La villa Pianore située à Camaiore dans la province de Lucques fut la demeure de la famille de Bourbon-Parme. L’impératrice Zita d’Autriche y est née et a passé son enfance. La ville a été vendue et sera transforme ne hôtel de luxe. (merci à Alberto)
Silvia
12 mars 2018 @ 03:04
Cet endroit me semble enchanteur.
Actarus
12 mars 2018 @ 04:08
J’espère qu’il y aura un piano dans le lounge.
Philippe Gain d'Enquin
13 mars 2018 @ 12:21
Pour le piano il fallait payer une « ralounge » de fait la note s’e trouvait-elle augmentée du fait de cette montée en gamme; dans les cuisines, sans doute…
Philippe Gain d'Enquin
12 mars 2018 @ 08:17
Dans le prix de la villa la ville était comprise ?
Clément II
12 mars 2018 @ 13:41
??
solenn
12 mars 2018 @ 09:59
Pour ceux qui ont fait des commentaires désobligeants concernant la béatification de l’Impératrice Zita parce-que simplement j’en ai parlé, je les invite à regarder le site beatificationimperatricezita
Je ne me permets pas de juger les blogs des uns et des autres si je ne les partagent pas leurs sentiments et surtout pas d’une façon aussi indécente .
Et ce n’est pas la première fois en plus . ( prince Daniel de Suède ) On essaie de comprendre au lieu de lire au premier niveau et d’écrire n’importe pas . Cela ne vous honore pas, croyez moi .
La réponse pour ce denier a été mise au bon endroit .
Clément II
12 mars 2018 @ 13:44
Solenn, avant de dire que les autres écrivent « n’importe quoi », il convient aussi de lire leur prose. Ce n’est pas respectueux du tout de décréter que c’est « n’importe quoi », sous prétexte que ce n’est pas votre avis à vous. Surtout que dans le lot des « critiqueurs », vous avez des descendants de la famille Habsbourg et des historiens, voire même les deux en uns. A défaut d’être les mieux informés, je pense que ça fait des gens plutôt bien au courant…
Clément II
12 mars 2018 @ 13:44
Et bon, quitte à dire que c’est « n’importe quoi », apportez les preuves que ça l’est et que vous avez raison.
Figaro
16 mars 2018 @ 16:47
Et toc !
Leonor
12 mars 2018 @ 14:33
Solenn,
Justement, « ON » ( = moi) essaie de comprendre.
Et « ON » ( = moi) n’écrit jamais au premier niveau.
Et « ON » ( = moi) n’écrit jamais n’importe quoi.
Justement.
Et comme ON essaie de comprendre, qu’ON sait lire, et qu’ON a de la méthode ( merci, Cicéron entre autres ), on en déduit avec ordre et méthode que la » cause » Zita est l’affaire d’une troupe de tradi-tradi , pour une bonne part issus des cercles intégristes lefebvristes.
Nota : on sait parfaitement, à Strasbourg, ce qu’il en est des catho-tradi de la paroisse de la Croix Glorieuse (!) , déménagée de St-Joseph de Koenigshoffen au centre ville. Détails pour qui voudra, ou sur Internet. Mais Internet ne vaut pas le » life ».
Ne pas être d’accord avec l’hagiographie que vous et vos amis zélotes délayez à longueur de site , c’ est le droit le plus strict de chacun. Que les opinions contraires ne vous et ne leur plaisent pas , cela ne fait que prêter à sourire.
========
Vous faites beaucoup plus de mal à la mémoire de l’impératrice Zita en courant après cette aberrante béatification que vous ne lui faites de bien.
Cette grande dame était estimable . Vous, vous voulez en faire un porte-drapeau d’un certain catholicisme » glorieux » , d’arrière-garde.
C’est attenter à la mémoire de l’impératrice Zita, et attenter à une Eglise de maintenant.
ciboulette
12 mars 2018 @ 14:58
Solenn, moi j’ai été très choquée par les propos tenus par un abbé qui soutient sa cause et qui raconte n’importe quoi sur les mouvements philosophiques français . Avant d’énoncer des erreurs aussi grossières , le moindre serait de se renseigner et de savoir de quoi on parle .
J’ai alors pensé que si cet homme d’Eglise défendait de la même façon la béatification de l’impératrice , ce n’était pas gagné , comme on dit de nos jours !
Elisabeth-Louise
12 mars 2018 @ 17:50
Solenn, je comprends votre indignation, quoique n’ayant pas suivi ce qui l’a provoquée; il semble que le Vatican, actuellement, accélère certaines procédures de canonisation; j’ai dû, personnellement ( pas sur ce site) « expliquer » les motifs du projet de béatification de la soeur de Louis XVI, dite « Madame Elisabeth »;
Mais ceci est une autre histoire, et je me sens un peu hors sujet, pardon, donc pour cet écart;
En ce qui concerne la vente de cette demeure, je la regrette, ainsi que d’autres ventes de joyaux immobiliers au lourd passé patrimonial; certes, on ne peut pas TOUS les transformer en musée, je le conçois……mais quel dommage……..
Margaux ?
13 mars 2018 @ 10:36
Vous dites cela parce que les propos auxquels vous faites référence, sont en désaccord avec vos positions sur les tenants et les aboutissants de ce procès en béatification. Ils seraient allés dans votre sens – même aussi mal écrits que votre message (j’ai mis 15 mn à déchiffrer), vous auriez fait la holà et applaudi.
Je ne sais ce qu’il en est des autres personnes mais moi je n’ai réellement aucun souci à me prononcer sur cette affaire, ayant eu l’avis direct et franc des principaux concernés (Otto et ses fils, deux enfants du couple impérial et trois autres petits-enfants) sur le sujet – des avis différents mais corrélatifs. J’étais encore gamine lorsque Zita est décédée mais j’ai eu l’honneur, doublé du plaisir de connaître l’impératrice. Je fonde mes avis sur ces échanges.
Votre site affiche un parti pris qu’il n’est pas possible de contrebalancer par des partis opposés. Toutefois, je suis prête à réviser mon opinion, si vous (m’)apportez des arguments neutres.
Bonne journée.
Maria
13 mars 2018 @ 22:25
Fortunata ad aver conosciuto l’imperatrice Zita!La storia degli Asburgo mi incuriosisce tantissimo
Margaux ?
14 mars 2018 @ 14:26
Ho conosciuto soprattutto i suoi figli, Otto e naturalmente, Robert. Ho conosciuto anche Charlotte e Rodolphe, un poco. Ero una piccola ragazza quando Zita è deceduta, sebbene custodisco alcuni ricordi di lei. È una fortuna ma fu anche un piacere, perché era eccezionale. Non condividere certe delle sue concezioni (oggi), non impedirmi di considerarla come straordinario. Era per il suo destino e la sua personalità!
Maria
16 mars 2018 @ 23:25
Ricordo di aver trovato un articolo di giornale ,una sola pagina con una sola foto dell’imperatrice ,che parlava del suo funerale ,cosi ho scoperto della sua esistenza ,è stato circa due anni dopo la sua morte e ricordo d’essere rimasta colpita in modo positivo dal fatto che avevo vissuto in contemporanea all’ ultima imperatrice,ero piccola a quel tempo e raccoglievo quel poco che potevo che roccontasse di storia e anche di storia sulle famiglie reali !
milou
12 mars 2018 @ 09:59
Merci pour la nouvelle adresse dans cette superbe région !!!
ml
arnaud
12 mars 2018 @ 10:19
Entièrement d’accord …c’était très vulgaire Chacun a le droit de s’exprimer
mais dans le respect et la bienséance
Clément II
12 mars 2018 @ 13:46
De même. C’est vulgaire de décréter que l’autre dit « n’importe quoi », sous prétexte qu’il n’est pas d’accord avec vous. Apportez vos preuves, démontrez que vous avez raison. C’est aussi simple que cela.
Margaux ?
13 mars 2018 @ 10:39
Pouvez-vous nous indiquer – à nous les « méchants opposants » au procès en béatification de Zita – quels ont été les propos qui vous ont tant heurté, au point de les qualifier de vulgarités ?
Merci.
Cosmo
12 mars 2018 @ 10:35
C’est là que furent célébrées les fiançailles de la princesse Zita de Bourbon-Parme et de l’archiduc Charles.
La famille y passait une partie de l’année. Sainte Zita, la patronne des servantes, trouvait des émules dans les jeunes princesses de Parme que leur mère, la duchesse de Parme, obligeait à faire leurs chambres et à porter secours aux indigents des alentours de Lucca.
solenn
12 mars 2018 @ 10:48
L’Impératrice Zita y est née en effet en 1892. Son père le Duc de Parme était père pour la 17e fois. Il le fut 24 fois en tout, s’étant marié deux fois .
En 1ères noces avec Maria-Pia des Deux Siciles, douze enfants étaient nés de cette union : un chaque année .
Après le décès en couches de son épouse Robert de Parme épousa en 1884 Maria Antonia de Bragance . Elle lui donna aussi 12 enfants ,dont Zita.
Belle villa que cette villa Pianore . Zita, je la cite » y a vécue une jeunesse extraordinairement heureuse et joyeuse, l’animation d’une maison où, chaque jour, trente à quatre vingt personnes se tiennent à table « .
Entre tous les enfants trente cinq ans de différence .
Six handicapés du 1er mariage dont l’Archiduchesse Antonia s’occupa comme des siens .
aubert
14 mars 2018 @ 14:44
Etes-vous certaine solenn que le Bon Dieu en demande autant ?
arnaud
12 mars 2018 @ 10:56
Entièrement d’accord . Ces commentaires étaient très vulgaires .
Chacun a bien entendu le droit de s’exprimer mais dans le respect et la bienséance
Robespierre
12 mars 2018 @ 12:01
logique que la demeure d’un monsieur qui avait 24 enfants finisse en hôtel. Ces enfants nécessitaient un nombreux personnel, sans parler des précepteurs.
Philippe Gain d'Enquin
12 mars 2018 @ 12:28
lequel personnel, lesquels précepteurs, qui eux même faisaient vivre pas mal de monde, du moins peut on le supposer…
Mary
12 mars 2018 @ 12:47
La maison donne envié d’y aller. Y a-t- il un parc ?
Mary
12 mars 2018 @ 12:47
Envie,sorry.
YOM
12 mars 2018 @ 12:51
Ce Duc de Parme etait un goujat qui ne respectait pas ses femmes,un triste sire.
Francois
12 mars 2018 @ 13:29
Endroit enchanteur
Quand on sait comment vécut l’impératrice Zita
Et que l’on voit les difficultés qu’elle eut à affronter
On ne peut qu’être admiratif encore davantage envers
cette femme qui a eu un comportement de sainte
Leonor
12 mars 2018 @ 14:45
Sic transit gloria mundi.
ciboulette
12 mars 2018 @ 14:59
Cette villa est vraiment très belle , et son environnement est magnifique .
clement
12 mars 2018 @ 15:07
Je ne suis pas dans les secrets du Vatican,mais pour admirable qu’ait été l’impératrice Zita durant la guerre , soutenant son mari, élevant seule ses enfants ,faisant preuve d’une foi exemplaire….. je ne suis pas sûre que cela fasse d’elle une bienheureuse et une sainte ; il y a beaucoup de personnes parmi le commun des mortels qui souffrent en silence sans pour autant être connus ! l’Eglise ne donne qu’avec parcimonie sa reconnaissance aux chrétiens particulièrement aux plus humbles et c’est très bien ainsi !
clement
12 mars 2018 @ 15:15
et se penche plus particulièrement sur les plus humbles (Bernadette ,les bergers de Fatima , de la Salette ,ce qui correspond à mieux à l’esprit du Christ ,et c’est bien ainsi ! (rectificatif )
clement
12 mars 2018 @ 15:20
et se penche plus particulièrement sur les plus humbles (Bernadette ,les bergers de Fatima , de la Salette ,ce qui correspond à mieux à l’esprit du Christ ; la sainteté n’est pas une récompense obligée et c’est très bien ainsi ! (rectificatif )
Gérard
12 mars 2018 @ 15:52
Actuellement la villa Pianore à Camaiore appartient à l’Institut Cavanis dont le nom officiel est Congrégation des écoles de charité (C.S.Ch.) et qui est une institution cléricale enseignante de droit pontifical. Après la chute de la république de Venise et l’intégration de la Vénétie dans l’empire d’Autriche en 1797 les écoles gratuites pour les enfants des classes ouvrières furent fermées. Deux frères Antonangelo et Marcantonio Cavanis, d’une ancienne famille noble, avaient suivi la volonté de leur père, secrétaire à la chancellerie ducale, et étaient entrés dans la vie publique mais en 1795 Antonangelo avec le soutien de son frère fut ordonné prêtre, il fut secondé dans sa vie pastorale par son frère Marcantonio qui lui-même fut ordonné prêtre en 1806 alors que leur institut avait déjà été fondé. Ils créèrent en effet pour la formation des jeunes le 2 mai 1802 la Congrégation mariale de l’église de Sainte-Agnès dans leur quartier maritime de Dorsoduro et ouvrirent le 2 janvier 1804 leur première école de charité. Elle eut beaucoup de succès et en 1806 ils l’installèrent dans une maison plus grande, le Palazzo da Mosto (Ca’ da Mosto), un palais du XIIIe siècle sur le Grand Canal, qu’ils achetèrent à cet effet. Ils y installèrent également une typographie pour donner du travail aux élèves qui n’avaient pas l’intention de poursuivre plus avant leurs études. L’institut qu’ils avaient créé était composé de prêtres séculiers et ses statuts ont été approuvés par le patriarche de Venise Francesco Milesi le 16 septembre 1819 et par un bref du pape Grégoire XVI le 21 juin 1836. Ces religieux et religieuses se consacrent toujours à l’éducation générale et à l’éducation chrétienne de la jeunesse dans les écoles, les collèges et les œuvres de la jeunesse catholique. Ils sont présents en Italie, Roumanie, République Démocratique du Congo, Philippines, Bolivie, Brésil, Colombie, Équateur. Le modérateur suprême de l’institut porte le titre de préposé général et il réside près de l’église des Saints-Marcellin et Pierre à Duas Lauro, c’est-à-dire aux deux lauriers, sur l’emplacement de la villa de l’impératrice Hélène, via Casilina à l’est de Rome. Au 31 décembre 2005 la congrégation comptait 31 maisons regroupant 166 religieux dont 90 prêtres.
Les deux vénérables Antonio (1772-1858) et Marco (1774-1853) Cavanis, dont la cause de béatification est ouverte depuis un décret du pape Jean-Paul II du 16 novembre 1985, reposent depuis 1923 dans la chapelle du Crucifix de l’église Sainte-Agnès de Venise.
Les Bourbons de Parme ont cédé la villa Borbone delle Pianore à l’Institut en 1952 et elle a été utilisée comme école pendant longtemps. Pour loger les étudiants de l’internat un bâtiment supplémentaire a été ajouté en 1964 qui est relié à la maison centrale, la plus ancienne, au nord. Ce bâtiment est dû à l’architecte Tempesta.
La partie centrale, et la plus ancienne, provient de l’agrandissement d’un moulin et elle a été utilisée par la princesse Marie-Thérèse de Savoie, duchesse de Lucques, épouse du duc Charles-Louis de Bourbon. Elle avait acheté le moulin et le parc en 1826 à la famille Orsucci.
Une chapelle a été ajoutée au bâtiment qui a été modifié au XIXe siècle avec aujourd’hui une façade néo-renaissance et un portail dû à l’architecte français Jean-Pierre Barillet-Deschamps (1824-1873), décoré de céramiques inspirées des della Rubbia et qui a été construit en 1893 pour le mariage de la fille aînée du duc de Parme Robert Ier, Marie-Louise, avec le prince Ferdinand Ier de Bulgarie. La chapelle, modifiée en partie par l’architecte Luciano Domenico Martini, de Lucques, contient un autel en bois qui vient de la chapelle de la villa la Rinchiostra des Cybo Malaspina à Massa.
À l’intérieur de ce que l’on appelle la villa Maria Teresa se trouvait au premier étage les appartements de ses gentils hommes et de ses dames d’honneur, au deuxième étage l’armoire pour le linge de maison et le linge de table, les chambres des domestiques, au rez-de-chaussée le salon, la salle à manger pour la duchesse, la famille et la cour, la cuisine et les salles à manger pour le personnel.
Le bâtiment du XIXe siècle, au sud, la villa du duc Robert, a été construit entre 1878 et 1888 pour le duc Robert Ier par Domenico Martini, c’est un bâtiment de trois étages inspiré de la Renaissance et qui comporte également de riches décorations intérieures qui ont été conservées avec des plafonds à caissons, des stucs, des marbres polychromes, des poutres apparentes, des murs tendus de toile de damas du XIXe siècle.
L’entrée principale comporte un atrium couvert de marbres polychromes avec deux portes de bois ouvragé de l’époque de la construction sur lesquelles on trouve les armes des Bourbon-Parme soutenues par deux dragons. La porte principale indique Robertus Parmae Dux en caractères dorés et la date de 1888. Sur un côté la pièce suivante est la bibliothèque avec un très beau plafond à caissons, des armoires sculptées, une cheminée en marbre, elle est suivie d’un grand salon avec une peinture qui reproduit une tapisserie représentant le sacre de Louis XIV. Cette pièce est couverte de damas rouge et son plafond est décoré. Puis c’est la salle verte avec une cheminée de marbre blanc et du damas vert, puis la salle blanche ou salle à manger des princes décorée de stucs dorés. Si l’on prend le grand escalier on arrive au premier étage où l’on a le bureau du duc Robert et les chambres des princes avec au plafond le Mariage de la Madone et les armoiries princières. Au deuxième étage se trouvaient les chambres des enfants et une salle d’étude ainsi que les chambres des domestiques.
Le parc dû à Jean-Pierre Barillet-Deschamps, qui était aussi paysagiste, est du XIXe siècle, il est très beau et comporte des plantes régionales mais aussi des plantes exotiques comme on les aimait à l’époque, avec des séquoias, des palmiers, un ginkgo biloba, etc.
C’est dans cette villa que naquit la princesse Zita le 9 mai 1892.
Maria
13 mars 2018 @ 22:13
Dettagliatissimo grazie ,merci
Lorenz
12 mars 2018 @ 16:08
Pas encore vendue: la congrégation religieuse propriétaire de la villa (les pères Cavanis), a demandé à la municipalité la permission de transformer le bâtiment en hôtel, ce qui devrait permettre de trouver enfin un acheteur. L’administration municipale vient de commencer à y réfléchir.
Article dans « Il Tirreno – edizione Versilia », 7 mars 2018 (http://iltirreno.gelocal.it/versilia/cronaca/2018/03/07/news/un-albergo-nelle-stanze-che-furono-dei-borbone-1.16562238).
Danielle.
12 mars 2018 @ 16:20
J’aime beaucoup l’escalier et je pense que l’intérieur de l’hôtel sera très beau.
solenn
12 mars 2018 @ 17:17
Monica
Pour répondre à votre question que vous m’avez posée sur le post de l’Archiduc Karl je vous invite à regarder le site : beatificationimperatricezita.com
Je préfère ne pas vous répondre directement étant donné certains commentaires fort
déplacés .
Cordialement
Francky
12 mars 2018 @ 18:51
A qui appartenait la villa jusqu’à présent ? A la famille ou à la ville de Camaiore ?
Gérard
12 mars 2018 @ 18:58
C’est le 5 août 1953 que la congrégation religieuse prit possession de la villa ducale des Bourbons qu’elle appela « Marianum Cavanis » et qu’elle avait achetée pour être le nouveau siège du lycée scientifique transféré depuis la maison proche de Porcari.
En octobre 2017 le maire de Camaiore Alessandro Del Dotto fut reçu à Parme par le duc Carlo Saverio pour évoquer le passé et l’avenir de la villa que la commune souhaitait voir devenir plus attractive pour les touristes.
Il était alors envisagé une exposition en 2019 dans la villa pour rappeler les liens entre le territoire et la famille. Le maire avait offert au duc des lithographies de Lorenzo Frigeri, de Camaiore, qui représentent l’arrière-pays, y compris la villa, ainsi qu’un livre sur l’histoire de Camaiore par le docteur Paolo Dinelli, décédé en 2014.
En ce début mars 2018 la congrégation propriétaire qui aurait rejeté plusieurs propositions d’achat pour cette belle villa à 5 km de la mer, avec une vue splendide, nous sommes au sommet d’une éminence, a proposé à la municipalité un changement d’usage et qu’elle devienne un hôtel de luxe et l’on commencerait pas réaliser des infrastructures qui pourraient bénéficier à toute la population laquelle sera appelée sans doute à donner son avis. On imagine déjà la chambre natale de l’impératrice Zita devenue une suite de luxe. Les religieux ne sont pas en mesure financièrement de procéder aux travaux nécessaires alors que la villa ne rapporte pratiquement rien depuis qu’elle n’est plus occupée par le collège. Elle est un peu visitée, pas assez, mais gratuitement et on y tourne parfois des films. Il y a eu des propositions d’achat dont la dernière en 2016 par des Chinois mais rien ne s’est concrétisé.
Les propriétaires se disent peut-être, selon la presse locale, qu’avec un hôtelier de luxe pour locataire l’actif prendrait plus de valeur. Il semble néanmoins que tout ceci paraisse encore un peu lointain à moins qu’on ne nous dise pas tout. Un compromis a-t-il été signé ?
Le maire avait déjà évoqué cette perspective avec le trésorier de la communauté en 2016 et celui-ci avait indiqué qu’il transmettrait à la congrégation. Chacun est conscient que cette propriété a une grande valeur, qu’on ne peut la brader et qu’il faut respecter son caractère historique.
Maria
12 mars 2018 @ 22:27
A chi apparteneva prima d’essere venduta?
Margaux ?
13 mars 2018 @ 13:53
Era l’Istituto Cavanis.
Maria
16 mars 2018 @ 22:34
Grazie
solenn
13 mars 2018 @ 13:57
Voilà qui va faire plaisir à l’Evêque du Mans qui est tout sauf un intégriste et qui a dirigé
les premières années de l’enquête diocésaine . Laquelle est maintenant au Vatican entre les mains de la Congrégation de la cause des saints .Et c’est elle seule qui décidera de la suite : Ni les tradi, ni les progressistes
solenn
13 mars 2018 @ 15:35
Clement II
Vous auriez dû mieux me lire je ne parlais pas de ce post .Donc c’est vous qui écrivez « n’importe quoi « , pas moi .
solenn
13 mars 2018 @ 19:48
Ciboulette
Je vois de quel Abbé vous voulez parler mais Il a été remercié .
Actuellement le nouveau postulateur fait un gros travail au niveau des archives notamment . Au Canada, en Europe, partout où Zita a vécue . Les auditions , plus d’une cinquantaine, ont été très positives surtout parmi les derniers témoins ayant approché Zita .
Dans le diocèse du Mans les investigations ont été aussi très positives : Zita y venait plusieurs fois par an . Le dossier a été envoyé à Rome qui poursuit le procès – lequel peut durer des années encore – Vous pouvez avoir plus de précisions en regardant le site qui lui est dédié .beatificationimpertricezita.com
Seule l’Eglise décidera , personne d’autre . Ce n’est pas parce-que son époux Charles l’a été en 2005 qu’elle le sera forcément . Et sûrement pas parce-qu’elle fut Impératrice d’Autriche, au contraire, car ce statut rend sa cause beaucoup plus difficile .
ciboulette
14 mars 2018 @ 15:42
Merci de ces précisions , Solenn .
solenn
13 mars 2018 @ 19:58
Clément II
Vous n’avez rien compris cher monsieur . désolé .
Je persiste et signe
Margaux ?
15 mars 2018 @ 18:05
C’est tellement plus simple de dire que l’autre n’a rien compris, que d’admettre que l’on est soit-même en tort (à côté de la plaque). Il en sait certainement plus que vous sur la question, croyez-le bien.
Clément II
16 mars 2018 @ 02:00
C’est toujours plus simple d’alléguer que l’autre a tort.
Je connais quand même mieux le dossier que vous et que vous le vouliez ou non, cette cause est absurde ; Otto de Habsbourg le pensait, je le pense comme lui, c’est de famille.
solenn
19 mars 2018 @ 15:35
Clément II
Mais vous avez parfaitement le droit de penser que cette cause est absurde monsieur Nous ne nous sommes pas compris . Chacun est libre de ses opinions sur n’importe quel sujet .Et heureusement .
Ce n’est pas cela qui m’a interpellée et peinée .
Dommage que nous ne puissions pas discuter en dehors de ce site , mais soyez rassuré . Je ne cherche à » convertir personne » à la cause de l’Impératrice et j’aurais bien du mal, d’ailleurs .
Certains sont pour, d’autres non , on peut échanger sans se fâcher, c’est ainsi que les choses se passent dans mon entourage .