La Maison de vente aux enchères Leclere va vendre ce vendredi 9 novembre à l’hôtel Drouot à Paris un portrait de la célèbre impératrice Élisabeth d’Autriche connue sous le nom de Sissi. Cet élégant portrait, réalisé par le peintre Franz Schrotzberg, a été offert par l’impératrice en 1861 à Richard Davies, le propriétaire de la Quinta Vigia à Madère, le lieu de villégiature de l’épouse de François-Joseph entre novembre 1860 et avril 1861.
L’impératrice avait offert son portrait à ses hôtes en remerciements de leur accueil et cette toile est depuis restée propriété de cette famille. Sissi est revenue ensuite à Madère en 1893. La Quinta Vigia a été démolie dans les années 1970 pour faire place à un casino, une statue de Sissi est aujourd’hui visible à proximité de l’ancienne Quinta Vigia afin de rappeler le séjour de l’impératrice.
Le portrait de Sissi, conservé sur sa toile d’origine, est estimée entre 80.000 € et 120.000 €. (merci à Charles pour cet article et la photo)
Francois
8 novembre 2018 @ 08:47
Les amoureux éternels de Sissi vont être comblés
Peu de portraits de l’impératrice sont passés en vente
Surtout en France
monica
8 novembre 2018 @ 22:23
Sur ce portrait elle avait 24 ans
septentrion
8 novembre 2018 @ 10:22
Merci Charles.
Je n’avais jamais vu, ce portrait sur lequel l’impératrice ne porte aucun bijou visible.
Charles
8 novembre 2018 @ 12:30
Les Princes de Liechtenstein possèdent également une version de ce portrait.
Elsi
8 novembre 2018 @ 20:24
Elle porte le bijou de sa jeunesse ….. inegalable….
Vieillebranche
8 novembre 2018 @ 11:07
Merci pour cet immortel souvenir d’Elisabeth d’Autriche : heureux les mortels qui ont la possibilité financière de s’offrir ce charmant tableau ..les enchères vont s’envoler!
kalistéa
8 novembre 2018 @ 11:45
superbe! les enchères vont monter .
Philippe Gain d'Enquin
8 novembre 2018 @ 12:27
Comme quoi, l’ « on trouve tout chez Leclere… »
vasco2
8 novembre 2018 @ 12:52
Excellent ! Philippe.
Philippe Gain d'Enquin
9 novembre 2018 @ 11:44
Merci, love. PGE
Philippe Gain d'Enquin
9 novembre 2018 @ 11:47
Et tout ceci rédigé sur un « Roc », bien dans mes « Pompes » et sans marche funèbre… Merci à vous, love, PGE
Muscate-Valeska de Lisabé
8 novembre 2018 @ 12:59
Bof…le personnage en lui-même était si déprimé qu’il en est déprimant. Bien pour les fans,dont je ne suis pas.
Mary
9 novembre 2018 @ 00:38
Je pense qu’elle frisait l’anorexie , elle mangeait à peine et faisait des heures de sport ( elle avait même une salle de gym bien équipée , agrès etc…).
Ça finit par monter au cerveau …
Bon week- end Muscate ! Chez nous, c’est à nouveau la fête à la grenouille…et il paraît que demain,aujourd’hui plutôt , ça va continuer… Mais j’aime la pluie, la terre est contente, donc, moi aussi :-).
Robespierre
9 novembre 2018 @ 11:35
A force de se priver pour garder la ligne, elle a fini par perdre ses dents.
Muscate-Valeska de Lisabé
10 novembre 2018 @ 16:36
Ah ben c’est encore moins sexy que les poignées d’amour, cela!! ;’)))
Carolus
10 novembre 2018 @ 21:08
Elle n’en avait pas besoin puisqu’elle ne mangeait pas, voyons 😋
Muscate-Valeska de Lisabé
11 novembre 2018 @ 12:20
Ohhh excellent,Caro…bravo!…je m’en veux de ne pas l’avoir trouvée,celle-là! ;’)))
Muscate-Valeska de Lisabé
9 novembre 2018 @ 15:12
À vous aussi, chère Mary…on attend de l’eau nous aussi pour aujourd’hui, et au Liban, c’est un événement! ;-)♡
Clara
8 novembre 2018 @ 14:36
Les peintres dits « de cour » (et plutôt « de cours » car ils travaillaient rarement pour une seule cour) agissaient encore dans l’esprit de la « bottega » Renaissance : la commande d’un portrait (on dirait aujourd’hui « un pilote ») était généralement suivie de la commande d’un certain nombre de répliques parfois indiscernables de l’oeuvre primordiale, que ce soit par le style ou par (l’existence ou l’absence de) la signature.
Ce qui me frappe dans ce tableau c’est son ciel orageux, sanglant…
Laurent F
8 novembre 2018 @ 16:18
Mettre un tableau de l’impératrice dans son salon, c’est un peu présomptueux si on n’est pas de la famille !
Cosmo
8 novembre 2018 @ 16:54
Belle Elisabeth qui hélas deviendra un grand échalas ridé vêtu de noir.
Robespierre
8 novembre 2018 @ 19:18
Jamais compris sa reputation de beauté, pour moi la beauté de la famille c’était sa belle-mère Sophie.
Cosmo
9 novembre 2018 @ 11:53
Dear Rob,
Il est toujours difficile de comparer mais vous avez raison l’archiduchesse Sophie était une beauté, digne de figurer à Munich dans la galerie des cent plus belles femmes de l’époque constituée par son père Louis Ier.
Bon weekend
Muscate-Valeska de Lisabé
9 novembre 2018 @ 15:14
Pas laide,finaude,mais pas canon non plus…ou alors,peut être du charme,comme beaucoup de femmes,quand elles sont animées,souriantes,vivantes. ..mais Sissi savait-elle s’animer?Pas beaucoup,d’après ce qu’on sait.
Auberi
9 novembre 2018 @ 08:05
La plus grande névrosée du Gotha de l’époque, mélancolique, anorexique, il faut dire que les multiples mariages consanguins ne l’ont pas épargnée. Si elle avait été moche, on en aurait tout juste entendu parler
Muscate-Valeska de Lisabé
9 novembre 2018 @ 15:16
Bravo Auberi…c’est tout simple et c’est bien dit.
On la plaint,évidemment, car ce n’est pas drôle de vivre avec soi-même pour pire ennemi.
Auberi
10 novembre 2018 @ 22:35
You welcome Muscade ;)