Voici un vase en forme d’oiseau céleste (tianjizun) d’origine chinoise, datant de la dynastie Qing (1644-1911).
Il est en bronze doré et a été réalisé selon la technique de la fonte à la cire perdue. L’anse supérieure est mobile, et le couvercle agrémenté d’un bouton à préhension.
Une inscription en chinois est gravée sur le poitrail de l’oiseau, pouvant être traduite par « Fait à l’époque de Qianlong » et rapprochée d’un vase gravé d’une marque de Qianlong conservé au musée du Palais impérial de Pékin.
Ce vase peut être vu au 1er étage du musée Cernuschi à Paris. (© Paris Musées / Musée Cernuschi)
Auberi
15 mai 2020 @ 07:14
Magnifique travail d’orfèvre ! De la fonte à la ’cire perdue’, je ne connaissais pas cette technique 😊
Baboula
17 mai 2020 @ 13:09
Les prototypes de bijoux,les modèles exclusifs se font à cire perdue .
Lorsqu’il s’agit d’une commande cela permet au client de visualiser le bijou avant qu’il ne soit fondu . Pensiez vous que le joaillier taillait dans le lingot d’or ? 😀
bételgeuse70
15 mai 2020 @ 07:40
En fait de vase, avec cette forme, on s’attendrait plutôt à ce que ce soit une théière. Mais l’objet est vraiment superbe.
Baboula
15 mai 2020 @ 08:08
Je ne crois pas que ce soit un usage à l’occidentale.
Galetoun
15 mai 2020 @ 08:23
Oui , probablement, ou un brûle parfum.
Nivolet
16 mai 2020 @ 09:42
Oui bien sur c’est un brûle parfum, vous avez raison Galetoun.
Caroline
15 mai 2020 @ 08:32
Après les vases chinois, les assiettes chinoises, les théières chinoises, on est ravi d’ admirer ce très beau vase en forme d’ oiseau !
Gatienne
15 mai 2020 @ 09:09
Bel objet décoratif, destiné à répandre des effluves de fleurs et non pas à contenir un bouquet.
Baboula
15 mai 2020 @ 10:16
Oui mais où sont les orifices pour laisser échapper les odorantes effluves …
Un brûle-parfum , lui,est plein de trous . Mystère !
Gatienne
15 mai 2020 @ 11:18
Peut-être que ce délicat « champignon » au sommet de l’objet est l’élément apparent d’un couvercle ? On « brûle » de savoir !
Galetoun
15 mai 2020 @ 13:03
Par le bec.
Nivolet
16 mai 2020 @ 09:56
Sur le col ajouré, vous avez les orifices qui pourraient laisser s’échapper les effluves sans saturer l’espace. Le problème avec l’époque Qing c’est sa longueur, difficile parfois de dater certains objets. A partir du XIXe en raison de leur facture on peut mieux les situer. A présent je peux me trompe,r mais c’est très jolie pièce
Menthe
15 mai 2020 @ 10:24
Si on me l’offrait je ne dirai pas non😊
Baboula
16 mai 2020 @ 08:45
La jolie se marierait bien avec mes clématites .
Baboula
17 mai 2020 @ 09:35
Qui sont volages !
Menthe
17 mai 2020 @ 16:23
Mon unique fleur de clématite pour l’instant.
Baboula
19 mai 2020 @ 09:55
Elle a des moustaches ! Exceptionnel !
ciboulette
15 mai 2020 @ 10:41
Il est étrange et beau .
Leonor
15 mai 2020 @ 10:49
Un objet chinois ?
MUSIQUE !
Turandot, Finale (Metropolitan Opera NYC). Puccini
https://www.youtube.com/watch?v=vWwJA1b2l7g
Avec à l’acte III, le fabuleux, l’ hénaurme « Nessun dorma »
https://www.youtube.com/watch?v=8uqPnY5hQDs
All’ alba vincero ! Vincero ! Vinceeeeeeero !
(à l’aube, je vaincrai !)
Pavarotti, incontournable ici.
ou
https://www.youtube.com/watch?v=xN-JCdM4or0
Jonas Kaufmann, formidable, en enregistrement .
Chanter Nessun dorma, c’est un exploit sportif.
Pas recommandé aux bébés-ténors.
ciboulette
15 mai 2020 @ 12:55
Ah ! Merci , Léonor ! Turandot avec Pavarotti . . .le rêve absolu ! Je n’ai pas encore trouvé qui pourrait lui succéder , de cette stature et de ce talent !
Alinéas
15 mai 2020 @ 14:33
Très bel objet pouvant servir de décoration !
Teresa2424
15 mai 2020 @ 20:42
Pienso igual « Galetoun » por la boca
Gracias « Leonor » por la música soy fan…Turandot….
Teresa2424
15 mai 2020 @ 20:43
Pienso igual « Galetoun » por la boca
Gracias « Leonor » por la música soy fan…Turandot….
Leonor
17 mai 2020 @ 11:45
OK, Teresa,merci
Ghislaine-Perry
16 mai 2020 @ 08:49
Un instant j’ai cru que c’était une urne funéraire
nini
16 mai 2020 @ 14:36
Grand art et sinistrose.
Sheiley
16 mai 2020 @ 17:43
Bel objet tant que ce n’est pas Un pangolin.