Ce vase a été dessiné par Claude-Aimé Chenavard. Il a été créé en 1832 par la Manufacture de Sèvres.
Il représente Léonard de Vinci peignant la Joconde en présence de François Ier d’une part et d’autre part, figure le sculpteur Jean Goujon montrant à Henri II et à sa favorite Diane de Poitiers sa sculpture de Diane au cerf.
Ce vase fait partie des collections du château de Fontainebleau.
Ce vase , dit » Chenavard de la Renaissance » est en effet un témoignage de la maîtrise absolue des ouvriers et créateurs de la manufacture de Sèvres au XIXe siècle…
Quand on voit à quels niveaux de médiocrité et d’indigence elle est descendue avec ses productions actuelles , on ne peut , au moins , que verser un pleur consterné…
Tu le casses,tu pleures,tu rembourses ta dette au musée jusqu’à la fin de tes jours,et tu n’as plus que tes yeux pour pleurer…
J’ai une profonde méfiance envers tout ce qui est fragile…ça m’angoisse…Y compris les hommes!😁
Exécuté en 1830 un dessin de l’ornemaniste Claude-Aimé Chenavard (Lyon 1798 – Paris 1838), qui travailla beaucoup pour le prince royal, était un projet à la demande de la manufacture de Sèvres pour la réalisation de ce grand vase qui sera exécuté en 1832 et livré par ordre du roi Louis-Philippe au château de Fontainebleau, le 25 septembre 1838.
La manufacture souhaitait un vase à l’esthétique nouvelle, en rupture avec le néoclassicisme traditionnel. Chenavard présenta son dessin de style Renaissance au Salon de 1831, qui fit aussitôt sensation. Alexandre Brongniart, directeur de la manufacture, pensa d’abord à Antoine-Louis Barye, mais se tourna finalement vers le sculpteur Antonin Moine pour le réaliser. Jean-Marie-Ferdinand Régnier, assisté de plusieurs artistes de Sèvres, travailla près de six mois à l’exécution du vase. La pâte porcelaine, déjà très précieuse, fut colorée, dorée et ornée de pierres factices. Ce premier vase en porcelaine polychrome est celui que nous voyons ici et qui est conservé au château de Fontainebleau.
Il rencontra un tel succès à l’exposition des Manufactures royales de 1832 que Brongniart décida d’en fabriquer une réplique, aujourd’hui au Musée du Louvre, en porcelaine bleue et blanche. Un autre exemplaire conservé lui au Musée des Arts Décoratifs fut exécuté en bronze doré.
Dieu que c’est moche
Tellement lourd tellement chargé
Rien à voir avec la porcelaine de Sèvres 18 eme
Vraiment presque tout ce qui commence sous le règne de Louis Philippe est très moche
Le style Empire est passé par là
Ghislaine-Perry
28 mai 2020 @ 07:39
Quel travail. nous avons des merveilles en France
Bambou
28 mai 2020 @ 08:03
Quelle merveille ! L’art dans toute sa splendeur…
Laurent F
28 mai 2020 @ 09:58
il serait certainement mis plus en valeur avec un arrière plan moins chargé !
Francois
28 mai 2020 @ 10:16
Fabuleux
Gisèle T
28 mai 2020 @ 10:38
Très belle pièce ; i
Denis
28 mai 2020 @ 11:21
Ce vase , dit » Chenavard de la Renaissance » est en effet un témoignage de la maîtrise absolue des ouvriers et créateurs de la manufacture de Sèvres au XIXe siècle…
Quand on voit à quels niveaux de médiocrité et d’indigence elle est descendue avec ses productions actuelles , on ne peut , au moins , que verser un pleur consterné…
Danielle
28 mai 2020 @ 13:18
Le col et le pied de ce vase sont trop chargés, dommage.
Teresa2424
28 mai 2020 @ 14:23
Hermoso!!
Anna H
28 mai 2020 @ 15:58
Je confirme, ce vase que j’ai vu et photographié est magnifique.
Muscate-Valeska de Lisabé
28 mai 2020 @ 16:19
Tu le casses,tu pleures,tu rembourses ta dette au musée jusqu’à la fin de tes jours,et tu n’as plus que tes yeux pour pleurer…
J’ai une profonde méfiance envers tout ce qui est fragile…ça m’angoisse…Y compris les hommes!😁
Gérard
28 mai 2020 @ 17:24
Exécuté en 1830 un dessin de l’ornemaniste Claude-Aimé Chenavard (Lyon 1798 – Paris 1838), qui travailla beaucoup pour le prince royal, était un projet à la demande de la manufacture de Sèvres pour la réalisation de ce grand vase qui sera exécuté en 1832 et livré par ordre du roi Louis-Philippe au château de Fontainebleau, le 25 septembre 1838.
La manufacture souhaitait un vase à l’esthétique nouvelle, en rupture avec le néoclassicisme traditionnel. Chenavard présenta son dessin de style Renaissance au Salon de 1831, qui fit aussitôt sensation. Alexandre Brongniart, directeur de la manufacture, pensa d’abord à Antoine-Louis Barye, mais se tourna finalement vers le sculpteur Antonin Moine pour le réaliser. Jean-Marie-Ferdinand Régnier, assisté de plusieurs artistes de Sèvres, travailla près de six mois à l’exécution du vase. La pâte porcelaine, déjà très précieuse, fut colorée, dorée et ornée de pierres factices. Ce premier vase en porcelaine polychrome est celui que nous voyons ici et qui est conservé au château de Fontainebleau.
Il rencontra un tel succès à l’exposition des Manufactures royales de 1832 que Brongniart décida d’en fabriquer une réplique, aujourd’hui au Musée du Louvre, en porcelaine bleue et blanche. Un autre exemplaire conservé lui au Musée des Arts Décoratifs fut exécuté en bronze doré.
Esquiline
29 mai 2020 @ 13:10
Tellement surchargé qu’il en devient laid. Et dans ce décor en plus!
Mer déchaînée 🌊beautés
29 mai 2020 @ 17:13
Grandiose. 😍
Laurent
30 mai 2020 @ 00:05
Dieu que c’est moche
Tellement lourd tellement chargé
Rien à voir avec la porcelaine de Sèvres 18 eme
Vraiment presque tout ce qui commence sous le règne de Louis Philippe est très moche
Le style Empire est passé par là