Le 13 avril prochain, Christie’s Paris mettra aux enchères 78 lots dans le cadre de la vente de la collection de Jacqueline Monnier-Matisse (1931-2021) était la petite-fille de Matisse, la belle-fille de Marcel Duchamp et la filleule de Joan Miro.
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plume
5 avril 2022 @ 08:46
Tout sera trop cher pour moi.
Gatienne
5 avril 2022 @ 09:13
A propos de Mirò, je n’ose imaginer ce qui se passera à la mort d’Adrien Maeght (92 ans) lorsqu’il s’agira de régler sa succession, compte tenu de la « bonne » entente qui règne dans la famille !
Détenteur d’un nombre considérable de toiles du peintre, Adrien, fils du fondateur Aimé, n’en montre qu’une infime partie à la Fondation (tout du moins, sa fille Isabelle qui a la haute main sur les collections) pendant que les autres héritiers sont tenus soigneusement à l’écart…
À cette occasion, on verra, probablement, un certain nombre de toiles inédites de Miró, apparaître sur le marché des enchères et là, ce sera beaucoup plus épique que la succession de Jacqueline Monnier-Matisse !
Jean Pierre
5 avril 2022 @ 10:26
Oui c’est à Saint Paul de Vence à la fondation que je fus pour la première dois éblouis par des Miro.
Gatienne
5 avril 2022 @ 11:43
Perso, j’ai eu la chance, grâce à Isabelle qui recevait l’héritier Mirò, d’avoir accès à d’autres œuvres inédites….
Cedric
5 avril 2022 @ 21:35
Je suis bien d’accord, il y aura de l’action au moment de son décès…
Ghislaine
5 avril 2022 @ 14:10
J’ai vu une quantité impressionnante de toiles de Miro il y a longtemps dans une salle du musée de l’Ermitage à St Petersbourg . Désolée mais je n’ai aucun intérêt pour ce genre de peinture .
Clarisse
5 avril 2022 @ 21:32
Pour moi ce type « d’art » est incompréhensible…j’en produit 50 par jour…c’est du barboullage
Gatienne
6 avril 2022 @ 11:59
Voilà: dites, effectivement, que vous n’êtes pas touchée par la « grâce » de Mirò, que vous ne le comprenez pas, mais que d’autres peuvent tout aussi bien adhérer au voyage créatif auquel nous incite celui qui fut peintre, sculpteur, céramiste…
Les formes géométriques et les symboles étranges sur ses œuvres ne viennent pas de nulle part: c’est sa propre figuration de la réalité et elle ne vous embarque pas dans son univers…😘
Clarisse
6 avril 2022 @ 17:08
Pour « voir » du début…
En haut à gauche une « étoile » constituée de quatre traits mal tirés, les débuts de coloriage en rouge d’un petit enfant, des balafres bleues et blanches en vertical, d’une tache bleue entourée de noir, de coup de pinceaux blancs et jaunes en horizontal, un trait vertical indiquant en flèches le haut et le bas… et pour finir des traits de crayons noirs…
Non, c’est certain, je ne suis pas transportée d’admiration béate devant ce « tableau ». Cela n’engage que moi bien sûr mais je suis certaine que d’autres partagent ma non-admiration.
Bien sûr que d’autres peuvent être « touchés par la grâce » de ce tableau, j’aimerai qu’ils m’expliquent les différents éléments ???
Et pourtant certaines oeuvres contemporaines peuvent me plaire mais là, j’ai beau écarquiller les yeux…
Snobisme quand tu nous tiens !
Gatienne
7 avril 2022 @ 19:16
Justement, Clarisse, le peintre qui a sa propre idée de ce qu’il veut représenter, nous laisse l’infinie liberté d’interpréter son univers onirique à notre guise, voire de ne pas y adhérer !
Ma rencontre avec son petit-fils fut passionnante: j’y ai découvert quelques clés pour voyager avec l’artiste prolifique, le poète surréaliste et l’homme secret brûlant d’un singulier feu intérieur, qu’il fut.
Aucun snobisme de ma part, je vous assure !
🇨🇦 Mer Limpide 🌊
5 avril 2022 @ 21:34
Pour 50 € .
Je le reproduit à l’identique.
Oui, oui promis, je peux .🟥🟧🟩🟦
Gatienne
6 avril 2022 @ 12:00
Non, ça c’est Vasarely ! 😄
🇨🇦 Mer Limpide 🌊
7 avril 2022 @ 13:38
Gatienne , rires 🤣 exact 😂
MARQUIS DE CARAMBA
6 avril 2022 @ 22:38
Joan Miro, appartient à cette période extraordinaire que représentent les artistes peintres qui se trouvaient en France pendant la période de l’entre guerre, 1918-1939, la fraîcheur et la modernité dans les compositions de Miro, est quelque chose qui manque cruellement dans le paysage artistique d’aujourd’hui, où aucun art digne de ce nom ne peut se comparer. Les prix atteints par les peintures de Bansky, sont une preuve a l’appui de cette situation anormale ou la « Cancel Culture » decide pour nous quelle sont les critères pour juger les mérites artistiques .