Christie’s Paris mettra en vente le 1er avril 2014 (lot 59) un beau et rare tableau historique par Philippoteaux provenant du Cabinet de Travail des Ministres du roi Louis-Philippe au château d’Eu puis des collections de la duchesse de Windsor.Plus d’informations sur ce tableau en cliquant sur le lien suivant http://www.estimart.fr/actu/
JAusten
8 mars 2014 @ 10:19
ce serait bien si ce tableau retournait au Château d’Eu;
Charles
8 mars 2014 @ 11:42
Information d’ importance pour les collectionneurs et pour le château d’Eu
Philibert
8 mars 2014 @ 15:09
Et à qui appartient ce tableau ?
Voilà qui serait intéressant à savoir…
Charles
9 mars 2014 @ 13:47
Ce tableau a été offert par la duchesse de Windsor a la famille du vendeur actuel.
Zeugma
8 mars 2014 @ 11:48
Grâce à « Noblesse et royautés » dont le rôle pédagogique ne se dément pas, je découvre Henri Philippoteaux (1815–1884).
Alors que le peintre est un homme du 19e siècle, le tableau nous montre ici une scène qui se passe au 18e siècle dont il a d’ailleurs a facture. On est plus prêt de Carmontelle que de David, Ingres, Delacroix, Manet, Bouguereau etc … bref, c’est une peinture plutôt démodée pour l’époque.
On ne sait pas qui est la dame très élégante en train de lire sous un arbre, dans un fauteuil de style plutôt « régence », probablement dans le parc de son château. Et qui sont les deux hommes qui lui rendent visite ?
Cette scène de genre est jolie et peut faire l’ornement d’un salon bourgeois.
HRC
8 mars 2014 @ 13:14
oui, un « ç la manière de »
Madame du Deffand, ou Julie de Lespinasse et ?? j’ai vu ce tableau quelque part
HRC
8 mars 2014 @ 13:22
pas trouvé, mais le nez un peu long ressemble à celui de Julie
il y aurait une logique à la place de ce tableau dans un bureau de Louis-Philippe, c’est l’Encyclopédie. Pour les 2 hommes on peut chercher à Turgot, Guibert bien sûr, l’embarras du choix….
un rappel des orléanistes qu’une évolution aurait pu être faites et éviter la révolution ???
Charles
8 mars 2014 @ 15:55
Ce tableau exécuté en 1839 par Philippoteaux est la reprise d’une scène réalisée par Louis de Carmontelle vers 1760.
La marquise de Pons, épouse du Gouverneur du duc de Chartres, est représentée assise face au chevalier de Durfort et à Monsieur de Marguerie.
La défunte Comtesse de Paris possédait plusieurs œuvres de Carmontelle exposées dans sa salle à manger parisienne.
Gérard
9 mars 2014 @ 20:26
Ils avaient aussi des Philippoteaux mais des scènes de batailles à sa manière très différente bien sûr de celle de Carmontelle.
Gérard
8 mars 2014 @ 17:19
Le site du commissaire-priseur que Régine a indiqué obligeamment permet de savoir qui sont les personnes représentées : le tableau porte au dos sur la toile le numéro d’inventaire 3911 surmonté du monogramme LP, la marque EU sous couronne royale et l’inscription : « Mme la Marquise de Pons, dame de Madame, Comtesse de Provence./ Mr le Cher de Durfort Ier Gentilhomme de la chambre de Monseigneur le Duc d’Orléans./ Mr de Marguerie./ par M. Philippoteaux en 1839.»
Il s’agit de « personnages incontournables de l’entourage de la Maison d’Orléans au XVIIIe siècle », Madame de Pons, née Anne Claudine de Mayneaud de la Tour, épouse du gouverneur du duc de Chartres, futur Philippe Egalité, Emmanuel de Pons Saint-Maurice, grâce à qui Carmontelle entra au service des Orléans et fut nommé lecteur du duc de Chartres.
Le chevalier de Durfort était donc premier gentilhomme du duc d’Orléans (Louis-Philippe-Joseph). Roger de Beauvoir dans Le chevalier de Saint Georges (1840) l’évoque : « Le premier gentilhomme de la chambre du duc d’Orléans, M. de Durfort, avait la double manie des testamens et des tulipes. Il achetait des tulipes et faisait son testament trois fois par
semaine. »
Il fut l’un des témoins du mariage secret du feu duc d’Orléans avec la marquise de Montesson en 1773.
L’oeuvre était conservée au château d’Eu de 1839 à 1848, dans le cabinet de travail de l’aile des ministres de Louis-Philippe Ier, roi des Français.
On la retrouva dans les collections de la reine Marie-Amélie au château de Claremont (cité à l’inventaire des Objets attribués gratuitement à Sa Majesté la Reine par décision de Messrs les Exécuteurs Testamentaires du Roi en date du 4 Février 1857), puis dans la collection de la duchesse de Windsor, qui l’offrit à la famille des actuels propriétaires.
Ce portrait collectif fut exécuté en 1839 par un des principaux peintres officiels du règne de Louis-Philippe Ier, Henri Félix Emmanuel Philippoteaux, d’après une version originale peinte vers 1760-1765 par Louis de Carmontelle, actuellement non localisée sinon disparue. Le présent tableau fit partie d’une commande passée par le roi Louis-Philippe à Félix Philippoteaux de quatre peintures (n° 3911 et 3888-3890), d’après Louis de Carmontelle, destinées à orner ledit cabinet de travail dont le décor a aujourd’hui totalement disparu.
Des quinze tableaux qui décoraient cette pièce, à l’exception de ce portrait, seuls quatre sont localisés à ce jour et conservés dans des musées (Musée du Louvre, Musée Condé à Chantilly et Musée-Château d’Annecy).
On connaît trois portraits individuels à l’aquarelle représentant la marquise de Pons, le chevalier de Durfort et monsieur de Marguerie par Louis de Carmontelle (Collections de la famille d’Orléans, n° Inv. M. 21, 24 & 25), deux portraits individuels aquarellés et gouachés figurant le chevalier Louis-Philippe de Durfort et Mme la comtesse de Pons par Louis de Carmontelle (Musée Condé à Chantilly, n° Inv. CAR 66 & CAR 94).
Je ne sais pas si le chevalier de Durfort était bien ce Louis-Philippe ; il existe certes un Louis-Philippe, comte de Durfort (1733-1800), colonel du régiment de Chartres Infanterie, grand-croix de l’Ordre de Saint-Louis et commandeur de l’Ordre de Saint-Lazare et de Notre-Dame du Mont Carmel, qui se maria et eu des enfants, mais je ne sais pas s’il fut appelé autrement que le comte de Durfort. Sur le portrait conservé à Chantilly il a un ruban noir comme celui de l’Ordre de Saint-Michel.
Il ressemble plus au personnage central de notre oeuvre qu’au personnage de droite et le personnage central porte également un ruban noir tandis que celui de droite porte le ruban rouge de l’Ordre de Saint-Louis.
La notice d’expertise est de Xavier Dufestel, expert spécialiste des Orléans, pour la maison de ventes Christie’s.
Gérard
8 mars 2014 @ 18:26
Le chevalier de Durfort est bien Louis-Philippe plus tard comte de Durfort, ou de Deyme, de la branche des comtes de Deyme. Il sera lieutenant-général et il est donc bien au centre du tableau. Il avait 14 ans de plus que Chartres auquel il était très dévoué sans partager toutes ses idées. Il ne manquait jamais aux devoirs de sa charge et avaient des « manières fort nobles ». Madame de Genlis écrit : « Le duc de Chartres s’attacha sincèrement au chevalier de Durfort ; c’est le seul homme qu’il ait véritablement aimé, quoique le chevalier n’ait jamais voulu être de ses parties intimes » (Madame de Genlis, Mémoires, tome II, page 183, cité par Evelyne Lever, Philippe Égalité, Fayard, Paris 1996). Il mourut à Turin.
Cosmo
8 mars 2014 @ 22:46
Cher Gérard,
Merci pour toutes ces précisions !
Je ne suis pas sûr que je me porterais acquéreur de ce tableau dont l’intérêt me semble être plus historique qu’artistique.
Espérons que le château d’Eu pourra l’acheter.
Amicalement
Cosmo
Gérard
9 mars 2014 @ 22:13
La plupart des portraits de Carmontelle sont des profils. C’est un merveilleux peintres des étoffes et des soiries.
Gérard
9 mars 2014 @ 16:19
La marquise de Pons si familière des Orléans était à la veille de la Révolution première des 19 dames pour accompagner Madame dont deux duchesses et venant après la dame d’honneur et la dame d’atours.
Monsieur de Marguerie gentilhomme d’honneur de Monsieur le duc d’Orléans fut lieutenant des Maréchaux de France en Valois. Il appartenait à la branche des seigneurs de Montpinçon de cette famille normande noble qui portait : « d’azur à trois marguerites d’or » (La Chenaye-Desbois, Dictionnaire de la noblesse … de France ».
Gérard
9 mars 2014 @ 22:08
À propos de la comtesse puis marquise de Pons-Saint-Maurice dont le charme à été ici diversement apprécié, celle qui fut d’abord l’épouse puis la veuve du financier Joseph-Laurent de Mazade ou Mazade de Bobigny, écuyer, fermier général, avant Emmanuel-Louis-Auguste, homme peu cultivé mais charmant et drôle, elle était aux dires de Madame de Genlis « fort belle ».
Anatole-François Gruyer, de l’Institut, conservateur du Musée Condé, nous apprend (Chantilly, les portraits de Carmontelle, Plon, Paris 1902) que dans les derniers mois de la Terreur elle accompagna Mademoiselle d’Orléans (qui n’avait donc pu épouser son promis, le duc d’Angoulême), à Fribourg en Suisse où toute sa famille étant en prison et son père tué, elle devait rejoindre sa tante la princesse de Conti. En Suisse la comtesse « très bonne et charitable (elle) organisa en son nom les secours aux émigrés dont la misère était extrême ». Du moins les plus pauvres des émigrés qu’elle sauvait de la famine durent-ils en savoir gré à cette princesse de 17 ans rejetée de tous. et à Fribourg par les nobles et les prêtres puisqu’elle était la fille du régicide. C’était le printemps de 1794.
Mais Carmontelle à peint aussi Madame de Pons assise sur un fauteuil doré recouvert de velours frappé écarlate sur une terrasse donnant de l’herbe à manger à « sa biche favorite », tandis que dans l’image ci-dessus nous avons un épagneul. La dame ne fut pas contente du portrait dont il estimait qu’il ne la flattait pas avec notamment une tâche rouge sur la joue. Carmontelle, qui était l’obligé de Monsieur de Pons, pensait pourtant avoir fait de son mieux. Son meilleur ami, Pierre-Joseph Richard, sieur puis chevalier de Lérans (1733-1816), chevalier de Saint-Louis, qui fut gouverneur des pages de Madame, à pu écrire à propos de la réaction du peintre : « Et dans ses radotages ab irato qu’il a filés jusqu’à son dernier hoquet, il me disait encore pis que pendre de la mijaurée comtesse et de sa biche ».
Lérans resta auprès de son ami jusqu’à sa mort le 28 décembre 1807 dans son petit appartement de la rue Vivienne. Il hérita de ses aquarelles, celles qui n’étaient pas la propriété du duc d’Orléans. Monsieur de Carmontel comme le nommait Lérans offrait des copies de ses œuvres aux familiers des Orléans mais gardait les originaux. Il avait vécu de ses appointements de lecteur et en fait était payé pour organiser les spectacles du prince ce qu’il réussissait à merveille et on peut dire avec génie. Lérans se retrouva donc avec 750 portraits qu’il ne parvint pas à faire acheter en bloc par la Bibliothèque Impériale. À sa mort en 1816 il lui en restait 480 certains ayant été vendus discrètement, on parlait de Talleyrand. Ils furent vendus en bloc et passèrent en diverses mains dans ce même état avant d’être rachetés en Angleterre à un homme politique le major Lachlan Duff Gordon-Duff par le duc d’Aumale en 1877 pour 112 500 francs. Le duc devrait en acquérir 34 autres plus tard.
Ainsi la fidèle amitié de Lérans et la dévotion familiale et artistique d’Aumale purent-ils préserver l’unité de l’œuvre de Louis Carrogis dit Carmontelle, le fils du cordonnier qui fut le peintre de l’aristocratie parisienne et versaillaise.
Maguelone
8 mars 2014 @ 18:39
Merci Zeugma pour votre lecture de ce tableau. Ne trouvez-vous pas la dame « pimpante » ? :)
Zeugma
8 mars 2014 @ 20:01
1°) La culture de certains internautes habitués de « Noblesse et royautés » est quelquefois stupéfiante. Je vais lire attentivement leurs explications.
2°) La dame représentée – qui est donc, si j’ai bien compris, la marquise de Pons – n’est pas « pimpante » tel que je conçois le mot « pimpant ».
Elle est, certes, très élégante mais ça ne lui suffit pas pour être « pimpante ». Elle trop raide, trop froide, trop sérieuse.
Il lui manque du piquant, la « sprezzatura » comme disent nos amis Italiens.
Un courtisan est toujours sous contrôle mais il doit donner l’apparence d’une certaine nonchalance ou désinvolture et ne pas apparaître trop sérieux et trop savant. C’est tout un art, très compliqué ; l’art de la politesse française.
HRC
9 mars 2014 @ 10:41
…..
je n’ai pas les titres pour être reçue à la cour, donc je n’ai rien à perdre, et si ce n’est pas Julie, ce tableau ne me concerne plus du tout.
HRC
8 mars 2014 @ 19:37
j’ai tout faux !!
Laub28
8 mars 2014 @ 19:58
Il suffit de lire la notice de M. Dufestel, expert de ce tableau pour Christie’s, sur le lien indiqué par Régine pour savoir l’identité des personnages… http://www.estimart.fr/actu/
Enfin dans tous les cas, avec sa double provenance historique appuyée par une notice aussi documentée, çà m’étonnerait beaucoup que ce tableau reste à son estimation le jour de vente pour qui rêve aux destins croisés des collections du roi Louis-Philippe et des ducs de Windsor…
Danielle
8 mars 2014 @ 12:18
Un beau tableau dont j’aime beaucoup les teintes.
Palatine
8 mars 2014 @ 16:45
oui, mais la dame a un très vilain profil. Le peintre ne pouvait-il trouver mieux ? Ou alors c’est son épouse qui a peut-être exigé d’être immortalisée sur la toile.
HRC
9 mars 2014 @ 10:47
le profil de Julie, justement
et l’homme en rouge j’ai imaginé Guibert, je l’avoue, un hommage quasi amoureux de ma part.
R-N
13 mars 2014 @ 12:00
Ce profil ne m’évoque rien de désagréable… Les épouses dans cette famille étaient toujours de belles femmes, et je ne crois pas que celle-ci ait failli à cette habitude…
neoclassique
8 mars 2014 @ 12:57
ce tableau de Philippoteaux est évidemment une réplique d’une aquarelle de Carmontelle qui pourrait représenter Madame de Genlis, une réplique comme il l’avait déjà fait pour les gentilhommes du duc d’Orléans, réplique qui se trouve au musée Camondo tandis que le précieux original attend d’être vendu par Christie’s également avec la quasi totalité des biens mobiliers que les héritiers Orléans viennent de récupérer de la fondation St Louis et qu’ils vont disperser prochainement sous le feu des enchères.
Comme cela, 2 générations auront intégralement consumé tout le précieux et si important patrimoine de la maison d’Orléans…
Sic transit gloria mundi…
Palatine
8 mars 2014 @ 20:50
madame de Genlis n’avait pas ce vilain nez, son nez etait légèrement retroussé vers le haut, et sa physionomie était agréable.
Denis
8 mars 2014 @ 12:59
Ce tableau est une copie XIXe siècle d’une oeuvre de Louis Carrogis , dit Carmontelle (1717-1806) peintre qui a travaillé notamment pour les Orléans et les Condé à Chantilly au XVIIIe siècle .
bianca
8 mars 2014 @ 16:14
Cette œuvre met bien en détail les tenues des personnages, le chien aussi,
« il me semble » que les trois personnes appartiennent à la même famille car leur ressemblance de profil est frappante !
R-N
8 mars 2014 @ 16:27
Tous les moyens sont bons pour parler plusieurs fois par semaine des Orléans…
Cosmo
8 mars 2014 @ 22:42
Mais, R-N, pour le neutre que vous prétendez être, cela ne devrait pas poser problème. Et rien ne vous empêche de proposer un sujet, voire plusieurs, sur Louis de Bourbon. Régine n’y verra certainement aucun inconvénient.
Et vos révélations sur la tête de Bourdais, où en êtes-vous ? A quand l’article promis ?
Cosmo
Gérard
12 mars 2014 @ 15:15
Et puis R-N si les prétendants Bourbons espagnols au trône de France depuis la mort du comte de Chambord ont eu des talents picturaux et s’ils ont développé le mécénat, vous pouvez toujours nous le faire savoir.
R-N
13 mars 2014 @ 10:03
Cosmo, Gérard,
Je n’avais pas vu vos réponses.
Les Bourbons n’ont rien à voir avec ma remarque.
Je soulevais le fait que, sous des raisons diverses, les Orléans sont mieux traités que les familles régnantes. Les engagements de ces dernières, même parfois en apparence anodins, ont une implication. Ce n’est pas le cas pour ceux qui ne sont pas sur le trône.
Il ne faut pas tout ramener à la querelle, et je vous rappelle que tout en privilégiant Louis de Bourbon au sein de la célèbre discussion, mes préférences personnelles vont bien ailleurs. Pour votre suggestion, Cosmo, vous comprendrez que je n’ai pas vocation à proposer de sujets à Régine…
Il y aura en principe, à la fin du mois comme date finale souhaitée, sur la Tête Bourdais non pas un article mais notre propre étude. Elle ne sera qu’un début, il y aura autre chose à dire une fois que cette étude sera parue. Mais tout ne dépend pas de nous.
Gérard
13 mars 2014 @ 22:21
J’imagine que la majorité des lecteurs sont français ou francophones et c’est bien pourquoi les articles sur la France et sa famille royale intéressent et peuvent susciter plus de polémiques que la visite d’une charmante princesse scandinave dans une école primaire.
R-N
14 mars 2014 @ 18:49
Gérard,
Ce serait comme dire que la responsable du site rechercherait d’abord la polémique, et celle-ci est le fait du groupe auquel vous appartenez. De toute façon, il y a déséquilibre de traitement, et les Orléans ne sont pas et ne seront jamais pour la France « sa famille royale ».
Gérard
19 mars 2014 @ 23:35
R-N dit qu’il y a un déséquilibre entre les Orléans, qui pour lui ou elle ne sont pas la famille royale française et dont les partisans alimenteraient des polémiques au lieu de prendre pour argent comptant les positions de R-N. et les Bourbons dEspagne. Mais les Bourbons d’Espagne n’ont aucune raison d’être cités souvent dans notre histoire car ils n’y ont joué un rôle que comme espagnols ou anecdotique ment que comme exilés espagnols en France comme Charles IV et sa famille et Isabelle II.
De la même manière à propos du Royaume-Uni on constate une disproportion entre les Windsor et les Wittelsbach ! Dure loi de la vie en effet !
amaia
8 mars 2014 @ 16:27
Quel tableau ravissant, la finesse du dessin et la délicatesse des couleurs sont magnifiques !!
Francine du Canada
8 mars 2014 @ 17:59
C’est un magnifique tableau avec beaucoup de détails. Merci Régine et bonne journée à tous, FdCeE
bianca
8 mars 2014 @ 21:37
Coucou Francine, bon week-end à vous, bianca
Francine du Canada
10 mars 2014 @ 21:33
Bonjour Bianca; j’ai été privée de Wi-fi plusieurs jours (voire semaines) mais le retour est agréable (tous ces magnifiques reportages m’ont manqués). Je vous rattraperai ailleurs. Amitiés, FdCeE
Mélusine
8 mars 2014 @ 18:01
Avis aux amateurs. Sous le marteau de Maître Cyril Duval (voir site : interencheres.com) mise aux enchères à l’Hôtel des Ventes de La Flêche, le samedi 15 mars prochain, d’une suite de 6 gravures d’après Charles Benazech, retraçant les derniers jours du Roi Louis XVI et de la famille royale :
« Journée du 20 juin 1792 au château des Tuileries – Dévouement de Madame Elisabeth – La séparation de Marie-Antoinette d’avec sa famille – Jugement de Marie-Antoinette – La séparation de Louis XVI d’avec sa famille – Louis XVI avec son confesseur avant sa mort. »
flabemont8
8 mars 2014 @ 18:13
J’aime !
Livia
8 mars 2014 @ 19:07
Si un mécène permettait de le remettre à EU quel bonheur!
Il exprime la nostalgie d’une époque…
Jean Pierre
8 mars 2014 @ 20:53
Philippe sera t’il sur les rangs ?
Philippe
10 mars 2014 @ 08:45
Non, aucune chance ! …
J’aime bien l’époque, j’aime bien les couleurs … mais pas du tout
la composition.
Les personnages soient tout de même moins vilains que
le cocher du prince de Joinville, que nous présente Charles aujourd’hui !
Francine du Canada
10 mars 2014 @ 21:36
Bizarre Philippe; je viens de voir les deux toiles du prince de Joinville et… j’ai bien aimé! FdCeE
Anne-Cécile
9 mars 2014 @ 12:30
Personnellement je n’en voudrais pas dans ma maison!
Gérard
12 mars 2014 @ 15:11
Rien de plus facile. N’enchérissez pas.