Inauguration à Tirana d’une statue de la reine Géraldine d’Albanie en présence de son petit-fils le prince Léka, son épouse la princesse Elia et leur fille la petite princesse Géraldine.
MoreUne statue de la reine Géraldine à Tirana
20 Comments
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2 février 2022 @ 12:02
Beaucoup de photos très intéressantes (à mon sens).
https://www.facebook.com/photo/?fbid=10153557293634150&set=a.406600080830957
2 février 2022 @ 17:09
Merci, Ludovina, pour ces photos que je n’aurais pas vues sans vous, n’étant connectée ni à Facebook ni à Instagram.
Le religieux catholique (sur la 15e photo) était l’archevêque Rrok Mirdita (1939-2015). Ordonné prêtre en 1965, il est nommé dans les paroisses albanaises du Bronx et du comté de Westchester. Le 25 décembre 1992, le Pape Jean-Paul II le nomme archevêque de Tirana et Durrës et le consacre, en 1993, lors de sa visite en Albanie.
Le prince Leka écrit à droite de la photo : « C’est avec grande tristesse que j’apprends la mort de l’archevêque Rrok Mirdita. Je me souviendrai toujours de l’amitié qu’il partageait avec la reine Geraldine et de son dévouement pour le réveil spirituel de la nation albanaise. Mes condoléances ! »
Je n’ai pas pu traduire le premier texte en albanais. J’ai seulement compris que Leka parlait de l’archevêque.
3 février 2022 @ 13:39
Tout comme vous je ne suis aucunement connectée à un quelconque réseau social : le lien était disponible sur un autre site.
Cordialement.
2 février 2022 @ 12:19
Dommage, cette statue est aussi hideuse que celle de Lady Diana ! Pourtant, la reine Géraldine d’Albanie était une fort jolie femme.
2 février 2022 @ 19:34
Oui vous avez raison
2 février 2022 @ 13:48
La statue n’a pas l’air effectivement très flatteuse pour la reine Géraldine…
Il ne doit pas faire bien chaud à cette époque à Tirana. Pas de joli bonnet chaud pour cette adorable petite fille aux jolies chaussures…😉😉😉
Et sinon, pas de masques non plus, pour personne…
3 février 2022 @ 18:24
It’s winter and cold in Tirana.
2 février 2022 @ 13:49
Style réalisme bolchévique !
2 février 2022 @ 20:44
Il y a de ça mais pas que….
2 février 2022 @ 14:12
Certes, le travail de l’artiste est magnifique, j’aime le bouquet, mais l’ensemble est trop sombre à mon goût
2 février 2022 @ 16:02
Ludovina, merci pour toutes ces photos.
2 février 2022 @ 16:33
La statue n ‘est pas vraiment belle, reste l’hommage à la reine.
La petite princesse est toujours aussi craquante.
Merci pour le lien avec les photos de cette famille que j’ apprécie bien.
2 février 2022 @ 20:07
Cette statue est hideuse, totalement dans l’esprit bolchévique qui marqua profondément l’Albanie. C’est embêtant, car la reine Géraldine était très belle.
2 février 2022 @ 20:58
Je ne vois pas trop l intéret. Un buste aurait peut-etre suffi – la différence de prix aurait pu etre offerte à des familles dans le besoin, un hopital, soins pour personnes agées, ou des écoles publiques pour du materiel scolaire ou une amelioration des cours de récréation…
3 février 2022 @ 01:06
Bello!
3 février 2022 @ 04:03
Leka Zogu Skander vivait à Madrid. Un mastodonte dégingandé de deux mètres de haut, il était le roi d’Albanie. Son père, Zog Ier, s’était proclamé monarque et consanguin du héros médiéval Skanderberg en 1928. Il a construit son royaume entre les montagnes et la mer de la mythique Illyrie et a tenté, jusqu’à son exil, de moderniser cette nation dominée par des clans immémoriaux. Comment l’héritier Leka est arrivé dans notre pays tant d’années plus tard est une histoire riche et mouvementée. Un voyage fait d’incidents politiques et d’affaires ruineuses. Une aventure dominée par une seule idée : la conquête du royaume usurpé à son géniteur. Pour illustrer cette curieuse biographie, il faut se reporter au printemps 1939, alors que Leka n’avait que quelques jours. Mussolini avait occupé l’Albanie, annexant le trône à la Maison de Savoie. Le roi, le bébé Leka, sa mère, la comtesse de Nagy-Apponyi, et un petit entourage de fidèles étaient en Turquie, puis en Égypte, sous la protection du roi Farouk, et enfin sur la Côte d’Azur. En 1961, Zog meurt à Suresnes. Le couronnement de Leka a eu lieu dans une chambre de l’hôtel Bristol, devant une poignée d’exilés albanais. Dès lors, la famille vivra sous la protection de l’Espagne franquiste. À son arrivée en Espagne en 1962, la comtesse de Valence et la poétesse Fina de Calderón, qui était également la protectrice de Siméon de Bulgarie, lui servent d’hôtes. Une fois installé à Madrid, Leka se consacre activement à améliorer son image sociale et à entreprendre des activités commerciales qui, comme il l’admettra lui-même des années plus tard, ont laissé une longue traînée de dettes. Une fête organisée à Palma de Majorque par le consul du Panama et du Salvador, à laquelle participe le grand-duc Vladimir de Russie, est le signal de départ d’une décennie d’une certaine notoriété publique. Franco lui accorde une audience au palais du Pardo en octobre 1963. Sous cet aspect – faisant appel aux monarchies européennes abolies par les démocraties populaires – la dictature franquiste suivait le principe d’apparaître comme le garant de l’anticommunisme en Occident, et dans cette Espagne dirigée par un général, ouverte au tourisme et aux affaires, le roi exotique affichait son allure altière. Il était à Ibiza, où il a mis en place un service de location de yachts. Il était également à Altea, dans le but d’acquérir un terrain, de construire une villa d’été et d’acheter un yacht. Dans le même temps, il est occupé à préparer un complot paramilitaire, obsédé par l’idée d’un retour victorieux sur la terre de sa naissance. En 1968, Franco lui accorde une seconde et dernière audience officielle. Au fil des années, la notoriété de Leka dans les cercles aristocratiques a diminué. Ce n’est pas le cas de sa belle mère, qui continue d’être une habituée des fêtes, cocktails et réceptions de la capitale. La famille royale et ce qui restait de son entourage vivaient dans un manoir isolé, baptisé Nuestra Señora de Guadalupe, à Pozuelo de Alarcón. Une fête organisée à Palma de Majorque par le consul du Panama et du Salvador, à laquelle participe le grand-duc Vladimir de Russie, est le signal de départ d’une décennie d’une certaine notoriété publique. Franco lui accorde une audience au palais du Pardo en octobre 1963. Sous cet aspect – faisant appel aux monarchies européennes abolies par les démocraties populaires – la dictature franquiste suivait le principe d’apparaître comme le garant de l’anticommunisme en Occident, et dans cette Espagne dirigée par un général, ouverte au tourisme et aux affaires, le roi exotique affichait son allure altière. Il était à Ibiza, où il a mis en place un service de location de yachts. Il était également à Altea, dans le but d’acquérir un terrain, de construire une villa d’été et d’acheter un yacht. Dans le même temps, il est occupé à préparer un complot paramilitaire, obsédé par l’idée d’un retour victorieux sur la terre de sa naissance.En 1968, Franco lui accorde une seconde et dernière audience officielle. Au fil des années, la notoriété de Leka dans les cercles aristocratiques a diminué. Ce n’est pas le cas de sa mère, qui continue d’être une habituée des fêtes, cocktails et réceptions de la capitale. La famille royale et ce qui restait de son entourage vivaient dans un manoir isolé, baptisé Nuestra Señora de Guadalupe, à Pozuelo de Alarcón. En 1979,l e gouvernement espagnol a invité le roi et sa famille à quitter le pays avant le 1er février. Le 31 janvier, suivant les instructions de Leka, qui prétendait avoir un accord personnel avec le président gabonais El Hadj Omar Bongo, un avion en provenance du Gabon devait atterrir à Barajas pour les emmener dans le pays africain. Cependant, l’avion n’est pas arrivé et, après des heures de négociations dans lesquelles la Maison royale espagnole est intervenue, le gouvernement a fourni à l’Albanais un avion officiel Spantax.
3 février 2022 @ 06:47
La petite princesse était de sortie pour célébrer son arrière grand-mère. La famille princière a honoré cette reine, et consolidé l’esprit de mémoire nécessaire pour que la famille royale puisse dans le futur, continuer à participer à des manifestations publiques. Je pense qu’ils prennent sur leurs voisins , les princes de Serbie. Un rôle qui peut leur montrer les possibilités et que le couple princier se ferait un plaisir de réaliser avec modernité et sérieux. ce serait bien pour l’Albanie.
3 février 2022 @ 12:57
Elle n’est pas non plus hideuse cette statue.
En tout cas moins choquante que celle de Diana, avec trois enfants, dont un garçon de couleur, alors que n’a que deux fils, auquel aucun de la statue ne ressemble.
De plus l’un des garçons est caché derrière elle, comme délaissé.
Bizarre, une statue avec Diana et ses deux fils ressemblants, aurait été tellement mieux. Bien que Diana elle-même est bien imitée par la statue.
3 février 2022 @ 18:45
La reine Géraldine avait le visage bien plus fin que celui de la statue.
4 février 2022 @ 10:44
La reine Géraldine était très jolie et souriante , rien à voir avec ce visage , hélas.