En vente depuis près de 5 années, le château de Robien qui date du 18ème siècle, est situé près de Quintin dans les Côtés d’Armor. Son prix de vente aurait été diminué au fil du temps. Le château compte 14 chambres et un domaine de 136 hectares. (Source : Ouest-France – Copyright photos : Barnes – Merci à Blouin)
DEB
23 février 2018 @ 06:05
La photo est prise par temps clair et je vois qu’on aère le château, sans doute pour enlever l’ humidité car il faut quand même 35.000 litres de fuel pour chauffer le château.
Une centaine de fenêtres aussi.
Rien que ces deux données ont dû décourager les acheteurs.
C’est là qu’un « national trust « serait nécessaire car il a permis de sauver pas mal d’édifices et même de villages au royaume uni.
Il existe bien la fondation du patrimoine mais son aide est indirecte.
Perdre une maison est toujours triste et la propriétaire a dû chercher des solutions ( un projet de golf n’a pas abouti) avant de se résoudre à vendre.
Christian
23 février 2018 @ 12:57
Comme dans beaucoup de châteaux, seule une partie de la demeure est chauffée. Les 35.000 litres de fioul annoncés paraissent bien insignifiants en regard de la dépense de chauffage d’autres édifices du même genre, chauffés en totalité. Ce qui n’enlève rien à l’importance de la dépense.
no
30 octobre 2018 @ 16:22
sans commentaire quand on y jamais mis les pieds et lorsque l’on ne connait ni l’histoire du lieu, ni les enjeux familiaux qui en découlent…
Bételgeuse70
23 février 2018 @ 07:52
« Au plaisir de Dieu », comme disait l’autre.
JAY
23 février 2018 @ 08:26
Tout cela semble d un grand tristesse …. meme si le batiment semble lui plutôt en bon etat exterieur !
A qui appartenait il ?
Philippe Gain d'Enquin
23 février 2018 @ 12:32
peut-être à la famille éponyme ; il me souvient que l’un des hommes politiques de la droite française des années 19702000 se prénommait Gilles et portait haut ce patronyme.
DEB
23 février 2018 @ 12:54
Oui mais c’est une autre branche de la famille.
Ghislaine-Perrynn
23 février 2018 @ 16:00
suivant par la même la destination de ses prédécesseurs qui ont donné au moins quatre Présidents du Parlement de Bretagne .
800 ans de continuité avec une légère interruption a la révolution , quand même !
Triste .
Danielle.
23 février 2018 @ 16:18
PGE, tout à fait, il y a même une loi de Robien en immobilier ; c’est immédiatement ce à quoi j’ai pensé en voyant cette image.
Belle bâtisse qui semble bien entretenue.
Muscate-Valeska de Lisabé
23 février 2018 @ 18:29
Gilles de Robien était un homme très séduisant.
Vraiment.
AnneLise
23 février 2018 @ 20:34
Gilles de Robien, était issu de la branche aînée de cette famille, bretonne, mais lui était Picard !
Notamment par sa mère née Le Mesre de Pas, famille de l’Artois, il est apparenté à Philippe de Hauteclocque, dit » Maréchal Leclerc »
Le château appartient à une de ses lointaines cousines.
Antoine
24 février 2018 @ 12:20
AnneLise, c’est la comtesse de Kersaint qui était issue de la branche aînée, avec ses trois soeurs : l’aînée religieuse dominicaine, la comtesse Xavier de Couessin et la comtesse Emmanuel de Robien (autre branche). En l’absence d’héritier mâle, le titre de marquis de Robien est passé aux Robien-La Chapelle. Gilles de Robien est issu d’une branche cadette plus éloignée, fils du vicomte Jean.
AnneLise
25 février 2018 @ 11:34
OK, Antoine, mais comme je ne fais appel qu’à mes souvenirs, j’ai fait une erreur !
Mea Culpa
AnneLise
23 février 2018 @ 20:44
J’ajoute que je ne sais pas ce que vous voulez dire par « porter haut ce patronyme », il portait son nom, comme je porte le mien et vous le vôtre !
Margaux ?
24 février 2018 @ 11:15
Absolument. Pour bien le connaître, je peux vous assurer que s’il était fier de son nom (car il est fameux), il n’en faisait pas un pataquès. C’est quelqu’un de très simple, conscient que chacun est appelé à jouer un rôle important dans la société, en toute humilité.
AnneLise
25 février 2018 @ 11:32
Oui, Margaux, si je me suis permis d’écrire ceci c’est que je l’ai côtoyé à plusieurs reprises, étant dans la même formation politique que lui. avec ceux que l’on n’appelait pas la « génération Giscard », mais les Jeunes Giscardiens, avec François Léotard, Dominique Bussereau, Jean Pierre Raffarin etc à l’époque de notre jeunesse !
Et je suis bien d’accord, c’est un homme bien.
aubert
25 février 2018 @ 12:58
Dans une famille amie la belle-mère était Robien, la belle-fille, fille d’une Rohan. Le fleuret moucheté sur l’importance de l’une et l’autre famille n’était pas rare.
Margaux ?
26 février 2018 @ 16:24
Je vois qu’il a conquis plein de sympathies. Je le connais par le hasard des alliances dans la famille, ce fut une belle rencontre et les « revoyures » sont toujours plaisantes.
Chrislylou
23 février 2018 @ 21:50
Oui PGE , j’habite cette ville d’Amiens ou il fût maire : Gilles de Robien
Claude-Patricia
25 février 2018 @ 17:30
Oui je pensais aussi à lui!! Qu’est ce qu’il devient?
Gatienne
23 février 2018 @ 10:13
Et cela ne se vend pas, évidement, au prix demandé (2 millions d’euros) même si celui-ci a été divisé par deux en cinq ans de mise sur marché !
Austère, gris, isolé, nécessitant de gros travaux d’aménagement et de mise aux normes, il n’est pas à la portée d’un particulier. Quant au chaînes hôtelières, il y a tellement de biens de ce type sur le marché, que celui-ci risque de rester endormi encore de nombreuses annnes sauf à le brader !
Muscate-Valeska de Lisabé
23 février 2018 @ 18:29
Oui chère Gatienne…austère, gris,isolé, voir un peu désolant et désolé. ..ce château ne m’enchante pas.
Noblesse et Royautés se la joue »Belles demeures »..;-)).
Antoine
23 février 2018 @ 11:18
Avant que la question ne soit posée, cette élégante demeure était propriété de la comtesse Armand de Kersaint, née de Robien. De nos jours, il est quasi impossible pour des particuliers d’entretenir de telles maisons. Tôt ou tard on est amené à s’en séparer. Mieux vaut se faire une raison… Près de Robien, on peut visiter le château de Quintin où l’on est toujours bien accueilli par la famille Frotier de Bagneux.
Pierre-Yves
23 février 2018 @ 11:19
J’imagine que quand on vend une telle propriété, château, batiments et terres, on doit éprouver un sentiment contradictoire de tristesse et de soulagement. Etre celui qui se retrouve contraint de se débarrasser du patrimoine ancestral, c’est douloureux, mais en même temps, ne plus avoir cette énorme charge sur les épaules, et penser qu’on va peut-être enfin vivre normalement, ça délivre d’un grand poids.
l'Alsacienne
23 février 2018 @ 15:18
Tellement vrai ce que vous dites Pierre-Yves,
Devoir vendre le patrimoine transmis n’est pas facile et culpabilisant pour celui qui prend la décision. Mais soulagement aussi, quand on s’est retiré une épine du pied et débarrassé de lourds soucis.
Cosmo
23 février 2018 @ 11:19
Architecture superbe ! En quel état est-il ?
Laure2
23 février 2018 @ 17:36
habitable
Caroline
23 février 2018 @ 11:26
Si on souhaite passer des vacances en famille dans la tranquillite, on serait tente d’ acheter ce chateau si on a les moyens de l’ acquerir !
Faut-il faire de gros travaux dans l’ interieur de ce chateau encore intact de loin?
Cosmo
23 février 2018 @ 16:59
Caroline,
Il est probable que le propriétaire actuel le vende car il ne peut faire face aux travaux nécessaires et surtout à l’entretien qui doit être abyssal.
Cosmo
Bernadette
23 février 2018 @ 12:10
Encore un château vendu ! J’espère que ce ne sera pas aux chinois ou aux américains
…
Esquiline
23 février 2018 @ 13:05
Qu’attendent les Français?
Il y a 5 ans qu’il est en vente.
Baboula
23 février 2018 @ 13:44
Qui eux l’entretiendraient avant qu’il ne tombe en ruine .Quand on aime un bien on doit savoir s ‘en séparer pour qu’il ne disparaisse pas. Ou bien on le rase et basta !
Cosmo
23 février 2018 @ 16:58
Mieux vaut des Chinois ou des Américains que personne ! Sans acquéreur ce château va rapidement se dégrader. Et il ne faut pas oublier que si Versailles a été sauvé, c’est grâce aux Américains. Ne connaissant pas le propriétaires actuels, je en serai pas ennuyé de ne pas être invités par les futurs propriétaires, quel qu’ils soient.
Baboula
25 février 2018 @ 12:16
Cher Cosmo ,les mécènes américains n’en ont que plus de mérite puisqu’ils n’en sont pas devenus les propriétaires .Les milliardaires de Chine ou du Golfe demanderaient sans doute les clefs .
Bambou
24 février 2018 @ 06:27
Vendu à qui en voudras, puisque les acheteurs ne semblent pas se bousculer au portail ! Sinon…portez vous acquéreur…
aubert
25 février 2018 @ 13:00
Puisqu’il doit s’écrouler avec un français, laissons le debout avec un américain ou un chinois, tous aussi braves gens que nous.
Francois
23 février 2018 @ 12:42
Très beau château tres bien proportionné
Hélas oui il faut se faire une raison
Il y a tellement de châteaux en France que même lorsque
l’état les rachete il n’est pas sûr qu’ils puissent être entretenus
Les coupes sombres sont inéluctables
Quand on pense à la charge incombant aux propriétaires
Il faut au moins qu’après il y ait l’espérance d’une suite
Et de nos jours les successeurs ou successibles sont rares
Rares à vouloir continuer
Tristesse d’une civilisation qui s’achève
Denis
23 février 2018 @ 12:53
Ces châteaux bretons, que j’ai pour la plupart visités, ont des façades d’une austérité assez peu engageante! je comprends que celui-ci ne se soit pas vendu…problème d’esthétique et de localisation géographique, à l’évidence, plus que de prix …
Margaux ?
24 février 2018 @ 11:18
C’est un des rares châteaux bretons qui reste bâti exclusivement avec les matériaux locaux. La pierre grise est typique de la Bretagne. Le propriétaire actuel ne va pas le repeindre en rose pour faire plaisir aux investisseurs ou aux touristes.
Ghislaine-Perrynn
27 février 2018 @ 17:57
Denis,, le matériau breton par excellence est le granit pour une grande partie ouest et nord ouest de la Bretagne , pour une petite partie du Morbihan qui, du côté des Landes de Lanvaux utilise une pierre également de la région le schiste .
Schiste qui donne une certaine allure à la moindre maisonnette (pen-ty)
Le granit est soit gris , soit rose dans le nord de la Bretagne .
Les manoirs , châteaux, sont en général en granit gris .
Cette couleur et la matière sont austères mais élégantes , il s’en dégagent un réel cachet .
Gérard
23 février 2018 @ 12:53
À mon sens peu importe la nationalité de l’acquéreur pourvu qu’il restaure et ne dépèce pas.
Claude-Patricia
23 février 2018 @ 12:55
Un petit musée d’histoire locale?
Claude-Patricia
23 février 2018 @ 13:02
Si les milliardaires français faisaient quelque chose…je sais certaines entreprises ne sont pas très rentables, comme les petites lignes sncf mis c’est la France et son passé glorieux, vraiment si ils se bougeaient un peu au lieu d’aller dans les paradis fiscaux. Notre pays est très aimé, il signifie beaucoup pour des visiteurs, l’amour la liberté le romantisme. Mais voilà, on préfère aller ailleurs.
Christian
23 février 2018 @ 13:11
C’est une belle propriété, en bon état, ce qui est remarquable pour ce type de bien : château ayant connu peu de réfections intérieures/extérieures ces cinquante dernières années. Le revers de la médaille, c’est que rien n’est aux normes, même pour l’accueil des visiteurs. L’ensemble de la fenêtrerie est à refaire avec d’importants travaux de ré-isolation à mener, l’installation énergétique est également à revoir ; s’il est projeté d’ouvrir ce bâtiment au public, il faudra réaménager l’intérieur et les accès, voire ravaler le bâti. Ça peut effectivement constituer une dépense assez lourde et qui, rapportée au prix d’achat, peut ne pas s’avérer intéressante pour l’investisseur. Joli château risque donc bien de rester endormi encore quelques années.
M.de B.
23 février 2018 @ 14:04
Un chemin de randonnée passe à proximité de ce château. On peut voir qu’ il y a de très gros travaux à prévoir, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. Un fort sentiment d’abandon s’en dégage et c’est bien dommage. Qui va le sauver de la « ruine » ?
Leonor
23 février 2018 @ 14:12
Je saurais bien quoi faire des quatorze chambres , mais …
j21
23 février 2018 @ 14:12
Ce château me plait bien!
fanie
23 février 2018 @ 15:31
personne de partant pour en faire un habitat collaboratif?
Dominique
23 janvier 2019 @ 18:47
C’est une excellente idée avec un projet d’agriculture bio, un projet viticole et un lieu d’art se serait un super projet !!
COLETTE C.
23 février 2018 @ 17:14
Très beau, comme tous les châteaux bretons….. (Je suis d’origine bretonne !)
ciboulette
23 février 2018 @ 18:15
Il est très beau , mais ce doit être un gouffre financier …Je me demandais , comme PGE , si cette famille avait un lien avec le ministre Gilles de Robien . Que faire pour que ce beau bâtiment ne se dégrade pas et reste entre des mains françaises ?
Gérard
23 février 2018 @ 18:46
Le château actuel a été construit en 1745 pour Christophe-Paul de Robien, président du Parlement de Bretagne. Le sire de Robien (né le 4 novembre 1698 au château de Robien – mort le 5 juin 1756 à Rennes), chevalier, marquis de Robien, baron de Kaër, vicomte de Plaintel et autres lieux, conseiller du roi en tous ses conseils et son président à mortier du Parlement de Bretagne, plus connu comme le président de Robien, fut historien, naturaliste et collectionneur d’art. On peut voir ses collections à Rennes.
Il avait épousé une cousine Julienne de Robien-Kerambourg, alors âgée de 12 ans et qui mourut à 26, lui laissant sept enfants et une considérable fortune qui s’ajouta à la sienne.
Le château qu’il fit construire était le troisième édifié par les Robien sur ce site depuis le XIIIe siècle.
Son prédécesseur avait été pillé et presque détruit en 1486 par les troupes allemandes du maréchal Pierre de Rohan-Gié du temps de la Guerre folle contre la régente Anne de France.
À la Révolution, le château actuel fut confisqué comme bien d’émigré puis vendu à un dénommé Lucas, ancien couvreur de Saint-Brieuc, qui le saccagea. Il fut racheté par un ancien serviteur de la famille et rendu à celle-ci en la personne de Paul-Charles, marquis de Robien qui mourut sans alliance. Son neveu Paul Frédéric Marie, né à Laval le 18 février 1822, mort à Robien le 12 septembre 1876, fut son héritier.
Accolée au château la chapelle date de la seconde moitié du XVIIIe siècle. Elle contient une belle Vierge en bois au-dessus de l’autel. Les grandes écuries datent également du XVIIIe siècle. Dans le parc à proximité du château une chapelle est en ruines, elle est rectangulaire et date du premier quart du XVIe siècle. Elle avait remplacé je pense une église du XIIe siècle. Cette chapelle avait été construite par Jean de Robien et sa première épouse, Françoise de Langoueouez, morte vers 1524, dont les portraits ornaient la maîtresse vitre du chœur, ainsi que ceux de leurs enfants. Le mariage avait été conclu par contrat du 21 avril 1502. Cette chapelle fut détruite pendant les jours de la Ligue.
La présence de la famille de Robien est attestée depuis 1212 dans cette paroisse du Fœil, autrefois Saint-Thuriau de Quintin.
Les propriétaires du fief le tenaient semble-t-il de Jacques Boschier alias Boscher, chevalier anglais, époux, en 1212 de Jeanne d’Avaugour, dame de Robien, qui était fille d’Étienne de Bretagne, comte de Penthièvre, et il est vraisemblable que la terre qu’elle apporta à son mari formait un ramage d’Avaugour. Aux fiefs de Robien et de la Ville-Menguy était attachée une haute justice à trois pots dont l’emplacement se trouvait sur la métairie de La Lande.
La famille de Robien a donné quatre présidents du Parlement de Bretagne et la propriétaire actuelle a hérité du château de son père, Paul VII, marquis de Robien (1897-1965) qui fut maire du Fœil.
Le château compte une vingtaine de pièces dont 14 chambres, la hauteur sous plafond peut aller jusqu’à 13 m, il y a de nombreuses dépendances sur 208 ha de terres. Le château est en très bon état de conservation avec un vestibule dallé de marbres polychromes, un salon lambrissé avec des tapisseries d’époque, des trumeaux, des miroirs et des lustres du XVIIIe siècle, une sellerie, une longère, un chenil, une porcherie, une maison de garde, une ferme avec grange et plusieurs autres fermes, un moulin et ses dépendances et un parc à l’anglaise de 40 ha traversé par une petite rivière. Le château avait été restauré après bien des avatars vers 1860. Le château, l’ancienne chapelle, les écuries et le parc sont classés depuis 1946.
Comme le rappelle le gardien qui est né dans la ferme du château, il y a cinquante ans, il y avait une trentaine de salariés dans le domaine pour le château, la ferme, l’entretien du parc et du massif forestier ; on organisait des réceptions une fois par semaine et le curé de Quintin célébrait la messe dans la chapelle.
Ghislaine-Perrynn
24 février 2018 @ 19:44
Gérard , grand merci pour votre article complet sur ce château .
Ah la ligue , parmi mon ascendence , j’ai le patronyme Laaz . La forêt de Laaz a toujours été un refuge dans le nord de la Bretagne pour les personnes atteintes de la peste (il y et plusieurs épisodes dans la région – Quand vous regardez les calvaires si le fut de la colonne centrale a des renflements c’est qu’il y eût la peste dans le village . Puis , les protestants s’y réfugièrent vivant ou plutôt survivants dans des conditions très précaires pauvres parmi les plus pauvres mais ne reniant pas leur foi .
Puis de siècle en siècle tous ceux qui devaient se cacher pour une raison quelconque trouvèrent , là, refuge .
Une romancière bretonne, comtesse maintenant de son état a écrit un livre , en l’honneur des siens qui connurent cet exil à Laaz.
Comme elle, je tiens à cette ascendance je crois plus qu’aux autres . Nul n’est parfait .
Muscate-Valeska de Lisabé
25 février 2018 @ 10:25
Ah parce que,sans cela,pour le reste,vous vous estimez parfaite, Dame Gigi?^^ ;’)
Claude-Patricia
25 février 2018 @ 17:38
Lisa, personne n’est parfait.
Ghislaine-Perrynn
27 février 2018 @ 18:05
Dans une main perverse la plume se transforme vite en poignard.
Citation de Goswin de Stassart ; Les pensées et maximes (1780-1854)
pour vous servir Muscate Valeska de Lisabé
Margaux ?
26 février 2018 @ 17:01
Nul n’est parfait… et surtout pas celui qui comme vous, étale une vie complaisamment réinventée au gré des actualités de ce blog – quoique sans tromper son lectorat. ?
Ghislaine-Perrynn
27 février 2018 @ 17:59
Margaux vous avez le vin aigre .
Muscate-Valeska de Lisabé
28 février 2018 @ 21:23
Et vous Ghislaine. ..la moquette planante ;-))….presque un tapis volant sur les ailes du…vent.
claudie
23 février 2018 @ 20:48
Un bel escalier en fer à cheval, comme à Fontainebleau ou Courances (91)
Michèle Lobre
23 février 2018 @ 21:24
Vendre une propriété qui est dans la famille depuis des lustres ne s’en fait jamais de gaieté de cœur mais c’est la raison qui l’emporte et croyez vous Bernadette que l’on puisse se permettre de choisir les acheteurs et encore faudrait il qu’il y en ait plusieurs. De surcroît les français ne se bousculent pas au portillon. Désolant mais c’est la realite
HRC
24 février 2018 @ 11:30
Des donjons médiévaux dans ma région ont trouvé preneurs…. de la maçonnerie à faire sans décor attendu pour le château, et des gites dans les communs et restaurant.
Le problème avec ces châteaux XVIIIe c’est que le public attend un décor d’époque avec le confort moderne dans le château même; et c’est le gouffre financier. Il est parfait ce château. La région ne peut ou ne veut rien faire ? aucun éleveur de chevaux ? aucune association de défenseurs du patrimoine breton ?
DOYEN Christian
22 mars 2018 @ 16:01
https://gw.geneanet.org/gonemichet_w?ei=50128&em=R&et=M&image=on&lang=fr&m=NG&n=&nz=doyen&ocz=0&pz=christian&select=2&t=N
Parenté (64 879 947 liens de parenté)
Henry V de La Croix de Frôlois Le grand Chyren DOYEN, Roi de Bretagne est un petit-fils d’une cousine au 18e degré de Gilles de ROBIEN.
En effet,
Laure de MAUVOISIN (1 lien de parenté) Voir
Jean Ier de MELUN (1 lien de parenté) Voir
sont en même temps
des ancêtres à la 18e génération de Gilles de ROBIEN
des ancêtres à la 20e génération de Henry V de La Croix de Frôlois Le grand Chyren DOYEN, Roi de Bretagne
Henry V de La Croix de Frôlois Le grand Chyren DOYEN, Roi de Bretagne est aussi un arrière-petit-fils d’un cousin au 18e degré de Gilles de ROBIEN.
En effet,
Jean Ier de MELUN (1 lien de parenté) Voir
est en même temps
un ancêtre à la 18e génération de Gilles de ROBIEN
un ancêtre à la 21e génération de Henry V de La Croix de Frôlois Le grand Chyren DOYEN, Roi de Bretagne
Henry V de La Croix de Frôlois Le grand Chyren DOYEN, Roi de Bretagne est aussi un petit-fils d’une cousine au 19e degré de Gilles de ROBIEN.
En effet,
Hugues IV D’Antoing (1 lien de parenté) Voir
Marie d’ENGHIEN (1 lien de parenté) Voir
sont en même temps
des ancêtres à la 19e génération de Gilles de ROBIEN
des ancêtres à la 21e génération de Henry V de La Croix de Frôlois Le grand Chyren DOYEN, Roi de Bretagne
Jean-Paul
2 avril 2018 @ 17:32
Fils de fermiers d’un « domaine » de 35 fermes , proche du château de Robien , je souscris volontiers à la conservation du patrimoine que représente ce château que je connais très bien mais suis beaucoup plus « réservé » sur l’historique de ces domaines qui a vu la souffrance et l ‘asservissement (moral et religieux) des familles qui avaient ‘l’avantage » d’en cultiver les terres . Sans « aigreur » ni sociabilité déplacées , je peux émettre beaucoup de réserve sur le sujet
Arkadia
19 février 2024 @ 13:31
Ce chateau a été vendu à un nouveau propriétaire?