Sotheby’s mettra en vente fin septembre le contenu de l’hôtel particulier du défunt Robert de Balkany (ex-époux de la princesse Marie Gabrielle de Savoie) situé rue de Varennes. En voici quelques photos. (Merci à Anne)
Trop chargé parce qu’accumulé dans une surface réduite ,mais une belle pièce isolée est mieux mise en valeur et il y a de belles pièces dans cette vente.
Maria Elisabetta Zellinger de Balkany (1972-) = (2003) Olivier Janssens
|
Gabriella Luisa Maria Janssens (2004-)
Tommaso Janssens (2006-)
Louis Janssens (2009-)
Victor Janssens (2011-)
Il s’agit dans le grand salon du portrait de la comtesse de Carnarvon par Antoine Van Dyck (estimé 800 000 à 1,2 million d’euros) au-dessus d’un meuble Boulle. Ce portrait d’Anne Sophia, morte en 1695, fille de Philip, comte de Pembroke et Montgomery et bientôt veuve de Robert Dormer, premier comte de Carnarvon, tué à la bataille de Newbury le 20 septembre 1643, avait été conservé dans la descendance des baronnets Verney, depuis sir Edmund Verney (mort en 1642), et semble être passé en vente publique en 2010 chez Christies à Londres.
L’hôtel de Balkany se trouve au croisement des rue de Varenne et de Bellechase/ rue Vaneau côté numéros pairs non loin de l’Hôtel de Matignon. Sans crainte de paraître cuistre ou desagréable, on écrit rue de Varenne sans « s ». Wikipedia indique ainsi:
« Ouverte au commencement du xviie siècle, la rue de Varenne s’est appelée successivement rue du Plessis, rue de la Garenne ou rue de la Varenne…
L’origine du nom Varenne est controversée : Une varenne est un terrain inculte et fertile en gibier, ou une réserve de chasse (voir la rue de Bellechasse).
En aucun cas, elle ne commémore donc le lieu où le roi Louis XVI fut arrêté au moment de sa fuite à Varennes (le « s » final différencie l’orthographe des deux noms). »
Il voulait être plus royal que son ex épouse, la princesse de Savoie!
Bel héritage pour leur fille.
Mai savait il d autre enfant issu de son précèdent mariage?
Oui, deux. Et une épouse. Le tout mis de côté pour convoler avec Marie-Gabrielle. Après une annulation de complaisance. Le roi Umberto avait plaidé la cause de son futur gendre. La première épouse s’est retrouvée tout d’un coup « annulée ». Cette parodie n’a pas porté chance à la princesse d’Italie.
On peut vivre, dans un bazar pareil ?
En fait de bazar, je préfère le mien.
Pas du tout le même style….
Mais c’est MON style.
Pas celui d’une page de » Art et décoration » des années ’50.
ce n’est pas vous qui nous rebattiez les oreilles sur votre détestation de la vulgarité? osez parler de bazar, non mais je rêve.
On vous laisse avec grand plaisir votre « Sam Suffit »! J’ose imaginer le style Léonor, Ikea et compagnie, goût de grande surface et de supermarché à la Damidot et le bon peuple applaudit.
Ils sont loin en effet les Arturo Lopez, Paul-Louis Weiller, Marie-Laure de Noailles et autres Robert de Balkany et Beistegui. Les Connaissances des Arts des années 50 sont à tomber de beauté ma pauvre Léonor
C’est absolument affligeant de voir prendre ainsi à partie une intervenante toujours courtoise pour une question de goûts!…Stephane G.,vous pourriez la passer ailleurs,votre agressivité!…Ce site est censé accueillir des personnes civilisées et accessoirement bien élevées! (Ce serait un plus!).
je la trouve moi l’antithèse de la courtoisie et je m’adapte en conséquence à son ton péremptoire, droit dans ses bottes de charretier
Stéphane G.
3 août 2016 @
10:18
toujours courtoise elle est bien bonne Muscate! vous avez raté un épisode.
Rien à voir mais votre photo à cause des cheveux gris me fait penser à la femme de Dupont de Ligonnès; ce n’est pas une pique! vous êtes très belle!
Leonor
2 août 2016 @
09:29
Vos imaginations sont très rigolotes, Stéphane G., et on vous laisse volontiers les poursuivre. Ca vous occupera.
mais comme vous êtes urbaine…quant à moi je suis invité pour une visite privée début septembre de cet hôtel et j’aurai le grand plaisir de ne pas vous y croiser
Leonor,
Laissez dire , et continuez à aimer votre Bazar le manqué d’éducation de certains n’est pas sans nous déplaire nous pouvons ainsi apprécier l’aducation de beaucoup d’entres nous .
éducation qui n’est pas allé jusqu’à vous inculper les bases de l’orthographe et n’a pas dépassé le primaire à l’évidence.
Quant à votre usage d’une certain Nous de majesté c’est bien risible…mirez-vous dans la prose de L. à votre aise, comme on se baigne dans la fange
Stéphane G.
3 août 2016 @
10:15
et ou êtiez-vous lorsque la sus-nommée m’insultait à plaisir?
drapez vous dans votre bonne éducation, je sais à quoi m’en tenir
Baboula
2 août 2016 @
13:52
Le mobilier moderne de qualité côtoye très bien les meubles d’époque et allége la vision d’ensemble .c’est ce qui manque ici ( et chez certains) de la légèreté .
Voyez-vous Baboula, c’est typiquement ce genre de mélanges que je trouve disgrâcieux. Je préfère la cohérence. Cela me fait penser à ces splendides meulières que l’on transforme en loft à l’intérieur. Ce refus du choix et de ses conséquences me laisse perplexe.
Ce style se retrouvant dans bien des demeures princières, on peut supposer qu’on vit très bien dedans. Très rares sont les personnes qui arrivent à créer un style et quand elles y parviennent, elles ont en général l’humilité de reconnaître qu’elles ont beaucoup pioché à droite et à gauche.
Jacqueline, ce » style » est un » style » de décorateur. Il n’a rien de personnel, rien de princier, et encore moins de royal.
Comparez avec le cadre de vie de la reine d’Angleterre : une fameuse différence.
Ici, chaque pièce ( au sens d’objet) est, certes, une merveille .
Mais l’ensemble, dans son amoncellement et sa rigidité sans vie n’est qu’une image de papier glacé, faite pour le visiteur et pour l’épate, certainement pas pour y vivre réellement.
J’aime beaucoup Jacques Garcia, par exemple, dans sa franchise : il dit qu’il fait ce que lui demandent ses clients fortunés, à savoir en rajouter encore et encore ; qu’il leur fait payer des fortunes pour cela; revenus qui lui permettent à lui-même de se constituer un cadre cette fois non seulement de haute qualité, mais aussi élégant et personnel.
Elegant et personnel : ce n’est pas le cas ici. Mais nul doute que la vente au détail, pièce par pièce magnifique rapportera beaucoup d’argent.
Mais Léonor, quelle demeure princière, quel château, quel hôtel particulier n’est pas passé entre les mains d’un voire de plusieurs décorateurs? Ils sont juste morts depuis longtemps, c’est tout.
Vous parlez de la reine d’Angleterre. Les pièces qu’elle parcourt sont aussi de l' »épate », à ceci près qu’elle peut se permettre de laisser sur ses petits guéridons d’immenses photos de sa famille. La seule différence est qu’ici il s’agit d’un hôtel particulier et que ce n’est pas un roi. Il a dû « dépersonnaliser » son intérieur pour la photo. C’est plus accrocheur paraît-il.
Pour ma part, je suis ravie du résultat. C’est somptueux et cela respecte la tradition qui, contrairement à ce que beaucoup pensent, aime les décors chargés. Et ce n’est pas Jacques Garcia qui dira le contraire.
Bonjour Jacqueline,
J’aime à voir les canapés défoncés de la reine d’Angleterre, les plaids qu’on y voit et qui sont là VRAIMENT pour tenir chaud , et pas pour la galerie, les radiateurs électriques dans les cheminées, etc.
La Reine d’Angleterre n’a pas besoin d’épate, et elle vit dans ses palais. Elle y vit vraiment.
Cordialement à vous.
Zeugma
1 août 2016 @
09:37
Commentant le précédant reportage de « Noblesse & royautés » consacré à cette vente, une correspondante nous avait asséné qu’il s’agissait là d’une collection de mauvais goût réunie par « un mec sans ancêtre » (sic).
Aujourd’hui une autre habituée de notre site favori estime que c’est « Trop chargé ! ».
Bon …
Cette vente chez Sotheby’s sera probablement une des plus importantes de l’année par le nombre et surtout par la qualité des pièces proposées, certaines ayant un caractère exceptionnel.
Elle me rappelle la vente somptueuse du baron de Rédé – également organisée par Sotheby’s – il y a une dizaine d’années.
Pour cette vente Balkany, je ne citerai que le cabinet du pape Paul V Borghèse (qui fit longtemps partie des collections royales Britanniques jusqu’en 1959), les horloges du XVIIe siècle, un Van Dick, des pièces d’orfèvrerie extraordinaires etc … des fauteuils aussi.
Les riches collectionneurs et les plus grands musées du monde vont devoir sortir le carnet de chèque.
Certains musées français exerceront-ils le droit de préemption ? Nous verrons.
Les musées ont encore quelques réserves et bénéficient de l’aide des associations (« Amis du Louvre » ou « Société des amis du musée d’Orsay » pour ne prendre que ces deux exemples) sans parler du mécénat qui s’ouvre maintenant à un large public.
Les conservateurs examineront très probablement le catalogue de cette vente à la loupe.
Is ne pourront pas tout acheter bien sûr.
Le cabinet du pape Paul V Borghèse (celui-là même qui commanda la façade – controversée – de la basilique Saint Pierre de Rome) ferait merveille au musée des arts décoratifs …
Zeugma, oui, je dis et redis avec d’autres que c’est ici
– un décor de parvenu
– un décor sans âme
– un décor trop chargé
Et, oui Zeugma, je dis AUSSI que
– chaque objet est magnifique et de très haut niveau
– et que la vente sera un succès financier formidable.
Quant à être connaisseur ….;-)
Je ne dirai pas ici quelle fut l’une de mes fonctions professionnelles.
Juste une indication : on m’attribuait avec crainte un oeil infaillible, et un caractère de cochon en cas d’entourloupe.
Eh oui, » mon pauvre Stéphane G. » ! :-)
ça pour le caractère de cochon je m’en porte garant, mais vous ne m’avez pas encore rencontré ma pauvre Léonor. Ce n’est d’ailleurs pas plus mal et ce n’est pas parce que vous criez la plus fort que vous avez raison. Il est bien évident également que devant M. de Balkany, « dans le cadre de vos -hautes- fonctions professionnelles » vous vous seriez écrasée
« Un mec sans ancêtre », j’adore! Quel snobisme! Venant sans doute d’un internaute roturier qui en d’autres occasions s’émerveillera de la grâce des jolies bergères devenues princesses!
Zeugma vous avez entiérement raison, qu’on aime ou pas les piéces ayant appartenu a ce monsieur sont pour certaines tout a fait remarquables (vous les citez d’ailleurs).
Mais si, c’est somptueux! Le « très » est devenu « trop » mais ce n’est qu’une mode! Moi je n’en peux plus de ce décor aseptisé sur fond gris/taupe où on prend pour une folle et délicieuse audace de mélanger une bergère louis XV avec une table basse contemporaine!
Unions du défunt.
Marié le 22 mars 1957 avec Geneviève François-Poncet, fille de l’ambassadeur André François-Poncet, née le 4 avril 1931, divorcés le 6 juillet 1966, dont :
o Alexandra Zellinger de Balkany, née en 1958
o Maria Zellinger de Balkany, née en 1959
Marié le 16 juin 1969 avec la princesse Maria Gabriella de Savoie, née le 24 février 1940, fille d’Umberto II de Savoie, roi d’Italie (1904-1983) et de la princesse Marie-José de Belgique (1906-2001) , divorcés en 1990 dont :
o Maria Elisabetta Zellinger de Balkany née en 1972
Geneviève François-Poncet a deux filles : Alexandra de Balkany, née en 1958, Mme Birger Ström, mère d’Ingrid, d’Isabelle (née le 27 novembre 1987, cavalière et épouse de Clemente Zavaleta Jr., né le 3 décembre 1985), et de Robert Strom,
et Marina de Balkany, née en 1959, qui était mariée à Stéphane Pouille et est mère de Tatiana et Laszlo Pouille.
Birger Ström est un Norvégien qui a en quelque sorte pris la suite de son beau-père dans la direction de ses affaires de centres commerciaux. C’est aussi un joueur de polo. Son épouse Isabelle est une cavalière connue. Leur fils Robert Strom, né vers 1990, est membre de l’équipe de France de polo.
Clemente Zavaleta Jr. est un joueur de polo professionnel connu, son mariage avec Isabelle Strom a été célébré pour le civilement près de Buenos Aires le 17 décembre 2013 et religieusement le 26 juillet 2014 à Sainte-Mesme où se trouve le château de son grand-père dans les Yvelines au sud de Rambouillet.
Clemente est le fils d’un poloïste argentin du même nom Clemente Zavaleta et de son épouse María Emilia Fernández Rousse, elle-même fille d’Oscar Fernández et de Paulina Rousse, qui avec ses sœurs, María Laura et María Eugenia constitua un groupe de chanteuses et de présentatrices de télévision qui furent populaires en Argentine dans les années 70 sous le nom de Las Trillizas de Oro c’est-à-dire les Triplées d’or puisqu’elles étaient nées toutes les trois à Buenos Aires le 5 juillet 1960.
La princesse Marie-Gabrielle de Savoie est la mère de Marie-Elisabeth, né le 2 mars 1972 à Lausanne, qui a épousé à Chêne-Bourg, près Genève, le 31 octobre 2002 Olivier Janssens, qui elle-même a Gabrielle (Gabriella Luisa Maria Asia), née le 7 mars 2004 à Bangkok, Thomas, né le 13 janvier 2006 à Genève, Paul Louis, né le 1er juin 2009, et Victor, né en 2011.
Et 2 filles de son union avec Melle Francois-Poncet, dont il divorca pour MG de Savoie. Je me souviens de son dressing a Ste Mesme, et de chaussures d’une pointure au dessus de la moyenne. Sera ce vendu aussi ? Il y avait un terrain de polo. Qu’en est-il d’Eze ?
Bien sûr c’est très chargé mais Robert de Balkany était un connaisseur et un collectionneur et malgré les dimensions de son hôtel il voulait présenter ce qu’il avait acheté ou recueilli de son père.
Ste Meme était superbement meublé, chacun sa chambre ( celle de la princesse, la sienne). Un Géricault dans le grand salon, une salle à manger dont les chaises étaient dotées d’un nœud noir, une moquette épaisse. Au dernier étage étage, les chambres des joueurs de polo avec leur nom (comme chez Sand à nohant). Et les chevaux qui arrivaient d’Argentine chaque année pour les matchs de polo. C’était un art de vivre, et c’était un homme délicieux (dixit papa qui travailla pour lui, qui était malheureusement mal entouré).
framboiz 07
1 août 2016 @ 03:56
Trop chargé ! Avait-il des enfants avec la Princesse ?
grannydc
1 août 2016 @ 07:20
D’accord avec vous : trop chargé !!!
ghighi
1 août 2016 @ 07:46
Oui, une fille : Elisabeth .
Baboula
1 août 2016 @ 08:19
Trop chargé parce qu’accumulé dans une surface réduite ,mais une belle pièce isolée est mieux mise en valeur et il y a de belles pièces dans cette vente.
ui
1 août 2016 @ 10:01
Oui une fille
bl-r
1 août 2016 @ 10:28
Maria Elisabetta Zellinger de Balkany (1972-) = (2003) Olivier Janssens
|
Gabriella Luisa Maria Janssens (2004-)
Tommaso Janssens (2006-)
Louis Janssens (2009-)
Victor Janssens (2011-)
Jacqueline
1 août 2016 @ 14:36
Eh bien je ne trouve pas. L’ensemble est magnifique et princier. Assurément ce n’est pas le décor du commun des mortels.
clementine1
1 août 2016 @ 16:29
opulent oui, trop chargé non.
chantal
1 août 2016 @ 07:36
Une fille, oui!
jocelyne de
1 août 2016 @ 08:03
On doit avoir l’impression de vivre dans un chateau je ne suis pas certaine d’aimer
Muscate
1 août 2016 @ 08:14
Le miroir de cheminée et le cartel sont admirables.
framboiz 07
1 août 2016 @ 11:46
La dame à droite, Marie de Médicis ?
Gérard
1 août 2016 @ 16:43
Il s’agit dans le grand salon du portrait de la comtesse de Carnarvon par Antoine Van Dyck (estimé 800 000 à 1,2 million d’euros) au-dessus d’un meuble Boulle. Ce portrait d’Anne Sophia, morte en 1695, fille de Philip, comte de Pembroke et Montgomery et bientôt veuve de Robert Dormer, premier comte de Carnarvon, tué à la bataille de Newbury le 20 septembre 1643, avait été conservé dans la descendance des baronnets Verney, depuis sir Edmund Verney (mort en 1642), et semble être passé en vente publique en 2010 chez Christies à Londres.
Marine2
1 août 2016 @ 08:15
L’hôtel de Balkany se trouve au croisement des rue de Varenne et de Bellechase/ rue Vaneau côté numéros pairs non loin de l’Hôtel de Matignon. Sans crainte de paraître cuistre ou desagréable, on écrit rue de Varenne sans « s ». Wikipedia indique ainsi:
« Ouverte au commencement du xviie siècle, la rue de Varenne s’est appelée successivement rue du Plessis, rue de la Garenne ou rue de la Varenne…
L’origine du nom Varenne est controversée : Une varenne est un terrain inculte et fertile en gibier, ou une réserve de chasse (voir la rue de Bellechasse).
En aucun cas, elle ne commémore donc le lieu où le roi Louis XVI fut arrêté au moment de sa fuite à Varennes (le « s » final différencie l’orthographe des deux noms). »
Jacqueline
1 août 2016 @ 14:38
Merci beaucoup pour ces informations. Il faut être un sot authentique pour se contenter de son état.
JAY
1 août 2016 @ 08:20
Il voulait être plus royal que son ex épouse, la princesse de Savoie!
Bel héritage pour leur fille.
Mai savait il d autre enfant issu de son précèdent mariage?
Robespierre
1 août 2016 @ 12:40
Oui, deux. Et une épouse. Le tout mis de côté pour convoler avec Marie-Gabrielle. Après une annulation de complaisance. Le roi Umberto avait plaidé la cause de son futur gendre. La première épouse s’est retrouvée tout d’un coup « annulée ». Cette parodie n’a pas porté chance à la princesse d’Italie.
mimi
1 août 2016 @ 08:38
il avait 1 fille marie elisabeth
Cosmo
1 août 2016 @ 09:21
Bel intérieur dans le goût Rothschild ! Erreur de présentation des tableaux toutefois…Les personnages semblent s’ignorer.
Muscate
2 août 2016 @ 07:53
Bien vu, Cosmo!…j’essaie chez moi de faire régner la concorde entre les portraits, pour qu’ils n’aient pas l’air de se faire la gu…..! ;-)
Leonor
1 août 2016 @ 09:29
On peut vivre, dans un bazar pareil ?
En fait de bazar, je préfère le mien.
Pas du tout le même style….
Mais c’est MON style.
Pas celui d’une page de » Art et décoration » des années ’50.
Stéphane G.
1 août 2016 @ 12:46
ce n’est pas vous qui nous rebattiez les oreilles sur votre détestation de la vulgarité? osez parler de bazar, non mais je rêve.
On vous laisse avec grand plaisir votre « Sam Suffit »! J’ose imaginer le style Léonor, Ikea et compagnie, goût de grande surface et de supermarché à la Damidot et le bon peuple applaudit.
Ils sont loin en effet les Arturo Lopez, Paul-Louis Weiller, Marie-Laure de Noailles et autres Robert de Balkany et Beistegui. Les Connaissances des Arts des années 50 sont à tomber de beauté ma pauvre Léonor
Pierre-Yves
1 août 2016 @ 17:00
Comme ça fait plaisir de renouer avec le climat courtois et amical des échanges sur N&R !
Muscate
2 août 2016 @ 07:57
C’est absolument affligeant de voir prendre ainsi à partie une intervenante toujours courtoise pour une question de goûts!…Stephane G.,vous pourriez la passer ailleurs,votre agressivité!…Ce site est censé accueillir des personnes civilisées et accessoirement bien élevées! (Ce serait un plus!).
Stéphane G.
2 août 2016 @ 12:38
je la trouve moi l’antithèse de la courtoisie et je m’adapte en conséquence à son ton péremptoire, droit dans ses bottes de charretier
Stéphane G.
3 août 2016 @ 10:18
toujours courtoise elle est bien bonne Muscate! vous avez raté un épisode.
Rien à voir mais votre photo à cause des cheveux gris me fait penser à la femme de Dupont de Ligonnès; ce n’est pas une pique! vous êtes très belle!
Leonor
2 août 2016 @ 09:29
Vos imaginations sont très rigolotes, Stéphane G., et on vous laisse volontiers les poursuivre. Ca vous occupera.
Stéphane G.
2 août 2016 @ 12:40
mais comme vous êtes urbaine…quant à moi je suis invité pour une visite privée début septembre de cet hôtel et j’aurai le grand plaisir de ne pas vous y croiser
val
2 août 2016 @ 15:59
Leonor,
Laissez dire , et continuez à aimer votre Bazar le manqué d’éducation de certains n’est pas sans nous déplaire nous pouvons ainsi apprécier l’aducation de beaucoup d’entres nous .
Stéphane G.
3 août 2016 @ 09:40
éducation qui n’est pas allé jusqu’à vous inculper les bases de l’orthographe et n’a pas dépassé le primaire à l’évidence.
Quant à votre usage d’une certain Nous de majesté c’est bien risible…mirez-vous dans la prose de L. à votre aise, comme on se baigne dans la fange
Stéphane G.
3 août 2016 @ 10:15
et ou êtiez-vous lorsque la sus-nommée m’insultait à plaisir?
drapez vous dans votre bonne éducation, je sais à quoi m’en tenir
Baboula
2 août 2016 @ 13:52
Le mobilier moderne de qualité côtoye très bien les meubles d’époque et allége la vision d’ensemble .c’est ce qui manque ici ( et chez certains) de la légèreté .
Jacqueline
3 août 2016 @ 09:01
Voyez-vous Baboula, c’est typiquement ce genre de mélanges que je trouve disgrâcieux. Je préfère la cohérence. Cela me fait penser à ces splendides meulières que l’on transforme en loft à l’intérieur. Ce refus du choix et de ses conséquences me laisse perplexe.
Louis de Lauban
5 août 2016 @ 19:07
Stéphane G. je ne peux que vous approuver.
Jacqueline
1 août 2016 @ 15:14
Ce style se retrouvant dans bien des demeures princières, on peut supposer qu’on vit très bien dedans. Très rares sont les personnes qui arrivent à créer un style et quand elles y parviennent, elles ont en général l’humilité de reconnaître qu’elles ont beaucoup pioché à droite et à gauche.
Leonor
2 août 2016 @ 09:38
Jacqueline, ce » style » est un » style » de décorateur. Il n’a rien de personnel, rien de princier, et encore moins de royal.
Comparez avec le cadre de vie de la reine d’Angleterre : une fameuse différence.
Ici, chaque pièce ( au sens d’objet) est, certes, une merveille .
Mais l’ensemble, dans son amoncellement et sa rigidité sans vie n’est qu’une image de papier glacé, faite pour le visiteur et pour l’épate, certainement pas pour y vivre réellement.
J’aime beaucoup Jacques Garcia, par exemple, dans sa franchise : il dit qu’il fait ce que lui demandent ses clients fortunés, à savoir en rajouter encore et encore ; qu’il leur fait payer des fortunes pour cela; revenus qui lui permettent à lui-même de se constituer un cadre cette fois non seulement de haute qualité, mais aussi élégant et personnel.
Elegant et personnel : ce n’est pas le cas ici. Mais nul doute que la vente au détail, pièce par pièce magnifique rapportera beaucoup d’argent.
Jacqueline
3 août 2016 @ 09:15
Mais Léonor, quelle demeure princière, quel château, quel hôtel particulier n’est pas passé entre les mains d’un voire de plusieurs décorateurs? Ils sont juste morts depuis longtemps, c’est tout.
Vous parlez de la reine d’Angleterre. Les pièces qu’elle parcourt sont aussi de l' »épate », à ceci près qu’elle peut se permettre de laisser sur ses petits guéridons d’immenses photos de sa famille. La seule différence est qu’ici il s’agit d’un hôtel particulier et que ce n’est pas un roi. Il a dû « dépersonnaliser » son intérieur pour la photo. C’est plus accrocheur paraît-il.
Pour ma part, je suis ravie du résultat. C’est somptueux et cela respecte la tradition qui, contrairement à ce que beaucoup pensent, aime les décors chargés. Et ce n’est pas Jacques Garcia qui dira le contraire.
Leonor
8 août 2016 @ 23:46
Bonjour Jacqueline,
J’aime à voir les canapés défoncés de la reine d’Angleterre, les plaids qu’on y voit et qui sont là VRAIMENT pour tenir chaud , et pas pour la galerie, les radiateurs électriques dans les cheminées, etc.
La Reine d’Angleterre n’a pas besoin d’épate, et elle vit dans ses palais. Elle y vit vraiment.
Cordialement à vous.
Zeugma
1 août 2016 @ 09:37
Commentant le précédant reportage de « Noblesse & royautés » consacré à cette vente, une correspondante nous avait asséné qu’il s’agissait là d’une collection de mauvais goût réunie par « un mec sans ancêtre » (sic).
Aujourd’hui une autre habituée de notre site favori estime que c’est « Trop chargé ! ».
Bon …
Cette vente chez Sotheby’s sera probablement une des plus importantes de l’année par le nombre et surtout par la qualité des pièces proposées, certaines ayant un caractère exceptionnel.
Elle me rappelle la vente somptueuse du baron de Rédé – également organisée par Sotheby’s – il y a une dizaine d’années.
Pour cette vente Balkany, je ne citerai que le cabinet du pape Paul V Borghèse (qui fit longtemps partie des collections royales Britanniques jusqu’en 1959), les horloges du XVIIe siècle, un Van Dick, des pièces d’orfèvrerie extraordinaires etc … des fauteuils aussi.
Les riches collectionneurs et les plus grands musées du monde vont devoir sortir le carnet de chèque.
Certains musées français exerceront-ils le droit de préemption ? Nous verrons.
Baboula
1 août 2016 @ 12:23
Heureusement qu’il y a des connaisseurs …dont vous faites partie .
Jacqueline
1 août 2016 @ 15:16
Je partage votre commentaire Zeugma. Je crains que les caisses des musées ne soient vides, comme tout le reste dans notre pays malheureusement.
Zeugma
1 août 2016 @ 18:29
Les musées ont encore quelques réserves et bénéficient de l’aide des associations (« Amis du Louvre » ou « Société des amis du musée d’Orsay » pour ne prendre que ces deux exemples) sans parler du mécénat qui s’ouvre maintenant à un large public.
Les conservateurs examineront très probablement le catalogue de cette vente à la loupe.
Is ne pourront pas tout acheter bien sûr.
Le cabinet du pape Paul V Borghèse (celui-là même qui commanda la façade – controversée – de la basilique Saint Pierre de Rome) ferait merveille au musée des arts décoratifs …
Philippe H.
1 août 2016 @ 21:25
Entièrement d’accord avec votre commentaire, merci de remettre les choses à leur juste place !!!!!!!!!
Leonor
2 août 2016 @ 09:47
Zeugma, oui, je dis et redis avec d’autres que c’est ici
– un décor de parvenu
– un décor sans âme
– un décor trop chargé
Et, oui Zeugma, je dis AUSSI que
– chaque objet est magnifique et de très haut niveau
– et que la vente sera un succès financier formidable.
Quant à être connaisseur ….;-)
Je ne dirai pas ici quelle fut l’une de mes fonctions professionnelles.
Juste une indication : on m’attribuait avec crainte un oeil infaillible, et un caractère de cochon en cas d’entourloupe.
Eh oui, » mon pauvre Stéphane G. » ! :-)
Stéphane G.
3 août 2016 @ 09:45
ça pour le caractère de cochon je m’en porte garant, mais vous ne m’avez pas encore rencontré ma pauvre Léonor. Ce n’est d’ailleurs pas plus mal et ce n’est pas parce que vous criez la plus fort que vous avez raison. Il est bien évident également que devant M. de Balkany, « dans le cadre de vos -hautes- fonctions professionnelles » vous vous seriez écrasée
Jacqueline
3 août 2016 @ 09:26
« Un mec sans ancêtre », j’adore! Quel snobisme! Venant sans doute d’un internaute roturier qui en d’autres occasions s’émerveillera de la grâce des jolies bergères devenues princesses!
Anne-Marie Grusse de la Rivière
1 août 2016 @ 09:57
oui, une fille Elisabeth, née en 1972
Zeugma
2 août 2016 @ 18:16
J’aime ce pseudonyme. On imagine bien Anne-Marie Grusse assise au bord d’une rivière.
clement
1 août 2016 @ 10:09
oui ,une fille Elisabeth .
Jean-François GAILLARD
1 août 2016 @ 10:29
Oui une fille Marie Elizabeth ZELLINGER de BALKANY
Le neindre
1 août 2016 @ 11:07
Oui une fille ELisabeth
Le
Le neindre
1 août 2016 @ 11:08
Oui une fille ELisabeth
jo de st vic
1 août 2016 @ 12:22
Zeugma vous avez entiérement raison, qu’on aime ou pas les piéces ayant appartenu a ce monsieur sont pour certaines tout a fait remarquables (vous les citez d’ailleurs).
Leonor
2 août 2016 @ 09:49
CHAQUE pièce, en effet, Jo.
Mais pas LE TAS de pièces empilées pour la galerie (!).
Jacqueline
3 août 2016 @ 09:32
Mais si, c’est somptueux! Le « très » est devenu « trop » mais ce n’est qu’une mode! Moi je n’en peux plus de ce décor aseptisé sur fond gris/taupe où on prend pour une folle et délicieuse audace de mélanger une bergère louis XV avec une table basse contemporaine!
Francois
1 août 2016 @ 13:29
Tout est très beau pris à part mais il y a un quelque chose de trop
dans la disposition
ML
1 août 2016 @ 13:58
Il a ,aussi, deux filles de son premier mariage .
Il y a de belles pièces qui seraient mieux mises en valeur dans un décor plus sobre .
Véronick
1 août 2016 @ 14:18
Bel intérieur, mais beaucoup trop chargé, un vrai bazar…….!
Véronick
Marcel
1 août 2016 @ 14:24
Unions du défunt.
Marié le 22 mars 1957 avec Geneviève François-Poncet, fille de l’ambassadeur André François-Poncet, née le 4 avril 1931, divorcés le 6 juillet 1966, dont :
o Alexandra Zellinger de Balkany, née en 1958
o Maria Zellinger de Balkany, née en 1959
Marié le 16 juin 1969 avec la princesse Maria Gabriella de Savoie, née le 24 février 1940, fille d’Umberto II de Savoie, roi d’Italie (1904-1983) et de la princesse Marie-José de Belgique (1906-2001) , divorcés en 1990 dont :
o Maria Elisabetta Zellinger de Balkany née en 1972
Marcel
1 août 2016 @ 14:26
Geneviève François-Poncet a deux filles : Alexandra de Balkany, née en 1958, Mme Birger Ström, mère d’Ingrid, d’Isabelle (née le 27 novembre 1987, cavalière et épouse de Clemente Zavaleta Jr., né le 3 décembre 1985), et de Robert Strom,
et Marina de Balkany, née en 1959, qui était mariée à Stéphane Pouille et est mère de Tatiana et Laszlo Pouille.
Birger Ström est un Norvégien qui a en quelque sorte pris la suite de son beau-père dans la direction de ses affaires de centres commerciaux. C’est aussi un joueur de polo. Son épouse Isabelle est une cavalière connue. Leur fils Robert Strom, né vers 1990, est membre de l’équipe de France de polo.
Clemente Zavaleta Jr. est un joueur de polo professionnel connu, son mariage avec Isabelle Strom a été célébré pour le civilement près de Buenos Aires le 17 décembre 2013 et religieusement le 26 juillet 2014 à Sainte-Mesme où se trouve le château de son grand-père dans les Yvelines au sud de Rambouillet.
Clemente est le fils d’un poloïste argentin du même nom Clemente Zavaleta et de son épouse María Emilia Fernández Rousse, elle-même fille d’Oscar Fernández et de Paulina Rousse, qui avec ses sœurs, María Laura et María Eugenia constitua un groupe de chanteuses et de présentatrices de télévision qui furent populaires en Argentine dans les années 70 sous le nom de Las Trillizas de Oro c’est-à-dire les Triplées d’or puisqu’elles étaient nées toutes les trois à Buenos Aires le 5 juillet 1960.
La princesse Marie-Gabrielle de Savoie est la mère de Marie-Elisabeth, né le 2 mars 1972 à Lausanne, qui a épousé à Chêne-Bourg, près Genève, le 31 octobre 2002 Olivier Janssens, qui elle-même a Gabrielle (Gabriella Luisa Maria Asia), née le 7 mars 2004 à Bangkok, Thomas, né le 13 janvier 2006 à Genève, Paul Louis, né le 1er juin 2009, et Victor, né en 2011.
Danielle
1 août 2016 @ 15:36
J’espère que ces belles pièces trouveront des acquéreurs ; allez messieurs le châtelains présentez vous à cette vente.
Alain golliot
1 août 2016 @ 15:37
Et 2 filles de son union avec Melle Francois-Poncet, dont il divorca pour MG de Savoie. Je me souviens de son dressing a Ste Mesme, et de chaussures d’une pointure au dessus de la moyenne. Sera ce vendu aussi ? Il y avait un terrain de polo. Qu’en est-il d’Eze ?
Gérard
1 août 2016 @ 16:25
Bien sûr c’est très chargé mais Robert de Balkany était un connaisseur et un collectionneur et malgré les dimensions de son hôtel il voulait présenter ce qu’il avait acheté ou recueilli de son père.
JAusten
1 août 2016 @ 18:43
j’hésite …. les deux bustes n’iraient-ils pas avec ma commode Ikea ?
clement
1 août 2016 @ 21:01
monsieur de Balkany possédait aussi un château à Ste Mesme près de Dourdan .
Wilhelmine
1 août 2016 @ 21:48
je ne trouve pas que ce soit « chargé » c’est différent de ce qui se fait actuellement et ça change de IKEA ; )
Leonor
2 août 2016 @ 09:51
:-)) !
Vous avez des goûts simples, Wilhelmine ! C’est votre droit .
Caroline
1 août 2016 @ 22:06
J’ aimerais acheter une pendule et les meubles chinois, le reste n’est pas beau !
alain Golliot
3 août 2016 @ 15:33
Ste Meme était superbement meublé, chacun sa chambre ( celle de la princesse, la sienne). Un Géricault dans le grand salon, une salle à manger dont les chaises étaient dotées d’un nœud noir, une moquette épaisse. Au dernier étage étage, les chambres des joueurs de polo avec leur nom (comme chez Sand à nohant). Et les chevaux qui arrivaient d’Argentine chaque année pour les matchs de polo. C’était un art de vivre, et c’était un homme délicieux (dixit papa qui travailla pour lui, qui était malheureusement mal entouré).