’Errol, dont le titre remonte à 1453. Née en 1821, Lady Ida épousa, en 1841, Charles, deuxième comte de Gainsborough. La mère de Lady Ida Hay était l’un des enfants nés du roi Guillaume IV et de Mrs Jordan, à qui ont été donnés le rang et la préséance des fils et filles de marquis par le roi en 1831, le fils aîné devenant comte de Munster.
Lady Frances Elizabeth Cowper était fille de Peter Leopold, cinquième comte Cowper, et nièce de Lord Melbourne, premier ministre de la reine, et en 1841, elle épousa le vicomte Jocelyn, fils aîné du comte de Roden. Pendant de nombreuses années, Lady Jocelyn elle fut dame de la reine et celle-ci l’aimait beaucoup. En 1854, l’épidémie de choléra en Angleterre fut fatale à son époux.
Lady Mary Grimston, fille du comte de Verulam, était l’une des demoiselles d’honneur, qui, peu après les noces royales, fut elle-même conduite à l’autel, ayant, en octobre 1840, été unie au comte de Radnor, puis après veuvage, au vicomte Folkestone.
Lady Jane Bouverie, fille du feu comte de Radnor, née la même année que la reine Victoria, se maria en 1847 à M. William Ellice. Elle mena une vie tranquille et retirée.
La duchesse de Cleveland eut le double honneur de porter la traîne de la reine au mariage et au couronnement et Lady Caroline Lennox fut aussi aux deux cérémonies.
Les robes des demoiselles au mariage étaient d’un riche blanc glacé, sur lequel une double jupe de tulle blanc intégral pendait à l’ourlet, la jupe supérieure de tulle étant bouclée sur un côté par un grand jet de roses blanches et de feuilles vertes. Six des demoiselles d’honneur avaient ces bouquets sur le côté droit et six sur le gauche, de sorte que les fleurs étaient vues alors qu’elles prenaient place de chaque côté en tenant par une boucle la longue traîne de satin blanc de la mariée. Les coiffures étaient « au naturel ».
Les douze demoiselles d’honneur accompagnèrent ensuite la reine et le prince Albert jusqu’à leur appartement privé, où de l’un des sacs de bijouterie on sortit des étuis de velours bleu, et la reine remit à chaque jeune fille la fameuse broche.
Par la suite ces broches ont été portées sur un ruban attaché à l’épaule et sont devenues des marques distinctives de celles qui avaient été honorées du port de la traîne.