Alors que la justice a décidé que le roi Albert II devrait se soumettre à un test ADN pour démontrer ou non qu’il est le père biologique de Delphine Boël, le quotidien belge « Le Soir » révèle que des négociations avaient eu lieu entre les deux parties mais qu’elles s’arrêtèrent en 2013 à l’initiative de Delphine Boël qui s’engagea alors dans une procédure judiciaire contestant d’une part la paternité de Jacques Boël et d’autre part d’essayer de faire reconnaître la paternité par le roi Albert II.

Que prévoyaient ces négociations ? Le roi Albert II se serait engagé à confirmer qu’il était bien le père biologique de Delphine Boël. Toutefois, la lettre aurait dû restée scellée jusqu’à son décès. Ce document manuscrit de la main d’Albert II aurait eu pour conséquence de servir de reconnaissance d’identité mais n’aurait eu aucune répercussions sur le plan juridique de l’état civil de Delphine Bëel ni même sur l’héritage.

Contactée par le quotidien, Delphine Boël reconnaît avoir refusé cette proposition en 2013 car cela ne donnait pas de garantie relle, c’était trop flou et surtout cela n’apportait pas de solutions aux problèmes qu’elle rencontrait à cette époque dans sa vie. (il a été question de difficultés notamment d’ouvrir des comptes bancaires). Cliquez ici pour lire un article à ce sujet.