A La Haye, la princesse Viktoria de Bourbon-Parme (épouse du prince Jaime, cousin du roi des Pays-Bas) a participé à un dîner organisé pour sensibiliser les plus jeunes à l’importance d’une nutrition saine. (Copyright photos : www.ppe-agency.com)
Viktoria de Bourbon-Parme à un dîner de sensibilisation à la nutrition saine
12 Comments
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16 novembre 2018 @ 08:52
je me demande pourquoi le mari n’est pas resté plus longtemps ambassadeur au Vatican. Il avait toutes les qualifications étant haut fonctionnaire au ministère des affaires etrangères.
16 novembre 2018 @ 10:11
Et ils ont mangé quoi ?
16 novembre 2018 @ 10:45
Après le retour de son mari aux Pays Bas, Viktoria va s’investir dans quelques fonctions et celle ci est excellente pour les jeunes.
16 novembre 2018 @ 11:13
Aucune de ces actions à la sensibilisation pour une nutrition saine, pour la jeunesse, n’est superflue !
16 novembre 2018 @ 12:06
Bien s’alimenter, c’est une chose, mais le problème est toujours le même. Pour pouvoir se soucier d’avoir une alimentation saine, il faut avoir quelques moyens. Les pauvres n’en sont pas là. Ils cherchent juste à se mettre quelque chose dans le ventre. Ca n’empêche pas, évidemment, de conduire ceux qui le peuvent à varier et équilibrer leur alimentation plutôt que de se jeter sur des trucs pleins de gras, de sucre, de sel et de conservateurs.
16 novembre 2018 @ 16:16
Pierre-Yves
Sans tomber dans l’utopie, une fois éradiqués la surbouffe, la malbouffe et le gaspillage et en privilégiant une utilisation plus sage des denrées alimentaires, etc… ainsi qu’une alimentation saine et équilibrée, nous pourrons raisonnablement espérer qu’un plus grand nombre de nos semblables aient enfin accès, eux aussi, à la nourriture.
Tout en soulageant notre pauvre planète à bout de ressources.
16 novembre 2018 @ 17:26
Détrompez-vous Pierre-Yves, on peut manger équilibré même avec un budget serré, par exemple on entend toujours que les légumes sont chers mais les légumes en conserve sont tout à fait abordables, leur valeur nutritionnelle est la même
que celle des légumes frais, qui après cueillette sont transportés, stockés chez un grossiste pendant quelques jours, à l’étal d’un supermarché pendant un jour ou deux, dans votre frigo peut-être également un jour de plus, ceci et tente un exemple parmi d’autres
L’INPES a édité il y a quelques années une brochure intitulée ‘alimentation et précarité’ outil destiné aux travailleurs sociaux et aux éducateurs en charge de population démunie.
17 novembre 2018 @ 16:40
Il y a 10 ans absolument personne,hormis les pro,ne savait ce qu’était le gluten . Et maintenant c’est un des ennemis publics de l’alimentation ,C’est un des effets du nombrilisme ambiant.
19 novembre 2018 @ 14:24
Exactement Baboula, et ces. nombrilistes le sont tellement qu’ils ne se rendent même pas compte être manipulés pour des considérations hautement économiques
16 novembre 2018 @ 19:54
C’est le sujet à la mode. Loin d’être inutile, certes. Mais c’est en train de tourner à un certain terrorisme du » manger sain », » manger sans ceci, sans cela » , sans gluten, sans conservateurs, bio, local, DIY, etc etc. Et quand et comment devrait-on faire ça aussi bien que le prescrivent les nouveaux gourous ? A l’heure où quasiment toutes les femmes travaillent ( heureusement), où presque tout le monde mange à la cantine ou assimilé au déjeuner ?
16 novembre 2018 @ 21:48
Pierre-yves, c’est peut-être moins une question d’argent qu’une question de choix…
Pour bien manger, il faut être informé, s’intéresser aussi au sujet… Et pour encore trop de gens, l’information ne passe pas.
On voit des caddies remplis de gateaux, bonbons, sodas, conserves, plats surgelés, chips et autres sucreries infâmes … J’ai moi même des collègues qui ne lisent pas une seule étiquette…
J’en ai mal au coeur pour les enfants nourris ainsi…car même en non-bio, leur alimentation pourrait être tellement mieux choisie.
17 novembre 2018 @ 11:39
Ne pas tomber dans l’erreur qui pense que manger bio signifie manger équilibré.