Plus que jamais les diamants constituent des placements défiant toute concurrence.Mise en vente à New York de ce diamant de 90 carats baptisé « Golden dragon » qui fera monter les enchères. Sa teinte jaune dorée est remarquable, tout comme la largesse de son losange. (Merci à Bertrand Meyer)
marianne
25 janvier 2014 @ 07:34
Je ne peux qu’ admirer , les superlatifs sont inutiles .
Corsica
25 janvier 2014 @ 15:54
Marianne, tout comme vous je ne peux qu’admirer, hélas …
Gibbs
25 janvier 2014 @ 09:35
Très joli.
Danielle
25 janvier 2014 @ 10:32
superbe.
Cosmo
25 janvier 2014 @ 14:32
Pour celles qui veulent rêver, il suffit d’aller regarder une vitrine du joaillier Graff. Il expose les plus beaux diamants jaunes, « fancy yellow. »
Je tiens de la directrice l’une de ces boutiques l’anecdote suivante. M.Graff avait acheté un énorme diamant brut dans lequel il tailla trois diamants, un gros et deux moyens, tous de qualité parfaite. Il organisa une exposition vente. Un acquéreur potentiel se présenta et lui offrit d’acheter le lot – le prix était je crois me souvenir de 20 millions d’euros – mais il lui confirmerait l’achat le lendemain à 18h. « Pas de problème » répondit Graff. Quelques minutes après un autre acquéreur potentiel offrit de les acheter immédiatement. Graff lui dit qu’ils étaient réservés mais que demain à 18h 01, ils pourraient être à lui, si le premier acquéreur n’avait pas appelé. Le lendemain Graff attendit en vain l’appel du premier acquéreur jusqu’à 18h. A 18h 01, le deuxième acquéreur appela et Graff répondit : »Ils sont à vous. » A 18h 05, le premier acquéreur téléphona pour confirmer l’achat. « Trop tard! » s’entendit-il répondre.
L’histoire est authentique. Dans le monde des pierres précieuses, on ne plaisante pas et la crise ne semble pas être au rendez-vous.
Livia
25 janvier 2014 @ 21:14
Cher Cosmo
A ce niveau les secondes comptent :)
Les enchères étourdissantes dans leur rythme des commissaires-priseurs en disent long!
Ce diamant est époustouflant!
Amitiés
Livia
Aliénor
25 janvier 2014 @ 14:39
La largeur de son losange
Mel
16 février 2014 @ 12:59
Merveilleux