Le 14 août 2021, l’étude Vichy Enchères va vendre un rare buste de la Princesse Louise d’Artois, fille du Prince Charles-Ferdinand d’Artois et de la Princesse Marie-Caroline de Bourbon-Siciles, Duc et Duchesse de Berry.
Le 14 août 2021, l’étude Vichy Enchères va vendre un rare buste de la Princesse Louise d’Artois, fille du Prince Charles-Ferdinand d’Artois et de la Princesse Marie-Caroline de Bourbon-Siciles, Duc et Duchesse de Berry.
Alice
1 août 2021 @ 04:43
Très joli buste de cette mignonne petite princesse.
Trianon
2 août 2021 @ 09:45
Je suis admirative de la délicatesse du volant autour du béguin .
Cosmo
1 août 2021 @ 05:22
Est-ce une vente par un Bourbon-Parme ?
Charles
1 août 2021 @ 09:29
Non
Yode
2 août 2021 @ 07:49
mais, cela peut être par le fils de Françoise de BOURBON PARME, Charles Henri de LOBKOWICZ, ce n’est pas un BP, mais c’est un descendant !!!
Charles
2 août 2021 @ 11:10
Non plus
Jean Pierre
2 août 2021 @ 12:51
Charles, vous êtes laconique mais il suffit de dire que cette branche Busset n’a rien à voir avec celle issue de Madeleine.
Yode
3 août 2021 @ 11:34
Charles : le porte-parole mystérieux et inconnu de Jean d’Orléans et de sa famille !!!
Laurent
2 août 2021 @ 14:53
Non une vente Bourbon Busset
Ludovina
1 août 2021 @ 07:23
Louise (1819-1864) était précédée par une autre Louise décédée le lendemain de sa naissance le 13/07/1817 et de Louis, mort-né le 13/09/1818.
Elle a épousé à l’âge de 26 ans Charles III, duc de Parme (1823-1854).
Le couple a eu 4 enfants :
– L’aînée Marguerite (1847-1893) a épousé Charles de Bourbon (1848-1909), duc de Madrid, 3 filles et 1 garçon sont nés de cette union.
– Le cadet était Robert (1848-1907), duc de Parme. Il a eu 24 enfants, 12 de chacune de ses 2 épouses Maria Pia della Grazia de Bourbon, princesse des Deux-Siciles (1849-1882) et Maria Antónia de Bragance, infante de Portugal (1862-1959), parmi lesquels Maria Luisa, épouse du roi Ferdinand I de Bulgarie, Zita, épouse de l’empereur Charles I d’Autriche, Felix, époux de la grande-duchesse Charlotte de Luxembourg.
– Alicia (1849-1935), seconde épouse de Ferdinand IV (1835-1908), grand-duc de Toscane. Le couple a eu 10 enfants, dont Luise, inconstante épouse de Friedrich-August III, roi de Saxe.
– Henri (1851-1905), comte de Bardi, n’a pas eu de postérité de ses 2 épouses Luisa de Bourbon, princesse des Deux-Siciles (1855-1874) et Aldegundes de Bragance, infante de Portugal (1858-1946).
Bambou
1 août 2021 @ 09:44
24 enfants avec deux femmes…..!!! Les pauvres….!!!
Martine
1 août 2021 @ 17:14
Bambou, les femmes n’étaient que des ventres destinés à essayer d’assurer la continuité de la famille
Bambou
2 août 2021 @ 12:02
Bien évidemment mais elles étaient vraiment à plaindre !!!
Martine
2 août 2021 @ 16:30
Tout à fait
Sous la coupe d abord d un père puis du mari…..
Phil de Sarthe
2 août 2021 @ 14:03
Là, le prétexte ne tient pas, surtout que bon nombre étaient handicapés: c’est lu lapinage!
Phil de Sarthe
2 août 2021 @ 15:38
DU lapinage!
Gèrard
2 août 2021 @ 19:39
Dans toutes les classes de la société à l’époque il y avait beaucoup de morts d’enfants et en général les familles étaient plus prolifiques qu’aujourd’hui notamment peut-être pour cette raison. Quant à la situation des enfants handicapés à toutes les époques elle a été un drame évidemment.
Jacob van Rijsel
1 août 2021 @ 18:26
Les pauvres enfants ? 😀
Cecicela
2 août 2021 @ 01:05
La première y a laissé la vie. Douze enfants en douze ans, dont le premier (Maria Luisa) est né juste neuf mois après le mariage de ses parents et le dernier qui a, en quelques sortes, tué sa mère, n’a pas survécu. Entre 1870 et 1882, Maria Pia a mis un enfant au monde chaque année, sauf en 1878 (Précédent : octobre 1877- Suivant : janvier 1879) et le plus grand écart entre deux naissance est dix-huit mois. Tous ça pour trois enfants mort en bas âge, six déficients mentaux et seulement trois en bonne santé.
Robert a pris plus de temps pour procréer la deuxième « fournée », avec l’épouse n°2, soit vingt ans. Cela étant, les trois derniers n’ont pas connu leur ainée, Maria Luisa, puisqu’elle est décédée avant leur naissance. Les enfants de celle ci étaient plus vieux qu’eux.
Le contraste entre Robert et son frère est saisissant. Ils se sont pourtant mariés deux fois, leurs premières épouses respectives étant sœurs et idem pour les deuxièmes. Résultat : Vingt-quatre enfants pour l’un, zéro pour l’autre!
Abricote
1 août 2021 @ 07:59
Très joli buste sauf bien sûr ces yeux ouverts blancs donnent une drôle de sensation mais dans le marbre peut-on procéder autrement ?
ghislaine
1 août 2021 @ 08:28
Le buste est en plâtre Abricote
Bambou
1 août 2021 @ 16:20
Si, il y a des visages taillés dans le marbre qui ont des pupilles, tel le David de Michel-ange par exemple, ce qui effectivement plus beau et moins « flippant »….
Phil de Sarthe
1 août 2021 @ 17:26
Et pourtant, Houdon avait depuis longtemps réussi les regards…
Trianon
3 août 2021 @ 00:17
Carpeaux également .
Trianon
1 août 2021 @ 18:18
J’ai un buste d’enfant chez moi, mes enfants n’aiment pas ,ils trouvent que ça fait enfant aveugle..du coup j’imagine que ça terminera en ventes aux enchères ou chez emmaus…🥲
vieillebranche
1 août 2021 @ 08:43
Ceci explique la mise à prix fort basse! J’ aimerais bien l’ avoir chez moi!
Val
1 août 2021 @ 09:10
Robert Duc de Parme cet homme me fait horreur , une honte . Entre enfants handicapés et femmes épuisées par tant de grossesses.
Ciboulette
1 août 2021 @ 15:12
Ah , bien de votre avis , Val ! Personne n’a dit à cet homme qu’il fallait sortir couvert ? Ou qu’à défaut , une descente en marche s’imposait ?
Lionel
2 août 2021 @ 12:08
Au contraire, vous devriez le remercier car, sans lui, ce blog serait bien vide. Pas de famille grand-ducale de Luxembourg, pas de famille impériale d’Autriche, pas d’enfants pour Astrid de Belgique, pas de mariage pour Jean-Christophe Napoléon et j’en passe… Un bienfaiteur, sinon de l’humanité, du moins de Noblesse et Royautés !
Ciboulette
2 août 2021 @ 19:07
Nous irions voir chez le roi des Zoulous ou son cousin du Swaziland ( est-il de retour , au fait ?) .Ne pas perdre espoir tant qu’il y a des roseaux à couper .. .
Laurent
2 août 2021 @ 14:58
Essayez de vous placer à l’époque et non avec une vision actuelle .
Tout le monde faisait des ribambelles d’enfants .
Les gens du peuple également .
J’ai fait de la généalogie et dans ma famille de laboureurs de fermiers il y avait des ribambelles d’enfants 10 15 et les femmes mourraient en couches .
Donc ce duc Robert de Parme n’avait rien d’un monstre .
La princesse Louise d’Artois est l’ancêtre de tous les descendants de l’impératrice Zita ,de la famille Geand Ducale de Luxembourg etc etc
Il n’était qu’un homme de son époque .
Beque
1 août 2021 @ 09:17
La comtesse de Boigne écrit : « Madame de Gontaut était depuis longtemps dans l’intimité de Monsieur et de son fils, cependant elle n’a jamais été ni exaltée ni intolérante en opinion politique. L’habitude de vivre presque exclusivement dans la société anglaise, un esprit sage et éclairé l’avaient tenue à l’écart des préjugés de l’émigration. Sa grande ferveur du moment auprès de Monsieur le duc de Berry venait de ce qu’elle éloignait de sa jeune épouse les rapports indiscrets qui troublaient leur ménage.
Robespierre
1 août 2021 @ 13:40
vous voulez dire « sa grande faveur » ?
Beque
2 août 2021 @ 11:26
Non, Mme de Boigne a écrit ferveur et non pas faveur, ce qui est moins excitant !
Beque
2 août 2021 @ 12:43
Non, vous avez raison, je viens de vérifier, c’est « faveur », mais je ne sais pas ce que cela signifie ?
HRC
2 août 2021 @ 17:25
Vous plaisantez, je l’espère pour vous.
Gèrard
2 août 2021 @ 19:43
Sans doute qu’elle emportait la faveur du duc de Berry.
Ciboulette
1 août 2021 @ 15:15
Comme le buste du roi de Rome récemment dérobé ( l’a t-on retrouvé , au fait ? ) , je n’aime pas les sculptures de jeunes enfants en plâtre ou même marbre , je préfère nettement les peintures .
Baboula
1 août 2021 @ 10:03
De telles ciselures sont impossibles dans du marbre . Ne pourrait-on tracer l’intérieur de l’œil ?
Phil de Sarthe
2 août 2021 @ 14:06
Houdon, l’a fait, comme je disais plus haut.😉
Beque
1 août 2021 @ 13:15
La princesse Louise d’Artois est née, le 21 septembre 1819, au Palais de l’Elysée (hôtel d’Evreux), offert par Louis XVIII à son neveu le duc de Berry en 1815. Lorsque sa mère, Marie-Caroline, après son échec pour soulever la Vendée, est emprisonnée à la citadelle de Blaye (sous la garde du futur maréchal Bugeaud), Louise, qui a 12 ans, et son frère, le duc de Bordeaux, sont confiés à leur tante, la duchesse d’Angoulême. En 1845, Louise épouse au château de Frohsdorf son cousin, le futur prince héritier de Lucques et futur Charles III de Parme. Elle meurt d’une typhoïde, le 1er février 1864 au Palais Giustani de Venise (ne serait-ce pas, plutôt, au palais Vendramin, propriété de son fils Henri, je me pose la question ?). Elle est enterrée à la Chapelle des Bourbons à Nova Gorica, en Slovénie.
COLETTE C.
1 août 2021 @ 14:31
En fait, la princesse Louise était la descendante directe des derniers,Bourbon !
Beque
2 août 2021 @ 12:37
Oui, Colette, j’imagine de nombreux internautes sur ce site ont visité la Chapelle des Bourbons dans la crypte du couvent de la Castagnavizza. A tout hasard, voici la liste de ceux qui y sont inhumés : le roi Charles X, le duc et la duchesse d’Angoulême, le comte et la comtesse de Chambord, Louise de Bourbon, duchesse de Parme. Et le duc de Blacas. Les cercueils avaient été transférés, en 1917, par l’impératrice Zita en raison des bombardements entre l’Italie et l’Autriche. Ils furent rapatriés à Nova Gorica en 1932, grâce à la famille royale d’Italie. La frontière entre l’Italie et la Slovénie se trouve au milieu de la ville qui s’appelle donc également Gorizia (Goritz du temps de l’empire austro-hongrois).
Martine
1 août 2021 @ 17:13
On dirait un masque mortuaire………..
Hervé J. VOLTO
2 août 2021 @ 16:12
Soeur du Comte de Chambord, épouse du Duc souverain de Parme, Louis-Marie de Bourbon-Artois est l’arrière-Grand mère du prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme.
Hervé J. VOLTO
2 août 2021 @ 16:18
Louis-Marie de Bourbon-Artois est l’arrière-grand mère direct du Prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme et de la Princesse Françoise de LOBKOWICZ, née Françoise de BOURBON PARME, ainsi que des princesses Cécile Marie et Marie des Neiges leurs soeurs.
Beque
2 août 2021 @ 21:51
Je ne me souviens plus s’il y a des objets ou portraits de la princesse Louise d’Artois au Musée des Arts Décoratifs de Bordeaux. Mais on peut y voir une importante collection de souvenirs de la duchesse de Berry, du duc de Bordeaux et de la duchesse d’Angoulême, réunie par Raymond Jeanvrot (1886-1966) qui se sentait investi d’une mission envers la famille royale.
Il réunit patiemment quelque 18.000 œuvres, peintures, gravures, sculptures, meubles et objets, achetés par la Ville de Bordeaux, sous réserve d’usufruit, en 1958. Il portait un intérêt tout particulier à la duchesse de Berry, dont on peut, grâce à ses collections, retracer la vie, de sa naissance au palais royal de Caserte à sa mort au château de Brunsee. Sont exposés aussi des portraits et un mobilier ayant appartenu à la duchesse d’Angoulême. Ces souvenirs sont entrés finalement au musée des Arts décoratifs de Bordeaux mais il a fallu attendre 1984 pour que la collection Jeanvrot soit présentée au public (la plus grande partie se trouvant dans les réserves). L’émouvante statue en biscuit du jeune duc de Bordeaux à l’âge de sept ans, remarquable tour de force de la manufacture de Sèvres, que Jeanvrot aurait rêver de posséder, a été achetée lors de la vente du château de Groussay (collection Charles de Beistegui) en 1999.
COLETTE C.
3 août 2021 @ 10:57
Merci BEQUE !