Une nouvelle fois, le Patriarche Élie II de Géorgie s’est déclaré en faveur de la restauration d’une monarchie constitutionnelle pour la Géorgie. Selon le Patriarche, la monarchie apporterait la paix au pays. Il a rappelé dans son homélie que la tradition monarchique est très ancienne en Géorgie (Merci à Georges – Source : orthodoxie.com)
Michel Lacroix
24 juin 2017 @ 03:47
Merci au patriarche Élie de Géorgie.Il a tout à fait raison ,je dis même que la monarchie peut apporter la stabilité à la Géorgie .Les orthodoxes travaillent fort pour rétablir les monarchies en Europe et en Russie ,quelle magnifique religion qui n’a pas peur de ses racines.Nous devons prier pour la restauration de la monarchie en Géorgie.
ladycat's
24 juin 2017 @ 05:45
il mettrait qui sur le trone? autrement des rois sans couronne ; il a le choix ….
Gérard
24 juin 2017 @ 11:29
Dans l’esprit du patriarche il ne peut s’agir que d’un enfant élevé dans les traditions géorgiennes et comme il l’a précisé d’un Bagratide. On sait que pour lui cet enfant ne peut être que le fils unique du prince David Bagration de Moukhranie, chef de sa famille, et de son ex-épouse Anna fille aînée de son compétiteur le prince Bagration-Grouzinski, Giorgi qui aura six ans en septembre.
framboiz 07
24 juin 2017 @ 13:02
Il y a deux branches d’héritiers …
Olivier d'Abington
25 juin 2017 @ 14:30
En fait, il y en a même plus!
3 sont considérées comme les plus sérieuses, dont les deux familles Bagration-Mukhranie et Bagration-Gruzinski (qui sont cousines).
Michel Lacroix
24 juin 2017 @ 15:14
Il y a les Bagratide,famille royale de Géorgie.Tu peux aller voir sur Wikipédia.On les appelle aussi les Bagration.
JAusten
24 juin 2017 @ 08:05
Très joli drapeau en tout cas, qui n’est pas sans rappeler la croix des Templiers
Gérard
24 juin 2017 @ 12:23
L’article français de Wikipédia sur le drapeau de la Géorgie explique qu’il serait celui des anciens États géorgiens, tels que l’Ibérie.
Selon l’historien Nodar Assatiani, c’est Vakhtang Gorgassali, roi d’Ibérie au Ve siècle, qui utilisa en premier le drapeau aux cinq croix comme bannière et Assatiani l’appelle « drapeau gorgassalien » mais d’autres sources mentionnent Georges V le Brillant comme introducteur du drapeau en Géorgie. En effet, ce drapeau était l’étendard des Croisés qui suivaient Godefroy de Bouillon et symbolisa à partir de ce moment le Christianisme.
Le Livre de Tous les Royaumes, œuvre d’un castillan anonyme datant des années 1350, illustre près de 113 drapeaux des anciens temps. Le quarante-troisième drapeau mentionné est appelé « Savasto » (c’est-à-dire de Sivas), et apparaît comme un étendard blanc avec une grande croix de saint Georges et quatre autres petites croix rouges dans les quartiers formés par la grande croix. Toutefois, ce drapeau est attribué à la Syrie, et non pas à la Géorgie. La même source précise toutefois que le drapeau viendrait de la ville de Sebasteia (aujourd’hui la ville turque de Sivas, en Anatolie centrale), qui fut la capitale de la province byzantine d’Arménie Prima.
Voir : https://flagspot.net/flags/ge.html.
Naturellement il faut avoir à l’esprit que saint Georges est le patron de la Géorgie et qu’il est un peu naturel que l’on trouve la croix de Saint-Georges parmi les symboles de ce pays.
Toutefois selon certains le drapeau ne date en fait que de l’an 2001 et de la création du Mouvement démocrate de Mikheil Saakachvili, un parti d’opposition qui sera amené au pouvoir par la Révolution des Roses. Il aurait été repris des étendards croisés sous le conseil du Patriarche-Catholicos Ilia II.
Le drapeau a été adopté par le Parlement et le gouvernement en janvier 2004.
JAusten
25 juin 2017 @ 10:02
Merci Gérard pour vos explications ; sans savoir je n »étais pas loin de l’histoire.
Toujours intéressant l’histoire des drapeaux, c’est comme pour les armes (écussons) en presque moins compliqué :)
Jean Pierre
24 juin 2017 @ 09:21
Que Sa Sainteté et Sa Béatitude s’occupe un peu plus de spiritualité au lieu d’essayer de caser ses amis détrônés.
patricio
24 juin 2017 @ 10:32
Il me semble que le pape Jean Paul II s’ est bien occupé de la chute du mur de Berlin, alors pourquoi pas ….
amitiés
patricio
Michel Lacroix
24 juin 2017 @ 15:21
Le patriarche s’occupe justement de spiritualité car il sait que la monarchie renforce la religion .Quoi de mieux que la monarchie pour faire obstacle au communisme!Les monarchies et les religions servent aussi à maintenir les traditions et c’est important, dans ce monde qui s’américanise!
Zorro
27 juin 2017 @ 15:52
« Il faut laisser à Dieu ce qui appartient à Dieu et à César ce qui appartient à César »
Zorro
27 juin 2017 @ 16:07
La monarchie ne renforce pas forcément la religion (si l’on songe aux monarchies scandinaves et néerlandaise par exemple) et la monarchie n’est pas toujours un rempart contre le communisme (si l’on songe à Norodom Sihanouk qui fut Président du « Kampuchéa démocratique » entre 1975 et 1976).
D’ailleurs, je ne pense pas que le communisme soit une menace sérieuse pour la souveraineté de la Géorgie, mais plutôt la volonté de politiciens en difficulté qui cherchent à vendre la Géorgie à l’OTAN.
Cosmo
24 juin 2017 @ 10:53
Plusieurs familles peuvent prétendre au trône de Georgie, les Bagration, les Djougachvili, les Romanov…Qui sera l’heureux élu ? Et qu’en pensent les Georgiens ?
DE MARTHE
24 juillet 2017 @ 11:08
Uniquement les Bagrations, depuis le 4ème siècle.
PHILIPPE GAIN d'ENQUIN
24 juin 2017 @ 11:33
Puisse le Patriarche Elie II être entendu ! Ici comme ailleurs, seule la monarchie éclairée, gageons que celle-ci le serait, peut enrayer les dérives malheureusement récurrentes en ces états qui politiquement se cherchent encore…
Gérard
24 juin 2017 @ 11:42
Le patriarche Élie II est la personne la plus influente du pays et il est issu d’une famille influente qui était liée à la famille royale. Il a tenu à maintenir du point de vue politique des liens avec Moscou et avec le patriarcat de Moscou. Il a favorisé les initiatives de rapprochement entre les Églises ce qui a été critiqué. Il a supervisé une traduction en géorgien de la Bible. Il participe très activement à la vie spirituelle de la Géorgie. Il est aussi la personnalité la plus populaire en Géorgie pour 94 % des Géorgiens. Son avis compte donc beaucoup. Les oppositions parfois violentes entre les présidents successifs et les chefs de l’opposition accroissent les tensions dans le pays et expliquent en partie son souhait d’une monarchie parlementaire.
DE MARTHE
24 juillet 2017 @ 11:06
Sa Sainteté est un homme admirable même si vieillissant. La mort de son frère l’a beaucoup affecté. Son neveu, qui lui succèdera sûrement, l’archimandrite de Batumi, sera dans la droite ligne d son oncle: unité de la GEORGIE comme la Sainte Tunique sans couture.
Lady Chatturlante
24 juin 2017 @ 12:35
Je suis allée à Atlanta et pourtant je n’y ai jamais vu un palais royal.
PHILIPPE GAIN d'ENQUIN
25 juin 2017 @ 11:42
Un palais royal à Atlanta ??? Pauvre Sir Chaplin, vous le tuez deux fois… (lol)
Claude MARON
26 juin 2017 @ 11:58
Ah Ah, moi aussi fin des années 70, j’ai parlé à mon prof de géo de l’ancien royaume de Géorgie et elle comme tous les autres élèves se sont moqués de moi. Ils ne savaient pas qu’il y avait une Géorgie en Russie…
Zorro
27 juin 2017 @ 16:09
En URSS pas en Russie.
Gérard
27 juin 2017 @ 16:32
Il y a un Palais Atlanta à Nice…
PHILIPPE GAIN d'ENQUIN
27 juin 2017 @ 19:31
Et aussi en France, Camarade, vous me semblez oublier « Georgi Marchais… »
Margaux ?
28 juin 2017 @ 00:24
Venant de Lady Chatturlante, je me dis que ce n’est pas grave de ne pas connaître la Géorgie (qui est un pays indépendant). En revanche, j’ai un peu pitié pour votre professeure de géographie. Elle a dû souffrir de son manque de connaissances…
DE MARTHE
24 juillet 2017 @ 11:09
Mais en Géorgie près de la Turquie et de la Russie, il y en a un près de TBILISSI.
Martine
24 juin 2017 @ 12:37
Église orthodoxe et politique….. Il faudrait choisir !
Actarus
24 juin 2017 @ 12:50
Je vois mal l’archevêque de Paris ou le primat des Gaules faire la même requête au cours d’une homélie-mélo dominicale. ;-)
gone
25 juin 2017 @ 12:00
Ce ne sont pourtant pas les fidèles-prétendants qui manquent….
Mayg
25 juin 2017 @ 14:22
Il ne manquerait plus que ça…
Margaux ?
28 juin 2017 @ 00:25
Le Primat des Gaules s’est déjà autorisé quelques sorties politiques. Certes pas dans des homélies mais il ne fait pas mystère de ses opinions.
mimi
24 juin 2017 @ 14:24
alors qui serait le roi…
Marcel
24 juin 2017 @ 14:42
Ilia II (en français : Élie II) est le catholicos-patriarche de Église orthodoxe géorgienne depuis le 23 décembre 1977.
Le Patriarche Élie II est né le 4 janvier 1933 à Vladikavkaz, en Ossétie du nord sous le nom de Irakli Ghudushauri-Shiolashvili[réf. nécessaire], dans une famille géorgienne ayant des liens familiaux avec la famille royale des Bagratides. Il part à Moscou où il entre dans un séminaire. Il est ordonné diacre en 1957 puis tonsuré hiéromoine en 1959, et cela alors que l’Église russe est persécutée par le régime communiste. Il est diplômé de l’Académie ecclésiastique de Moscou en 1960 et il revient peu après en Géorgie où il devient prêtre dans la ville de Batoumi. Il est honoré du titre d’archimandrite peu de temps après. En août 1963, il est choisi comme évêque de Batoumi et il assume parallèlement la charge de recteur du séminaire ecclésiastique de Mtskheta, qui est alors le seul séminaire de Géorgie, car le régime communiste empêche qu’on en ouvre d’autres. En 1967, il devient évêque de Soukhoumi et d’Abkhazie et il est élevé au rang de métropolite en 1969. Après la mort du Patriarche David V, il est élu Patriarche et Catholicos de Géorgie, le 23 décembre 1977. Dans les années précédant la chute de l’Union soviétique, il s’est beaucoup impliqué dans les affaires sociales géorgiennes. En avril 1989, il prend part à la manifestation contre le régime communiste. Pendant la guerre civile et la crise des années 1990, il a exhorté les différentes parties à trouver des solutions pacifiques. Pendant la guerre de 2008, il s’est déplacé personnellement dans la ville de Gori, en crise humanitaire, et a participé à une campagne de recherche de corps de civils et de soldats tués. En décembre 2008, Élie II s’est rendu à Moscou où il a rencontré le patriarche russe Alexis II et le président russe Dmitry Medvedev. Malgré les tensions entre la Géorgie et la Russie, Élie II a toujours eu de bons rapports avec l’Église russe et Alexis II. Il s’est montré partisan du rétablissement d’une monarchie constitutionnelle en Géorgie. Afin d’augmenter la natalité (la démographie géorgienne était mauvaise depuis les années 1990), le patriarche Élie II a dit qu’il baptiserait personnellement tout troisième enfant d’une famille, ce qui a provoqué un baby-boom. Élie II a poussé les autorités géorgiennes à ne pas autoriser un rassemblement pour les droits des homosexuels dans le cadre de la journée internationale contre l’homophobie, prévu à Tbilissi le 17 mai 2013. Il a déclaré que le rassemblement était une « violation des droits de la majorité » et « une insulte » à la nation géorgienne. Il a décrit l’homosexualité comme une maladie et l’a comparée à une addiction à la drogue. Des milliers de Géorgiens ont suivi ses commentaires et sont descendu dans les rues de Tbilissi pour s’opposer au rassemblement en faveur des droits des homosexuels. Du fait de l’intensification des violences contre les militants, le rassemblement a dû être abandonné et les militants ont dû être évacués en bus par la police pour leur sécurité3. Mais il n’a néanmoins jamais poussé le peuple à manifester violemment mais au contraire certains prêtres qui dirigeaient les manifestants ont aidé les autorités à calmer les gens, de ce fait, une manifestation pacifiste était sollicitée.
Olivier d'Abington
25 juin 2017 @ 14:41
Merci cher Marcel pour ce petit rappel:
le patriarche est lui-même proche de la famille royale, et ses points de vue sur la vie amoureuse des gens est des plus réacs…
Il y donc un double agenda personnel derrière ses déclarations!
Fabio Di Stefano
24 juin 2017 @ 15:03
La monarchia è un diritto e un’utilità dei popoli. Rafforza la coesione nazionale, difende la democrazia e le minoranze, fa della storia popolare la saga del Paese.
COLETTE C.
24 juin 2017 @ 17:03
Qui serait le Roi ?
Gérard St-Louis
24 juin 2017 @ 21:10
C’est au peuple de décider pas aux patriarches des Églises orthodoxes.
Michel Lacroix
25 juin 2017 @ 14:35
Mais c’est aux patriarches de proposer la monarchie.
Gérard St-Louis
25 juin 2017 @ 20:14
Quant au croit à la séparation de l’Église et de l’État, on ne pense pas que le clergé doive se mêler de ce genre de débat politique. Je verrais fort mal l’archevêque de Paris prôner une restauration monarchique en France de même que je perçois très mal l’influence lancinante et progressive de l’Église orthodoxe russe dans tous les débats de société. Je suis également contre la montée de l’islamisme radicale en Turquie et de son influence néfaste sur la société turque.
Zorro
27 juin 2017 @ 16:15
En France et partout ailleurs en Europe, les obédiences maçonniques ont une influence avérée et déterminante sur tous les débats de société.
Les Loges maçonniques ont d’autant moins de légitimité que d’autres groupes de pressions comme l’Eglise orthodoxe par exemple car son influence est occulte (les « Frères » se doivent le secret et la solidarité) et basée sur des « mythes » à dormir debout.
Margaux ?
28 juin 2017 @ 00:27
La séparation de l’Eglise et de l’Etat n’est pas un concept géorgien. La religion est infiniment présente dans la vie politique géorgienne. Vous faites des amalgames franco-français, hasardeux.
DE MARTHE
24 juillet 2017 @ 11:03
bonjour
je crois que c’est au peuple de la réclamer et à l’Eglise locale autocéphale de valider le choix du peuple.
Michel Lacroix
27 juin 2017 @ 03:08
Je crois que le patriarche a le droit à son opinion,c’est aussi un citoyen.Oui je crois que le clergé Orthodoxe doit se mêler de politique,car les églises Orthodoxes restent associées encore aujourd’hui aux identités et aventures nationales.
Le clergé Français ne voudra jamais restaurer la monarchie car la monarchie n’a aucune chance en France.
Aussi ,le clergé Orthodoxe Russe a de bons côtés .Ce clergé veut la paix en Ukraine,l’interdiction de l’avortement et la reconstruction d’églises démolies par les communistes.
Gérard
27 juin 2017 @ 16:38
Le clergé français compte sans doute une majorité de républicains mais pas mal de monarchistes et peut-être quelques vieux communistes. Il n’y a pas de ce chef une unité et c’est tant mieux.
L’Église doit rappeler les principes évangéliques et n’a pas de programme politique sauf à défendre ceux qui souffrent d’une manière ou d’une autre.
Mais il peut en être autrement dans les pays orthodoxes.
Gérard
27 juin 2017 @ 16:44
Dans le programme évangélique beaucoup de choses peuvent ou pouvaient paraître n’avoir aucune chance… mais avec 12 hommes bien décidés…
DE MARTHE
24 juillet 2017 @ 11:01
Bonjour
La GEORGIE a été chrétienne avant Rome !! oui !! Le frère de Pierre est arrivé par l’Arménie dans les années 60 !! Quant aux Bagrats, qui vont donner les Bagrations, on les retrouve historiquement dès le 4ème siècle, et peut être au second siècle, un texte parlant d’un braga ou Draga, le « porteur de couronne », qui positionne déjà cette famille comme vecteur de rassemblement et d’unification.
Alinéas
25 juin 2017 @ 09:49
Merci beaucoup pour toutes ces explications qui viennent étoffer le peu que j’avais. Bon dimanche à tous.!
Francois
26 juin 2017 @ 03:45
Il semble évident que certaines monarchies
seront à nouveau présentes dans ces pays
Quelle revanche après tant d’aléas
Il n’y a pas de désespoir en politique dit on ……
Goélette
26 juin 2017 @ 08:38
Peut-être que les Bagration se sentent des dispositions pour faire du théâtre à égalité avec les princesses Roumaines mariées ou pas à un acteur?
Margaux ?
28 juin 2017 @ 00:29
Dans ce cas, ils seront les rois et non des guignols à la solde d’un pouvoir qui ne sait ni ce qu’il est, ni où il va.
Pascal
26 juin 2017 @ 10:14
Renseignements pris la géorgie a une histoire fort ancienne et donc fort complexe .
Elle peut selon moi aussi bien être une monarchie qu’une république du moment que ça convient à la plupart des géorgiens et géorgiennes…
D’ailleurs quelles différences vraiment importantes peut on voir entre le fonctionnement d’une république comme celle d’Italie et une monarchie comme celles des pays scandinaves ?
C’est plutôt une affaire de sensibilité et je me suis toujours trouvé un tempérament monarchiste donc cette proposition ne me choque pas .
Nous jugeons beaucoup trop de choses d’après nos vicissitudes franco-françaises.
D’ailleurs , puisqu’il est à la mode d’être de ceci et de cela , pourquoi , mais oui! , ne pas imaginer qu’un pays puisse être en même temps une république et une monarchie ?
Cela semble ubuesque ? c’est pourtant me semble t’il ce que font à leur manière certains pays européens , Roumanie , Serbie , Albanie etc.
Du moment que la réalité du gouvernement est exercée par un premier ministre , qu’un monarque ou un président soit chef de l’Etat n’est je le répète qu’affaire de sentiments .
La reconnaissance sous une forme ou une autre de la monarchie peu avoir un effet favorable de réconciliation des peuples et de leur histoire ,de stabilisation du régime politique et de cohésion de la société .
Tout dépend des peuples considérés (car pour moi » le Peuple » ça n’existe pas , surtout de nos jours plus individualistes que jamais ).
Margaux ?
28 juin 2017 @ 00:33
Il ne fait aucun doute que le choix se portera sur un Bagratide, de toute évidence le prince David ou son fils Giorgi. A vrai dire, tout dépendra de l’instant où la région sera débarrassée de l’affreux Poutine. Ce jour là, il n’y a pas que la Géorgie qui respirera à pleins poumons.
DE MARTHE
24 juillet 2017 @ 10:57
Bonjour
Le Prince David ayant divorcé, il ne peut plus prétendre à la couronne de GEORGIE.
DE MARTHE
24 juillet 2017 @ 10:25
J’ai rencontré plusieurs fois Sa Sainteté Elia II, en audiences privées, ou autour de déjeuners, ainsi que l’archimandrite de Batumi, son neveu.. Il veut le retour de la monarchie pour recoudre la Géorgie comme la tunique du Christ. 63% du peuple géorgien la souhaite. Reste à savoir qui choisir; effectivement plusieurs branches dans la famille des Bagrations, et en plus des difficultés morales. Le Prince David, auto proclamé chef de la Maison Royale est divorcé, et cela brise sa prétention à la couronne. Intelligemment il se positionne plus comme régent et prépare son fils qui est un enfant.
Je pense que le plus à même a incarner la GEORGIE dans le service de la royauté est Son Altesse Royale Ioane de Bagration-Mukhrani, particulièrement formé à donner sa vie et avant l’intelligence et la compétence à régner. Permettez à un français d’affirmer que le Président Poutine est très favorable à ce retour d’une monarchie, certitude d’unité et de stabilité.