Le 24 mars prochain, la maison de ventes Osenat procèdera à la vente aux enchères d’une bague en or ornée d’un diamant et d’un saphir pour qui fut offert par l’empereur Napoléon à l’impératrice Joséphine lors de leurs fiançailles en 1796. Cette bague provient de la collection du prince Victor Napoléon (1862-1926). Le prix de la vente pourrait atteindre 12.000 euros. Autre pièce qui sera mise aux enchères un tableau représentant le duc de Rechstadt portant l’uniforme du 1er régiment d’infanterie impériale autrichienne. (Merci à Gue – Source : Tribune de Genève – Copyright photo : DR)
Sylvie-Laure
19 février 2013 @ 08:28
Je fais un pronostic, l’estimation de vente de la bague, sera triplé, voire plus.
C’est bien dommage de ne pouvoir admirer le bijou, et le tableau qui vont être mis aux enchères.
gue
19 février 2013 @ 15:26
La photo sera visible, à mon avis, début Mars… Si oui elle sera mise sur le site
Valeska
19 février 2013 @ 08:59
Oh,pas de photo de la bague en question? :(
J’aimerais la voir!…12.000euros,ce n’est pas une fortune,vue la valeur historique et symbolique de l’objet…
Sur le portrait,je ne reconnais pas »l’Incomparable Joséphine »,comme la nommait Bonaparte…
Jean Pierre
19 février 2013 @ 14:57
Moi non plus !
Laurent61
19 février 2013 @ 15:37
Il existe une photographie de cette bague dans l’ouvrage de Messieurs Castelot, Decaux, Koenig « Le Livre de la Famille Impériale » aux éditions Librairie Académique Perrin 1969.
Il s’agit d’une bague assez simple : un anneau or surmonté d’un diamant et d’un saphir sur griffes (il me semble) d’égale grosseur accolés l’un à l’autre, ils sont de forme identique arrondis d’un côté et pointus de l’autre et posés « tête-béche »…j’espère que cette description est compréhensible ?!
Mélusine
19 février 2013 @ 19:26
En effet, Laurent61, cette bague d’une sobriété très moderne est tout à fait au goût du jour et, avec ses deux pierres côte à côte, est communément appelée un « toi et moi ».
Le jour de la vente, le prix de ce bijou historique dépassera certainement largement la barre de l’estimation et de sa mise à prix.
Valeska
20 février 2013 @ 10:39
merci chers Laurent61 et Mélusine,pour cette description que je visualise très bien! :)
Je vais aussi chercher sur Google,peut-être y trouverais-je une image?
Oui,chère ROSE2,on peut penser comme Mélusine et Sylvie-Laure que l’estimation sera démultipliée,sinon,la bague de Joséphine sera à la portée de beaucoup de bourses!
Très amicalement à vous quatre et à très bientôt!
ROSE2
19 février 2013 @ 17:18
Chère Valeska,
J’aurais aussi apprécié voir une photo de la bague et vous avez raison, le prix est allez, nous dirons « abordable ».
Je vous souhaite une bonne fin de journée. Ici, nous avons du soleil.
Meilleures amitiés et à bientôt
Mayg
19 février 2013 @ 11:52
A qui appartient cette bague aujourd’hui ?
MoniqueDN
19 février 2013 @ 12:27
Quelle tristesse de voir tous ces objets historiques s’envoler dans les mains de collectionneurs alors que leur véritable place serait dans un musée où chacun pourrait venir les admirer !
Fanfan57
19 février 2013 @ 16:40
Je suis tout à fait d’accord Monique !
Mélusine
19 février 2013 @ 19:34
N’importe quel musée peut faire valoir son droit de préemption, lors d’une vente, afin d’acquérir l’objet ou l’oeuvre qui l’intéresse.
Un collectionneur peut aussi l’acquérir et le prêter, à l’occasion, lors de certaines expositions. Il peut également le léguer par testament à un musée ou une fondation.
Les objets mis en vente ne sont donc pas nécessairement voués à la disparition définitive ou à…l’exil.
COLETTE C.
19 février 2013 @ 12:45
Ces « trésors » étaient-ils encore dans la famille Bonaparte, ou proviennent-ils d’un collectionneur privé ? J’aimerais bien voir la bague ! Merci.
Clémentine1
19 février 2013 @ 13:10
j’aurais aimé voir une photo de cette bague.
philippe gain d'enquin
19 février 2013 @ 13:37
Et encore un trésor national qui filera à l’étranger. Les paris sont ouverts!
Valeska
20 février 2013 @ 10:42
Pas sûr,si cher PGE…Comme le dit Mélusine,un musée français peut très bien s’en porter acquéreur,pour notre plus grand bonheur! :)
A suivre,donc…
LPJ
19 février 2013 @ 13:51
Le Prince Victor Napoléon, chef de la famille impériale fut l’époux de la Princesse Clémentine de Belgique. Il eurent deux enfants : la Princesse Clotilde (1912-1996 ; mariée au Comte Serge de Witt et mère de dix enfants dont deux morts en bas age) et Louis, prince Napoléon (1914-1997 ; marié à Alix de Foresta et père de quatre enfants).
Le Prince Victor avait constitué une très importante collection par différents héritages familiaux et acquisitions. Son hôtel particulier de l’avenue Louise à Bruxelles était un véritable musée napoléonien.
Ses enfants héritèrent de cette collection ainsi que d’importantes archives en indivision (le Prince Victor est décédé en 1926 ; ses enfants étaient encore mineurs). En 1979, ils trouvèrent un accord avec l’Etat français qui devint propriétaire des pièces principales ; elles enrichirent les collections nationales et furent réparties entre différents musées (Malmaison, Fontainebleau, Légion d’honneur, etc…). Quelques pièces furent vendues (la Comtesse de Witt vendit à la même époque la couronne de l’impératrice Eugénie à un financier américain qui en fit don ausitôt à l’Etat français). D’autres furent conservées par les descendants : le Comte Baudoin de Witt a créé un musée dans son chateau de La Pommerie en Dordogne, son frère le Comte Jérôme de Witt, devenu industriel en horlogerie en Suisse a conservé les montres collectionnées par son grand-père. La Princesse Napoléon conserve dans ses résidences, notamment en Suisse, un certains nombre de souvenirs napoléoniens (elle a d’ailleurs fit don l’an dernier à un musée de Cuba d’assiettes provenant d’un service du roi Jérôme). Plus récemment fut mis en vente le sabre du roi Jérôme. Vendu à un prix astronomique (assez étonnant quand on sait que ce sabre était interdit de sortie du territoire par l’Etat français), il est resté toutefois dans la famille puisque c’est l’épouse du comte Jérôme de Witt qui en fit l’acquisition. On peut espérer qu’un jour dans le cadre d’une dation, il intégre les collections nationales.
Ces deux nouvelles pièces vont trouver preneur et certainement à un prix élevé tant les souvenirs napoléoniens font le bonheur des commissaires priseurs.
On peut rêver que la bague reste dans la famille : le Prince Napoléon pourrait ainsi en faire une bague de fiançailles historique pour sa future « impératrice ». Ou bien un des nombreux descendants de Joséphine pourrait avoir l’idée de l’acquérir (car n’oublions pas que si la descendance d’Hortense s’est éteinte avec le Prince impérial en 1879, celle d’Eugène de Beauharnais est fortement représentée dans le gotha et est encore assise sur plusieurs trônes européens (Suède, Danemark, Belgique, Luxembourg).
Dans cinq semaines nous en serons peut-être plus….
Mélusine
19 février 2013 @ 19:39
Il n’est pas interdit de penser (et d’espérer) que ces objets soient acquis par des membres de la famille, ou d’autres qui en fassent don à la Fondation Napoléon, par exemple. L’avenir le dira…peut-être, car les acheteurs sont discrets et ne veulent pas se faire connaître.
Bianca
19 février 2013 @ 21:26
Grand merci LPJ pour ces informations « r
Bianca
19 février 2013 @ 21:26
Grand merci LPJ pour ces informations « r
Bianca
19 février 2013 @ 21:32
Oh la la…des problèmes quant à l’envoi des deux messages inutiles qui précèdent, avec mes excuses à Régine
Bianca
19 février 2013 @ 21:30
Grand merci LPJ de ces précisions « rassurantes » au sujet de ces trésors restés pour la plupart propriété des familles.
Mayg
20 février 2013 @ 12:47
Merci LPJ pour ce complément d’informations.
Clémentine1
20 février 2013 @ 23:46
Merci LPJ pour cette contribution très intéressante.
Nathetvoila
19 février 2013 @ 14:13
Le prix est une estimation de valeur réelle sûrement pas de valeur affective ou historique ? Cela me semble peu effectivement . On verra !
sonia
19 février 2013 @ 15:06
les mises à prix dans les enchères sont souvent basses mais si il y a plusieurs intéressés ça risque de bien monter et tant mieux…
Mélusine
19 février 2013 @ 19:41
La bague de fiançailles de Joséphine offerte par Napoléon ? Son prix peut en effet « s’envoler » !
Danielle
19 février 2013 @ 20:21
Le Louvre ne pourrait il pas se porter acquéreur ?
Caroline
20 février 2013 @ 12:26
Danielle et Monique DN,j’ai pensé la meme chose que vous!
Bien dommage pour l’absence de photos sur cette bague!
D’après le commentaire de Laurent 61,pourrait-on comprendre que cette bague est le meme modele que la bague de fiançailles de la reine Margarethe de Danemark?
Palatine
19 février 2013 @ 21:29
Mais cette bague a-t-elle vraiment été donnée par le jeune general Bonparte, plutôt fauché et avec une nombreuse famille à charge, pour des fiançailles. Y a-t-il vraiment eu des « fiançailles » d’ailleurs ? Difficile d’imaginer Rose de Beauharnais en fiancée rougissante avec un soupirant respectueux. On me comprendra…
Michèle
20 février 2013 @ 00:04
Si Régine me le permet :
Bague de fiançailles de Bonaparte et de Joséphine
http://expert.jcdey.over-blog.com/article-osenat-vente-empire-24-mars-2013-bague-de-fian-ailles-de-bonaparte-et-de-josephine-115393510.html
Portrait du Duc de Reichstadt en uniforme blanc de sergent major du 1er régiment d‘infanterie. »
http://expert.jcdey.over-blog.com/article-osenat-vente-empire-24-mars-2013-portrait-du-duc-de-reichstadt-115369202.html
Michèle
LPJ
20 février 2013 @ 09:41
Merci Michèle pour ces liens.
Très jolie bague, simple et finallement très moderne. Elle peut faire encore de nos jours une belle bague de fiançailles.
Palatine
20 février 2013 @ 10:20
merci Michèle, grâce à vous j’ai pu voir la bague. Mais je ne suis pas convaincue de sa remise lors de « fiançailles », vu que c’est une allégation de Napoleon III. Qui n’était pas là à l’époque. Et Hortense etait au pensionnat chez madame Campan. Joséphine a pu se faire offrir cette bague par la suite et dire plus tard que c’était une bague de fiançailles. Joséphine racontait tant de choses…
Valeska
20 février 2013 @ 10:44
Ah,merci Michèle,vous êtes formidable! :)
Et Régine de publier ce lien aussi! ;)
Grand merci à vous deux!
Clémentine1
20 février 2013 @ 23:41
Merci Michelle, cette bague est très sobre, très belle, je suis contente de l’avoir vue.
Valeska
20 février 2013 @ 10:51
Un saphir et un diamant taille »poire »,vraiment simplissime,un anneau non travaillé,très contemporaine,en effet,si chère Mélusine…Pas difficile de se faire reproduire exactement la même,à l’identique absolu…mais vraiment pas mon goût.
Je garde donc mes 12.000euros(ou plus!) :) :) :)
On comprend que la mise à prix ne soit pas exorbitante,vue la valeur marchande des pierres,qui ne semblent pas très grosses,et le poids en or…Valeur historique,sentimentale et symbolique avant tout,en espèrant supputant que Joséphine,guère éprise de son petit général au début de leurs noces,l’ai portée souvent…
Palatine
20 février 2013 @ 13:45
Peu de temps après son mariage, Rose devenue Josephine a eu une liaison torride avec Hyppolite Charles et s’est lancée avec lui dans des « affaires » plus ou moins louches avec des fournitures aux armées. Des fournisseurs bien intentionnés l’ont entourée d’égards et l’un d’eux aurait très bien pu lui offrir quelque bijou. Facile des années plus tard de parler de bague de fiançailles, pour noyer les poisson. Elle n’aurait pas été la première femme à mentir sur l’origine d’un bijou.
C’est plus fort que moi, je n’y crois à la bague de fiançailles. J’ai lu trop de mémoires du temps pour cela.
Ceci dit, contrairement à vous, chère Valeska, j’aime bien la bague. C’est mon goût.
Encore merci à Michèle.
Valeska
21 février 2013 @ 09:51
Alors le jour des enchères,je vous la laisserai de bon coeur,mon Amie Palatine! ;)
Vrai que Joséphine racontait beaucoup de non-vérités(voyez comment je sais louvoyer pour ne pas dire le mot auxquel tout le monde pense! ;))et que Napoléon lui-même aurait déclaré:
« Je l’aimais mais ne l’estimais point:Elle était trop menteuse! »…
Là,c’est lui qui l’a dit,pas moi!
Mais je reste personnellement très attachée à la mémoire d’une personnalité aussi plaisante,féminine,gracieuse et…maline! ;)
Palatine
21 février 2013 @ 16:10
Valeska, vous dites « gracieuse ». C’est exactement un mot qu’utilisait Napoléon à St Helene en parlant de Joséphine. Il disait qu’elle était « si gracieuse quand elle se mettait au lit ». Je ne vous cache pas que ce commentaire m’a plongée dans un abime de réflexions. Comment se mettre gracieusement au lit ? Depuis, j’observe parfois ma façon de me coucher et ne vois pas quelle gracieuseté je pourrais faire en essayant d’avoir bien chaud en rabattant bien ma couette.
Valeska
22 février 2013 @ 10:22
J’ai lu la même chose dans l’ouvrage de Monsieur Castelot,chère Palatine…Et cela m’a plongée dans la même perplexité que vous! ;)
…Et comme vous,j’ai fait des effets de gracieusetés devant »Gentil Mari »(Mélusine: ;))au moment du coucher,m’attendant à ce qu’il tombe du lit d’admiration,il n’a pas même daigné me jeter un coup d’oeil :)!…du coup,j’ai renoncé à tant d’efforts pour un ingrat,et m’enroule bien benoîtement sous ma couette,lui en laissant peu,na!! :) :)
Grandes amitiés à vous!
Mélusine
21 février 2013 @ 12:09
Palatine, j’ai bien lu vos commentaires et il est en effet tout à fait possible que Bonaparte n’ait pas PU offrir cette bague au moment de sa demande en mariage.
Mais quelques années plus tard, devenu Napoléon, il lui était (enfin) possible de passer cette jolie bague « de fiançailles » au doigt de sa Joséphine…
Je ne vois pas, en revanche, un fournisseur offrant un « toi et moi » à sa cliente, c’est trop symbolique.
Les mystères entourant certains bijoux sont vraiment passionnants et merci à Michèle pour ses liens complémentaires.
Palatine
21 février 2013 @ 16:12
Et pourquoi pas Hyppolite Charles…avec l’argent des fournisseurs ? C’est mon hypothèse.
Mélusine
21 février 2013 @ 21:19
Hyppolite Charles ? Peut-être. Mais il aurait tout de même fallu que Joséphine explique ensuite à l’empereur la provenance de la bague et, même avec un bon gros mensonge, la connaissant il aurait eu des doutes. Mais ils n’en étaient pas à une scène de ménage près.
Malgré tout, j’aime bien l’histoire telle qu’elle nous est présentée.
Palatine
22 février 2013 @ 11:00
Elle a pu dire que c’était un cadeau de sa tante qui devint la seconde épouse du marquis de Beauharnais après avoir été sa maîtresse, tante qui fut l’artisan de son mariage avec Alexandre de Beauharnais.
En tout cas vous avez raison, Bonaparte aurait surement remarqué la bague et demandé sa provenance.
Mélusine
22 février 2013 @ 14:57
Elle nous aura bien fait gamberger, cette bague ! J’ai hâte de savoir dans quel écrin elle va se poser. Suite et fin de l’épisode le 24 mars.
philippe gain d'enquin
23 février 2013 @ 16:44
Regardez sous votre oreiller, peut-être le petit souriceau l’aura t’il déposée ; sait-on…
Mélusine
21 février 2013 @ 12:17
Ah ah, chère Valeska, plutôt que la bague de Joséphine vous préférez fixer votre choix sur un diamant hearts and arrows, pas vrai ? Vous avez raison, quand on a un objectif il faut s’y tenir…Smile
Valeska
22 février 2013 @ 10:24
Oui,ma Mélusine…Même en rêve…surtout en rêve! ;)
philippe gain d'enquin
23 février 2013 @ 16:48
Contre toutes les émeraudes de votre gentillesse et de votre dynamisme, je pourrais vous offrir le diamant de mon humour, si vous n’y regardez pas de trop, trop près car je crains qu’il ne s’agisse d’un vulgaire bouchon de carafe… A vous ce joli rêve. PGE
Valeska
25 février 2013 @ 10:27
La valeur sentimentale est incalculable,si cher PGE…la modestie aussi.Donc,je prends,toute heureuse de mon trésor en l’attendant! :)
Caroline
20 février 2013 @ 14:36
Michèle,un vif merci de ma part pour vos liens!
Vous etes notre héroine pour nous avoir ‘déniché’ cette belle bague,lool!
Michèle
21 février 2013 @ 13:40
A mon tour, après vos remerciements, de dire MERCI à Régine de nous permettre de mettre des liens sur son site.
Très bonne journée
Michèle
aubert
22 février 2013 @ 17:09
Je me demandais de quand datait la coutume de la bague de fiançailles.
D’après Internet c’est en 1477 que l’archiduc Maximilien offrit la première bague de fiançailles, à Marie de Bourgogne.
Ai-je enfoncé une porte ouverte ?
Michèle
23 février 2013 @ 05:42
C´était la première bague de fiançailles avec un diamant, ensuite l´utilisation des diamants dans les bagues de fiançailles s´est étendue en Europe.
il a fallut le XIXème siècle pour que cette pratique s’étende au-delà de la Cour à la bourgeoisie, lorsque de grandes quantités de diamants ont été découverts en Afrique du Sud, et ensuite au peuple lorsque les diamants sont devenus plus abordable.
L´origine des bagues de fiançailles est très ancienne, on en parle dans l´antiquité romaine et grecque, les Egyptiens eux aussi portaient des anneaux.
Les Romains portaient des anneaux de fer « pronubus anneau » le jeune homme mettait au doigt de sa fiancée un anneau, symbole de la fidélité qu’ils devaient se garder mutuellement
Au Moyen Age, la bague de fiançailles reste un objet simple en fer ou en bronze.
sources diverses
Palatine
23 février 2013 @ 12:28
Amusant la bague en fer. Je ne crois pas que bcp de fiancées aujourd’hui voudraient que leur cher et tendre copie la coutume romaine ou moyennageuse .
Mélusine
23 février 2013 @ 15:53
Aj ça, j’imagine bien la scène d’ici, Palatine.
La pauvre fiancée recevant le « joyau » : « Oh, merci pour cette merveille, mon chéri. Il ne fallait pas, elle a dû vous coûter une fortune, j’ai scrupule à accepter un cadeau d’une telle valeur. D’ailleurs, je préfère vous le restituer. Le joaillier ne rechignera sans doute pas à vous le reprendre et vous rembourser de ce qu’il vous a coûté. Votre amour me suffit, cher coeur » etc…et zou ! un simple anneau en fer pour bague de fiançailles, alors quoi en guise d’alliance ? une cordelette ? Au cou, sans doute…
Palatine
24 février 2013 @ 21:44
Pourquoi pas un anneau de rideau ?
Mélusine
25 février 2013 @ 19:37
L’anneau de rideau ? Chut ! Par ces temps de crise ça risque de donner des idées à certains.
Sylvie-Laure
1 mars 2013 @ 08:55
Michèle et Mélusine, le site de bijoussimmo de Huguette (qui est de notre site NR) publie une 2e photo prise sous un autre angle, de la bague « toi et moi » réputée appartenir à Joséphine-Rose. Jolie bague, en effet, il fallait aussi la mettre en valeur, par une jolie main ;)
Mélusine
2 mars 2013 @ 19:33
Merci Sylvie-Laure. Belle photo en gros plan de cette bague historique.
Point de vue consacre un très intéressant article à la prochaine vente de ce bijou, photo à l’appui également, dans lequel nous est contée l’histoire de cette jolie bague de fiançailles, digne d’une jolie main, princière ou pas…