Vente record chez Sotheby’s à Genève. Les bijoux de la famille de Bourbon-Parme, dont certains ont été portés par la reine Marie-Antoinette, mis aux enchères, ont battu tous les records. La vente a rapporté au final 53,1 millions $. A titre comparatif, la vente des bijoux de la duchesse de Windsor en 1987 avait rapporté 50,3 millions $.
Ce pendentif d’une perle poire de Marie-Antoinette a été adjugé 36 millions $ alors qu’il était estimé entre 1 et 2 millions $…
Ce collier a été vendu à 2 millions $.
Enfin, le diamant « fancy orangy pink » s’est vendu à 574.000 $. (Copyright photos et source : Sotheby’s)
Jean Pierre
15 novembre 2018 @ 09:03
Si le pendentif et tous les autres bijoux n’avaient pas appartenu à Marie Antoinette, auraient-ils atteint ce prix ?
Menthe
15 novembre 2018 @ 13:16
Bonne question Jean-Pierre !
pour le pendentif, je pense que non, il n’aurait certainement pas, et de loin, atteint un tel prix complètement surréaliste !
Karabakh
15 novembre 2018 @ 19:56
Sans doute pas.
CAROLINE VM
15 novembre 2018 @ 09:27
Certains se demandaient pourquoi une vente aux enchères ?…: voici la réponse !
bételgeuse70
15 novembre 2018 @ 09:30
1987, une autre époque, comme le montre une chanson récente. Depuis, le nombre des milliardaires a explosé, et d’autres choses aussi. Bienvenue au 21ème siècle.
Brigitte - Anne
15 novembre 2018 @ 09:40
Pauvre famille…
kalistéa
15 novembre 2018 @ 09:41
Cela prouve tout simplement qu’il y a des personnes en ce monde qui sont riches au delà de ce qu’on peut imaginer !
Mary
15 novembre 2018 @ 09:58
Eh bien…la famille a bien fait de vendre… Les enfants du duc de Calabre offriront des bagues de fiancailles choisies chez Maty :-)) et tout le monde sera très content !
Et nous, Français, à quoi sert de se lamenter sur les bijoux de Marie- Antoinette ? Ne sommes- nous pas républicains ?
Il ne fallait pas chasser les rois si on voulait conserver leurs bijoux !!!
Neoclassique
15 novembre 2018 @ 13:15
Nous sommes peut être républicains mais aussi et avant tout attachés à notre histoire.
Et notre monarchie qui fascine toujours le monde est Dieu merci toujours un élément essentiel de notre histoire et de notre patrimoine !
Mary
15 novembre 2018 @ 19:10
Je plaisantais…
Muscate-Valeska de Lisabé
15 novembre 2018 @ 17:11
Je suis parfaitement d’accord avec vous, dear Mary.
olivier kell
15 novembre 2018 @ 10:08
Ça me réchauffe le coeur de savoir que cette famille est à l abri du besoin :-)
Muscate-Valeska de Lisabé
15 novembre 2018 @ 17:12
Z’avez bon fond,au fond ;-))).
Marnie
15 novembre 2018 @ 10:29
Je suppose qu’à ce prix là, aucun musée ou monument français n’a pu suivre ?
Karabakh
15 novembre 2018 @ 19:58
Ils n’ont même pas pointé les bouts de leurs nez. En même temps, vu comme l’origine de certains bijoux est fiable, je les comprends.
Robespierre
16 novembre 2018 @ 12:49
:)
Pierre-Yves
15 novembre 2018 @ 11:02
J’ai franchement été surpris de constater que la famille de Bourbon-Parme eût encore en sa possession de tels trésors.
Les vendeurs, de ce que j’ai compris, sont les héritiers de la princesse Alice, belle-mère de la princesse Anne d’Orléans duchesse douairière de Calabre, soit: ses deux filles, et les cinq enfants de son fils (Cristina, Maria, Pedro, Inès et Victoria). Me trompe-je ou pas ? Ce sont bien eux qui avaient entre les mains un tel écrin et qui vont en retirer une petite fortune ?
Neoclassique
15 novembre 2018 @ 13:05
Non vous ne vous trompez pas.
Ce sont les héritiers de la princesse Alice de Bourbon et de sa soeur Marie Christine décédée sans alliance en 2007.
La branche aînée issue du duc Robert 1er est éteinte dans les mâles. Seuls subsistent les princes de Bourbon Parme issus du 2e mariage du duc Robert avec l infante Maria Antonin de Bragance.
Mais helas les deux branches sont brouillées depuis la mort du duc Robert et la manière dont son fils le duc Élie à récupéré le château de Chambord .
Robespierre
16 novembre 2018 @ 12:50
Quand on a eu 24 enfants il serait étonnant que tout le monde s’entende.
neoclassique
15 novembre 2018 @ 11:08
Il est bien dommage que les Bourbon Parme à la tête d’un si précieux patrimoine n’aient pas eu le geste de léguer au moins un de ces bijoux à l’état français pour qu’il puisse rejoindre les rares vestiges des diamants de la Couronne conservés au Louvre.
Décidément , l’élégance n’existe plus, seul prime le lucre et l’appât du gain, même au sein des familles royales… Quelle tristesse!
Muscate-Valeska de Lisabé
15 novembre 2018 @ 12:51
Mais non,voyons,c’est normal. À leur place nous en aurions fait autant.L’État gruge tout le monde, qu’il ne s’attende pas en plus à recevoir des cadeaux.
Neoclassique
15 novembre 2018 @ 13:07
Si Dieu merci il existe encore de grands mécènes. Les Rothschild ou les Rockefeller en sont de brillants exemples!
Muscate-Valeska de Lisabé
15 novembre 2018 @ 17:10
Ils sont sans doute beaucoup plus riches.
Mary
15 novembre 2018 @ 19:11
En guise de compensation à leurs droits de succession,pas plus.
Corsica
15 novembre 2018 @ 17:08
Mais ma chère Muscate, l’État c’est nous. Ce n’aurait pas été un cadeau à la France mais aux Français descendants de ceux qui ont payés impôts directs et indirects, soit les roturiers, puisque les nobles et le clergé avaient le privilège d’en être exemptés. Et tous ces impôts ont enrichi bien des gens tout en payant les babioles et colifichets de ceux qui gouvernaient notre pays.
Mais comme il y a bien longtemps que ces bijoux vivent leur vie hors de France, je peux comprendre que les actuels propriétaires n’en aient rien à faire de notre pays et de son passé. Leur objectif était clair : faire le maximum d’argent en misant tout sur le fait que certains bijoux venaient de la cassette de Marie Antoinette. Cela a marché bien que certaines pièces vendues aient été remaniées depuis et c’est pour cela que cela ne me dérange pas que l’État n’est pas tout fait pour les acquérir. Quant aux mécènes, ils avaient apparemment d’autres projets à financer, ne sont pas les monuments qui manquent.
Muscate-Valeska de Lisabé
16 novembre 2018 @ 14:56
Bonjour ma Mie Corsi…non,pour moi l’État ne représente pas le peuple.Je trouve même que les intérêts de l’Etat,monarchie ou république, semblent partout et depuis toujours diamétralement opposés à ceux du peuple.C’est un triste constat.
Corsica
16 novembre 2018 @ 19:07
Pardon : il fallait lire » que l’état n’ait pas tout fait ».
kalistéa
16 novembre 2018 @ 12:48
ça c’est bien vrai Muscate , je suis tout à fait avec vous .Qu’est-ce que l’état Français fait pour les descendants des Bourbon>?Que des vexations !
Manon
15 novembre 2018 @ 15:49
Et n oubliez pas que s’il ne reste que quelques vestiges c’est parce que l état a vendu les bijoux de la couronne pour l argent et par haine alors pourquoi des particuliers devraient être plus « royalistes que le roi « si je puis dire
Karabakh
15 novembre 2018 @ 20:07
Pour mériter un tel don, l’État devrait se montrer honnête. Or, ce n’est pas le cas.
Rideau.
Je me demande simplement ce que ces bijoux, pour ce qu’ils aient bien appartenu à Marie-Antoinette, donc personnels, viendraient faire auprès des diamants de la couronne. Lesdits diamants reviennent aux héritiers politiques de la Monarchie, que ça plaise ou non, la République. Tandis que les bijoux personnels de la reine, toujours sous réserve qu’ils aient tous cette origine prestigieuse, reviennent à ses héritiers civils, que cela plaise ou non, les Bourbons Parme.
Fin de l’histoire.
Robespierre
15 novembre 2018 @ 12:20
ces bijoux provenaient-ils de plusieurs proprietaires ou d’un seul ?
IANKAL21
15 novembre 2018 @ 12:46
Il parait que par un jeu complexe des héritages tout était propriété de l’ Infante Alice, née Bourbon-Parme.
Robespierre
15 novembre 2018 @ 12:54
Si c’est le cas et que la dame n’a pas d’enfants, elle devient Tata Cristobal avec ses neveux.
Laure-Marie Sabre
15 novembre 2018 @ 14:17
L’infante Alice est la mère/grand-mère des Bourbon-Siciles vendeurs. C’est Marie-Christine la Tata Cristobal. Elle a notamment laissé une part importante de sa fortune à son neveu, Pierre de Bourbon-Siciles, qui l’a utilisée en 2014-2015 pour faire construire une maison (appelons ça comme ça) dans la ville de Ciudad Real (calle Extremadura) et y abriter son immense famille. La vente des bijoux ne répondait donc sans doute pas à un impératif financier.
L’héritage de Marie-Christine a d’ailleurs fait scandale car tout cet argent était déposé sur des comptes bancaires situés dans des paradis fiscaux (Panama, Bahamas, Suisse…). Les héritiers ont demandé à bénéficier d’une amnistie fiscale en 2012 et en 2016.
Le prince Pierre gère par ailleurs les propriétés de sa défunte grande-tante situées en Autriche mais j’ignore s’il en est l’unique héritier ou si elles sont possédées en copropriété avec ses frères, soeurs et tantes.
neoclassique
16 novembre 2018 @ 12:54
Ces Bourbon Siciles ne sont donc bel et bien hélas que de vulgaires capitalistes qui utilisent tous les procédés et toutes les combines, même les plus discutables, pour faire fructifier leurs actifs et disons le « faire du fric ».
On se demande ce qui peut leur rester d’affect et de reconnaissance envers la monarchie des Bourbon à laquelle ils doivent pourtant et leur nom et leur fortune…
Neoclassique
15 novembre 2018 @ 13:08
Uniquement des héritiers des princesses Marie Christine et Alice de Bourbon Parme.
Sylviane
15 novembre 2018 @ 12:43
Bonjour
Sait on si la France s’est portée acquéreuse d’un bijou de Marie Antoinette
Merci et bonne journée a tous
Sylviane
Muscate-Valeska de Lisabé
15 novembre 2018 @ 12:52
Je trouve que ce serait vraiment grotesque… Après avoir fait décapiter une reine,de courir en pleurnichant après ses reliques.
Neoclassique
15 novembre 2018 @ 13:12
Pas du tout ce ne serait que justice et réparation légitime!
Notre reine de France injustement décapitée fascine toujours le monde
Et c est tant mieux!
Muscate-Valeska de Lisabé
15 novembre 2018 @ 17:07
Pop-op-op.
Si vous considérez ce non-exemple comme »notre »Reine,je vous la laisse,car elle n’est pas la mienne.
Elle n’a de fascinant que son supplice,et pour cela je la plains,mais je ne l’admire en rien.
neoclassique
16 novembre 2018 @ 12:42
En tout cas moi je l’assume pleinement. Une souveraine mal aimée, mal comprise, malheureuse au début de son mariage en raison d’une maternité non vécue ce qui l’a conduit à compenser par des actions frivoles certes mais une femme au goût inné et qui dans l’infortune ignominieuse que lui ont fait subir les conventionnels et la commune de Paris a montré une dignité et un sens du pardon qui forcent l’admiration.
neoclassique
16 novembre 2018 @ 12:48
en tout cas moi, c’est la mienne
je l’assume pleinement fort et clair, dans sa frivolité comme dans son infortune, dans ses excès comme dans sa dignité et sa noblesse face au conditions ignobles de détention que lui a imposé la commune de Paris et aux conditions iniques de son procès.
La reine Marie-Antoinette a marqué l’histoire, non seulement en France mais aussi dans le monde entier.
En témoigne le succès de cette vente qui est en fait comme un hommage posthume à sa mémoire
Muscate-Valeska de Lisabé
16 novembre 2018 @ 15:01
« Adore ce que tu as brûlé, brûle ce que tu as adoré »..
Sylviane
15 novembre 2018 @ 20:52
Bonsoir
Pour suivre votre raisonnement, nous ne devons pas acheter de pièces historiques de cette époque, bijoux ou meubles ? Pourtant c’est avec l’argent des Français du XVIII ème siècle qu’elle a pu se les offrir
Pouvez vous m’en dire plus sur votre opinion
Merci beaucoup
Muscate-Valeska de Lisabé
16 novembre 2018 @ 15:06
Bonjour Sylviane,
Mon opinion est que Marie-Antoinette ne fut jamais une grande reine,et qu’elle justifie moins qu’une autre que la République sacrifie ses deniers pour son souvenir. La France justement a suffisamment payé en son temps le prix de ses caprices.Marie-Antoinette n’a jamais aimé la France,et la France le lui a bien rendu.
Alors aujourd’hui, encore plus qu’hier…ce culte n’a aucun sens.
Gérard
17 novembre 2018 @ 16:58
Évidemment on peut critiquer Marie-Antoinette ou certaines parties de sa vie mais le traitement qui lui fut réservé fut ignoble et cruel et sa noblesse dans cette épreuve pour une mère a été exemplaire.
Neoclassique
15 novembre 2018 @ 13:10
Le Louvre devait être sur les rangs pour enrichir le peu qu il reste des diamants de la Couronne.
Mais devant la flambée de toutes les enchères, je doute qu ils aient réussi à récupérer le moindre lot….Helas
Neoclassique
17 novembre 2018 @ 15:04
Votre opinion est ridicule.
Meconnue de son temps, la reine à été reconnue par la postérité pour son goût génial pour les arts et pour sa dignité exemplaire face à la mort. Pour tout cela son souvenir continue toujours à fasciner le monde, juste et légitime hommage rendu à sa mémoire.
Laurent F
15 novembre 2018 @ 13:38
Le musée de la Legon d’Honneur a acquis la crois du St-esprit de Charles X
Nico
15 novembre 2018 @ 13:59
Tous les bijoux, dont les pierres et perles, d’une qualité certaine, provenaient PEUT-ÊTRE, de Marie-Antoinette, ont été remontés au XIXème sinon au XXème.
Le Louvre ne rachète que les parures dans leur état premier et non modifié (avec une traçabilité indiscutable) : ceci relève de l’Histoire de l’Art et non de la chasse aux reliques.
Les conditions n’étaient absolument pas réunies dans cette vente pour que le Louvre intervienne, malgré une campagne de publicité rondement par la maison de vente, qui a bien entendu passé plus ou moins sous silence que tout ceci était en grande partie du « remonté »…
Les spécialistes ne s’y sont pas fait prendre, les amateurs d’histoire quelque peu montée en mayonnaise un peu moins …
Karabakh
16 novembre 2018 @ 23:46
Nous sommes d’accord. 😉
Neoclassique
17 novembre 2018 @ 15:00
Bien sûr que si, les convictions étaient parfaitement réunies.
Les croix du St Esprit et la Toison d or étaient t dans leur état d origine avec une tracabilitéquipe incontestable et un état exceptionnel.
Elles auraient été parfaites aux côtés de la plaque du St Esprit provenant aussi du duc de Parme, gendre de Louis XV .
Seulement les musées francais n avaient pas les moyens d une acquisition ausdi prestigieuse, hélas. …
Karabakh
15 novembre 2018 @ 20:12
Absolument pas. Aucune institution culturelle française n’était présente, contrairement à ce dont certains se persuadent.
Je pense, quoique vous le garderez pour vous, que la France s’en moque, pour plusieurs raisons ; la première c’est qu’elle ne regrette pas d’avoir coupé des têtes royales, la seconde c’est que certaines de ces pièces sont douteuses dans leur origine, enfin la troisième et dernière c’est que des bijoux personnels n’intéressent que les familles.
Nico
16 novembre 2018 @ 13:46
Sauf que le musée de la Légion d’Honneur était bien présent et a acheté la plaque (dessertie) de l’ordre du Saint Esprit de Charles X.
Comme d’habitude sur ce site , on tire les conclusions en criant bien fort avant de se renseigner …
Neoclassique
17 novembre 2018 @ 15:09
Bien dit Nicolas.
Dommage que le musée de La Légion d Honneur n ait pu acquérir l exceptionnelle croix du St Esprit en diamant du duc d Angoulême
Karabakh
18 novembre 2018 @ 22:36
Certains tirent des conclusions hâtives, d’autres braient sans raison… Lisez ci-dessous, ça vous instruira.
Karabakh
16 novembre 2018 @ 23:45
Apparemment, le musée de la légion d’honneur était présent. (cf ci-dessus)
Bien les seuls et discrets.
Muscate-Valeska de Lisabé
15 novembre 2018 @ 12:54
Pour un diamant de 2,50ct, même aussi beau que celui-ci,cette somme est une abérration.
Karabakh
15 novembre 2018 @ 20:12
Les pigeons mangent ce qu’ils trouvent, souvent c’est aberrant.
josaintvic
15 novembre 2018 @ 13:15
Je suppose qu’il reste à la famille qq bijoux pour les petits enfants….je continue de penser que la Princesse Alice détenait ces joyaux du prince Élie son père et de sa mère archiduchesse d’habsburg…..je crois que la Princesse Irène de Bourbon Parme portait un diadème attribué à la duchesse d’Angoulême, celui ci aurait disparu ….je ne comprends pas pourquoi la famille de la duchesse de Calabre aurait dû selon certains ici, donner à l’état français ?
clementine1
15 novembre 2018 @ 14:30
josaintvic, réponse à votre interrogation : on est toujours généreux avec ce qui appartient aux autres.
Karabakh
15 novembre 2018 @ 20:23
Archiduchesse d’Autriche.
Elle était archiduchesse d’Autriche.
Habsbourg c’est le nom de la dynastie et, depuis presque 100 ans, une partie de celui que ses représentants portent à l’état-civil puisqu’ils sont Habsbourg-Lorraine (Habsburg-Lothringen).
S’il devait y avoir un titre attaché au nom Habsbourg, ce serait Comte du Saint-Empire avec honneurs princiers. Quoique, même ça, c’est discutable car aucun acte ne l’a jamais conféré expressément.
Karabakh
15 novembre 2018 @ 20:24
Pour le reste, nous sommes d’accord.
Baboula
15 novembre 2018 @ 14:23
La seule perle explique le résultat astronomique de cette vente. Pour avoir exploré le catalogue je peux dire qu’ il n’y avait qu’ une dizaine de beaux bijoux. Les joyaux de la duchesse de Windsor étaient datés et assez fantaisie mais avaient de la »gueule »
IANKAL21
15 novembre 2018 @ 14:28
Le diadème « fleurs de lys » estimé 300.000 à 480.000 euros, adjugé 857.000 euros.
La monture de la plaque St Esprit de Louis X, estimée 700-1000 euros, adjugée 35000 euros. Pas inaccessible pour les amis du Louvre. Espérons…
HRC
16 novembre 2018 @ 14:37
quel acheteur pour le diadème, je vous prie ?
Baboula
17 novembre 2018 @ 09:15
HRC ,lors de ces ventes les acheteurs restent le plus souvent anonymes et sont absents.
Neoclassique
17 novembre 2018 @ 15:10
Un oriental des Émirats à ce qu il parait
HRC
19 novembre 2018 @ 20:34
ah.
Neoclassique, je vous remercie de la réponse, malgré ma déception. Je me reconnais encore naïve.
Karabakh
16 novembre 2018 @ 23:49
La plaque est celle de Charles X.
IANKAL21
15 novembre 2018 @ 14:34
Bague avec portrait émouvant de la Reine adjugée 220.000 e (est. 10000).
Bague monogramme diam. Et cheveux de la Reine 393000 e.
Plaque St Esprit diam/émeraude 1.438.000 e.
Toison pierres précieuses 1.490.000 e
Anna1
15 novembre 2018 @ 16:02
Français, vous avez décapité à tout va, vous prônez la république, les présidents utilisent les magnifiques bâtiments, anciennement royaux,, comme en Belgique, la France préleve des droits successoraux exorbitants (jusqu’à 80 % et plus), si cela n’est pas du vol à l’état pur, je ne sais pas ce que c’est !!!! Rien que pour notre petite Belgique, en 2017 les recettes ont été de Deux milliards d’euros, et vous voudriez que ces princes fassent don de bijoux dont la vente va remplir leur escarcelle, laissez moi rire’ ils ont bien eu raison
Muscate-Valeska de Lisabé
16 novembre 2018 @ 15:08
Je vous donne raison.
Gabrielle
17 novembre 2018 @ 00:57
Bravo Anna1
COLETTE C.
15 novembre 2018 @ 18:12
Le Louvre a-t ‘il acheté ?
HRC
15 novembre 2018 @ 20:46
Et le diadème aux fleurs de Lys ?
quel acheteur et à quel prix ?
Francois
15 novembre 2018 @ 21:44
Belle revanche pour Marie Antoinette
L’état Français qui nous spolie régulièrement
mérite t il que l’on se préoccupe de mettre ces joyaux dans un musée alors qu’il a honteusement
vendu les joyaux de la couronne ?
Non
Avec des ventes fabuleuses les Bourbon sont renfloués pour un moment
Xenia
15 novembre 2018 @ 22:43
Et voila, ils sont encore plus riches! Se délester ainsi de bijoux historiques, c est triste pour la France. Il ne faut pas oublier que les bijoux de la couronne de France ont été vendu par la République au XIX Siècles. La famille Bourbon Parme aurait pu faire un geste – très généreux – un objet au musée Louvre, comme l a fait le Compte de Paris, la tiare et le collier de la
famille d Orleans, en diamant et saphir a la France. Ils sont exposes au Louvre.
neoclassique
16 novembre 2018 @ 12:59
exact mais ils ne l’ont pas fait, ces Bourbon Parme ne sont que de vulgaires capitalistes, incapables de la moindre élégance.
Quant à la parure du comte de Paris, ce n’et pas un don qu’il a fait au Louvre, loin de là. Henri d’Orléans, toujours avide d’argent, était parti en Suisse pour la vendre sous le manteau mais il s’est fait « pincer » en douane et Jack Lang, alors ministre de la Culture, a « arrangé » les choses discrètement….
Laurent
16 novembre 2018 @ 14:23
Pardon !
Le Comte de Paris n’a fait don de rien
Les bijoux dont vous parlez on été acheté
Françoise
16 novembre 2018 @ 05:53
Quelque soit le pays et son régime des souvenirs historiques aussi exceptionnels ne se vendent pas.
vincent meylan
17 novembre 2018 @ 15:12
Vincent Meylan
Le Comte de Paris ne s’est pas fait « pincer » à la douane, Aucune société de ventes aux enchères ne demande à ses clients qui souhaitent vendre leurs bijoux à l’étranger de transporter leurs bijoux eux mêmes. C’est toujours la société de vente, dans le cas de cette parure, Sotheby’s, qui accomplit les formalités de demande d’exportation temporaire pour des tableaux, des bijoux ou des meubles. C’est une procédure légale. Dans le cas de la parure du comte de Paris, le Prince avait demandé l’autorisation de sortir cette parure de France pour la vendre à l’étranger, en l’occurrence en Suisse. Le président de la République de l’époque, François Mitterrand, l’a assuré qu’il ne lui serait fait aucun problème. Ce qui fut le cas. C’est le musée du Louvre qui a « demandé » au prince, par l’intermédiaire de Sotheby’s, d’acquérir cette parure au prix de l’estimation (cinq millions de francs) qui ne tenait pas compte de la plus-value historique. Le Comte de Paris a effectivement accepté de renoncer à la chance d’obtenir (ou pas) un prix plus important afin que ces bijou restent en France. C’est tout. Imaginez-vous sérieusement que Sotheby’s et le Comte de Paris auraient pris le risque de sortir secrètement des bijoux dont chacun savait officiellement qu’ils appartenaient depuis un siècle à la famille d’Orléans pour les vendre officiellement dans une vente aux enchères à l’étranger ? Ca ne tient pas debout. Et surtout c’est faux. Sotheby’s a officiellement démenti cette version rocambolesque de cette vente. On peut ne pas aimer le défunt Comte de Paris ( et Dieu sait que c’était un homme charmant) on peut ne pas apprécier ses idées politiques (ce qui était d’ailleurs mon cas) on peut même considérer qu’il n’était pas le prétendant légitime à la couronne, mais ce n’est pas une raison pour dire n’importe quoi à son sujet.
Vincent Meylan
josaintvic
16 novembre 2018 @ 18:38
Bien-sûr Karabakh….bon ceci étant la princesse Àlice et sa sœur étaient les héritières de ces joyaux de part leur père Élie de Bourbon Parme , quand au généreux soit disant leg des comtes de Paris au Louvre.il s’agissait de régler des frais de succession….les princes de Bourbon Sicile Espagnols n’ont rien à voir avec les dispositions françaises. Les nombreux autres membres de la famille de Bourbon Parme ne me semblent pas avoir les moyens financiers d’acquerir ces bijoux.
Karabakh
18 novembre 2018 @ 22:37
Voilà. Nous sommes d’accord. :)
cibali escort
25 septembre 2019 @ 17:28
Appreciate this post. Will try it out.