Cette lettre écrite de la main du tsarévitch Alexis date du 10 juillet 1914, quelques jours avant le début de la première guerre mondiale. L’enfant de 9 ans écrivait à sa grand-mère l’impératrice Maria Feodorovna, qui se trouvait à Londres.
Dans sa lettre, il évoquait notamment le cadeau que venait de lui offrir le président de la France, Raymond Poincaré, alors en visite officielle en Russie.
L’adresse sur l’enveloppe a été écrite de la main de l‘impératrice Alexandra Feodorovna .(source : musée historique de Moscou – Merci à Agnès)
15 décembre 2014 @ 05:25
Bonjour,
Le tsarévitch Alexis possédait une jolie écriture.
Merci Agnès.
Cdt,
15 décembre 2014 @ 08:52
C’était un temps où on apprenait à calligraphier et cet enfant de 9 ans avait une très belle écriture.
15 décembre 2014 @ 10:05
Une belle écriture, déjà mature.
15 décembre 2014 @ 10:30
Pauvre petit Prince ! Les révolutions s’attaquent même aux enfants !
Victime innocente, comme le petit Louis XVII, de la barbarie des hommes !
15 décembre 2014 @ 17:43
Les guerres aussi s’attaquent aux enfants ! On le voit tous les jours.
15 décembre 2014 @ 21:12
Et surtout les guerres civiles.
15 décembre 2014 @ 11:10
Il avait une très belle écriture.
15 décembre 2014 @ 12:19
L’écriture ne parait pas provenir d’un enfant de neuf ans, mais effectivement la calligraphie était alors enseignée, et les caractères cyrilliques manuscrits peuvent aussi dérouter. Quand on pense que dans certains pays on n’apprend plus aux enfants à écrire à la main…..grrrr.
15 décembre 2014 @ 12:39
L’adresse de l’impératrice mère est un peu sommaire : London England.
Mais je suppose que tout bon facteur savait où la trouver. D’ailleurs où résidait-elle ?
Si cette lettre est aujourd’hui à Moscou, c’est que la grand-mère l’a ramenée dans ses bagages.
15 décembre 2014 @ 20:10
Probablement auprès de sa soeur, la Reine Mère Alexandra qui résidait à Marlborough House depuis son veuvage en 1910.
Ce palais, oeuvre de Sir Christopher Wren, est situé entre le Mall et Pall Mall, à proximité du Palais Saint James et de Clarence House.
Bien à vous.
15 décembre 2014 @ 12:44
Une écriture soignée et élégante , comme celle-ci, est aujourd’hui encore en Russie le signe d’une bonne éducation .
15 décembre 2014 @ 13:18
Apparemment il écrit à sa gentille Babouchka dont c’était bientôt la fête pour lui souhaiter plein de jolies choses.
Il lui parle aussi du beau nécessaire de bureau reçu du Président Français.
15 décembre 2014 @ 14:54
Tous les postiers de Londres connaissaient donc l’adresse londonien de l’impératrice Maria Feodorovna? La lettre adressée « Empress Maria Feodorovna, England, London » est arrivée à destination!
15 décembre 2014 @ 16:36
Très émouvant quand on pense à la bêtise humaine, doublée de la haine qui ont rasé un système même s’il était loin d’être parfait, était d’un autre niveau que celui qui l’a remplacé !
15 décembre 2014 @ 21:15
C’est vrai.
15 décembre 2014 @ 17:11
Totalement d’accord avec vous Claudia, quelle superbe lettre et quelle belle ecriture.
Bonne soirée. Merlines
15 décembre 2014 @ 17:44
Que dit cette lettre ?
15 décembre 2014 @ 18:20
pauvre petit!
15 décembre 2014 @ 19:12
L’écriture cyrillique est déjà magnifique et ce petit tzarevich écrivait excellemment bien.
15 décembre 2014 @ 20:56
Quelle belle écriture fort soignée pour un garçon de neuf ans!
Cette lettre était-elle écrite à l’encre de chine?Ecrivait-il avec une plume d’oie ou un porte-plume en bois?
16 décembre 2014 @ 20:20
So cute of him to write his grandmother!
17 décembre 2014 @ 03:41
Merci pour cet émouvant document. J’ai appris le russe mais mon écriture n’est pas aussi belle.