Alors que la justice a décidé que le roi Albert II devrait se soumettre à un test ADN pour démontrer ou non qu’il est le père biologique de Delphine Boël, le quotidien belge « Le Soir » révèle que des négociations avaient eu lieu entre les deux parties mais qu’elles s’arrêtèrent en 2013 à l’initiative de Delphine Boël qui s’engagea alors dans une procédure judiciaire contestant d’une part la paternité de Jacques Boël et d’autre part d’essayer de faire reconnaître la paternité par le roi Albert II.
Que prévoyaient ces négociations ? Le roi Albert II se serait engagé à confirmer qu’il était bien le père biologique de Delphine Boël. Toutefois, la lettre aurait dû restée scellée jusqu’à son décès. Ce document manuscrit de la main d’Albert II aurait eu pour conséquence de servir de reconnaissance d’identité mais n’aurait eu aucune répercussions sur le plan juridique de l’état civil de Delphine Bëel ni même sur l’héritage.
Contactée par le quotidien, Delphine Boël reconnaît avoir refusé cette proposition en 2013 car cela ne donnait pas de garantie relle, c’était trop flou et surtout cela n’apportait pas de solutions aux problèmes qu’elle rencontrait à cette époque dans sa vie. (il a été question de difficultés notamment d’ouvrir des comptes bancaires). Cliquez ici pour lire un article à ce sujet.
Robespierre
13 novembre 2018 @ 08:26
il y avait les femmes back street, et maintenant Albert II aurait inventé l’enfant back street. « je suis ton père mais faut pas que ça se sache ». Ce qui est tout de même renversant dans cette histoire c’est qu’Albert reconnaissait être le père de Delphine en 2013 . Que vont penser maintenant tous ceux qui ne croyaient pas à cette paternité ?
milou
13 novembre 2018 @ 11:44
En effet Robespierre…en effet !
ml
Milena K
13 novembre 2018 @ 15:53
Un peu lâche comme attitude, non?
Roselilas
13 novembre 2018 @ 17:12
Tous les jours, dans tous les journaux belges un nouvel épisode. Actuellement, le plus heureux serait le Prince Laurent puisqu’on va un peu moins parler de lui quoique avec le remboursement d’une dette de la Lybie…. Dont les montants proches de 50.000.000 € seraient versés sur une asbl créée à Waterloo. J’ai été sur le site officiel de la Banque Carrefour des Entreprises Belges et cette asbl existe bien aux noms du Prince Laurent et de la Princesse Claire…….. À suivre les nouveaux épisodes bien réels. pauvre Belgique !!!
Karabakh
18 novembre 2018 @ 23:45
Attention. Les termes exprimés ici sont ceux que la lettre aurait comportés, si elle avait été écrite donc si la négociation avait abouti. La médiation a été interrompue, il n’y a donc aucune lettre, au-delà aucun terme de reconnaissance. 😉
septentrion
13 novembre 2018 @ 08:32
Son patronyme est-il encore Boël?
Delphine
13 novembre 2018 @ 18:02
Oui son patronyme est bien toujours Boël.
Gibbs 🐕
14 novembre 2018 @ 08:22
Durant trois mois à dater de la dernière décision de justice en date, Septentrion.
Gibbs 🐕
14 novembre 2018 @ 08:35
Davantage de précisions Septentrion.
L’Echo (Belgique) 05 novembre 2018
« La cour a tout d’abord établi qu’Albert II ne pouvait pas intervenir dans la contestation de paternité de Jacques Boël, demandée par ma cliente », a exposé à l’agence Belga Me Uyttendaele, l’un des avocats de la plaignante. « Elle a ensuite établi que même s’il y a possession d’état, c’est-à-dire qu’il y a eu des liens de père à fille entre Jacques et Delphine Boël, sa demande doit être examinée. Elle a estimé donc que son action était fondée. Elle a ensuite constaté que Jacques Boël n’est, ni en droit, ni en fait, le père de Delphine », a expliqué l’avocat.
« Ainsi, dans les trois mois au plus tard, Delphine Boël ne sera plus la fille de Jacques Boël dans les registres de l’Etat civil. Et, dans ce même laps de temps, Albert II devra se soumettre à un test ADN », a-t-il précisé.
La suite de la procédure devant la cour d’appel, après la réalisation du test ADN d’Albert II, est prévue le 14 février prochain.
Karabakh
19 novembre 2018 @ 00:10
La paternité en fait est justement le sujet de fond.
Par contre, la paternité en droit…
Jacques Boël a reconnu Delphine et demeure donc jusqu’à preuve du contraire et décision idoine, son père « en droit ». Seul un test génétique, que la justice a enjoint Albert II de réaliser dans un délai de trois mois, peu infléchir cela. A ce jour, aucun test n’a été réalisé et il est donc formellement impossible de clamer que « dans les trois mois au plus tard, Delphine Boël ne sera plus la fille de Jacques Boël dans les registres de l’Etat civil. »
Dans les faits, pour que cette prophétie bien hâtive se réalise, il convient que le test soit positif ou bien que le roi persiste à ne pas s’y soumettre – ce qui reste son droit fondamental, rien ne permettant au juge de lui envoyer la police pour le conduire manu militari au laboratoire, comme certains semblent pourtant le vouloir.
Pour le moment, le roi est encore dans les délais, sachant en outre que les résultats de ces tests s’obtiennent rapidement (72 heures max).
Je savais que Uyttendaele est un poil bizarre mais pas au point de larguer de tels contresens. Le pire reste encore que la presse croque à belles dents dans de telles inepties.
Notons que Uyttendaele est un républicain convaincu.
Claudia
13 novembre 2018 @ 08:59
Je suppose que ce que cherche Delphine Boël c’est une reconnaissance juridique, avec tout ce que cela comporte de conséquences. On ne peut pas l’en blâmer, après tout. Mais l’amour paternel, elle ne l’aura jamais, je pense qu’elle l’a compris et qu’elle a fait une croix dessus.
Auberi
13 novembre 2018 @ 09:17
Elle aura eu l’amour paternel d’un autre mais pas celui de son géniteur, et c’est déjà quelque chose
Muscate-Valeska de Lisabé
13 novembre 2018 @ 15:54
L’important est celui qui serre dans ses bras,qui gère les besoins toutes catégories et l’éducation. ..pas celui qui donne la vie…ça,tout le monde est capable de le faire. ..c’est après que ça compte.
Karabakh
19 novembre 2018 @ 00:20
De nos jours, « celui qui serre dans ses bras, gère les besoins, etc » est celui qui prime. C’est ce que les sociologues nomment « père social », venant en dualité de la notion de « père biologique ». Les justices modernes ont bien intégré tout cela.
Vous avez raison, quoique sous réserve que la paternité biologique du roi Albert II soit établie, c’est quand même la paternité sociale de Jacques Boël qui persistera dans les faits. Delphine pourra intenter tous les procès du monde, rien ne changera cela ; je pense qu’aujourd’hui, elle l’a compris mais je sais aussi que ça ne fut pas toujours le cas, surtout sous influence d’une mère dont l’ambition, autant que la légèreté n’ont jamais constitué des mystères.*
Ma rigueur scientifique m’empêche d’élaborer des plans sur la comète de ces tests, néanmoins je souhaite à Delphine de trouver les réponses à ses questions et cela, quel que soit le diagnostic posé par la science et dont la justice reprendra nécessairement les termes.
Karabakh
19 novembre 2018 @ 00:22
L’avantage va surtout à Jacques Boël. Nonobstant la procédure contre Albert II, ce monsieur sait de toutes façons qu’il n’est pas le père biologique de Delphine. Il y a sans doute un moment qu’il a entamé son processus de deuil.
Anne-Cécile
13 novembre 2018 @ 10:31
Après tout, Albert II n’a pas non plus été un père pour ses trois enfants légitimes. C’est d’ailleurs à peine s’il a des liens avec ses deux fils.
Donc Delphine n’espère pas avoir de liens à son géniteur juste voir sa filiation réelle établie (d’autant que le mari de sa mère ne sert plus de paravent).
Elle rejoindra ainsi ses demi-frères et sœur, l’Etat belge pouvant cependant lui dénier la qualité d’altesse successible puisque née hors union officielle.
Delphine
13 novembre 2018 @ 18:06
Elle n’aura jamais la qualité d’altesse successible car elle est née en dehors des liens du mariage. Elle sera comme les enfants de Léopold III et Liliane qui bien qu’issus du mariage de leur parents ne font pas parti de l’ordre de succession étant donné que le législateur avait trouvé en son temps une faille à ce mariage car le mariage religieux avait précédé le mariage civil ce qui légalement ne peut se faire en Belgique.
Gibbs 🐕
14 novembre 2018 @ 13:48
Delphine,
Si vous le permettez…
Delphine Boël ne sera jamais dans la même situation que les trois enfants du second mariage de Léopold III car elle est née hors mariage.
Les trois enfants de Léopold III et Liliane Baels portent(ait) le titre de prince et princesses de Belgique.
Leur non-accessibilité au trône de Belgique est politique car ils sont nés tous les trois durant le mariage de leurs parents; ils auraient donc théoriquement pu entrer dans la liste de succession…
Karabakh
19 novembre 2018 @ 00:27
Le mariage de Lilian Baels et Léopold III a été regardé comme nul (mais pas annulé pour autant) car l’union religieuse a précédé l’union civile, ce qui n’est pas légal en Belgique (comme en France d’ailleurs). C’est l’unique explication officielle à la non-successibilité des enfants issus de ce mariage.
Le politique s’invite toujours à ces tables là.
Léopold III était déjà personna non grata au moment de la décision.
Delphine n’est pas « comme les enfants de Léopold et Lilian » dans le droit mais dans les faits, il en sera de même : elle sera peu de choses. 😉
Antoine
13 novembre 2018 @ 11:11
Je l’espère comme Vous, Claudia. Je ne suis pas dans le secret des Dieux, mais je plains cette jeune femme. A être rejetée par les uns et par les autres, il y a de quoi être déboussolée. Somme toute, elle paye pour l’inconséquence de ses parents.
Karabakh
19 novembre 2018 @ 00:29
Même en étant dans le saint des saints, c’est une affaire minée et bien protégée. Cette histoire de lettre était parfaitement inconnue des proches du roi jusqu’à sa récente révélation. La tentative de médiation oui, pas ce qu’elle devait renfermer. 😉
corentine
13 novembre 2018 @ 09:16
une reconnaissance clandestine….pas digne d’Albert II
à moins que ce soit Paola qui….elle y est sans doute pour quelque chose dans cette situation
je n’ai jamais eu beaucoup d’estime pour Paola : belle certes, mais elle semble fière, autoritaire, exigeante, et égoïste.
Et si peu maternelle, comment une mère peut-elle ainsi abandonné ses enfants…et un jour de Noel en plus…
caroline-mathilda
13 novembre 2018 @ 12:56
Bonjour Corentine,
je ne connais pas « l’histoire » de l’abandon le jour de Noël .
pourriez vous me l’expliquer ?merci
C-M
Delphine
13 novembre 2018 @ 18:14
@caroline-mathilda : l’histoire de noël est en résumé la suivante. Lorsque les trois enfants de ceux qui a l’époque étaient princes de Liège (Albert et Paola) étaient petits ils ont été abandonnés par leur parent pendant la période des fêtes de noël. A cette époque le couple vivait séparé et ne prenait pas soin des enfants qui bien souvent étaient à l’internat, sur la surveillance des domestiques et parfois de leur oncle feu le roi Baudouin. Un soir de noël n’ayant nul part où aller et ayant été abandonné par leur parents ils ont réveillonné chez l’un des domestiques de leur parents cfr les écrits du colonel Vaessen et de l’écrivain Debels si mes souvenirs sont bons. On a tellement dit et raconté des choses sur ce couple terrible que finalement on ne sait pas vraiment ce qui est vrai ou faux mais une chose est sûre les deux parents furent de mauvais parents. Paola avait cependant selon moi plus d’empathie envers les enfants qu’Albert qui lui on le sent bien s’en fiche pas mal d’eux sauf maintenant d’Astrid avec qui il entretien de bon rapport depuis qu’il s’est réconcilié avec Paola.
Karabakh
19 novembre 2018 @ 00:42
C’est bien la bonne histoire. Nul ne peut affirmer qu’il s’agit d’un abandon à proprement parler, néanmoins il s’agit bien d’un délaissement qui a laissé de belles marques dans l’esprit de Philippe, Astrid et Laurent.
Actuellement, les plaies ne sont pas pansées pour les garçons. Philippe a manifestement pris son parti et fait une force de ce passé, devenant ainsi un homme complexe mais droit dans ses bottes, et surtout un bon père. Laurent souffre toujours ouvertement quoiqu’il ait eu, comme son frère, l’intelligence de ne reporter aucune souffrance sur ses enfants. Quant à Astrid, elle semble avoir passé l’éponge, au moins en apparence et en partie car certaines occasions laissent bien deviner que l’équilibre reste fragile ; Lorenz n’est sans doute pas étranger à ce processus, c’est un homme intelligent et social. (mais j’apprécie beaucoup Mathilde et Claire)
monica
13 novembre 2018 @ 23:17
Corentine vous m ôtez les mots de la bouche
mariejeannat
13 novembre 2018 @ 09:35
Elle ne sait pas ce qu’elle veut cette Delphine !
Blanc Rita
13 novembre 2018 @ 09:35
Claudia l amour de ce paternel -là , lâche et sous la coupe de sa Paola !!! Non merci ! elle doit être tellement écoeurée de ce père !
particule
13 novembre 2018 @ 09:55
Voilà des pères posthumes ‘nouvelle vague » …. Pas très glorieux.
Jean Pierre
13 novembre 2018 @ 10:09
Ayant été en litige moi même (sur un autre sujet), la médiation et l’arbitrage me furent conseillés.
Bien sûr, elle n’aboutit pas, chacun se disant laissons plutôt la justice passer.
La médiation est une procédure bancale.
Le souci avec ces procédures c’est que les médiateurs ou arbitres ne sont pas des juges mais des juristes qui ont souvent tendance à favoriser l’une ou l’autre des parties. Nous l’avons vu en France avec l’affaire Tapie – Lagarde – Crédit Lyonnais.
Delphine Boël a eu tout à fait raison de rejeter ce genre de micmac.
Karabakh
19 novembre 2018 @ 01:15
Comme vous, j’ai souvent eu recours à la médiation dans des affaires complexes mais qui demandaient de réfléchir en humain(s) avant de penser en justiciable(s).
C’est une procédure complexe, contrairement à ce que pensent beaucoup de gens ; disons qu’elle demande de conjuguer sentiments et intérêts, écoute et fermeté, ce qui n’a rien de facile. A côté de cela, comme vous le soulignez, les médiateurs peuvent se ranger aux côtés d’une partie et déséquilibrer le dialogue ; c’est d’ailleurs une question récurrente dans les conférences de médiateurs, avec un camp réformateur prônant le renforcement des cadres afin de garantir l’impartialité, et un camp conservateur qui se range derrière son libre arbitre et le fait, que vous rappelez, qu’ils ne sont pas juges et n’ont donc pas à être soumis aux mêmes restrictions. Le développement des modes de résolution alternative, aujourd’hui consacrés par les textes, devrait réguler tout ça. Bref. La médiation est loin du jugement de Salomon auquel on voudrait faire croire.
Je mentirais en disant que j’ai « gagné » la plupart de mes médiations. C’est l’inverse. Toutefois, cela m’a permis d’amorcer des dialogues que je n’aurais pu initier en allant directement au charbon. Puis c’est souvent intéressant de cerner son adversaire dans un lieu moins pesant qu’une salle d’audience.
Je trouve que le mot bancal(e) est dur, même si j’en comprends le sens. L’équilibre est fragile, c’est certain et justement, je pense qu’il appartient aux parties de veiller à le préserver du mieux possible. Encore une fois, pas de belles paroles, simplement un constat. Au final, chacun fait comme il peu, avec ses principes, ses connaissances et son affect. C’est déjà remarquable.
Sincèrement, c’est un mode de résolution que je réutiliserai dans l’avenir, lorsque de nouveau il faudra réfléchir en humain(s) avant de penser en justiciable(s). C’est un excellent moyen de montrer que l’on est ouvert à la discussion, surtout quand la partie adverse est fermée comme une coquille d’huître. 😉
Baboula
13 novembre 2018 @ 10:15
Si cette lettre a réellement été écrite je comprends mieux l’obstination de Delphine – comment la nommer ?
David 🎾
13 novembre 2018 @ 12:43
En effet, je dénote plus le besoin pour Delphine, de donner une leçon, si on peut le dire ainsi et je ne la blâmerai pas, à son père et tous ceux qui étaient de son côté.
Et si ça lui rapporte des sous, où est le problème ? C’est sa fille et si obtenir cet argent ajoute au mal des adversaires tant mieux.
Si je la connaissais et qu’elle osait le dire qu’elle n’en veut pas, je la convaincrais de prendre le fric de papa et d’en faire un don qu’elle publiera, aux orphelins.
Baboula
13 novembre 2018 @ 15:09
Je crois que plus le temps passe plus nous sommes à nous ranger du côté de Delphine.
Milena K
13 novembre 2018 @ 15:57
En effet
.Le roi Albert ne sortira pas gŕandi,et à juste titre,de cette affaire,qu’elle qu
en soit l issue. .
marianne
13 novembre 2018 @ 17:02
Ne me comptez pas dans le lot, merci !
Je répète et repetera toujours que le géniteur n’ est RIEN, le seul père est celui qui aime l’ enfant, l’ élève, l’ éduque, prend soin de lui .
Baboula
14 novembre 2018 @ 15:38
Bien sûr Marianne ,c’est votre opinion et j’espère que votre histoire n’est pas la même que celle de Delphine . Elle seule sait par où elle est passée et je comprends son choix .
Corsica
13 novembre 2018 @ 18:27
David et Baboula, si cette information est exacte, le roi Albert II s’est en effet plus comporté en petit bourgeois hypocrite qu’en grand seigneur. Dans ce contexte, je comprends le combat jusqu’au boutiste de Delphine mais je la plains de tout cœur car sa souffrance doit être grande. En tout cas, voilà ce qui arrive quand on n’a pas le courage d’assumer ses actes et que l’on balaie tout sous le tapis en se moquant bien de ce qui se passera après notre mort. D’une nature plutôt indulgente, j’avoue n’en avoir aucune pour ce genre de comportements qui m’agacent au plus haut point.
Robespierre
13 novembre 2018 @ 18:37
Oui Baboula, parce que dans ces manoeuvres secrètes on voit un réel désir de sa majesté Albert de Belgique de ne rien faire hériter à sa fille. Je suis ton père mais ne demande rien car tu n’aurais rien. Comment accepter un comportement pareil, sans grandeur et sans honneur ?
Karabakh
19 novembre 2018 @ 01:20
En effet, j’ai longtemps été méfiant à l’égard des prétentions de Delphine, sans doute parce que son avocat m’inspire énormément de méfiance. Mais le temps passant, je me rends compte qu’Albert joue un jeu malsain et que l’obstination de Delphine s’explique à plus d’un titre. Après, je reste prudent mais ce n’est pas par antipathie envers l’une ou l’autre, c’est entièrement par rigueur scientifique – quoique là encore, la tendance de l’avocat à faire des plans sur la comète me renforce dans cette prudence.
Quel que soit le résultat du test, je souhaite à Delphine de trouver les réponses à ses questions. Elle a le droit.
Delphine
13 novembre 2018 @ 18:17
Cette lettre n’a pas été écrite, il comptait l’écrire mais vu qu’elle aurait rejeté sa proposition il n’a rien fait c’est du moins ce que j’ai pu comprendre via les différentes chaines radio que j’ai capté ce jour.
Gatienne
13 novembre 2018 @ 10:27
Nous voilà enfin au cœur du problème et on va le dire trivialement: les sous !
Je veux bien reconnaître que je suis ton père mais après ma mort et surtout que cela n’ait aucune incidence sur l’héritage ! »
Effectivement, on comprend que Delphine Boël ait fait une croix sur l’amour paternel mais qu’elle ait continué, par la voie juridique, a réclamer ce qui lui est dû comme à tout enfant adultérin de nos jours ( la loi ne faisant plus de différence) et c’est bien normal !
Trudy
13 novembre 2018 @ 10:28
Je n’approuve pas le comportement du roi Albert ! Pendant car années il avait une relation avec la mère de Delphine. Il savait depuis le premier jour qu’elle est sa fille. Paola et lui n’étaient pas les parents rêvés de leurs enfants officiels non plus mais il s’agit bien de sa fille ici qui 50 ans après a le droit d’être enfin reconnu par son père.
Albert met en discredit la monarchie belge avec son comportement. Très difficile pour le roi Philippe qui fait son job à merveille au sein d’une famille unie qu’il a construit avec Mathilde sans faux pas.
Delphine
13 novembre 2018 @ 18:22
Tout a fait d’accord avec vous Trudy. Le roi Albert II perd toute mon estime et si il venait à décéder je n’éprouverais aucune compassion car il ne mérite qu’indifférence et mépris. Comme vous traitez les gens c’est ainsi qu’on doit vous traiter et en ce qui le concerne pendant 20 ans il nous bassinait les oreilles lors des fêtes de fin d’année avec des discours moralisateurs et parlant de famille alors que lui-même n’a jamais été capable d’entretenir une unité familiale au sein de sa propre famille. il n’a jamais été un père pour ses trois enfants légitimes et il pousse le vice à vouloir renier de son vivant son enfant naturel. C’est pathétique, il devrait prendre exemple sur le prince Albert II de Monaco qui lui a eu le courage de reconnaître ses deux enfants naturels.
Karabakh
19 novembre 2018 @ 01:48
Ne soyons pas trop durs.
Albert II n’a jamais eu la réputation d’être un ver luisant. Cet homme est devenu roi par le jeu des destins : il a longtemps flotté dans les mêmes eaux troubles que ses compatriotes quant à la succession de Baudouin pour finalement saisir sa chance, en l’absence de dispositions claires au décès de son frère. Albert n’a jamais eu la carrure d’un roi et cela, son règne l’a démontré à plus d’un titre.
Cependant, Albert a des qualités humaines indéniables et mêmes remarquables mais qui, malheureusement, ne font et ne feront jamais un roi. Pour reprendre la métaphore du ver luisant, cet homme est vraiment gentil mais il est passif, pour ne pas dire influençable. Et son vrai souci, c’est surtout d’être mal entouré, et donc mal conseillé pour ne pas dire malmené.
La vraie méchante de cette histoire, c’est Paola. Elle a beaucoup joué du balai pour cacher la « poussière Delphine » sous les tapis. Encore une fois, ma rigueur scientifique m’invite à la prudence mais, que Delphine soit la fille biologique du roi ou qu’elle ne le soit pas, force est de constater qu’elle était là et que Paola s’est particulièrement évertuée à masquer cette présence, pour mieux ventiler. Sans doute que tout cela lui a été suggéré, conseillé mais en attendant, elle a joué un sale rôle et je trouve dommage que les médias l’oublient.
Alors soyons fermes mais pas trop durs envers Albert.
olivier kell
13 novembre 2018 @ 11:10
Si son père était un homme lambda sans fortune elle aurait abandonnée depuis longtemps car l amour de son père elle ne l aura jamais Le recherche-t-elle d ailleurs ?
Donc reste l aspect purement financier.
mariejeanne
13 novembre 2018 @ 12:50
L’aspect financier elle y a droit comme ses autres frères et soeurs. Bien évidemment qu’elle ne recherche pas ou plus l’affection de cet homme.
Comme dit plus haut » je suis ton père mais chuuuuuut, tu le sauras officiellement quand je serai mort, pathétique ce roi » et il parait évident que cela est de concert avec Paola…! car elle aurait pu l’inciter à procéder autrement.
J’encourage Delphine à continuer de se battre.
Christine J.
13 novembre 2018 @ 17:44
coucou mariejeanne on se demande qui est pathétique dans cette histoire mdr
j21
13 novembre 2018 @ 13:05
oui, et elle n’aurait pas renié son père légitime à défaut d’être biologique M. Boël. Quelle ingratitude envers ce monsieur qui lui a donné son nom, l’a aimée (enfin je le suppose), l’a élevée.
Sila
13 novembre 2018 @ 13:34
C’est exactement ce que je pense. Ne me parlez pas de sentiments dans cette histoire. Elle a 50 ans, ce n’est plus une enfant mais une personne qui garde la tête froide. Elle veut juste se venger. Avez-vous vu son interview il a quelques années ? C’est aussi sa mère, pleine de haine et de rancœur qui n’a rien fait pour arrondir les angles, mais bien attiser l’huile sur le feu. Qui a tort, qui a raison ? Je ne vois qu’une chose, le Roi Albert et la Reine Paola n’étalent pas et ne font pas état de leur vie. Comme vous le dites Olivier tout cela est sordide. Je peux comprendre Delphine,mais cela devient du Vaudeville.
Severina
13 novembre 2018 @ 15:20
Tout à fait d’accord avec vous, Sila.
Et je n’aime pas l’esprit de vengeance; quant à l’argent, je crois que Monsieur Boel en avait beaucoup.
Karabakh
19 novembre 2018 @ 01:53
Il va sans dire que, s’il existe des fautes du côté de Paola et Albert, il en existe aussi du côté de Mme de Sélys Longchamps qui n’a jamais eu la réputation d’être franche, fidèle et modeste. Chacun a joué sa partition pourrie. Mais vous savez, les torts partagés caractérisent très souvent ce genre de dossier.
Mayg
13 novembre 2018 @ 14:28
C’est exactement ce que je pense olivier kell.
dadouna
13 novembre 2018 @ 16:33
Et alors ?? où est le problème ? J’en aurais fait autant…justement, puisqu’il a été incapable de l’aimer, au moins qu’elle profite de l’argent et de tout le reste. Elle n’a pas demandé à venir au monde cette fille que je sache. C’est le comportement de ce roi qui est à blâmer et de Paola aussi. Je plains non seulement cette fille mais aussi les enfants légitimes.
Delphine
13 novembre 2018 @ 18:26
L’aspect financier dites vous? Savez-vous seulement que la famille Boël est plus riche que la famille royale belge alors dites moi qu’Est-ce qu’elle aurait à gagner à devenir la fille d’Albert II et plus celle de Jacques Boël? Vous me direz qu’elle a été déshéritée et de vous répondrai que c’est du pipot car en Belgique on ne peut déshériter son enfant! Il y a toujours une part réservé pour les enfants et aucun notaire n’entreprendrait ce genre d’escroquerie sans subir par la suite les risques d’être radié du barreau des notaires!
Karabakh
19 novembre 2018 @ 02:00
Le temps qu’aucune décision de rectification de l’état-civil n’est prise, elle reste la fille « en droit » de Jacques Boël. Si le roi fait ce test et que le résultat est négatif, Delphine perdra des sous en procédure mais elle restera la fille et héritière de M. Boël ; à l’inverse, elle deviendra héritière du vieux roi. Delphine n’a effectivement rien à perdre, quoique la famille royale belge soit moins riche que la famille Boël, et qu’il y aura plus d’héritiers appelés dans la succession du roi que dans celle du dirigeant d’entreprises.
Le désir de reconnaissance ne fait pas de doutes.
Anne-Cécile
14 novembre 2018 @ 01:28
Olivier, si elle est mue par l’héritage, alors c’est une vraie Saxe Cobourg :)))))).
La dynastie belge, et les protagonistes actuels même, sont très soucieux d’argent, ce n’est pas le premier héritage pour lequel on se bat dans cette famille, il n’y qu’à voir le recours aux fondations bien loin ouvertes pour seulement payer à l’Etat qui les entretient le minimum des frais de succession et sauvegarder un petit patrimoine royal, avec le détail de ceux qui héritent et ceux qui ne le pourront pas, pour comprendre.
Robespierre
13 novembre 2018 @ 12:04
l’amour ça va dans les deux sens. Albert montre qu’il ne manifestera jamais d’amour à cette enfant qu’il trouve trop revendicatrice, mais elle, a-t-elle des sentiments pour un père qui se cache derrière son rang élevé pour rester aux abonnés absents. Si elle en a eu, et je suis sûr que c’était le cas, toutes ces brimades et dérobades royales ont dû éroder ses sentiments filiaux.
Gatienne
13 novembre 2018 @ 12:45
C’est ce que je disais, l’amour, là-dedans n’a guère sa place, remplacé par l’amertume, d’un côté et la lâcheté de l’autre…On nous a bassiné avec l’héritage Johnny, on en reprend une louche avec celui d’Albert !
Jean Pierre
13 novembre 2018 @ 15:08
Il y eut déjà l’affaire de l’héritage de Léopold II.
Ses filles voulaient une part du gâteau de papa que le roi barbu ne voulait pas leur laisser.
Il épousa in articulo mortis sa baronne de maîtresse, mais les enfants étaient-ils de lui ?
Rien de neuf à la cour de Bruxelles.
milou
13 novembre 2018 @ 13:41
Encore de votre avis Robespierre !
ml
Cosmo
13 novembre 2018 @ 12:18
François Mitterrand avait fait de même avec Mazarine, avec une reconnaissance pardevant notaire, qui ne devait être révélée qu’après sa mort. Il a tout fait pour empêcher que cela se sache avant mais il n’y a pas réussi.
dadouna
13 novembre 2018 @ 16:38
François Mitterrand était peut être un grand homme d’Etat, très cultivé, très fin…et…très pervers aussi…….La façon dont il s’est conduit – sur le plan personnel – à l’égard de son épouse, de sa maîtresse et de sa fille, n’ont pas du tout été très intègres. Et envers le peuple français…..encore moins…..
Anne-Cécile
14 novembre 2018 @ 01:31
Pour l’ancien Président ce n’était pas un rejet de sa paternité mais pour à la fois protéger l’enfant et garder lisse une image de famille lambda française et bourgeoise dans lequel le divorce n’est pas une option.
Au moins cet homme a adoré sa fille qu’il n’attendait pas.
Leonor
14 novembre 2018 @ 19:25
Oui. C’est Françoise Giroud, perfide, qui avait fait en sorte que soit révélée l’existence de la seconde famille de Mitterrand.
Son bouquin titré » Le bon plaisir » , paru en 1983, met en scène un président de la République père d’un enfant hors mariage , resté caché. Et , afin que nul n’en ignore, Miss Giroud avait pris bien soin de faire publier son chef d’oeuvre … aux Editions Mazarine !
Elle s’est en plus offert le luxe de soutenir constamment qu’elle ne savait rien de l’enfant de Mitterrand.
Je n’apprécie pas plus que d’autres la double vie de François Mitterrand, d’autant que ce sont les Français qui ont financé cette seconde famille.
Mais je n’apprécie pas non plus les mensonges de Giroud, par ailleurs de toute façon connue pour ses innombrables mensonges.
Où l’on voit un fieffé menteur se faire doubler par une fieffée menteuse. Après tout …
YOM
13 novembre 2018 @ 13:44
Ce roi Albert est un lâche ,certainement sous la coupe de sa femme.comme beaucoup d’hommes,il fait bien le dire, pas tous évidemment mais beaucoup.
Paola n’a pas été un modèle de fidélité ,a été une mere indifférente ,je l’ai entendue dire dans un interview qu’elle avait sûrement fait des erreurs mais qu’elle n’avait jamais culpabilisé et qu’elle ne culpabiserait jamais .
Elle était très belle mais c’est tout ,elle s’est rabibochée avec son mari,,des gens tellement croyants devraient faire facilement leur méa culpa mais plus facile de faire une prière et basta
ines
13 novembre 2018 @ 15:05
Un peu moins de prières et plus d’honnêteté.
beji
13 novembre 2018 @ 13:51
Elle est donc intéressée par l’argent.
Muscate-Valeska de Lisabé
13 novembre 2018 @ 15:55
Vous en doutiez??
Lutèce
13 novembre 2018 @ 15:08
Pourquoi sous la coupe de sa femme ? Vous lui avez demandé ? Delphine Boël donne l’impression de vouloir des sous et de la notoriété, et également de jeter le maximum de discrédit sur son éventuel père !
Muscate-Valeska de Lisabé
13 novembre 2018 @ 15:56
Si c’est son dû,c’est son droit.Mais c’est glauque, tout cela.
dadouna
13 novembre 2018 @ 16:42
Elle a raison…….un roi çà doit être irréprochable….et lui ne l’a pas été. Je la soutiens totalement.
limaya
15 novembre 2018 @ 10:25
Elle , est elle vraiment irréprochable ? ? ? ?tellement moche de sa part d’être aussi négative vis à vis de l’homme qui l’a élevée. Pas la première ,pas la dernière certes , mais à mon avis l’homme qui a accepté d’endosser cette paternité aurait droit à toute sa reconnaissance au contraire mais , intérêts, intérêts,avant tout donc elle ne vaut pas mieux
Karabakh
19 novembre 2018 @ 19:05
Que savez-vous de la reconnaissance qu’elle accorde à M. Boël ? Ni lui, ni elle ne se sont réellement exprimés là-dessus, c’est difficile de savoir. (mais ma question est une vraie question, pas une attaque)
caroline-mathilda
13 novembre 2018 @ 19:51
la notoriété elle l’a déjà dans le dopamine artistique .De l’argent ? pourquoi pas ,elle y a droit comme ses frères et soeur .
A défaut d’avoir eu l’amour recherché …
Baboula
15 novembre 2018 @ 17:29
Caroline ,je m’inquiète pour vous,l’irruption de la dopamine dans votre commentaire laisse supposer que c’est un mot souvent frappé sur votre clavier !
J’espère que vous allez bien . 😘
tristan
13 novembre 2018 @ 15:26
L’amour n’est pas un droit, c’est un cadeau, un beau cadeau. Delphine Boël avait l’amour de Jacques Boël qui n’était pas son père, elle a préféré le rejeter et l’humilier avec cette recherche ADN pour faire valoir un « droit ». On a bien du mal à lui reconnaître une motivation autre que l’argent ou le désir d’humilier un autre homme. C’est assez sordide en effet… quelle est le rôle de sa mère dans cette histoire ?
pinto
13 novembre 2018 @ 17:38
Tout à fait d’accord avec vous tristan…
Anne-Cécile
14 novembre 2018 @ 01:34
Savez-vous pour certain que M. Boel a aimé sa fille et s’en est occupé?
Etant donné qu’il se savait stérile, il a toujours su que l’enfant n’était pas de lui. Bien sûr certains hommes passent outre et adorent les enfants de leurs compagnes. mais est-ce bien le cas ici?
Et ne me répondez pas qu’il a payé son éducation, vu sa fortune, cela n’a pas du beaucoup lui coûter. Et cela ne présume pas d’une quelconque affection paternelle.
Marie de Bourgogne
18 novembre 2018 @ 08:27
La mère de Delphine a dit elle-même qu’elle avait menti sur la date de conception afin de faire croire à son mari qu’il était le père. Donc cet homme ne se savait pas stérile et a cru, de toute bonne fois, être le père.
Blanc Rita
13 novembre 2018 @ 15:33
Lutèce vous divaguez !!!
Sila
14 novembre 2018 @ 17:26
Non Blanc Rita, Lutèce ne divague pas du tout.
Cette femme et sa mère ne sont pas très très…… je m’abstiens.
Et bien moi, quitte a en déplaire à beaucoup, Albert a raison et Paola aussi de le soutenir.
Faire renoncer à sa paternité son père de nom et qui l’a élevé, juste pour ses intérêts….. mais quel enfant ferait cela ?
Je ne m’étonne pas que ayant Me Huyttendael, plus c’est glauque, sale, mesquin et MAGOUILLE ; Elle a choisi l’avocat qui lui correspond.
Marie de Cessy
13 novembre 2018 @ 15:49
Ce n’est pas glorieux pour Albert II.
Je veux bien reconnaître que tu es ma fille mais après ma mort histoire de ne pas faire de vagues et ne pas prétendre à l’héritage…
Écoeurant de lâcheté !
Je suis très choquée !
Teresa2424
13 novembre 2018 @ 20:03
Me apena Delphine:es una pobre mujer que no valoró el amor de Jacques Biel, lo descalificó cómo padre, que la educó, arropada por él, heredera de el, no agradece nada! busca que? Dinero? títulos? No los tienen los de Mónaco menos ella, y que logra? Sólo amargura
Coriandre
13 novembre 2018 @ 21:59
Au niveau relations familiales, on a trouvé pire que les Ewing : la famille royale de Belgique!
Leonor
13 novembre 2018 @ 22:49
Dans le système judiciaire allemand et dans le système judiciaire américain, on peut vous proposer une négociation, dans laquelle vous accepteriez de reconnaître e dont on vous accuse, même si vous ne l’avez pas fait, histoire que cessent les tracas judiciaires. Beaucoup de gens acceptent. Cela ne signifie en rien que l’accusé est réellement coupable, et tout le monde le sait .
C’est choquant, à mon sens, mais c’est ainsi.
Je ne connais pas le système judiciaire belge, mais il semble bien qu’il en soit également ainsi.
Qui en sait davantage ?
Jean Pierre
14 novembre 2018 @ 13:02
Dans le système américain, vous négociez avec le procureur ce qui change complètement la donne car elle trouve sa place (contestable certes) dans le système judiciaire lui-même. Ici la négo se passe en dehors du système par l’entremise de tiers experts dans le droit concerné (ici le droit civil) et supposés neutres entre les parties.
Karabakh
19 novembre 2018 @ 19:07
Il s’agit bien d’un règlement extrajudiciaire du conflit. 😉
Caroline
13 novembre 2018 @ 23:13
Bffffff! Cette affaire ne finira jamais………!
dadouna
14 novembre 2018 @ 12:50
mes commentaires étant systématiquement supprimés, et je me demande pour quelle raison…….j’occulte, à partir de maintenant, ce site. D’autres sont beaucoup plus réactifs, plus complets et plus attractifs. Je trouve cette façon de faire assez désobligeante.
Régine
14 novembre 2018 @ 13:04
?
dadouna
14 novembre 2018 @ 20:05
Plusieurs de mes commentaires ont été supprimés et qui sont tout à fait corrects.
Baboula
14 novembre 2018 @ 16:02
Dadouna,j’ai parfois des commentaires qui n’apparaissent pas ,souvent je me doute pourquoi et d’autres fois je pense qu’il s’agit d’une fausse manœuvre de ma part . Dame Régine est plus tolérante que vous le pensez . Si cela se produit souvent analyser vos gestes ,vous allez peut-être trop vite . Bon courage et ne nous quittez pas .
beji
14 novembre 2018 @ 19:03
Réponse à Delphine 18h22 :
Si le roi venait à décéder Delphine, à trop être gourmande, n’obtiendrait rien et ce serait
la meilleure solution car ce qui l’intéresse c’est l’argent; par ailleurs, elle n’a aucune reconnaissance envers celui qui l’a élevée et a subvenu à ses besoins même si
l’époux de sa mère était riche et que cela ne lui a pas posé de problème matériel.Cela montre l’état d’esprit dans lequel est cette dame.