Dans le cadre de la vente « la Royauté à Versailles », la maison Osenat présentera aux enchères le 24 mai des souvenirs historiques de la reine Marie-Antoinette. Parmi les lors, une serviette que la reine utilisa lors du repas du sacre de son époux le roi Louis XVI. Elle est estimée à plus de 2 000 euros. Elle fut conservée par son aumônier, Monseigneur de Coucy. (merci à Jean-Marc)
Auberi
22 mai 2020 @ 08:22
Beurk. Dégoûtant. Comment peut-on collectionner des trucs pareils ! Et comment prouver l’authenticité du linge souillé ? L’ADN de salive Halsbourg a-t-il été prélevé ?
Si cela était, vu le nombre de taches, la reine devait se baffrer de civet de sanglier (tué la veille par son époux illustre of course). Rebeurk 😣
luigi
23 mai 2020 @ 10:41
à AUberi, 1775, le sacre ! une serviette de cet âge peut présenter quelques tâches, des rousseurs, qui n’ont rien à voir avec des souillures et un baffrage de civet de sanglier, et puis où a-t-elle trainé la dite serviette depuis ?
Auberi
24 mai 2020 @ 16:42
Oui pas faux Luigi, mais bon… rien ne prouve son authenticité. C’est peut-être le mouchoir d’un aubergiste enrhumé a un covid du XVIIIe 😊
luigi
25 mai 2020 @ 14:39
🤪
septentrion
22 mai 2020 @ 08:34
Cette serviette n’est pas ce qu’il y a de plus joli mais je pense que l’enchère sera dépassée.
A noter aussi la vente d’un bracelet commandé par Albert de Saxe (1828-1902) pour son épouse, la Princesse Caroline de Holstein Gottorp, Carole de Wasa (1833-1907).
https://www.interencheres.com/meubles-objets-art/la-royaute-a-versailles-267702/lot-23970305.html
Cosmo
22 mai 2020 @ 09:01
2000€ ? C’est une plaisanterie. Tout ce qui touche à Marie-Antoinette voit son prix s’envoler.
Attendons les résultats !
Lisa L.
24 mai 2020 @ 21:07
En effet, elle est partie à 14500 euros.
Corsica
24 mai 2020 @ 22:48
Mon cher Cosmo, elle a été adjugée à 14 500 euros, soit 7 fois son estimation. Bonne semaine.
Juanaise
22 mai 2020 @ 09:08
Jean-Pierre Osenat, spécialiste des ventes « Grand Siècle » (XVII/XVIII è) avec comme fond de commerce « Versailles »… Chaque vente qu’il organise vise en priorité le marché des clients des USA.
Baboula
22 mai 2020 @ 11:28
Vous oubliez Napo 1er .
Juanaise
22 mai 2020 @ 12:48
Baboula, le « spécialiste » Empire est plutôt son associé Jean-Christophe Chataignier, mais c’est la même équipe… nous n’allons pas nous crêper le chignon ! 🤣🤣🤣
Muscate-Valeska de Lisabé
22 mai 2020 @ 09:20
Fétichisme morbide.
J’imagine le prix qu’atteindrait l’une de ses culottes🙄🙄🙄…
Quand l’humain cessera-t-il d’être aussi idiot que grandiose?
Clémentine/Lola 1
22 mai 2020 @ 12:12
Excusez moi, mais « non lavée » en plus…oh oui morbide !
Denis
22 mai 2020 @ 13:50
Vous oubliez qu’à cette époque, on ne portait aucune culotte !
ciboulette
23 mai 2020 @ 16:01
Tandis qu’à notre époque , oui ! Et c’est ainsi qu’une culotte de la reine Elisabeth II s’est retrouvée en vente sur internet ! Et ce n’est pas , comme vous pourriez le penser , son prix , ses dentelles qui ont intéressé les acheteurs , mais …sa taille ! Ce qui , malheureusement , est demeuré secret !
Muscate-Valeska de Lisabé
23 mai 2020 @ 18:50
Un panty à frou-frous?
Clémentine/Lola 1
24 mai 2020 @ 11:46
Je dirai même un panty à trou unique…il me semble comme nos arrières
grands mères !
Muscate-Valeska de Lisabé
25 mai 2020 @ 15:45
Ah ben oui…c’est vrai…il paraît selon Maman que ma mémé Harant-Leppinoy en portait…c’était mon arrière-grand-mère franco-belge.
Baboula
23 mai 2020 @ 09:23
On a déjà eu en vente une culotte de la reine Victoria .
ciboulette
24 mai 2020 @ 14:36
Enorme , si je me souviens bien !
Muscate-Valeska de Lisabé
25 mai 2020 @ 15:46
Ajustée au corps royal et impérial😉.
Philippe Gain d'Enquin
26 mai 2020 @ 11:22
le séant royale et impérial ou l’impact produit par ce qui n’était en fait qu’une montgolfière fonctionnant au (x) gaz ?
Philippe Gain d'Enquin
26 mai 2020 @ 11:22
« Royal » le,séant…
Charlotte (de Brie)
22 mai 2020 @ 09:54
Coucy le Château ? en Champagne ?
Ce n’est pas le genre de souvenir que j’achèterais, même si cette serviette conserve celui du repas…
COLETTE C.
22 mai 2020 @ 10:25
Emouvant.
Pimont
22 mai 2020 @ 11:49
Tout ce qui approche cette reine voit les prix s »envoler surtout quand ça la concerne de très près.
Récemment une feuille de papier toilette à ses initiales surmonté de la couronne royale à vu son estimation décuplée.
ciboulette
23 mai 2020 @ 18:38
Pardon , Pimont , je pose une question bête et méchante : comme la serviette que nous voyons plus haut , ce papier avait-il servi , ou non ?
Sébastien
22 mai 2020 @ 11:00
Cette serviette ferait une belle acquisition pour le Palais du Tau à Reims.
Ripley
24 mai 2020 @ 09:56
Oui ça devrait rendre Reims moins insipide c’est certain👍
framboiz07
24 mai 2020 @ 20:58
Certes, mais il manque d’argent , devant de tels tarifs …Le thème du musée , c’est effectivement les sacres !
Philippe Gain d'Enquin
22 mai 2020 @ 11:17
Ce qui est extraordinaire étant qu’elle soit demeurée dans la descendance de ce saint hommes.. Le drolatique s’alliant parfois aux opportunités, il serait appréciable que Patrick Sébastien l’achète et la fasse « tourner », et « tourner » et « tourner ». encore..
Philippe Gain d'Enquin
22 mai 2020 @ 11:21
Au fait, comment çà va ? « Cou cy, » cou çà… » Ça vous la coupe, hein ?Bon, alors jee range ce dossier dans ma serviette, PGE
aubert
22 mai 2020 @ 12:54
Ce blog est désopilant pour le plus grand bonheur de tous.
Associez les commentaires de Philippe Gain d’Enquin à ceux de Hervé J Volto et vous passerez, chers amis , un moment que seul N&R peut offrir au lecteur.
Philippe Gain d'Enquin
23 mai 2020 @ 14:00
Si vous saviez à quel point j’ai « sué sang et eau » pour ce court message, et combien mon modeste mouchoir y a pris des allures de Saint-Suaire, la ci-devant royale serviette passerait à la trappe !!! Ceci dit, me trouvant pour une fois comme le regretté Léon Zitrone, « sans son », je m’efface Bien amicalement à vous, cher Aubert. Pge
Hervé J. VOLTO
22 mai 2020 @ 11:33
Depuis 2006… la basilique de la Steccata à Parme, en Italie, abrite le musée de l’ Ordre Constantinien de Saint-Georges -obédiance paremsanne- qui contient des monnaies de l‘ancien Duché de Parme, des médailles et des colliers de l’Ordre… et aussi des reliques de la Maison de Bourbon : on y trouve entre autre la chemise que Louis XVI portait le jour de son exécution -il y a encore du sang dessus !- l’acte de condamnation de la Reine Marie-Antoinette et… un morceau du cadre de la porte en bois de la cellule de Louis XVII, l’infortuné Enfant-Roi du Temple !
Parme ! les Français connaissent cette plaisante, élégante et romantique ville à travers l’oeuvre inoubliable de Stendhal ” La Chartreuse de Parme ”.
De fondation étrusque, la ville de Parme, ville d’art et cité natale de l’épouse de votre serviteur, se développa à l’époque romaine avant d’être cédée au Saint-Siège en 1512 et devenir la capitale de la principauté Ducale de Parme-Plaisance-Guastalla-et-Etats-Annexés (dont le Royaume d’Etrurie!), et dont les Ducs Souverains furent les Farnèse jusqu’en 1731 puis les Bourbons jusqu’en 1860, date où Parme fut annexée par le Royaume de Piémont Sardaigne qui unifia l’Italie un an plus tard. Ancienne Préfecture de ce qui sous Napoléon fut le Département Français du Taro , la ville de Parme conserve un charme et un romantisme indéniable.
Ha! se balader sur le long de la rivière Parme, dont la ville tire son nom et, de là, descendre en contrebas à la Piazza della Ghiaïa avec ses jolies boutiques anciennes, quartier pittoresque d’où est originaire la famille de l’acteur Lino Ventura.
Flâner en centre ville sur le Stradonne ou grande avenue, qui fut conçue sur le modèle des Champs Elysées avec ses contre allées, ou encore faire une passegiatta au coeur de la ville, là où, dans l’air embaumé d’un léger parfum de violette, l’on entend encore résonner le bruit des calèches qui emmenaient les arrière-grand-mères de nos cousins transalpins dans quelques salons de thés élégants prendre un capuccino et un briosce (prononcer brioche), ce que les parmesans BCBG font encore aujourd’hui, ou votre modeste serviteur et son épouse parmesanne, une historienne de l’art spécialisée dans l’art Chrétien et habituée du Caffé Cavou , un lieu élégant où on vous sert en gants blancs.
Visiter l’ensemble romano-gothique de la cathédrale (coupole peinte par le Corrège), de la Basilique San Giovanni (où se trouve la statue miraculeuse du Sacré-Coeur de Parme dont le coeur saigne aussi pour la France !) et le Baptistère… et l’incontournable basilique de la Steccata : lorsque les Royalistes Français et Carlistes espagnols visitent Parme, ils savent que la basilique de la Madona della Steccata (Madone de la Palissade) abrite dans sa crypte le Saint-Denis des derniers Farnèse et des premiers Bourbon-Parme, ainsi que le tombeau du Prince Charles Hugues, rappelé à Dieu en 2010 ! http://royaute-news-archives.eklablog.com/maisons-royales-et-princieres-c21041352/3les-et-princieres-c21041352/3
Depuis 2006… la basilique de la Steccata abrite donc le musée de l’ Ordre Constantinien de Saint-Georges qui contient des monnaies de l‘ancien Duché de Parme, des médailles et des colliers de l’Ordre… et aussi des reliques de la Maison de Bourbon : une idèe de weekend à deux… ou en famille !
L’air de enchanteur de Parme nous ferait presque oublier la terrible menace qui pèse sur tout l’Occident Chrétien …
Car les Royalistes Français savant que les Bourbons-Parme, dont les seuls véritable joyaux sont les princesse Marguerite et Caroline, descendants du Roi de France Louis XIV et de son petit-fils Philippe V d’Espagne, jouent une rôle dans la préparation des esprits au retour du Roi en France, soutenant la candidature du Prince Louis-Alphonse de Bourbon, et possèdent une histoire familiale pétrie par un Chrisitianisme profond, qui conduit à prendre des engagements pour la défense des grandes valeurs humaines sans lesquelles les titres ne valent rien. Cette saga familale est aussi une saga des pleuples auxquels elle se mèlent. Avec les Bourbons-Parme, c’est l’histoire de la France, de l’Espagne et de l’Italie qui défilent sous nos yeux…
Pascal
22 mai 2020 @ 17:28
Une famille intéressante les Bourbon-Parme , très liée à l’histoire et aux dynasties européennes comme vous le signalez , dans laquelle je me perds encore très facilement.
Une fortune qui était semble t’il il y a encore peu de temps assez considérable et si j’ai bien suivi héritière de la succession du comte de Chambord (dont certains bijoux ou pierres provenant je crois de la reine Marie-Antoinette et passés aux Bourbon-Sicile espagnols ?)
Mais pour ma part je m’en tiendrai au jambon et éventuellement au parmesan mais bien sec .
Ghislaine-Perry
23 mai 2020 @ 14:52
L’italie dans son ensemble me plaît énormément mais j’ai deux lacunes majeures me semble t il à vous lire , je ne connais ni Parme ,ni Rome .
Grâce à votre commentaire détaillé , j’ai appris que Lino Ventura était né dans la région de Parme et que Carl Hughes de Bourbon Parme y était inhumé .
Merci
Hervé J. VOLTO
22 mai 2020 @ 11:38
Pour appronfondir sur la ville de Parme, sur le musée Cosnatainien à parme et sur les reliques de la maison Royale de France :
LETRRE DE PARME
https://francechretienne.forumactif.com/t794-lettre-de-parme
Esquiline
23 mai 2020 @ 13:34
Parme est cette année la capitale Italienne de la culture.
Quelle malchance que cette épidémie pour cette belle ville où demeure si vivant le souvenir de Marie Louise.
Hervé J. VOLTO
22 mai 2020 @ 11:41
Pardonnez-moi : j’écrit depuis l’Italie, avec un ordinateur italien et je ne posède pas de programme de correstion en Français.
Je disais donc… Pour appronfondir sur la ville de Parme, sur le musée Constantinien à Parme et sur les reliques de la maison Royale de France :
LETRRE DE PARME
https://francechretienne.forumactif.com/t794-lettre-de-parme
Merci
Ghighi
22 mai 2020 @ 18:46
Parma ! Ma ville préférée.
Que de beautés !
Léa 33
22 mai 2020 @ 12:07
Bonjour
Cela se rapproche du fétichisme, l’authenticité de ce genre d’objet me pose question ! Quant au retour de la monarchie en France, nous avons déjà la monarchie républicaine, laissons les Orléans et les Bourbons à leurs batailles perdues d’avance ! Pour la serviette de la reine Marie-Antoinette, pour revenir au sujet de cet article, je ne ferai aucune enchère !
Elsi
22 mai 2020 @ 12:39
Au moins une chose de positif … si du temps de Marie-Antoinette le Corona existait sous une forme ou autre, il a eu largement eu le tems de crever….
Gérard
22 mai 2020 @ 12:52
Cette grande serviette rectangulaire, 105 x 75 cm (tâches, usures), de vers 1775, damassée, agrémentée d’un décor de fleurs de lys dans des couronnes feuillagées sur le pourtour et d’un bouquet de roses au centre, s’accompagne d’un billet à la plume conservé sous verre : « Serviette ayant servi à Marie Antoinette pendant le sacre, et qui a été conservée par Mgneur de Coussy qui s’en est servi durant son émigration et de qui nous la tenons. »
Jean-Charles de Coucy (1746-1824) né le 23 septembre 1746 au château d’Écordal dans le Rethelois (Ardennes), de la famille des sires de Coucy en Champagne, fut nommé aumônier de la reine par brevet du 28 janvier 1776, et dernier abbé commendataire de Notre-Dame d’Igny, près Reims, puis chanoine de Reims et le 23 octobre 1789 grand vicaire du cardinal de La Roche-Aymon, puis il fut nommé par le roi évêque de La Rochelle, ce que le pape Pie VI confirma le 14 décembre, mais son siège avait été supprimé dès le 12 novembre 1789 par la Constitution civile du clergé et remplacé par un unique diocèse départemental, c’est alors que fut arrêté l’évêque de Saintes, le bienheureux Pierre-Louis de La Rochefoucauld-Bayers, exécuté lors du massacre de la prison des Carmes en 1792, et il y eut un évêque constitutionnel de 1791 à 1797 élu par les électeurs de Charente-Inférieure le 27 février 1791, le père Isaac-Étienne Robinet, curé de Saint-Savinien-du-Port (après l’abolition des cultes, il se démit le 6 décembre 1793).
Les convictions de Coucy le conduisirent à s’exiler en Espagne en 1791. Ce fut une période difficile. Installé à Guadalajara, il organisa une caisse d’entraide mutuelle entre exilés et sollicita le soutien financier du haut clergé espagnol. Après la mort du roi il adressa depuis l’Espagne une lettre aux clercs et fidèles de son diocèse sur cette « mort sacrilège ».
Il refusa sa démission à Pie VII en 1801, contribuant par ce refus à susciter le schisme de la Petite Église des Deux-Sèvres. Réfractaire à la Constitution civile du clergé, il devint également réfractaire au Concordat. En 1803, sur un rapport de Dupin, préfet des Deux-Sèvres, Bonaparte demanda au roi d’Espagne de procéder à l’arrestation de Coucy. Il fut alors emprisonné et ne sortit qu’en 1807, sur les instances de l’abbé Jacques-André Émery (1732-1811) qui voulait améliorer les rapports de l’Église et de l’État, et du cardinal Fesch, oncle de l’empereur.
Il revint en France en 1814. Durant les Cent-Jours, il accompagna le roi Louis XVIII à Gand. En 1816, il donna enfin sa démission au roi de l’évêché de La Rochelle et il fut nommé archevêque de Reims le 8 août 1817, en récompense de sa fidélité aux Bourbons. En 1819, il désapprouva publiquement le mouvement de la Petite Église qui persistait. Il fut créé pair de France le 31 octobre 1822. Il mourut à Reims le 9 mars 1824 l’année d’avant le sacre de Charles X.
Après le sacre la reine écrivait à l’impératrice sa mère : « Le sacre a été parfait […]. Les cérémonies de l’Église [furent] interrompues au moment du couronnement par les acclamations les plus touchantes. Je n’ai pu y tenir, mes larmes ont coulé malgré moi, et on m’en a su gré […]. C’est une chose étonnante et bien heureuse en même temps d’être si bien reçu deux mois après la révolte, et malgré la cherté du pain, qui malheureusement continue. »
« La belle journée, je ne l’oublierai de ma vie ! » devait dire la reine.
Le festin du sacre au palais archiépiscopal du Tau a été peint par Gabriel-François Doyen (1726-1806) et l’œuvre est au château de Versailles. Doyen, premier peintre du comte d’Artois, s’était vu confier par la ville de Reims la décoration urbaine des fêtes du sacre de Louis XVI.
Cette serviette avait déjà été vendue aux enchères le 8 mars 1979.
aubepine
22 mai 2020 @ 13:15
Oui Muscate ,comme vous je trouve cette dévotion morbide ; certes ce qui touche à la reine est précieux mais pas au point d’acheter n’importe quoi …..qui prouve que cette serviette n’était pas à quelque voisin de table de la souveraine …..
Gérard
23 mai 2020 @ 16:52
Elle devait avoir le roi pour voisin mais on ne voit pas pourquoi le roi aurait donné sa serviette à l’aumônier de son épouse.
Alinéas
22 mai 2020 @ 16:32
Estimation à plus de 2000 € ! Même pas jolie pour être collectionnée Je ne me risquerais pas de surenchérir ; je préfère mettre mon argent ailleurs !
Teresa2424
22 mai 2020 @ 19:43
Coincido con « Lisabe Muscate… »
marianne
23 mai 2020 @ 10:07
Du lin damassé ? Oui, après un cycle coton 95° avec prélavage , je veux bien …
Baboula
24 mai 2020 @ 11:11
On ne peut même pas en faire des masques.
marianne
25 mai 2020 @ 05:26
Elle vient d’ être vendue 14.500 € .
Muscate-Valeska de Lisabé
25 mai 2020 @ 15:49
Et pourquoi l’abbé avait-il fait main basse sur cette relique,en fait?
Elle a du en user,Marie-Antoinette,des serviettes…🙄