Cette ombrelle aurait été offerte à la reine Victoria en 1851 lors de la Grande exposition. On admirera la finesse du pommeau. (Copyright photos : Royal collection trust)
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Framboiz07
6 juillet 2022 @ 01:19
Le tissu a résisté ! Bravo aux conservateurs du musée !
Baboula
6 juillet 2022 @ 12:29
Remarquez qu’une ombrelle en Angleterre n’est pas surexposée .A-t-on des parapluies de la même époque ?
Philibert
7 juillet 2022 @ 08:22
Le tissu a résisté parce que cette ombrelle n’a pas été déployée depuis le XIXème siècle.
D’ailleurs, même pour le photographe, cette ombrelle n’a été que légèrement ouverte, vu que le tissu ne supporterait plus une ouverture complète.
Les conservateurs de musée sont prudents…
Ghislaine
6 juillet 2022 @ 07:25
Ravissant , je suis adepte de cet accessoire !
Baboula
6 juillet 2022 @ 07:32
Quelle finesse de travail à tous les niveaux . l’Exposition de 1851 à Londres fut la première exposition internationale .
L’industrie britannique était à son apogée de développement .
Celle de 1855 à Paris marque de sa date la première classification officielle des vins de Bordeaux .
JALINE-
6 juillet 2022 @ 07:57
C’EST UN BIJOU CETTE OMBRELLE –
COLETTE C.
6 juillet 2022 @ 10:02
Superbe !
Ciboulette
6 juillet 2022 @ 18:05
Une couleur très agréable et flatteuse au teint , un manche finement travaillé , la reine Victoria ne pouvait être que conquise !
Elsi
6 juillet 2022 @ 12:20
Je pense que les oiseaux se sont toujours montres solidaires et n’ont pas laisser tomber un petit quelque-chose sur cette merveille.
mousseline
6 juillet 2022 @ 12:34
très jolie cette ombrelle
Danielle
6 juillet 2022 @ 16:03
Très jolie ombrelle bien conservée.
Caroline
6 juillet 2022 @ 22:22
Pourrait- on offrir cette ombrelle à Camille, aimant se protéger du soleil avec son ombrelle crème ?