Le duc d’Aoste a décidé de mettre en vente une partie des collections familiales chez Bolaffi à Turin le 25 septembre prochain. Le duc d’Aoste âgé de 69 ans, qui fut marié en premières noces à la princesse Claude de France, avait déjà vendu son domaine familial du Borro en Toscane à la famille Ferragamo. Cliquez ici pour découvrir l’ensemble du catalogue des biens mis en vente. Au total, 552 lots comprenant de la vaisselle, du mobilier, des tableaux, des sculptures, de l’argenterie. (Merci à laub 28 – Copyright photo : DR)
Laure2
10 septembre 2013 @ 07:23
Et bien c’est vraiment le grand bazardage !!!! Il y a de forts jolies choses et un coté honteux à cet étalage . Pas sure que le prince n’aurait pas souhaité un peu plus de discretion .
La photo n’est pas flatteuse , mais le personnage ne mérite guère de louanges .
qiou
10 septembre 2013 @ 11:00
Laure2, c’est un choix délibéré de la part du duc d’Aoste.
Il n’y a pas trente six solutions. Vendre à des antiquaires et a des particuliers est un risque financier dans la mesure où la personne qui convoite votre bien est seule, quant à le discrétion. Dans une vente public (enchères), les acheteurs potentiels entrent en concurrence et les prix peuvent flamber parfois de façon absurde.
Je rejoins Gérard et Cosmo dans leurs analyses. Pas de pièces d’orfèvrerie où figure l’insculpassion d’un poinçon de grand maitre, quelque petites pièces charmantes comme le petit cul rond de Paris, étonnant! Meubles de facture très moyenne dans l’ensemble., Quand aux tableaux, il y beaucoup d’atelier, d’élèves de, dans le goût de…et quelques jolies pièces J’aime bien le couple de cigognes Chine fin XVIIIe (à titre personnel).
La stratégie de cette vente me surprend. Visiblement, tout est misé sur la provenance. Pourquoi ne pas vendre les choses de piètre qualité en le noyant dans une petite vente. Insérer les objets de bonne facture dans une belle vente cataloguée en précisant leur appartenance, comme l’avait le comte de Paris chez Sotheby’s?
Vente heureusement annulée.
Tout cela est bien triste
BAV
qiou
10 septembre 2013 @ 11:03
« Les »
qiou
10 septembre 2013 @ 11:22
La vente à laquelle je fais allusion est celle 1986 chez Sotheby’s.
Laure2
10 septembre 2013 @ 12:43
Je suis bien d’accord .
Personnellement c’est surtout l’argenterie que je trouve assez vilaine .
Alberto
11 septembre 2013 @ 10:17
Entretien avec le duc et duchesse d´Aoste sur la vente:
http://www.oggi.it/focus/personaggi/2013/09/10/amedeo-daosta-mette-allasta-i-gioielli-di-casa-savoia/
Gérard
10 septembre 2013 @ 07:38
Certains lots ne viennent pas de la collection du duc.
Il y a beaucoup de pièces de mobilier de valeur moyenne et quelques beaux tableaux.
On peut regretter de voir certains lots très personnels qui auraient pu aller aux enfants comme un plateau en vermeil aux armes d’alliance Aoste-France, offert au duc pour son premier mariage, une montre de sa mère ou un petit collier de l’Annonciade et quelques souvenirs de la reine Amélie de Portugal.
Cosmo
10 septembre 2013 @ 07:38
Le duc d’Aoste a perdu la tête ou a fait faillite, à moins qu’il ne procède à une opération de vide-grenier. Il y a peu d’objets de qualité ou du moins du niveau de collection royale. Pas un tableau de grand maître, pas de meubles ou d’orfèvrerie signés ! Cela dit, beaucoup d’entre nous seraient ravis de posséder certaines pièces qui ne dépareraient pas un bel intérieur bourgeois.
Luise
10 septembre 2013 @ 08:57
Il y a des objets interessants qui peuvent etre achetés en souvenir des Savoie-Aoste
Cosmo
10 septembre 2013 @ 15:46
Luise,
En effet, certains objets peuvent séduire par leur provenance, surtout s’ils sont aux armes.
Bien à Vous
Cosmo
JAusten
10 septembre 2013 @ 11:45
Dear Cosmo,
Il y a quelques petites pièces de porcelaine bleu et blanc dont mon intérieur de toute petite bourgeoise se contenterait bien :)
Cosmo
10 septembre 2013 @ 15:47
Me too, dear Jane ! ;)
aubert
10 septembre 2013 @ 12:51
Cher Cosmo, votre dernière phrase est amusante. Le duc d’Aoste qui est et le sait plus qu’ aristocrate mais prince de Maison royale est probablement persuadé qu’il peut se défaire de cette bimbeloterie sans déchoir…peut-on lui donner tort ?
Parmi les vendeurs de brocantes de quartier et de village il arrive que l’on rencontre des bourgeois.
Cosmo
10 septembre 2013 @ 20:13
Cher Aubert,
Je en donnerais ni tort ni raison au duc d’Aoste car j’ignore les raisons de cette vente.
Je me moquais gentiment de ce bric à brac, dont je me porterais acquéreur de certaines pièces si elles étaient à portée de ma bourse car j’imagine que, comme la vente Tours et Taxis ou Devonshire, la provenance va faire monter les enchères.
Prince royal, le duc d’Aoste semble toutefois ne pas plaire à tout le monde sur le site.
Amicalement
Cosmo
Palatine
10 septembre 2013 @ 08:05
Le duc d’Aoste n’a pas d’argent, il l’a souvent fait comprendre dans les interview qu’il accorde aux magazines. Il a vendu l’exclusivité du reportage de sa fille Bianca à l’un d’entre eux. Son problème, c’est qu’il n’a jamais travaillé et a voulu vivre comme un seigneur. Résultat, comme pas mal de nobles toscans, il a dû vendre sa propriété et maintenant il vend ses fonds de tiroirs, enfin façon de parler.
Au lieu de se marier à 20 ans et de vivre comme un propriétaire d’autrefois, il aurait mieux fait de faire de bonnes études et d’aller travailler en Lombardie, où un tas d’entreprises lui auraient offert un boulot tres rémunérateur.
Quand il était encore marié à Claude, ils ont essayé de vendre les produits de leur domaine, mais ca n’a pas marché. Heureusement son fils travaille
Palatine
10 septembre 2013 @ 08:33
Dans son livre « Aristocrats », Robert Lacey raconte l’étonnement du duc d’Edimbourg devant le train de vie royal du prince de Tour et Taxi. Il lui dit qu’il n’avait jamais vu un particulier vivre ainsi. Le prince lui fit comprendre avec une boutade « no workey no money », que pour jouir de ce train de vie, il travaillait . Il paraît que Philippe avait été vexé.
JAusten
10 septembre 2013 @ 12:31
à remarque insolente réponse insolente ! Bien répondu sur ce coup (à mon avis) de la part du prince de Tu.T
marie.françois
10 septembre 2013 @ 12:41
Ce n’est pet etre pas un tres bon exemple, Palatine.
Le prince de Thurn et Taxisl travaillait peut etre en faisant des affaires.Mais celles ci n’ont été guere brillantes puisqu’à sa mort , de nombreuses ont été cédées ainsi que des centaines oeuvres d’art qui remplissaient le chateau de Regensburg.
Les Tour et Taxis ne menent plus le train royal du prince Johannes
Palatine
11 septembre 2013 @ 12:05
Le prince a légué une tres grosse somme d’argent à un jeune homme et la veuve a dû se trouver devant un manque de trésorerie. Je n’épiloguerai pas…
Jean Pierre
10 septembre 2013 @ 10:43
Merci Palatine pour votre analyse « in loco ».
La prétention (au trône, s’entend !) demande effectivement des moyens qui de nos jours ne tombent pas du ciel.
cerise
10 septembre 2013 @ 11:36
Aucune compassion pour ce personnage! Relire « La cigale et la fourmi ». Il n’a qu’à chanter maintenant!!!!!!
Francine du Canada
10 septembre 2013 @ 18:15
Non, il n’a qu’à danser maintenant. FdC
JAusten
10 septembre 2013 @ 11:43
Chère Palatine, des fonds de tiroirs … effectivement quand on voit l’état dans lequel est l’argenterie, on peut imaginer aisément qu’elle a dû végéter depuis des années dans les fonds de tiroirs.
Philibert
11 septembre 2013 @ 00:34
Apparemment, le duc d’Aoste vend ses fonds de grenier. Si cela lui permet de ne pas passer sa vieillesse dans la misère, pourquoi pas ?
À son âge, il a sûrement compris qu’il ne montera jamais sur le trône d’Italie. Mais pourquoi n’essaie-t-il pas de devenir roi de Croatie ? Ce pays serait peut-être intéressé de devenir un royaume…
Luiston de Borbléans
10 septembre 2013 @ 08:37
« Sic transit gloria mundi » (Pour les non latinistes : « Ainsi passe le gloire du monde… »
Certaines des pièces mises en vente sont plus que quelconques et l’ensemble ne vaut pas le déplacement.
Il est regrettable en effet que quelques objets de valeur familiale et intime n’aient pas été offerts aux descendants Aoste ; c’est même une forme d’indécence de les vendre, c’est comme vendre son âme.
Et tout cela parce que « la terre est basse » – comme disent les paysans de Notre région à propos de ceux qui ne veulent pas travailler – et que l’On ne veut pas salir des Mains Princières en travaillant.
Notre Cousin Aoste va finir par ressembler à son premier beau-père, Riton VI, dans son comportement : tout brader et ne rien laisser derrière soi !
On est loin de l’adage bourbonien : « Agrandir le Domaine et le transmettre à l’Héritier » ; tout se passe ici comme si Notre Cousin Aoste allait mourir demain sans descendance…
Domitilla
10 septembre 2013 @ 12:56
Je partage tout a’ fait votre avis…en plus » sic transit gloria mundi » et mon devis (mot) j’adore,bonne journee’
JAY
10 septembre 2013 @ 08:55
Quand on pense que certains le soutiennent face au prétendant légitime, Victor Emmanuel, c est a mourir de rire!
Cet homme a la vie complètement dissolu, avec plusieurs enfants nés hors mariage, plus ou moins reconnus, est l exemple à ne pas suivre!
Rappelons qu il n a JAMAIS sérieusement travaillé, et a dilapidé l ensemble de sa fortune héritée; et maintenant il se ridiculise en vendant a grand renfort de publicité le reste des bibelots….. Il me fait penser à notre « Duc de France » …. vraiment pas glorieux tout ca !
aubert
10 septembre 2013 @ 12:59
Il est triste en effet de constater la déconfiture morale et matérielle des deux branches d’une des plus prestigieuses familles européennes.
marie.françois
10 septembre 2013 @ 17:57
Les Savoie depuis qu’ils sont d’Italie n’ont jamais été prestigieux, Aubert !
aubert
10 septembre 2013 @ 13:04
On ne peut s’empêcher de faire un parallèle et de se dire que le comportement de ces messieurs n’est pas en faveur de l’hérédité monarchique.
tody
10 septembre 2013 @ 20:14
Le fils du duc travaille eu une vente aux encheres ce n’est pas la fin du monde…………………………..
tody
10 septembre 2013 @ 20:15
et pas eu
qiou
11 septembre 2013 @ 10:53
Lody, je pense que vous devez confondre, il n’a jamais travaillé dans une salle des ventes. C’est un brillant homme d’affaires.
BAV
Cosmo
10 septembre 2013 @ 15:48
Tiens…tiens…une petite pique au passage ne fait pas de mal car elle soulage les aigreurs d’estomac !
Philippe gain d'enquin
10 septembre 2013 @ 09:42
Encore un qui engage le retour aux rangs du commun d’une illustre famille.Bien, bien triste que tout cela!
Sébastien
10 septembre 2013 @ 10:44
Voilà bien la preuve que le sang des Orléans coule dans cette branche de la famille royale d’italie… Vend-il également draps, mouchoirs et photos de famille ? En tout cas, le plateau offert pour son 1er mariage fera sans doute un excellemnt pendant à celui offert à la Comtesse de Paris pour ses 90 ans
JAY
10 septembre 2013 @ 10:45
Je viens de relire avec attention la liste des lots de la vente .. franchement rien d extraordinaire… digne d une maison de campagne de petite noblesse… rien d une grande maison princière qui se prêtant héritière du trône d Italie ….. au moins Victor Emmanuel a su gagner de l argent par lui même (en Iran avec le shah d ailleurs ) et cela même après une succession difficile avec ses sœurs …
Alberto
10 septembre 2013 @ 12:28
OH!!! Mais lui même, dans ses mémoires, attaquait violement un faux ami (dont il donne le nom) qui l´a utilisé, selon lui, pour faire des affaires juteux avec le Shah et une fois le Shah déchu il a montré la porte à Vittorio Emanuele…c´est à dire: VE n´y entrait qu´avec son nom…..
VE n´a pas trouvé de quoi à faire depuis. C´est ce qu´il dit dans ses mémoires. Et tout cela AVANT la rupture avec ses soeurs. VE aura été favorisé par Maria José et…bon, restons lá.
tody
10 septembre 2013 @ 20:31
Succession difficile c’est un gros mot il a disputè au tribunal de Tourin avec ses soeurs pour la succesion de sa mere, il a essayè interdir sa mere la Reine Marie Josè.
En 2009 il y avait une exposition des joyaux royal a Venaria Reale il n’a pas envoyès les siens parce qu’ils sont pas les siens, selon les dernieres volonteès de la Reine, elle avait partagè comme ça le chateu de Merlinge au Prince de Naples, les joyaux aux filles ça j’ai lu sur la presse italienne, dans une interview a la princesse Marie Gabriella di Savoia.
Cosmo
10 septembre 2013 @ 15:49
Savez-vous comment Victor-Emmanuel a gagné sa vie ?
Alberto
11 septembre 2013 @ 08:35
Entre autres il vendait des armes avec le comte Vache Auguste.
Cosmo
12 septembre 2013 @ 19:55
En effet, Alberto !
Somme toute, je préfère un exploitant agricole à un marchand d’armes…entre autres.
Bien à Vous
Cosmo
Mayg
10 septembre 2013 @ 11:16
Il a besoin d’argent ?
COLETTE C.
10 septembre 2013 @ 11:20
Encore de belles choses qui s’en vont…
Mélusine
10 septembre 2013 @ 11:22
Comme tout un chacun arrivant à son âge (69 ans), le duc veut sans doute régler sa succession et il se débarasse de tous les objets qui n’intéressent pas ses héritiers, préférant leur léguer des comptes bancaires.
S’il est au contraire poussé par la nécessité, il n’est malheureusement pas le seul dans ce cas, mais si la vente de quelques meubles et bibelots peut renflouer ses finances, pourquoi pas.
Kalistéa
10 septembre 2013 @ 12:58
Je suis de votre avis Mélusine. La princesse Margaret elle-même et qui ne manquait pas d’argent avait à un moment donné mis en vente des bibelots et objets sans trop de valeur ou petits bijoux qu’elle ne portait plus pour se faire un peu d’argent de poche ou pour donner à ses enfants qui sait? Je ne vois pas du tout où est le mal!
Mélusine
11 septembre 2013 @ 18:06
Ce en quoi cette princesse avait raison, Kalistéa. Ses enfants ont vendu, il y a quelques années, des pièces superbes provenant de l’héritage de leur mère, au grand dam de certains, mais ils ne l’ont probablement pas fait dans l’allégresse.
Gérard
10 septembre 2013 @ 18:22
Vous êtes sans doute Mélusine la sagesse même, quelle indulgence aussi, et nous nous sommes peut-être laissés emporter devant ce bric-à-brac familial un peu désolant. Il est toujours navrant de vendre des souvenirs très personnels qui en général ne rapportent pas grand-chose au surplus, mais il y a en effet dans cette vente surtout du tout venant dont il est vrai certaines pièces pourraient faire notre bonheur. On est loin, comme il a été souligné ici par Qiou, du catalogue de la vente arrêtée en son temps par les précédent comte et comtesse de Paris. On est loin aussi des magnifiques ventes récentes du duc de Luynes sans doute été réalisées au profit du splendide château de Dampierre dont l’entretien est certainement un gouffre, mais malheureusement en le vidant d’une partie de sa substance, quand on pense aux splendides ouvrages de la grande bibliothèque et à ce magnifique surtout de table.
L’époque est difficile.
Il est de de moins en moins possible de conserver des châteaux historiques et de conserver en même temps les collections de ces châteaux, c’est un drame en France quand elles ont échappé à toutes les guerres, à toutes les révolutions, aux incendies, aux cambriolages, de les voir dispersées pour payer des droits de succession, des impôts, des charges diverses et l’on comprend bien ce que doit être le drame de ceux qui sont obligés de vendre ce que les générations précédentes, moins meurtries sans doute, avaient pu conserver.
Alors à côté de cela, c’est certes moins ennuyeux que le duc d’Aoste vide une maison de campagne d’un mobilier XIXe.
Je ne sais pas si le duc d’Aoste a travaillé vraiment dans (il me semble qu’il a été longtemps agriculteur) et quels étaient ses revenus familiaux mais aujourd’hui reconnaissons que l’héritier d’une grande famille qui veut conserver un domaine historique a besoin de plus que des revenus d’un travail en général.
Mélusine
11 septembre 2013 @ 18:32
Gérard, je ne peux qu’approuver votre commentaire. Entre le rêve de garder de grands domaines et la réalité, le fossé se creuse à une vitesse vertigineuse, ces dernières années.
Je vis par intermittence dans ce bel Anjou où châteaux et manoirs abondent et, rien que dans mes environs, j’en compte une quinzaine, d’importance inégale. Certains chatelains s’imposent ainsi qu’à leurs enfants des sacrifices dont l’issue n’est pas même assurée. L’un d’eux, que je félicitais récemment pour son courage et les trésors d’ingéniosité qu’il déployait pour maintenir son patrimoine me répondit tristement « c’est reculer pour mieux sauter, ma chère » et son regard désabusé en disait long sur le peu d’illusions qu’il se faisait pour l’avenir.
Ces propriétés sont des goufres financiers qui coûtent plus qu’ils ne rapportent et même une gestion pointue n’en vient pas à bout. Alors les ventes colmatent les brêches. Momentanément.
Quant à espérer maintenir même en disposant de revenus importants, c’est oublier la boulimie du fisc…
Cosmo
12 septembre 2013 @ 19:59
Chère Mélusine et cher Gérard,
Pardonnez mon cynisme ! Seul un mariage, avec une belle dot à la clé, permettrait de sauver certaines demeures.
A quand le National Trust en France qui permettrait de sauver ces belles demeures, en permettant aux anciens propriétaires d’y vivre dignement, le tout sans avoir à se marier richement ?
Amicalement
Cosmo
Gérard
13 septembre 2013 @ 18:28
Oui Cher Cosmo mais vous savez qu’en France on a parfois quelques trains de retard et toujours beaucoup d’a priori.
Zeugma
10 septembre 2013 @ 11:37
Je n’ai jeté qu’un oeil rapide au catalogue, je l’avoue,
Ce n’est pas la vente Yves Saint Laurent !
Cela dit, je souhaite au duc d’Aoste de tirer le meilleur profit de cette opération.
aubert
10 septembre 2013 @ 12:56
Saint-Laurent avait un associé qui a bien su profiter des talents des personnes qu’il a entouré !!
Les petites mains de l’atelier de couture ont dû apprécier la valeur des collections par rapport à leur salaire.
Julia
10 septembre 2013 @ 13:16
C’est curieux Zeugma, j’ai aussi pensé à la vente ST LAURENT qui était d’un autre prestige ! mais Yves était lui un véritable « Roi » !
Françoise 2
10 septembre 2013 @ 11:50
On brade on brade mais quel dommage !! mais un vrai travail aurait sans doute permis de garder et son domaine et ses souvenirs forcément on ne peut pas avoir un train de vie de prince et surtout ne pas en avoir les moyens!!
Alberto
10 septembre 2013 @ 12:21
Il y a environ 8 ans le duc a essayé de faire un business avec des hommes d´affaires de Milan. Ils ont acheté un avion qui liait Milan au soleil de la Sicile à des billets bon marchés. Je ne sais pas ce qui a ça donné.
L´année dernière il a mis sa maison en Toscane à vente et ses parents étaient un peux anxieux qu´il réussissait à la vendre. L´avant dernière nouvelle était qu´après beaucoup d´attente il l´a réussi et il a donné même un interview en disant qu´il démenageait pour la Sicile (terre de sa femme) definitivement mais il garderait la Toscane dans son coeur pour toujours.
Ses parents se sont réjouis.
Mais il me semble que la vente n´est pas allée jusqu´au bout. En tout cas il habite en Sicile maintenant.
Sa fille aînée a aussi loué le palais magnifique de la famille de son mari à Venise pour une longue période (99 ans?) mais à 40 millions d´Euros…(selon la presse).
LPJ
10 septembre 2013 @ 18:20
Pour le palais vénitien, si l’information est avérée, ce n’est pas une mauvaise affaire financière ! L’époux de la Princesse Bianca y a vu sans doute la possibilité de conserver dans le patrimoine futur de ses héritiers (même s’il s’agit de ses futurs petits-enfants) ce bien familial, tout en en retirant un revenu substantiel. Et comme le couple a cinq enfants cela peut éviter des problèmes d’héritage.
Mafalda
11 septembre 2013 @ 21:59
Il y a eu un article dans le Financial Times il y a un mois ou deux. Ils louent le palais a une chaine d’hôtels asiatque très luxueuse. Tout a été magnifiquement rénové et ils continuent à habiter une partie du palais.
Actarus
10 septembre 2013 @ 13:12
Le jambon d’Aoste est bien fumé et n’a plus l’air très frais. ;)
amaia
10 septembre 2013 @ 18:48
Vous me faîtes toujours beaucoup rire !!!!!! merci
*gustave de montréal
10 septembre 2013 @ 16:58
Beaucoup de cochonneries pour lesquelles je ne donnerais pas dix centimes
Anne-Cécile
10 septembre 2013 @ 21:24
Cet handicapé social se décharge de beaucoup de choses laides et/ou sans grande valeur.
Soit il se débarasse de trucs encombrants soit il vend une partie de son mobilier et ce n’est guère flatteur ….
De toutes les façons, il est un exemple supplémentaire que , débarqués des affaires, ne pouvant plus bénéficiés de prébendes, et placés dans les mêmes conditions que le commun des mortels, les membres sont aussi ordinaires voire médiocres que beaucoup d’autres.
Lui en plus n’est même pas assez courageux pour occuper un emploi. Il veut un train de vie princier sans aucune contrepartie et n’est même pas capable d’entretenir son patrimoine même réduit.
Et après il se veut Roi et servir de sage auprès de l’appareil d’état italien. Risible.
Le fils m’a l’air plus en phase avec sa réalité de membre d’une famille royale que l’on a congédiée.
Laub28
11 septembre 2013 @ 18:54
Anne-Cécile,
Pour être aussi péremptoire en jugements sur la personne de l’actuel Duc d’Aoste, il conviendrait que vous le connaissiez, ce qui n’est visiblement pas votre cas au regard de la quantité de préjugés sur lesquels vous fondez vos propos à son égard; de surcroît vous sauriez que le duc d’Aoste souffre actuellement d’un mal grave qui rend son état de santé très préoccupant pour son entourage, par conséquent, non seulement les raisons de cette vente ne regardent que lui et sa famille mais en ce qui vous concerne, a moins d’avoir voulu être déplacé, quand on ne connaît pas les personnes évoquées et qu’on ignore tout de leur état de santé, ce qui est clairement votre cas, on s’abstient au lieu de se répandre en propos infondés, gratuits, nuls et non avenus. A bon entendeur.
Baia
10 septembre 2013 @ 21:43
Pas vraiment sympathique ce « Monsieur » …
Et réellement je ne peux le plaindre !
Danielle
10 septembre 2013 @ 22:47
Voilà où mène le désoeuvrement, bien triste.
Ce catalogue contient de belles pièces, si seulement des musées s’en portaient acquéreur.
Palatine, merci pour vos précisions.
Caroline
10 septembre 2013 @ 23:40
Trop dommage!Mais,le duc d’Aoste a peut-etre de sérieux problèmes d’argent pour se résigner à vendre une partie de ses collections familiales!Espérons qu’un musée italien s’intéresse à cette vente!
Pierre-Yves
11 septembre 2013 @ 08:46
En quoi ça nous dérange que le duc vende ses babioles pour se faire un peu d’argent ? Il n’est ni le premier ni le dernier. Et de toute façon chacun fait ce qu’il veut (dans la limite de la légalité) de ses biens privés.
Et en quoi ça nous dérange qu’il ne se soit jamais donné la peine de travailler ? Il ne nous revient pas de l’entretenir.
Gérard
11 septembre 2013 @ 17:00
Beaucoup de commentaires me paraissent un peu sévères pour le duc qui avait annoncé en effet en début d’année vouloir vendre sa grande maison toscane, ce qui peut expliquer beaucoup de meubles dispersés. Il me semble que le duc par ailleurs a toujours été considéré comme agriculteur et viticulteur ce qui en principe est une profession véritable, assez prenante et tout à fait honorable.
Il a voulu se retirer pour sa retraite en Sicile, le pays de son épouse.
Il n’est pas impossible non plus qu’il veuille régler une partie de sa succession dès à présent.
Comme on l’a souligné amplement la plupart des meubles n’étaient pas de grande valeur et je crois que cette grande ferme, le palazzo San Rocco, avait été achetée par le prince après son divorce d’avec la princesse Claude de France et la vente à une riche et célèbre famille bourgeoise italienne de son premier domaine Il Borro, devenu depuis un hôtel de grand luxe, et de ses 700 ha.
Il reste que la dispersion de quelques souvenirs historiques et familiaux laisse toujours un goût amer.