Le château de Verteuil en Charente, qui appartient à la famille La Rochefoucauld depuis près d’un millénaire, est en vente. Classé monument historique en 1966 partiellement et complètement en 2010, il était aujourd’hui la propriété du comte Sixte de La Rochefoucauld-Estissac. Il n’est plus possible pour la famille de le conserver. (Source : le Figaro – Merci à Gibbs, Baboula et Jay)
Bambou
6 octobre 2020 @ 05:43
Très beau !!!
Avel
6 octobre 2020 @ 05:50
C’est bien triste mais on ne peut les blâmer …. Chinois? Émirats ? A qui le tour?
Muscate-Valeska de Lisabé
6 octobre 2020 @ 12:28
Moi,moi,moi !!!☝️☝️☝️
Teresa2424
6 octobre 2020 @ 16:19
Hermoso castillo!!sii muy desgarrador para sus propietarios ….al ser monumento histórico será conservado…..
Gracias « Gibb » « Baboula » « Jay »
DEB
6 octobre 2020 @ 06:17
Dommage, il était beau !
Cosmo
7 octobre 2020 @ 22:22
Il l’est encore car vendre ne veut pas dire démolir.
DEB
8 octobre 2020 @ 12:57
Je me disais simplement qu’il est plus triste de perdre un bien de famille quand, en plus, il est beau.
bételgeuse70
6 octobre 2020 @ 06:38
Un de plus ? C’est une épidémie.
Cosmo
7 octobre 2020 @ 22:22
Non, c’est un manque de moyens.
Claude
6 octobre 2020 @ 07:23
Oui, il est en vente depuis le mois d’août.
La famille a pourtant tout fait pour le conserver, depuis près d’un millénaire de propriété quasi ininterrompue.
Philibert
7 octobre 2020 @ 16:08
En plus, il ne revient qu’à 2000 euros du m³ (six fois moins cher qu’un appartement à Paris) et, en prime, on a 38 hectares de terrain.
Cela n’est pas cher, pour mille ans d’histoire !
Pierre-Yves
6 octobre 2020 @ 08:27
On va se désoler de cette vente, et on aura raison en un sens.
Mais on va aussi très bien comprendre que quand on ne peut plus, on ne peut plus. L’entretien d’une telle bâtisse nécessite des moyens énormes, et ce n’est pas un crime, ni un péché, de ne plus les avoir. C’est juste un crève-coeur.
aubert
7 octobre 2020 @ 13:18
Il suffit de souhaiter avoir en hiver 22 degrés dans son salon pour se débarrasser d’une telle bâtisse.
Leonor
6 octobre 2020 @ 08:31
Le site est très beau, en a-pic sur la Charente. Le château extérieurement aussi. A l’intérieur, on ne sait pas, puisqu’il ne se visite pas. Le comte ne laissait visiter que le petit parc – et encore, certains jours seulement – et ne louait que des locaux extérieurs pour l’une ou l’autre manifestation.
Certes, un machin pareil doit être un gouffre à finances. Mais on peut dire aussi que le comte n’aura pas fait beaucoup d’efforts pour tenter de faire rentrer quelque argent, et encore moins pour s’intégrer , lui et sa bâtisse, au tissu social de la région.
Robespierre
6 octobre 2020 @ 11:43
Bien dit !
Gilles
6 octobre 2020 @ 12:29
Léonor, vous avez entièrement raison. Pour avoir été angoumoisin pendant plusieurs années, j’ai souvent eu l’occasion d’aller à Verteuil. Charmant petit village. Le Comte Sixte a toujours refusé d’ouvrir son château au public…même pour les journées du patrimoine ! Comme vous le dites, une partie des jardins sont accessibles. D’ailleurs sans intérêt. De la pelouse et deux ou trois statues qui servaient pour des floralies une fois par an. Les écuries se louent aussi pour des réceptions.
Un petit effort aurait peut-être permit de sauver la propriété.
Leonor
7 octobre 2020 @ 12:57
Oui. Bonjour Gilles.
Mon mari est de la région. Nous y sommes donc souvent, et y avons beaucoup de liens.
D’où : même constat que vous pour Verteuil.
Gwyllianne
6 octobre 2020 @ 08:40
C’est un crève-coeur pour les La Rochefoucauld mais apparemment ils n’ont pas le choix .
Je crains qu’avec ce fichu coronavirus d’autres châteaux soient dans la même situation .
C’est un château magnifique .
2 million 800 000 euros pour un tel monument !
Gwyllianne
6 octobre 2020 @ 08:40
millions
JAY
6 octobre 2020 @ 08:45
Attention ce n’est pas le château du Duc de LAROCHEFOUCAULD.
Leonor
6 octobre 2020 @ 11:15
La tribu de La Rochefoucauld est composée de branches multiples, plus ou moins argentées , certaines d’entre elles plutôt moins que plus.
Le château éponyme se trouve dans la petite ville de La Rochefoucauld ( Département de la Charente). Celui-là est toujours dans la famille. Contre vents et marées et crues de la Charente, et malgré l’écroulement du donjon en 1990, faute d’entretien.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_La_Rochefoucauld
Léa 33
6 octobre 2020 @ 08:50
Bonjour
Pour garder ce patrimoine il faut être très solide financièrement. L’entretien d’un tel château demande un budget énorme. C’est toujours dommage de voir un tel bien, dans la même famille depuis des siècles, partir ainsi entre d’autres mains mais nécessité fait loi.
Quentin
6 octobre 2020 @ 09:19
La famille de la R reste propriétaire des châteaux de la Rochefoucauld et de la Roche Guyon.
Aucun membre de la famille n’était en mesure de reprendre verteuil.
Karabakh
6 octobre 2020 @ 11:59
De mémoire, la famille compte plusieurs branches, le château de la Rochefoucauld appartient au chef de la branche aînée (et chef de maison donc), tandis que Verteuil appartient à une branche cadette.
En visite
6 octobre 2020 @ 09:35
Je suis très émue de lire cette information ce matin. Plusieurs générations d’une partie de ma famille a vécu à Verteuil. Donc j’en ai entendu parler souvent. Dans mes recherches généalogiques, j’ai eu l’occasion de lire les recensements, type de documents très intéressant. Ils comprenaient aussi les habitants du château.
Je m’interroge : qui peut acheter un tel monument là en Charente ? Quel peut en être le prix ? En espérant que le monument ne sera pas dénaturé.
Leonor
6 octobre 2020 @ 11:17
Vraiment ? Vécu à Verteuil ?
En visite
6 octobre 2020 @ 11:19
Oui, plusieurs branches de ma famille à Verteuil et sur plusieurs générations. Je vous assure !
En visite
7 octobre 2020 @ 14:19
Quand je vous lis plus loin émettre des informations tranchées et non prouvées, je prends vraiment très mal vos doutes quant aux origines d’une partie de ma famille à Verteuil !!!! Et vous, il faut croire ce que vous écrivez sans douter. Pourtant vous écrivez des contre-vérités !
Leonor
8 octobre 2020 @ 14:00
Mon » vraiment » n’exprimait pas un doute, mais une surprise.
Par ailleurs, les informations que je donne sur divers sujets sont toujours fondées . Au cas contraire , j’indique , par exemple » à vérifier ».
Lisez bien, et vous verrez.
Quant aux vérités et » contre-vérités » (sic) , toute personne ayant un tant soit peu tâté de la philosophie sait parfaitement que toute vérité est relative.
Néanmoins, le bonjour au pays . On y est benèze. (*).
(*) benèze, en charentais : = ~ bonne aise ~ on est bien , tranquille, la panse bien remplie et l’esprit serein. Benèze, en somme .
En visite
8 octobre 2020 @ 19:41
Merci de préciser, ce n’était pas clair. Il vous paraîtra logique que je n’ai pas besoin de la traduction de benèze.
J’ai mis et remet des bémols sur certaines affirmations sur la Charente (le département, je précise). Les éléments géographiques que vous avez abordés sont à nuancer. Toujours difficile de donner des généralités à cette échelle.
Brigitte - Anne
6 octobre 2020 @ 10:06
Le roi du Maroc serait peut-être intéressé ?
Karabakh
6 octobre 2020 @ 12:00
Je crains qu’après toutes ces années à Betz, Momo se sente à l’étroit à Verteuil. 😆
Antoine
6 octobre 2020 @ 10:13
Très belle propriété fort bien entretenue. Mais je crois que la famille en possède une autre dans la Sarthe. Utiliser une si grande bâtisse uniquement pour les séjours d’été est effectivement ruineux. Les enfants ne sont pas toujours volontaires pour se charger d’un tel fardeau. Même si les immeubles classés sont exemptés de droits de succession, charges et impôts restent lourds. Maintes familles consentent de lourds sacrifices pour garder leur demeure ancestrale. Indépendamment de l’aspect sentimental, c’est essentiellement pour une question de prestige social. Pour le prix de ce bien exceptionnel, on a un grand appartement à Paris mais noyé dans la masse et sans la moindre aura. Eric Mension-Rigau a parfaitement expliqué cette symbiose qui unit l’aristocrate avec son château de famille et la conscience très nette que le prestige de l’un est indissociable de l’éclat de l’autre. C’est pourquoi de telles ventes sont toujours douloureuses. La dureté de l’époque actuelle ne laisse guère le choix.
Mary
6 octobre 2020 @ 10:34
Le transformer en hôtel, peut-être? Mais cela demanderait un investissement énorme.
Leonor
6 octobre 2020 @ 11:20
A mon avis, être transformé en hôtel, c’est ce qui l’attend.
Ceci dit, aussi curieux que cela paraisse étant donné la modestie générale des ménages charentais, la Charente est, il me semble, le département français qui paie le plus d’impôts. La raison ? Le cognac.
Gwyllianne
6 octobre 2020 @ 14:04
la modestie des ménages charentais !
En visite
7 octobre 2020 @ 14:17
Vous êtes du département, vous y vivez, vous êtes historienne et/ou géographe pour émettre des avis si tranchés ? Vous étayez vos infos sur quelles sources précises. J’aimerai vraiment savoir.
Leonor
8 octobre 2020 @ 14:24
Entre autres, l’expérience, l’expérience. 45 ans d’expérience de terrain. Et un autochtone à domicile . Et une maison au bord de la Charente, même que parfois la Charente est DANS la maison. Et les Charentais aussi. Copains d’enfance de l’autochtone.
On partage les bouffes, les vendanges, le Pineau, les activités associatives, la Charente Libre, l’abattage du cochon et la confection du boudin et des pâtés, la garde alternée des bestiaux, les dadas-hue-dada, les Anglais, les vétos et les toubibs, la fenaison, le matériel agricole , les cagouilles à la lèche-cul, les seaux de mirabelels, de prunes, de coings , de figues, les Journées du Patrimoine, les interventions à l’école du village , les Journées des Moulins chez le cousin minotier, les boucs et els chèvres poitevines, le tondeur à moutons et à alpagas, la bibliothèque locale, la ligne de démarcation , le picton-charentais, les gendarmes locaux, les cérémonies du 11 novembre, la salle des fêtes, le camion du boucher, les cornuelles des fêtes pascales, le club de patchwork, le comité des fêtes, les fouilles de Cassinomagus, les soirées lyriques de Sanxay , le chant grégorien de Geoffroy Dudouit, on va s’escrimer un peu plus loin avec els copains fada chez le copain fada qui restaure son château tout seul à St Jean d’Angle, on va s’escrimer aussi au Coudray-Salbart près Niort etc etc ( AMHE) et d’ailleurs, faut que je vous laisse, parce qu’il va falloir aller ramasser les noix et mettre les batardeaux pour l’hiver.
Quant à ma fonction d’avant retraite, disons que s’il comportait une bonne part d’ » historien », le reste est top secret. Il se trouve que j’ai en effet quelque et quelques compétences et quelques cordes à mon arc , en plus des plaisirs ci-dessus décrits.
Je vous laisse, mon autochtone angoumoisin perso m’attend.
En visite
9 octobre 2020 @ 11:39
L’expérience n’est pas tout. Quand je parle de sources, ce sont des références sérieuses de spécialistes et des connaissances véritables basées sur des faits et des études. Tout ce que vous évoquez, c’est la vie seulement. Mais on ne peut pas porter de jugements uniquement sur cela, à propos des Charentais en général. Vous avez généralisé sans vous appuyer sur des connaissances solides, je confirme. J’en sais beaucoup sur ce département, mais je garderai d’évoquer ici certains points et encore moins de généraliser sans référence à des sources.
Leonor
9 octobre 2020 @ 19:56
Vous ne confirmez rien du tout, et ne m’apprenez rien sur la question des sources . Je ne vais pas vous recopier ma bibliothèque.
Inutile aussi de jouer à l’universitaire ( ou à la pédante, selon l’orthographe que vous utilisez parfois). Disons que je sais ce qu’est un universitaire … :-)))
Car vous me faites marrer avec votre » références de spécialistes », et » connaissances véritables basées sur des faits et des études » , et j’en entends d’autres qui se marrent derrière moi à lire par-dessus mon épaule.
Apparemment, – et c’est normal puisque vous êtes seulement en visite – vous ne me lisez pas depuis bien longtemps, et avez imprudemment décidé de me sauter sur le paletot aussitôt arrivé(e).
Là, vous voyez, j’ai vraiment la flemme de sortir mon archivage de peaux d’âne de son coin , le classeur est trop lourd, et faire ce genre d’effort pour un(e) Saint Thomas dépité et de mauvaise foi ,c’est non.
So long .
PATRICIA
6 octobre 2020 @ 10:42
Quel dommage. Avoir fait les efforts pendant un millénaire et en arriver là . ce ne doit pas être facile pour la famille de se défaire de ce château. C’est le symbole d’une époque. Tout est beaucoup plus compliqué matériellement et financièrement pour les jeunes générations.
PATRICIA
6 octobre 2020 @ 10:43
Le roi du Maroc n’ a visiblement pas les mêmes soucis lui (voir article du même jour !
nck
6 octobre 2020 @ 12:05
Le propriétaire n’a pas l’air d’avoir tout fait pour garder ce château …
En visite
7 octobre 2020 @ 14:17
Qu’en savez-vous ? Précisez si vous avez des infos précises et sûres pour le prouver.
Leonor
8 octobre 2020 @ 21:27
Moi j’en ai. Comme dit. De première main et de proximité. Et Gilles aussi. Voir plus haut. Et tout le pays l’a vu et l’a vécu. Monsieur le Comte ne s’abaissait pas. Il surplombait, comme le château surplombe la Charente ( la rivière , oh pardon, le fleuve).
En plus de ce qu’on sait dans nos humbles chaumières – sans compter ce que sait Bibi grâce entre autres à ses sus-citées fonctions antérieurement professionnelles , ici, un tout petit, tout petit exemple, absolument public , lui, accessible au commun des mortels :
En effet, même pour les Journées du Patrimoine, Monsieur le Comte ne daignait pas s’abaisser à ouvrir la herse de son castel aux manants .
Dommage. Comme on fait son lit, on se couche.
aubepine
6 octobre 2020 @ 13:09
Véritable monument -patrimoine à gérer , je comprends ce que ça représente pour la famille , en même temps la séparation doit être triste s’il était depuis longtemps dans la famille !
Danielle
6 octobre 2020 @ 17:17
De telles ventes sont toujours empreintes de tristesse mais il faut comprendre les propriétaires pour qui c’est une charge financière.
pimont
6 octobre 2020 @ 18:18
Le prix semble ridicule.
A l’époque pas si lointaine de la marquise de Amodio, l’ensemble du mobilier était d’une qualité « à tomber ».
l'Alsacienne
6 octobre 2020 @ 18:52
La famille qui vend n’est pas à blâmer. Ce doit être difficile pour eux à accepter qu’il ne peuvent pas « tenir » cette demeure. L’entretien, les charges d’une telle demeure sont énormément lourdes.
Dans ce cas il s’agit d’un monument historique, mais imaginez la même peine pour des citoyens ordinaires qui sont dans l’obligation de vendre leur bien pour différentes raisons.
Charles-Antoine de Malbreze
6 octobre 2020 @ 19:44
c’est bien triste en effet… il faut préciser que le père de Sixte, Roger, ne portait plus le nom d’Estissac, son grand père Pierre était le second fils du duc d’Estissac et portait simplement La Rochefoucald d’Estissac, sans titre. La mère de Sixte était une Bourbon-Parme (descendante à le 5eme génération de Charles X), dont la mère était elle-même La Rochefoucaud, branche Doudeauville. Sixte épouse à son tour une de ses cousines La Rochefoucauld, branche de La Roche-Guyon… Sixte descend aussi de François Blanc,fondateur de la Société des Bains de Mer et du casino de Monaco dont l’ainée des filles épousa un prince Radziwill (dont descend Sixte), la seconde epousa le prince Roland Bonaparte…. Les frères de Sixte épousent l’un une demoiselle Laredo, un autre une demoiselle Villet, le puiné n’épouse ni une demoiselle Mercereau-Gouvernal ni une demoiselle Pages.
Si vous vous y retrouvez, bravo!!!
BRUNO MASSON
7 octobre 2020 @ 04:56
Leonor,
pourquoi dire qu’il ne se visite pas??? bien sur qu’il se visite, pratiquement tous les week-ends et en semaine l’été. Je l’ai visité l’an dernier, et tout se visite.
septentrion
7 octobre 2020 @ 11:32
Ce ne doit pas être facile d’être la génération qui ne parvient pas à transmettre après tant de siècles.
Noblesse de France
7 octobre 2020 @ 16:36
C’est évidemment une pitié.
On peut quand même se demander si deux autres solutions n’auraient pas été envisageables:
1. Qu’un La Rochefoucauld (ou une) ayant les moyens, ne puisse pas le racheter pour le garder ainsi dans cette famille prestigieuse et nombreuse à la fois.
2. si le 1 n’est pas possible -> étant donné que cette famille (si on compte les hommes, les femmes, et les fils et filles des hommes ou des femmes) doit compter plusieurs centaines de membres, il aurait pu être envisagé un système de crowdfunding/financement participatif familial pour arriver à garder ce bien dans le giron des La Rochefoucauld. En effet, si vous avez quelques centaines de membres associés, cela ne revient qu’à une somme peu élevée par membre ou par foyer, et ensuite ils peuvent s’en partager une éventuelle jouissance et l’ouvrir plus largement aux manifestations variées, un peu comme une sorte de club. Mais il faut une vraie volonté pour envisager ce schéma.
Baia
8 octobre 2020 @ 14:09
Yaka, Fokon, … facile à écrire Noblesse de France !
Vous supposez, vous proposez, mais vous ne faites pas partie de la famille des La Rochefoucauld et vous ne savez pas le pourquoi du comment la vente de leur propriété est aujourd’hui inéluctable.
plume
7 octobre 2020 @ 17:31
Léonor, attention la Charente ne passe pas au pied du château de La Rochefoucauld.
Leonor
8 octobre 2020 @ 22:02
Plume, vous avez certes raison, mais en ce sens que le château de La Rochefoucauld, dans la petite ville du même nom, surplombe , lui, la Tardoire ( la rivière). Il appartient à François , 15e duc de La Rochefoucauld. Le château a longtemps été géré par sa mère, Sonia Matossian, seconde épouse du 14e duc.
Alors que le château de Verteuil, lui, dans la commune du nom de Verteuil ( Verteuil-sur-Charente d’ailleurs) , et appartenant à ce jour encore à un autre de La Rochefoucauld (Sixte), surplombe bien la Charente même. Quasiment à pic.
Cosmo
7 octobre 2020 @ 22:25
Il est bien fini le temps des Consuelo Vanderbilt et autres Anna Gould…