Le 10 décembre prochain, Sotheby’s mettra aux enchères à New York des bijoux ayant appartenu à la princesse Natalie Paley (1905-1981), fille du grand-duc Paul de Russie et de sa seconde épouse Olga Karnovitch. La princesse Natalie, sa mère et sa sœur Irène eurent la vie sauve en fuyant par la Finlande. Son père et son frère furent exécutés.
En 1927, la princesse Natalie Paley épousa le couturier Lucien Lelong et se remaria 10 ans plus tard avec John Wilson. Parmi les bijoux, des créations de Verdura, Boivin et Cartier. (Copyright photos : Sotheby’s)
Ludovina
14 novembre 2019 @ 08:43
Cette princesse a été traumatisée à vie par des viols collectifs.
http://www.noblesseetroyautes.com/livre-natalie-paley-princesse-en-exil/
ciboulette
14 novembre 2019 @ 16:38
Je me demandais justement si c’était elle qui avait subi toutes ces horreurs . Merci d’avoir répondu par anticipation à ma question .
Iankal21
14 novembre 2019 @ 09:33
Un certain raffinement…
JAY
14 novembre 2019 @ 09:57
Ces bijoux sont très beaux mais ils ne sont pas historiques de la maison Romanov.
Natalie Paley avait une sœur qui a eu une descendance dans la noblesse française, il me semble.
Jean Pierre
14 novembre 2019 @ 13:06
Elle était aussi la tante de Lennart Bernadotte et de l’ancien maire de Palm Beach.
Karabakh
14 novembre 2019 @ 19:50
De la relation entre Irina Pavlovna Paley et le comte Hubert Conquéré de Monbrison, est née Irène Fiodorovna Romanoff qui ne fut jamais reconnue par son père. Elle fut mariée à André-Jean Pelle dont elle divorce en 1959, puis à Victor-Marcel Soûlas. Elle a une fille qui s’est elle-même mariée hors de la noblesse.
Du premier mariage d’Irina avec son cousin le prince Théodore Alexandrovitch de Russie, est né Michel de Russie, Prince Fiodorovitch Romanoff (selon ses papiers français). Il a eu un fils, Michel, décédé avant lui. Ce dernier a une fille née en 1986.
Jean Pierre
14 novembre 2019 @ 10:31
Étonnant de voir ces bijoux quand on pense qu’elle a fini comme une misérable recluse à New York.
Quels furent ses héritiers ? Son époux ou Michel Romanov le russe le plus célèbre de Biarritz ?
Martine
14 novembre 2019 @ 17:38
Son mari était mort avant elle, entre l alcool et les drogues elle finit sa vie aveugle
Une vie bien triste
Anne-Cécile
15 novembre 2019 @ 01:17
La princesse Nathalie Paley ne finit pas sans le sou, elle laissa quelques millions à son neveu Michel (son second mari n’avait pas englouti toute sa fortune dans ses pièces). En revanche elle finit sa vie volontairement recluse, presque complètement aveugle (incapable de surmonter ses traumatismes elle pratiqua l’alcoolisme mondain à outrance), sans plus aucun égard à sa personne ou aux souvenirs qui l’entouraient.
Sa cousine la grande duchesse Olga Alexandrovitch, soeur de Nicolas II, qui vécut modestement dans l’appartement de ville au – dessus d’un convenient store des personnes qui veillaient sur elle la fin de sa vie, laissa également quelques petits millions en banque.
Menthe
14 novembre 2019 @ 10:51
J’aime bien le pendentif châtaigne, jolies couleurs.
Menthe
14 novembre 2019 @ 13:55
La broche châtaigne, plutôt !
Muscate-Valeska de Lisabé
14 novembre 2019 @ 19:22
Moi aussi chère Menthe…c’est une broche je pense.
Caroline
14 novembre 2019 @ 21:51
Menthe,
Comme vous! C’ est un bijou original !
Danielle
14 novembre 2019 @ 11:05
Les deux broches sont belles.
ciboulette
14 novembre 2019 @ 16:40
Je n’aime pas le 3ème bijou .
COLETTE C.
14 novembre 2019 @ 17:37
Des bijoux originaux.
Cosmo
14 novembre 2019 @ 17:41
Dans le roman de Jean d’Ormesson « Au plaisir de Dieu », la petite-fille, Anne-Marie du Plessis-Vaydreuil, qui finit actrice droguée semble avoir été inspirée par Nathalie Paley.
Baboula
15 novembre 2019 @ 10:33
Une horrible nouvelle ! Les boucles d’oreilles d’émeraudes et diamants ayant appartenues à la begum Salima n’ont pas trouvé d’acquéreur. ; pourtant d’Harry Winston ;mais de 1,5 à 2,5 millions tout de même . Les hommes n’ont plus de savoir vivre .
Sheiley
15 novembre 2019 @ 20:13
Ah bon Cosmo ? Je me suis toujours demandée effectivement qui était la « clef » d’Anne Mariedans ce roman passionnant comme les autres d’ailleurs du regretté Jean d’Ormesson. J’avais pensé à une des actrices Martine de l’epoque !
Cosmo
16 novembre 2019 @ 14:40
Si vous faites allusion à Martine Carol, je ne pense pas que cela puisse être elle car elle n’avait pas d’origine aristocratique.