Deux diadèmes de style néo-classique ayant vraisemblablement appartenu à l’impératrice Joséphine ont été vendus pour près de 678. 000 euros mardi 7 décembre lors d’enchères à Sotheby’s à Londres.
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Erato deux
8 décembre 2021 @ 08:48
Valeur historique et d’orfèvrerie certaine, pour ce qui est de l’esthétique pas sûr.
Ces bijoux sont sans éclat.
Teddy
8 décembre 2021 @ 14:35
L état l’et la ce malmaison aurait pu préempter ces bijoux
Teddy
8 décembre 2021 @ 14:36
Et la malmaison
JAusten
8 décembre 2021 @ 08:52
Je trouve ce diadème très original. Il est tellement différent de ce qu’on voit habituellement partout avec une profusion de diamants de toute taille. Sait-on qui a acheté ces bijoux ?
ViveLouyat
8 décembre 2021 @ 19:52
C’est moi qui les ai achetés !
JAusten
9 décembre 2021 @ 09:43
alors félicitations !
Laurent F
8 décembre 2021 @ 09:53
J’espère qu’un musée français a mis la main dessus
aubépine
8 décembre 2021 @ 09:58
pas très jolis ces bijoux !
j21
8 décembre 2021 @ 10:30
Difficile à porter de nos jours mais ces deux diadèmes devaient être superbes portés par Joséphine et autres aristocrates de l’époque.
J’aime assez.
Pastelin
8 décembre 2021 @ 10:38
J’aurais bien aimé voir les intailles (romaines?) de près.
Gérard
8 décembre 2021 @ 10:39
Ces diadèmes dont la tradition disait qu’ils avaient été à l’impératrice Joséphine sont d’un style classique comme celui qui figure dans le portrait de Joséphine par Andrea Appiani en 1808 la même année que ce qui est indiqué en référence pour ces diadèmes, travail parisien de 1808.
Ces deux diadèmes constituent les deux parties d’une parure ou d’un ensemble de bijoux assortis conçus pour être portés ensemble et ils sont sertis de pierres précieuses gravées de têtes classiques dont plusieurs sont peut-être anciennes et qui pourraient représenter l’héroïsme, la fidélité et l’amour.
On reconnaît en outre des divinités antiques dont Zeus.
Ces parures viennent d’une collection privée britannique où elles sont restées au moins 150 ans et elles sont toujours leurs boîtes en cuir parisiennes d’origine.
Une parure similaire est conservée dans la collection royale suédoise héritée du prince Eugène de Beauharnais, duc de Leuchtenberg, fils de Joséphine et dont la fille Joséphine se maria avec le futur Oscar Ier en 1823 enrichissant beaucoup les bijoux de la Couronne de Suède.
Étaient à vendre ici un diadème en cornaline, émail et or avec quelques glyptiques peut-être antiques et une paire de boucles d’oreilles, un peigne à cheveux et un ornement de ceinture, un diadème en or, camées et émail de Jacques-Ambroise Oliveras vers 1808, un fermoir de ceinture et un ornement de ceinture.
Joséphine en six ans a dépensé plus de 25 millions de francs en bijoux et vêtements ce qui était supérieur à son allocation mais elle a relancé les industries du luxe après la Révolution. Conseillé par Dominique-Vivant baron Denon, conservateur du musée Napoléon, elle était très au fait de l’histoire et de la mythologie comme de l’art antique.
Mlle Avrillion sa dame d’honneur rapporte qu’à Malmaison elle aimait montrer ses camées. L’inventaire en a été fait en 1804 et après sa mort en 1814 mais il manque de précisions sur les bijoux eux-mêmes.
Pastelin
9 décembre 2021 @ 11:46
Merci pour ce petit historique Gérard, très intéressant.
Gérard
10 décembre 2021 @ 11:25
Merci Pastelin.
Laurent F
9 décembre 2021 @ 14:06
👍👍
Gérard
10 décembre 2021 @ 11:26
🤗
Gérard
10 décembre 2021 @ 11:27
Merci à vous.
Beque
10 décembre 2021 @ 10:43
Merci, Gérard, pour ces précisions. Dire qu’on critiquait (qu’on critique) Marie-Antoinette pour ses dépenses : elles ne semblent pas avoir été supérieures à celles de Joséphine. Et, comme je l’ai lu ici, elle donnait du travail aux artisans du luxe, ne serait-ce que parce qu’elle influençait la mode.
Agnese
8 décembre 2021 @ 10:55
Diadèmes bien tristes et heureusement que la Cour de Suède a hérité des plus beaux.
COLETTE C.
8 décembre 2021 @ 10:58
Dommage qu’un musée ne se soit pas porté acquéreur !
Baboula
8 décembre 2021 @ 11:12
Très pratiques pour retenir ses cheveux dans son bain .
Noëlle et Gaël
8 décembre 2021 @ 11:14
Plutôt ternes et sans éclat.
Elsi
8 décembre 2021 @ 11:27
Comment peut-on payer des centaines de milliers d’Euros pour pouvoir se mettre des horreurs pareilles sur le tete ….
Aldona
8 décembre 2021 @ 11:30
J’ avoue ne pas aimer ces bijoux, manque d’éclat, ce sont des bijoux qui appartiennent à l’histoire, serait-ce un musée qui les acquis ?
Caroline
8 décembre 2021 @ 11:40
Le second diadème est très joli si on l’ assortit aux robes de soirée roses ou bleues.
Bien dommage !
chicarde
8 décembre 2021 @ 12:27
D’un luxe vraiment impérial !
HRC
8 décembre 2021 @ 14:56
Le diadème était un élément de coiffure des cheveux longs avant d’être un bijou.
Donc ce diadème c’est la version empire de nos serre-tête en velours…
Muscate-Valeska de Lisabé
8 décembre 2021 @ 17:59
Pour le prix, le « vraisemblablement » me paraît cher .
Pistounette
8 décembre 2021 @ 19:30
Pour éviter la confusion, 678 000 € est le prix DES DEUX DIADEMES.
Maria
8 décembre 2021 @ 23:31
Non li trovo molto belli ma affascinanti per la loro storia! Traduco con google:Je ne les trouve pas très beaux mais fascinants pour leur histoire ! je traduis avec Google
🇨🇦 Mer Limpide 🌊
9 décembre 2021 @ 02:51
Bien sûr que pour notre époque, rien n’est plus beaux que les Diamants, ainsi que les pierres précieuses, sans oublier l’OR !
Plutôt que ces anciens styles de diadèmes néo-classiques !
Lunaforever
9 décembre 2021 @ 08:50
Style mérovingien 😉
Marie-Saintonge
9 décembre 2021 @ 17:47
Affreux ces bijoux , on dirait un casque digne de la MGM, genre Ben-Hur sur son char !