La maison de ventes danoise Bruun Rasmussen met aux enchères ce 30 novembre 2018 ce diadème de diamants et saphirs qui fut offert par le tsar Nicolas II de Russie à la duchesse Alexandrine de Mecklembourg-Schwerin lors de son mariage avec le roi Christian X de Danemark.
La mère de la reine Alexandrine, la grande-duchesse Anastasia était cousine du tsar. Le diadème appartenait à la branche « Rosenborg » de la famille royale danoise à savoir les enfants du prince Knud et de la princesse Caroline-Mathilde. La défunte comtesse Anne-Dorthe de Rosenborg, belle-fille du prince Knud a porté ce diadème. (merci à Charles)
Lorenz
26 novembre 2018 @ 09:51
Les pierres semblent splendides, mais c’est un de ces joyaux qui donnent envie de faire des changements: démonter la pièce centrale (trop haute) avec laquelle obtenir d’autres bijoux et, si possible, faire en sorte que le diadième soit également utilisable comme collier.
aubert
26 novembre 2018 @ 12:44
J’avoue être bluffé par les personnes qui à partir d’une photographie peuvent dire que des pierres sont splendides.
Quand on revend un bijou ou une oeuvre d’art et que l’on assiste aux simagrées gestuelles ou orales de l’acheteur professionnel on ne peut qu’être sceptique devant une telle affirmation même si la provenance de l’objet est prestigieuse.
Lorenz
26 novembre 2018 @ 18:36
Aubert, pensez vous vraiment que mon commentaire se voulait « professionnel »??
Leonor
28 novembre 2018 @ 11:00
Il me semble me souvenir que Lorenz a de réelles compétences en matière de joaillerie.
Allez, on va dire que c’est Lorenz Bäeumler ! :-)
N’oublions pas non plus, Aubert, que, qui dit acheteur , professionnel ou non, dit simagrées volontairement dévalorisantes qui n’ont d’autre but que de faire baisser le prix. Rien d’autre. Si l’objet était réellement si moche que l’acheteur tente de le faire entendre, il ne l’achèterait pas ! Ca vaut pour les bijoux comme pour les tomates sur les marchés maghrébins .
Lorenz
29 novembre 2018 @ 10:26
Très vrai Leonor, comme on dit en Italie « celui qui méprise, il va acheter »!
Non, je n’ai pas des compétences en gemmologie, mais je pense que, heureusement, N&R est aussi pour les amateurs, pas seulement pour les experts.
aubert
30 novembre 2018 @ 13:10
Lorenz et Léonor,
En feuilletant N&R je tombe sur mon commentaire.
Je m’aperçois avoir commis une erreur. J’ai malencontreusement écrit « acheteur » au lieu de « vendeur ».
Charles
26 novembre 2018 @ 22:16
Lorenz
Ce diadème, réalisé à Saint Pétersbourg en 1897-1898, peut se porter de plusieurs façons car il a été conçu en plusieurs éléments pouvant se porter ensemble ou individuellement.
Lorenz
29 novembre 2018 @ 10:30
Très intéressant, Charles!
Je trouve que ce sont des détails importants.
Francois
27 novembre 2018 @ 08:57
Entièrement de votre avis
La première idee en voyant ce bijoux est que l’on peut en
faire un collier etc
Sans dénaturer le dessin originel
Brigitte - Anne
26 novembre 2018 @ 10:58
Là je comprends mieux que pour la vente à Genève de la famille Bourbon Siciles. La reine Marghrete pourrait le racheter. Nous ne sommes pas dans les secrets des dieux !
Baboula
26 novembre 2018 @ 11:21
Sobre et élégant.
Anna1
26 novembre 2018 @ 13:15
J’attends toujours vos commentaires sur les bijoux et je les suis avec attention car n’y connaissant rien
Baboula
29 novembre 2018 @ 19:13
Suivez votre goût,Anna,j’aime plus les bijoux que je ne les connais ,Et vous remarquerez que les avis diffèrent. Si un bijou vous plaît soyez fidèle à votre goût. Les critères de qualité d’une pierre sont des constantes faciles à apprendre . Et comme le dit aubert,sur une photo on n’a qu’une vue d’ensemble mais cela donne une idée suffisante pour savoir si on aime ou pas .
Danielle
26 novembre 2018 @ 11:31
Encore et encore une vente de joyaux, quelle tristesse !!
Espérons qu’à défaut de monarchies, des musées se porteront acquéreurs.
Merci Charles.
Leonor
26 novembre 2018 @ 22:10
Les musées peuvent rarement se payer des joyaux. Parce que :
– trop chers à l’achat pour leur pauvre bourse
– trop chers en mesures de sécurité et en assurances
– et ils ont d’autres objectifs.
Lorenz
29 novembre 2018 @ 10:38
Je trouve dommage quand les bijoux sont toujours fermés dans un musée.
Dans une vitrine, ils ne sont pas aussi beaux que portés par une femme.
La solution idéale est pour moi quand ils appartiennent à quelqu’une qui les expose au musée, mais les arbore aussi de temps en temps.
Baboula
1 décembre 2018 @ 08:43
Vœu pieux Lorenz ,pour aller où ? Et jamais sans garde du corps .
vasco2
26 novembre 2018 @ 12:22
Il me semble que la reine du Danemark possède le collier et les BO.
Il serait logique qu’elle se porte acquéreur du diadème.
La parure serait donc complète
Caroline
26 novembre 2018 @ 22:34
Vasco2,
J’ai pensé comme vous, ce diadème irait très bien à la carnation et aux yeux clairs de la reine du Danemark !
Françoise
27 novembre 2018 @ 06:46
Sûrement mais paraît il elle est fort pingre
Jackie
29 novembre 2018 @ 09:32
Pas très riche surtout, toutes proportions gardées bien sûr mais certainement loin de la fortune des Orange-Nassau.
Karabakh
26 novembre 2018 @ 20:06
Les Rosenborg sont comme les Bourbon-Siciles : en recherche de fonds. Tout va bien au Royaume de Danemark.
Jackie
29 novembre 2018 @ 09:39
Les trois jeunes femmes Rosenborg héritières ont certainement plus besoin de liquidités que de diadèmes, ne pensez-vous pas ?
Sheiley
26 novembre 2018 @ 21:02
En effet la pierre du haut entourée de ses diamants ferait une bague de fiançailles splendide. Ce fut le cas pour une de mes proches.
lilou
26 novembre 2018 @ 21:35
Une nouvelle parure pour Mary? Et plus tard pour les magnifiques Isablella et Josephine.
mary71
26 novembre 2018 @ 23:05
très beau diadème !
Jane1
27 novembre 2018 @ 12:04
Je verrais tellement bien la princesse Mary avec un tel diadème !
Maria
27 novembre 2018 @ 19:50
Tra diademi,castelli e oggetti vari,vendite e furti é una tragedia!
Gérard
27 novembre 2018 @ 21:22
Élégant.
marie francois
5 décembre 2018 @ 10:15
A t il été vendu ?