Vente en mai prochain chez Sotheby’s à Genève de ce diadème en diamants de Fabergé qui appartint à la princesse héritière Cecilie de Prusse, née duchesse de Mecklembourg-Schwerin. (merci à Alberto)
Vente en mai prochain chez Sotheby’s à Genève de ce diadème en diamants de Fabergé qui appartint à la princesse héritière Cecilie de Prusse, née duchesse de Mecklembourg-Schwerin. (merci à Alberto)
Baboula
9 avril 2019 @ 07:26
Estimation de 200 000 à 300 000 CHF pour ce diadème historique. Il ne me semble pas que l’atelier Fabergé ait signé beaucoup de diadèmes hors la Russie . J’espère qu’il ne sera pas démonté,il ne présente que 3 pierres intéressantes mais de tailles anciennes.
Robespierre
9 avril 2019 @ 07:39
ce bijou devrait aller dans un musée. Qui va porter un truc pareil ? Madame Erdogan qui aime le luxe serait tentée, mais elle a le sens du ridicule et sur son voile ça n’irait pas. Madame Mozah pareil. Dans un harem ça pourrait aller pour des réunions de femmes qui veulent s’en jeter plein la vue, et charmer le seigneur et maître.
Meme une femme de milliardaire texan ne se promènerait pas avec ce monument sur la tête. Mais c’est beau, c’est un magnifique travail d’orfevrerie et j’espère qu’un musée allemand fera une offre.
septentrion
9 avril 2019 @ 08:20
Comme ce diadème est beau, quel dommage de devoir s’en séparer!
Il fait années 1920 ou 1930.
La princesse héritière Cecilie de Prusse était très jolie.
Jul lui avait consacré un portrait en mai 2013 sur N&R.
Laurent F
9 avril 2019 @ 08:45
2ème diadème Fabergé qui passe en vente cette année
Laurent F
9 avril 2019 @ 12:36
Fabergé a produit un diadème quasi identique sans les 3 pierres centrales mais le treillage de trèfle est dans un sens différent
http://i.pinimg.com/736x/b6/a3/e6/b6a3e60de6103cb5ba639677409dd660.jpg
Baboula
10 avril 2019 @ 13:07
Merci Laurent,pour des occasions moins festives ,il est parfait ,mais où est-il ?
Annmaule
9 avril 2019 @ 08:47
Quel travail magnifique,il devait se porter sur le front.
Qui achete des diademes aujourd hui?
Tres peu de femmes en portent encore?
mimi
9 avril 2019 @ 08:47
TRES BELLE CETTE FEMME PHOTO PLEASE
Mary
9 avril 2019 @ 09:10
Très jolie résille…
Muscate-Valeska de Lisabé
9 avril 2019 @ 15:56
Oui Mary,c’est exactement cela…bien dit♡.
Leclercq
9 avril 2019 @ 09:16
Ravissant travail.
Alinéas
9 avril 2019 @ 09:36
Magnifique, délicat… Quel beau travail d’orfèvre !!!
Pierre-Yves
9 avril 2019 @ 11:05
Il n’y a plus guère, désormais, que les familles régnantes pour conserver leurs joyaux.
Les autres, constatant que les occasions de les porter se sont raréfiées au point de quasiment disparaître, s’en séparent pour pouvoir refaire la toiture, payer les études du petit dans une université de prestige, et s’offrir de jolies vacances dans un resort de luxe aux Seychelles. Je suppose qu’en en ferait tous autant.
berton
9 avril 2019 @ 11:31
Très belle pièce mais trop haut !
Baboula
9 avril 2019 @ 12:04
Ce diadème est tout petit ,comme il se porte à la racine des cheveux il laisse apercevoir la chevelure. Il est infiniment moins haut que le périscopique diadème d’aigue-marine ,aussi de Fabergé ,vu la semaine passée .
IANKAL21
9 avril 2019 @ 11:39
Quelle conception artistique géniale. Et le travail exquis de l’ atelier !
Tout est dans le tourbillon des feuilles de la couronne de lauriers qui entourent les solitaires, sur fond de résille délicate.
Ça rappelle en finesse le diadème de Victoria Louise de Prusse, qui ont coiffé en mariées les Reines Frederica, Sophie et Letizia.
Baboula
9 avril 2019 @ 12:18
On retrouve la même finesse de travail sur le diadème d’aigue-marine,qui me plairait sans ces pierrres trop disproportionnées pour la légèreté du reste .
Jean Pierre
9 avril 2019 @ 12:11
Cécilie de Prusse avait un superbe diadème mais un mari stupide qui préférait plutôt vivre avec ces maîtresses qu’avec la « pauvre Cécile » comme durant les quatre années qu’il passât en France à Stenay. Le kronprinz, que les français appelaient le «con prince», et les anglais le «clown prince».
Hilde
9 avril 2019 @ 12:17
Un très beau diadème .
José
9 avril 2019 @ 13:58
Sorry, je ne parle pas francais.
from another site: he Shamrock Kokoshnik Tiara. Made by Fabergé, it was given to Duchess Cecilie of Mecklenburg-Schwerin in honor of her marriage to Germany’s last crown prince, Wilhelm, in 1905 from some of Cecilie’s Russian relatives. The tiara was worn by Cecilie’s daughter, also named Cecilie, at her wedding in 1949. Made up of tiny shamrocks, the piece can be worn with 3 detachable elements. Today, the whereabouts of the tiara are unclear. Now we shall know who is selling it!!!
COLETTE C.
9 avril 2019 @ 15:28
Il est imposant, en taille,mais léger avec ces croisillons.
Danielle
9 avril 2019 @ 16:42
Espérons qu’un musée s’en portera acquéreur.
Gérard
9 avril 2019 @ 17:18
Ce diadème au treillage fleuri a été offert en 1905 en cadeau de mariage par sa famille russe à la princesse héritière Cécilie de Prusse née duchesse de Mecklembourg-Schwerin et il a été porté par sa fille la princesse Cécilie de Prusse à l’occasion de son mariage à Bourg Hohenzollern avec l’américain Clyde Kenneth Harris (1918-1958) en 1949. La princesse héritière était fille de la grande-duchesse Anastasia Mihaïlovna de Russie qui était une collectionneuse de beaux bijoux et spécialement de Fabergé.
On connaît un portrait photographique de la princesse héritière Cécilie de Prusse en 1941 où elle porte ce diadème.
Sa fille Cécilie née en 1917 est décédée en 1975.
Le capitaine Clyde Kenneth Harris est notamment connu pour avoir été l’un des soldats qu’on appela les Monuments Men qui furent chargés de sauver un certain nombre d’œuvres d’art pendant la Seconde Guerre mondiale. Il était originaire de l’Oklahoma, fils d’un banquier, Van Buren Harris, et de son épouse née Aurora Vandevere. Il avait fait une partie de ses études artistiques à Paris, il était diplômé de l’Université de l’Oklahoma en décoration intérieure et en 1943 il fut enrôlé dans le Corps des ingénieurs de l’Armée des États-Unis, c’est lui notamment qui retrouva la Madone de Darmstadt de Holbein au château de Cobourg. Il s’agit de La Vierge et l’Enfant avec la famille du bourgmestre Meyer qui était aux grands-ducs de Hesse et qui a été achetée en 2011 par un milliardaire allemand, Reinhold Würth, pour plus de 50 000 000 d’euros c’est-à-dire plus que toute autre œuvre d’art achetée en Allemagne depuis la Seconde Guerre mondiale, et qui est maintenant exposée dans l’église des Chevaliers de l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem à Schwäbisch Hall au Wurtemberg.
C’est pendant ses voyages que Clyde rencontra la princesse qui l’aida dans ses recherches et qui parlait parfaitement l’anglais et connaissait tous les châteaux notamment ceux de la famille de Hesse. Ce qui fut utile car dans le même temps trois soldats américains avaient volé des joyaux de cette famille, qui furent retrouvés. Il lutta aussi vaillamment avec le prince Moritz de Hesse contre le feu qui menaçait la demeure de celui-ci.
Après le mariage Clyde devait vivre avec la princesse au Texas à Amarillo où il était architecte décorateur. Ils eurent une fille Kira Alexandrine en 1954 et lui mourut d’une hémorragie cérébrale à l’âge de 39 ans. Son épouse continua à vivre aux États-Unis mais mourut en Allemagne où elle était allée rendre visite à sa famille et où elle repose.
Kira épousa en 1982 à Santa Fe au Nouveau-Mexique John Mitchell Johnson né en 1951. Ils divorcèrent en 1993. Ils ont eu un fils Philip Louis Johnson au Texas en 1985 qui fut baptisé au château de Hohenzollern le 6 juillet 1986.
Actarus Zanzi
9 avril 2019 @ 23:33
Il n’est pas précisé qui le met en vente.
C’est comme pour l’identité secrète de Monsieur Charles : quand une part de vérité reste cachée, les rumeurs s’emballent ! ^^
Ghislaine-Perrynn
10 avril 2019 @ 13:44
Je trouve ce kokochnik très beau .