La maison de vente Osenat à Fontainebleau mettra en vente le 23 mars 2013 à 14h30 la collection du prince Victor Napoléon et de la princesse Clémentine de Belgique, composée de 227 lots. Parmi les lots de nombreux ouvrages, des gravures, de la vaisselle, des épées, du mobilier, des montres et bijoux mais aussi le journal intime de l’Aiglon. Cliquez ici pour visualiser le catalogue de la vente. (merci à Anne P. – Copyright photos : Osenat)
Rares projets d’éventails. La République tendant les bras au Général Bonaparte, accompagné de la Victoire et de la renommée. Le sacre de l’Empereur Napoléon Ier à Notre Dame. Paire de gravures dont une réhaussée d’aquarelle sur les visages. Sous verre. Cadres dorés de style empire à riche de décor de palmettes et foudres, l’un au monogramme B dans une couronne de lauriers et l’autre au monogramme N. B.E. Epoque Premier Empire. 15 x 42 cm. Provenance: Collections du Prince Victor Napoléon et de la Princesse Clémentine de Belgique. Ces projets auraient été présentés à l’Empereur Napoléon 1er
Ceciani, Ecole française du XIX siècle. L’Empereur Napoléon Ier en pied, saluant avec son chapeau. Sujet en bronze patiné. Sur socle en marbre rouge, gravé en façade: «A bord du Bellerophon». B.E Ht: 45 cm. Ht totale: 55 cm. Provenance: Collections du Prince Victor Napoléon et de la Princesse Clémentine de Belgique
Bague de fiançailles de l’impératrice Joséphine
Pendule « Les Maréchaux »
Service de l’empereur Napoléon III utilisé aux Tuileries
*gustave de montréal
6 mars 2013 @ 06:24
Le dessin de Victor-Napoléon sur son lit de mort me plaît. Ça représente bien la mentalité sinistre de l’époque. Pas de mèches de cheveux, masques de cire?
SylvieLaure
6 mars 2013 @ 07:13
Voici donc la suite et les photos de l’article de Régine en date du 19 février. On peut y voir la jolie bague, de Joséphine-Rose. Et le tableau de « l’Aiglon ». Les amateurs des « souvenirs » Napoléonniens, vont pouvoir les admirer au cours de la vente.
Certains bijoux privés, héritage de l’impératrice Eugénie, ont été légués à sa soeur Maria-Francisca, épouse du duc d’Albe, et se sont vus portés, notamment un beau diadème, par les membres de cette Noble Famille d’Espagne.
Il me semble aussi que Gloria de Taxis aussi à son mariage, arborait peut être ce même diadème, ou un autre ayant appartenu à l’Impératrice, veuve de Napoléon III
Quant à son voile (de mariée) peut être, il est dans les coffres de Marie Astrid de Hasbourg, née Luxembourg, qui l’a proposé à sa fille, et à Adelaïde, récemment.
Rose
6 mars 2013 @ 10:06
Les bijoux ont fait parler d’eux et l’état français a racheté le diadème porté par Gloria lorsque celle-ci l’a vendu au moment de la succession de son mari. Il est au Louvre.
J’ignorais la destinée du voile…Merci de nous appris cela ! mystère des ventes entre grandes familles probablement car je ne vois pas de lien généalogique entre Eugénie et Marie-Astrid (avec Joséphine, oui, par la reine Astrid qui descendait de la peine-fille de Joséphine, reine de Suède)
LPJ
7 mars 2013 @ 21:01
Le lien généalogique pour le voile serait sans doute à rechercher dans l’ascendance de l’archiduc Christian époux de Marie-Astrid, car ci celle-ci descend effectivement de l’impératrice Joséphine, son mari decend des Bonaparte. En effet la mère de l’archiduc est la Princesse Yolande de Ligne dont la mère Philippine de Noailles descendait du mariage célébré au milieu du second Empire entre le Duc de Mouchy (un Noailles) et la Princesse Anna Murat. Celle était la descendante de Caroline, soeur de Napoléon 1er, et par ce fait cousine de Napoléon III. Le voile fut peut-être donné à cette occasion, ,d’autant que la famille impériale s’était montré ravie du mariage d’une des leurs avec un Duc issu d’un e des familles très en vue de l’ancien régime. Les réactions du quartier Saint Germain, et donc de l’aristocratie royaliste, furent beaucoup moins enthousiasme !!! Et c’est par cette union que des Princes de Ligne, des Princes du Brésil (dont le chef de famille putatif) et des archiducs d’Autriche descendent des Bonaparte.
Lorenz
6 mars 2013 @ 16:57
Le diadème arboré par Gloria TuT le jour de son mariage a été effectivement créé pour l’impératrice Eugenie. Toutefois, il n’était pas propriété privée de la famille Bonaparte mais un des joyaux de la couronne de France et, comme tel, vendu aux enchères par la République en 1887. Acheté quelques années plus tard par le prince Thurn und Taxis pour sa femme (née Archiduchesse Marguerite d’Autriche), vendu par Gloria en 1992, maintenant exposé au Louvre.
LPJ
7 mars 2013 @ 21:08
Un certain nombre de biens furent considérés comme appartenant à l’Etat et donc soit vendus ou mis en musée. On peut toutefois ajouter qu’il y a eu après de nombreuses négociations et divers procès entre l’Etat et la famille impériale, un partage des biens. D’ailleurs à la mort de l’impératrice Eugénie en 1920, tout n’était pas réglé et le prince Victor, tant pour lui-même que pour ses enfants (la Princesse Clotilde avait ainsi fait l’objet d’un legs particulier dont des immeubles rue François 1er à Paris) dût poursuivre la procédure.
Au terme, il récupéra un certain nombre de biens et objets qui vinrent enrichir sa propre collection ayant hérité de souvenirs de la branche de son aieul Jérôme et ayant acquis un certain nombre d’objet, faisantt de sa résidence bruxelloise un véritable musée napoléonien.
jul
6 mars 2013 @ 08:00
Je me demande qui vend tout ça. Les enfants du Prince Louis ou ceux de la Princesse Clotilde ?
LPJ
6 mars 2013 @ 09:38
Dans un article de Point de Vue de la semaine dernière, il est indiqué que c’est la descendance de la Princesse Clotilde (1912-1996 ; fille du prince Victor et de la Princesse Clémentine)qui met en vente.
La princesse Clotilde s’était mariée au Comte Serge de Witt de 20 ans son ainé. Ce couple eut dix enfants dont deux morts en bas age.. L’ainée des filles, Marie-Eugénie, épousa successivement le Comte Pierre Cheremetiev et le Comte Hélie de Pourtalès, Duc de Sagan et n’a pas de postérité. Véra est l’épouse du Marquis de Commarque d’où deux fils ; le second épousa une Princesse de Hohenlohe-Langenbourg, petite-nièce de la reine d’Angleterre, puis après divorve Donna Ortensia Visconti di Modrone. Une autre fille est l’épouse du Marquis du Lau d’Allemans, d’où tros enfants et sept petits-enfants. La quatrième fille est l’épouse de Remmert Laan, un banquier d’origine néerlandaise, d’où trois fils. La dernière veuve avec deux fils d’un Baron Robert de Rancher, s’est remariée avec un financier français.
Les trois fils de la princesse Clotilde sont Beaudoin-Napoléon (créateur du musée napoléonien du chateau de La Pommerie en Dordogne ; époux d’une demoiselle de Rocca Serra d’où deux filles (Mme François de Montaudouin et Marquise de Villelume) et un fils), Jean-Jérôme (marié à une demoiselle de Dryver puis après divorce à Viviane Jutheau , avait opté pour la nationalité belge lors de son premier mariage et vit actuellement en Suisse où il a créé une usine d’horlogerie ; trois enfants de la première union) et un troisième marié successivement à l’autrichienne Marguerita Mautner von markhof puis à une demoiselle Martin-Flory (d’où trois enfants de chaque mariage).
jul
7 mars 2013 @ 07:20
Merci LPJ et Un petit Belge
Je ne lis plus PdV :/
mais je me réjouis des alliances de la descendance du Prince Victor :)
le Comte de Commarque a réussi là où l’Empereur Napoléon III avait échoué : s’allier à la Maison royale d’Angleterre par l’intermédiaire des Hohenlohe-Langenburg :)
Jean Pierre
7 mars 2013 @ 12:34
Plus simple Jul,la princesse Clémentine est quand même la fille du cousin germain de la reine Victoria et le prince Philip est le neveu d’une Bonaparte.
LPJ
7 mars 2013 @ 21:15
Par leurs alliances du XIXème siècle, les Bonaparte, et quasi uniquement la branche du roi Jérôme, aujourd’hui détentrice des droits dynastiques, sont apparenté&s aux familles impériales et royales d’Europe. Et cela continut puisque par le mariage Noailles-Murat au milieu du 19ème, nous trouvons des descendants chez les Habsbourg et les Orléans-Bragance. Et le Prince Napoléon actuel, par sa mère née Princesse de Bourbon-Siciles, se retrouve encore au coeur des cousinages du gotha.
Un petit Belge
6 mars 2013 @ 17:38
Réponse à Jul : les enfants de la princesse Clotilde (aujourd’hui décédée).
SylvieLaure
6 mars 2013 @ 08:09
La soeur de l’Impératrice, Maria Francisca, dite « Paca » et non pas Pippa, comme je l’avais dit ailleurs, était décédée, bien avant Eugenie.
La succession de l’Impératrice (une part de son héritage) a été faite, alors, pour ses neveux, chez qui son décès eut lieu en Juillet 1920.
Valeska
6 mars 2013 @ 09:21
Le journal intime de l’Aiglon…pauvre petit,le fil des jours d’une si courte vie…Il faisait des fautes d’othographe et de grammaire,et s’en excusait avec aplomb en opposant à ses précepteurs que son illustre Papa aussi,de toute façon :)…J’aimerais le lire,ce journal,mais pas le posséder,car je crois que ça me ferait l’effet d’une âme dans ma maison… :(
LPJ
6 mars 2013 @ 09:41
On peut remarquer qu’il ne s’agit là que d’une infime partie des collections du Prince Victor. Les pièces majeures sont depuis 1979 propriété de l’Etat français suite à un accord avec le Prince Louis, la Princesse Alix et la Princesse Clotilde.
Gérard
6 mars 2013 @ 10:42
Il a été écrit qu’il s’agit là des héritiers de la princesse Clotilde.
MoniqueDN
6 mars 2013 @ 11:24
J’aime beaucoup le portrait de l’Aiglon et la bague de fiançailles de la future impératrice Joséphine. C’est très triste de voir tous ces trésors s’envoler on sait où.
Kalistéa
6 mars 2013 @ 21:23
où donc Monique DN ?
Francine du Canada
6 mars 2013 @ 11:45
Cette bague est sublime; saphir et diamant c’est exactement ce que j’aime. Je serais curieuse de savoir combien elle se vendra.
JAY
6 mars 2013 @ 13:05
Certainement des descendants de Marie-Clotilde Bonaparte, fille de Victor, et epouse du Comte de Vitt. Ils eurent 10 enfants.
elle est decedée en 1996.
Aliénor
6 mars 2013 @ 17:26
Clotilde NAPOLEON épouse de Serge de WITT et filleule d ‘Eugénie. Il y a 9 enfants vivants, 23 petits-enfants et X arrière petits-enfants.
LPJ
7 mars 2013 @ 09:43
Aliénor,
Mon comptage est de 8 enfants survivants (sur les dix, deux sont morts très jeunes), 22 petits enfants et 19 arrières petits enfants.
M’en manquerait-il ? Merci de m’aider à compléter.
LPJ
7 mars 2013 @ 13:59
Voici la descendance à ce jour qui m’est connue.
Les dix enfants :
– Marie-Eugénie(1939) ep. 1°) Comte Pierre Cheremetiev (div) 2°) Comte Hélie de Pourtalès, Duc de Sagan, sans postérité
-Hélène (1941) ep. Henri, Marquis du Lau d’Allemans, d’où 3 enfants
– Napoléon (1942-1942)
– Yolande (1943-1945)
– Vera (1945) ep. Godefroi, Marquis de Commarque, d’où deux fils
– Baudoin (1947 ; propriétaire du chateau de La Pommerie en Dordogne où il a créé un musée de souvenirs napoléoniens et familiaux) ep. Isabelle de Rocca Serra (illustre famille corse), d’où trois enfants
– Isabelle (1949) ep. Remmert Laan, d’où trois fils
_- Jean-Jérôme (1950 ; prit la nationalité belge après son mariage ; a créé une horlogerie en Suisse où il réside avec sa seconde épouse) ep. 1°) Véronique de Dryver (div) ep. 2°)Viviane Jutheau (lors d’une précédente vente, elle racheta le sabre deu roi Jérôme, aieul de son époux), d’où trois enfants du premier mariage, aucun du second
– Vladimir (1952) ep. 1°) Margareta Mautner von Markhof (div., remariée à un Comte de La Forest-Divonne ; à noter qu’elle cousine avec le gotha : une de ses deux tantes maternelles a épousé un Prince de Hohenberg (une de leur fille a épousé un Archiduc d’Autriche, une autre un neveu du Grand-Duc Jean de Luxembourg), la fille de l’autre tante maternelle (mariée à un Comte von Thun-Hohenstein) a épousé un Prince de Liechtenstein) 2°) Françoise Martin-Flory, d’où trois enfants de chacun des mariages
– Anne (1953) ep. Baron Henry Robert de Rancher (+) 2°) Jean-François Victor-Michel, d’où deux fils du premier mariage et aucun du second.
Les petits-enfants (21) et arrières petits enfants (19) :
– Jean, Comte du Lau d’Allemans (1960) ep. 1°) Joy Gould-Ford (mariage annulé) 2°)Isabel Santo Tomas d’où uniquement les Comtes Serge (2001) et Armand (2005) issus du second mariage
– Comte Alexandre du Lau d’Allemans (1962) ep. Christel Schulte, d’où : Comte Stanislas (1991), Clémentine (1993) et Comte Sébastien (1996)
– Astrid du Lau d’Allemans (1963) ep. François-René Letourneur, d’où Lucretia (1995) et Hadrien (1997)
– Grégoire, Comte de Commarque (1967), sans alliance actuelle
– Comte Cyril de Commarque (1970) ep. 1°) Princesse Cecile de Hohenlohe-Langenbourg (div., sa grand-mère était la soeur du Duc d’Edinbourg) 2° Donna Ortensia Visconti di Modrone (petite nièce du cinéaste Visconti), d’où au moins une fille du second mariage
– Alexandra de Witt (1969) ep. François de Montaudouin, d’où Henri (1996), Elia (1998) et Thais (2001)
– Comte Jean-Emmanuel de Witt (1970) ep. Alexandra Cavard (elle est la marraine d’une des arrières petites filles de la reine Juliana des Pays Bas), d’où deux fils
– Laetitia de Witt (1974 ; biographe du Prince Victor Napoléon) ep. Jean, Marquis de Villelume, d’où Tamara (2008) et Hélie, Comte de Villelume (2012)
– Constantin Laan (1974), marié deux fois, d’où Clémentine (2012) du second mariage
-Adrien Laan (1977)
– Jérôme Laan (1981)
– Comte Alexandre de Witt (1971), marié deux fois, d’où au moins un fils de chaque mariage
– Marie- Clotilde de Witt (1977) ep. Janssens, d’où au moins un fils
– Iliona de Witt (1980)
– Elena de Witt (1977)
– Comte Victor de Witt (1979)
– Ségolène de Witt (1983)
– Hortense de Witt (1996)
_ Comte Dimitri de Witt (1997)
– Comte Igor de Witt (2001)
– Baron Charles-Louis Robert de Rancher (1981)
– Baron Edouard-Henri Robert de Rancher (1984.
Merci à ceux qui pourront compléter.
Francine du Canada
7 mars 2013 @ 16:59
Bon sang… pas de problème de relève ici ha! ha! ha!
LPJ
8 mars 2013 @ 09:42
Pour compléter : les fils du Comte Alexandre de Witt (1971) sont les Comtes Alexandre et Sacha, nés de mères différentes.
Mayg
6 mars 2013 @ 13:15
A qui appartient tous ces objets ? Dommage qu’ils soient vendus et donc dispersés…
COLETTE C.
6 mars 2013 @ 13:58
Que de trésors encore dispersés,surtout le journal de l’Aiglon, il me semble qu’il devrait rester dans la famille, de même que la bague de fiançailles de Joséphine !
philippe gain d'enquin
6 mars 2013 @ 20:29
Que la famille s’en dessaisisse, passe encore mais qu’une fois encore l’Etat ne fasse pas l’acquisition de ces deux éléments serait lamentable t scandaleux, et ce au titre que « L’Etat : c’est nous! ». Quant à l’étude, en ces temps de Carême, celà a son petit air de cantique assez amusant, surtout lorsque l’on sait le peu de cas que l’Empereur faisait de l’Eglise…
LPJ
6 mars 2013 @ 14:51
Le journal sans aucun doute.
Pour la bague de fiançailles ce serait plus aux nombreux descendants de Joséphine de s’en préoccuper (dont les familles royales de Suède, Danemark, Belgique, etc…). Les rapports Beauharnais – Bonaparte n’étaient pas au beau fixe !
Cosmo
7 mars 2013 @ 12:53
LPJ,
Jamais la reine Hortense ou le prince Eugène et encore moins l’Impératrice Joséphine n’ont dit du mal de Napoléon.
Le divorce les a meurtris, mais ils n’en ont pas moins conservé leur affection à celui qui les avait mis dans une position exceptionnelle, à laquelle aucun d’eux n’aurait pu prétendre par naissance.
Les rapports avec la famille de Napoléon, eux, n’étaient, en effet, pas au beau fixe. Mais avec qui les Bonaparte étaient-ils bien ?
Bien à Vous
Cosmo
LPJ
7 mars 2013 @ 21:11
Je pensais, Cosmo, bien entendu aux rapports du clan Bonaparte avec le clan Beauharnais. Le premier soupçonnant le second de vouloir les détroner dans le coeur de Napoléon. Et donc de les priver de ce que les Bonaparte considéraient comme leurs droits et héritage légitime !
HRC
20 mars 2013 @ 10:38
Napoléon estimait fort Eugène de Beauharnais et le disait bien plus fiable que sa propre parentèle par le sang. (de mémoire, par Jean Tulard)
Cosmo
6 mars 2013 @ 14:52
Le droit de préemption de l’Etat devrait être exercé au moins concernant le journal de l’Aiglon.
beji
6 mars 2013 @ 14:57
Même question que Jul.
Caroline
6 mars 2013 @ 19:07
Je partage évidemment les réactions de Monique DN,de Mayg et de Colette C.!
Que les musées achètent vite cette collection!
Nemausus
6 mars 2013 @ 19:39
Espérons seulement que les musées nationaux puissent acquérir les pièces les plus importantes historiquement afin d’en faire profiter le plus grand nombre.
LPJ
7 mars 2013 @ 09:37
Les pièces les plus importantes historiquement de la collection initiale du prince Victor sont déjà entrés, et ce depuis 1979, dans les collections nationales, grace à l’accord passé entre l’Etat et les enfants du Prince Victor.
G. St-Louis
6 mars 2013 @ 21:24
J’espère que le Musée des Beaux-Arts de Montréal déjà dépositaire de la Collection de feu Ben Weider va se porter acquéreur de quelques pièces.
Francine du Canada
7 mars 2013 @ 18:28
Croyez-vous que ce soit possible? Ne me faites pas languir… car moi, pour voir le journal de l’Aiglon… je fais la queue… sérieusement là…
erwan
7 mars 2013 @ 01:35
Une dispersion regrettable.
Je ne souhaite pas que l’Etat français dépense ici ce qu’il n’a pas sauf à réduire son personnel ou le montant des traitements et avantages dispensés.
Mission impossible.
Il reste quelques mécènes, en France, après la disparition de l’exceptionnel Jacques Rigaud obsédé par l’essentiel.
SylvieLaure
8 mars 2013 @ 23:40
Tous mes remerciements à LPJ et Lorenz.
Sébastien
25 mars 2013 @ 12:56
La bague de fiançailles a été adjugée 896 400 EUR à un collectionneur étranger :
http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/la-bague-de-josephine-vendue-896-400-eur-25-03-2013-2669245.php