Vente d’objets historiques à Drouot le 23 juin 2017 à 14 heures en la salle 4 et expositions des lots les jeudi 22 juin de 11h à 21h et 23 juin de 11h à 12h. Parmi les objets mis aux enchères, les lots 99 à 196 sont liés à l’histoire des monarchies européennes. On trouve ainsi un jeu de jacquet utilisé par la famille royale de France pendant sa détention à la prison du Temple.
Egalement, des pièces issues de la collection de la princesse Caroline Murat, reine de Naples, un service de la manufacture de Sèvres commandé par le roi Louis-Philippe pour le château de Compiègne, un service des rois de Bavière de la maison Heiden & Weishaupt, une assiette plate du service du roi Farouk d’Egypte, un guéridon de style portugais de la reine Amélie de Portugal ou encore des souvenirs du domaine royal de Randan. Cliquez ici pour prendre connaissance en détails du catalogue de la vente.
Philippe
14 juin 2017 @ 06:19
Il était pas mal Louis-Philippe, jeune ! Il avait belle allure.
Rien à voir avec les Orléans qu’on connait.
Gérard
14 juin 2017 @ 13:49
Philippe les Orléans qu’on connaît étaient très beaux jeunes mais vous avez la mémoire courte. Et puis la beauté physique n’est pas non plus la principale valeur de notre monde d’autant plus qu’elle est variable selon les critères spatio-temporels.
Olivier d'Abington
14 juin 2017 @ 14:47
Cher Philippe,
J’ai pensé la même chose que vous… par contre… Il a mal vieilli… Si on en croit les portraits plus tardifs…
Sinon, heu… Hummm… N’y aurait-il pas comme qui dirait quelque chose qui « manque » quelque part…
Philippe
15 juin 2017 @ 12:36
En effet, j’ai vu, comme vous, que quelque chose semblait
manquer ! …
Aramis
19 juin 2017 @ 17:30
À la renaissance on n’aurait pas hésité à mettre en valeur ce qui vous semble ici manquer … et dont on sait qu’il ne manquait pas en réalité.
Damien B.
14 juin 2017 @ 07:02
Très intéressante vente incluant également des graphomètres et des théodolites très décoratifs qui me plaisent beaucoup.
Le tableau illustrant la couverture du catalogue est de Cogniet (ca 1834), il représente le roi Louis-Philippe – alors duc de Chartres – en lieutenant général des armées françaises en 1792.
On estime la toile entre 6 000 et 8 000 €.
Robespierre
14 juin 2017 @ 07:39
Bel homme, mais mauvais peintre.
COLETTE C.
14 juin 2017 @ 12:07
Espérons que des musées se porteront acquéreurs !
philippe
16 juin 2017 @ 16:10
Colette ne pensez meme pas à ce que le chateau de EU achète quelque chose il faudrait pour cela que l’attaché de conservation soit capable de réagir et de sonner à toutes les portes pour trouver des mécénes …….mais cela est dans le domaine du reve, vu son dynamisme légendaire
Gérard
19 juin 2017 @ 13:18
Le château d’Eu achète souvent notamment à l’initiative de la très dynamique Association des amis du musée Louis-Philippe mais pas uniquement. Je suis un peu éloigné géographiquement d’Eu mais toutes les nouvelles que j’en reçois me laisse penser qu’Alban Duparc est la hauteur de sa tâche et que vous n’êtes pas très gentil avec ce jeune homme.
framboiz 07
14 juin 2017 @ 13:34
J’ai cliqué, Régine , et …rien !
Gérard
14 juin 2017 @ 14:50
Ce portrait de Louis-Philippe en lieutenant général des Armées françaises aux batailles de Valmy et de Jemappes en 1792 est un modello préparatoire au portrait commandé par le roi à l’artiste en 1834 pour la « salle 1792 » de son musée de l’Histoire de France au château de Versailles. Outre cette version, deux esquisses préparatoires de plus petit format, également non-signées par l’artiste, sont connues à ce jour. L’une est conservée au musée des Beaux-arts d’Orléans et la seconde fut vendue chez Sotheby’s Londres le 9 mai 1979. Cogniet était notamment un excellent portraitiste.
Cosmo
15 juin 2017 @ 07:03
Il faut espérer que le jeu de jaquet de la famille royale au Temple soit préempté par les Musées nationaux.
Alinéas
15 juin 2017 @ 09:41
Quelle prestance.!
Zeugma
18 juin 2017 @ 16:00
La famille Collin fut autorisée à ajouter « du Bocage » dans les années vingt. C’est charmant et ça ne mange pas de pain.
Zeugma
19 juin 2017 @ 11:27
Je vais vérifier si les onze député(e)s de la nouvelle Assemblée nationale française issue des élections législatives des 11 et 18 juin qui ont des noms avec une particule sont nobles.
Le gouvernement français compte une noble : madame de Sarnez.