A Paris, Viola (à gauche) et Verra Arrivabene, petites-filles du duc d’Aoste et de la princesse Claude de France, ont assisté au défilé des créations automne-hiver 2018/2019 de la maison Dior. (Copyright photos : Getty images)
Vous n’avez pas d’autre réaction en réserve, que celle-ci ? Ces deux jeunes FEMMES sont loin des Maria Olympia & Co. Elles ont un métier dans le milieu de la mode, c’est donc normal qu’elles soient présentes à des défilés. Et que l’on ne vienne pas dire que leur job est de fabriquer des chaussures, que ça n’a rien à voir avec les vêtements ; le bas s’accorde avec le haut, donc elles sont bien à leurs places pour prendre la mesure des tendances, qui leur serviront à concevoir leurs produits.
Finalement, leur reprocher d’être à des défilés de mode, c’est comme me faire un procès d’intention parce que je me trouve à un salon médical…
Margaux, je suis assez d’accord avec Marielle. Toutes ces jeunes femmes, que l’on ne voit que lors des défilés de mode, peuvent effectivement sembler peu débordées par une vie professionnelle. Sans doute, ces deux jeunes italiennes, sont elles un peu protégées par vos relations familiales ?
Qu’elle votre profession Margaux ? puisque vous parlez de médical, je ne comprends pas. merci pour votre réponse.
Vous avez tout à fait raison concernant les sœurs italiennes
Sans aucun doute Baia, néanmoins mes « relations familiales » ne m’empêchent pas de critiquer ce que j’estime devoir l’être ; si Viola et Vera n’avaient pas eu une profession sérieuse, je les aurais peut-être alignées à la façon dont j’aligne les Maria Olympia et compagnie. Il y en a plein que je débine et qui me sont pourtant plus ou moins proches familialement.
Marie-Jeanne, je suis infirmière-anesthésiste.
Clémentine, les généalogistes amateurs sont généralement les plus intéressants à écouter ; mon cher et tendre pourrait vous le confirmer. ?
Luise, je me garderais de vous raconter ce qui a donné l’envie à Margaux de « faire un métier dans la santé », puis ce qui l’a conduite à celui-ci en particulier ; vous auriez encore plus l’impression que c’est une vocation ! ?
Maintenant, vous comprenez pourquoi mon cœur bat pour elle. ?
(oui, oui, je sors)
Richard
4 mars 2018 @
14:31
Margaux quel est votre lien de parenté avec ses deux jeunes comtesses ?
Margaux ?
6 mars 2018 @
02:32
Richard, nous sommes cousines à plusieurs titres.
Margaux ?
6 mars 2018 @
15:16
Clément, j’en ai déjà parlé ici.
Merci Luise. ?
Arielle
28 février 2018 @
09:15
Ah ! les belles Italiennes !! Imbattables pour le chic sophistiqué, imbattables. J’adore.
je pense que leur mère cherche désespérément à les marier. Autrefois on organisait des bals. Ces jeunes filles semblent en attente, sur le banc de touche, comme au football.
Y’a de la jeunesse à marier au château de Dreux??^^ Je savais pas….Qui ça,qui ça?? ;-))
Gatienne
2 mars 2018 @
21:03
Le jour où il y aura queue devant le château de Dreux pour les beaux yeux de Melle Antoinette, ne vous inquiétez pas, Margaux, nous en seront les premiers informés ! ?
Gatienne
2 mars 2018 @
21:04
« SeronS… »
Gérard
2 mars 2018 @
22:59
Les enfants des Vendôme ne sont pas encore à marier.
Clément II
3 mars 2018 @
16:37
Sans rire, Gérard ? Le Roi de Dreux n’a pas poursuivi cette grande tradition familiale des mariages arrangés dès le plus jeune âge ? Sérieusement, tout se perd dans cette famille !
Christian
5 mars 2018 @
17:00
???
Arielle
28 février 2018 @
13:32
« Les marier » (sic) ??? quelle expression ringarde !! Pourquoi se marieraient-elles ?? Elles sont libres, riches, célèbres, elles gèrent une affaire florissante, elles peuvent avoir le monde à leurs pieds, si tant est qu’il y ait, dans le gotha, des jeunes hommes aussi doués qu’elles….
elles ne sont pas riches. Leur père a dû louer son palais de famille et la famille s’agglutine au dernier étage. Leur affaire n’est pas florissante, mais elle existe.
Les Arrivabene occupent le vaste dernier étage de leur palais où même une grande famille peut se sentir à l’aise.
Ils n’exploitent pas l’hôtel qui est leur locataire.
Ce palais est avec le merveilleux Sveti Stefan au Monténégro le plus beau fleuron du puissant groupe singapourien Aman.
Il compte 24 suites qui sont peut-être les plus belles de Venise. Les contraintes qui étaient liées à la splendeur du palais baroque pour l’adapter à sa nouvelle destination ont été surmontées afin que les lieux restaurés soient magnifiés et c’était bien plus difficile que dans le village de pêcheurs monténégrin qui était déjà transformé depuis longtemps en adorable hôtel.
La princesse Bianca qui représente Christie’s à Venise habite donc avec son mari et leurs enfants dans ce qui était appelé le grenier et qui occupe le dernier étage du palais ce qui en fait représente deux niveaux. Certes les fenêtres sont plus petites qu’aux deux étages nobles mais c’est très vaste et en particulier le salon est immense et rempli de souvenirs de famille dans une atmosphère très confortable. Giberto y a son bureau et c’est là que toute la famille se réunit, Viola, Vera, Mafalda, Maddalena et Leonardo autour de Giberto et Bianca et du chien Bricola.
C’est en réalité là que le couple habite depuis 1989 quand ils avaient 28 et 23 ans et à l’époque ils devaient partager ce local avec l’Institut des sciences de la mer qui depuis a accepté en 2005 de partir comme beaucoup de locataires.
Car ce palais était très divisé et depuis longtemps. Du temps de la Première Guerre mondiale il y avait 86 personnes qui vivaient ici, huit étaient de la famille et les autres étaient des serviteurs ou des artisans. À 18 ans Giberto dont le père était décédé cherchait surtout à faire réparer le toit du palais et il obtint un prêt bancaire hypothécaire à cette fin mais fort onéreux à la suite de quoi il a renégocié les loyers avec les locataires. À l’époque la famille n’habitait plus le palais puisque la mère de Giberto (qui vient de décéder) s’était remariée avec un aristocrate et compositeur de Trieste. Le palais avait été divisé en appartements et en bureaux, la plupart des meubles et des peintures avaient été vendus. Après l’installation du jeune couple il y avait beaucoup de place vide que les enfants utilisaient volontiers pour faire de l’exercice mais les frais d’entretien étaient énormes et n’étaient pas entièrement couverts par les locations pour des festivités. C’est dans ces conditions-là que finalement après un premier essai qui ne fut pas concluant les négociations ont abouti avec Adrian Zecha, un indonésien, d’origine chinoise et tchèque (cousin de Che Engku Chesterina, princesse de Negeri-Sembilan), le patron alors d’Aman qui était devenu un ami. Giberto ne voulait pas gérer l’hôtel, il voulait se consacrer avec Bianca à leurs projets artistiques de verrerie, ce qu’ils font aujourd’hui.
Un long bail a donc été signé. L’hôtel est évidemment très onéreux mais nous sommes à Venise et le décor en vaut la peine et puis il y a deux restaurants et le spa et l’extraordinaire bibliothèque néobaroque des Tiepolo couverte de livres précieux au deuxième piano nobile. Comme les pièces n’ont pas été divisées pour ne pas abîmer les plafonds somptueux les salles de bains sont vastes ce qui est tout de même assez rare. On prend son petit déjeuner au premier étage dans l’ancienne salle de bal sur le Grand canal et l’on peut sortir sur le balcon ajouré. L’emplacement de l’hôtel est également idéal dans Venise comme la vue qu’on a depuis les chambres.
Et c’est ici que George Clooney et Amal Alamuddin ont passé leur nuit de noces tandis que toute la famille et le chien étaient en Toscane.
Le palais a été construit au milieu du XVIe siècle après la destruction de quelques maisons du XIVe siècle, vraisemblablement à partir de 1560 pour la famille Coccina par l’architecte bergamasque Giangiacomo dei Grigi qui avait en charge le palais Grimani voisin et était fils du célèbre architecte Guglielmo dei Grigi et élève de Jacopo Sansovino. Cette famille Coccina de Bergame venait d’obtenir le patriciat vénitien. L’hôtel fut achevé en 1570. L’étage noble fut décoré au début du XVIIIe siècle par Giandomenico Tiepolo et ses élèves avec les fresques du Charlatan et du Menuet. Son père Giambattista Tiepolo devait peindre, peut-être, également un plafond plus tard.
En 1745 l’hôtel fut acheté avec sa collection de peintures aux derniers héritiers des Coccina par l’électeur de Saxe pour 100 000 sequins et toutes les peintures partirent pour la Gemäldegalerie Alte Meister de Dresde.
En 1748 le palais fut revendu à la famille patricienne Tiepolo, qui n’était pas celle du peintre. Les Tiepolo collectionnaient les livres anciens et des objets d’art. Ils commandèrent également des statues plus tard à Canova.
En 1837 le palais appartint à Valentino Comello dont l’épouse Maddalena Montalban (1820-1869) avait été emprisonnée 28 mois par les Autrichiens pour ses activités anti-autrichiennes avant d’être libérée sur l’intervention personnelle de l’empereur et acquittée. Puis il passa au général et diplomate autrichien Bartholomäus von Stürmer (qui fut commissaire autrichien à Sainte-Hélène quand Napoléon y était détenu mais qui ne put jamais le rencontrer et eut à subir les exigences d’Hudson Lowe) et en 1864 aux comtes Niccolò et Angelo Papadopoli d’une famille de riches banquiers et marchands alliés aux Comello, originaire de Corfou admise au patriciat vénitien en 1791. Les deux frères possédaient déjà le palais Grassi et le palais Tiepolo. Ils firent apposer leurs armoiries sur la façade. Cette façade est une merveille d’architecture avec les trois ordres dorique, ionique et corinthien, qui s’harmonise parfaitement avec les deux pinacles du toit. Par la suite on devait retrouver les armoiries familiales sur les poignées de porte, les stucs des cheminées, les plafonds et les pieds de lampe. Ce fut lorsqu’en 1865 il fut demandé à Michaelangelo Guggenheim de mettre au goût vénitien néo-renaissance le palais. Ce sont également les Papadopoli qui étaient devenus propriétaires des deux palais voisins qu’ils firent détruire pour s’aménager un superbe et rare jardin de style néoclassique qui est un plus aujourd’hui pour l’hôtel. On y voit un puits gothique tardif.
C’était dans les années 1874-1875 et sous la houlette de Girolamo Levi (auquel on doit le grand escalier) avec aussi le concours de Cesare Rotta pour les fresques de la salle à manger avec des Cupidon, qui jouxte la salle de bal dont les fresques d’angelots en trompe-l’œil sont une splendeur. La riche collection numismatique de Nicolò Papadopoli Aldobrandini est maintenant au Musée Correr.
En 1922 le palais fut hérité par la famille Arrivabene Valenti Gonzaga du fait du mariage du sénateur Giberto Arrivabene Valenti Gonzaga (1872-1933) avec Vera Papadopoli Aldobrandini (1883-1946), la dernière de cette famille richissime. Ce sont les grands-parents de Giberto.
La mère de Giberto, Maria delle Grazie, des comtes Brandolini d’Adda (famille alliée aux Agnelli et aux Faucigny-Lucinge), dite Graziella, née en 1923, est décédée dans son château de Pieve di Soligo, une villa vénitienne du XVIIIe siècle, près de Trévise, devenue la villa Brandolini d’Adda ; elle avait 94 ans, et c’était le samedi 13 janvier 2018 au matin, ses obsèques ont été célébrées le 16 janvier 2018 en l’église de Solighetto par Mgr Giuseppe Nadal, curé de la paroisse. Elle était fille du comte Carlo et de Maria José Alvares Pereira de Melo des ducs de Cadaval. Elle fut volontaire pendant la Deuxième Guerre mondiale comme infirmière, elle était connue pour sa discrétion, sa gentillesse et son élégance, et après la mort de son mari elle vécut avec ses trois enfants non plus à Venise mais à Rome et à Pieve di Soligo jusqu’à son remariage avec Raffaello de Banfield, directeur du théâtre lyrique de Trieste, avec lequel elle s’était établie dans cette ville et où elle vécut jusqu’à la mort de son deuxième mari en 2008. Raffaello (Newcastle 1922-Trieste 2008) baron von Banfield Tripcovitch, compositeur, ami de tous les grands musiciens et chanteurs d’opéra de son temps, était aussi par sa mère héritier des amateurs et comtes Tripcovitch de Trieste. Il fit face avec beaucoup de dignité et d’esprit de sacrifice aux difficultés de cette firme. Son père Gottfried avait été le dernier survivant des chevaliers de l’Ordre militaire de Marie-Thérèse. Ils habitaient la villa Rive à Trieste.
Gérard
3 mars 2018 @
18:56
Le baron Gottfried von Banfield (1886-1990), le père de Raffaello, fut le plus éminent pilote de l’aviation militaire austro-hongroise, le seul décoré de l’Ordre de Marie-Thérèse, il fut aussi consul honoraire de France à Trieste.
olivier Kell
3 mars 2018 @
11:42
S agglutine …..bcp aimerait s agglutiner comme vous le dites dans un tel palais :-)
Vous seriez surprise de la persistance de certaines coutumes dans certains milieux … Si jamais vous avez l’occasion de fréquenter un rally des bonnes sociétés normande et parisienne un de ces jours où les parents attendent des filles qu’elles ramènent un sang aussi bleu que le leur et des garçons de même ou à défaut en consolation une dot confortable de l’héritière d’un industriel …
Il n’y a pas que dans les bonnes sociétés franciliennes et normandes que ça se pratique. C’est l’apanage d’un petit lot de nobles, bourgeois et riches agriculteurs – et pour les nobles, pas forcément les plus/mieux titrés, mais ça reste bien actuel dans de nombreuses régions, riches en histoire (autrement dit : la quasi-totalité de la France). ?
Après, c’est aussi une part du jeu et dans l’absolu, soit on marche à fond et ça fait plaisir à tout le monde, soit on se révolte et ça sème le souk dans le « château ». Ou alors on a de la chance, et on trouve l’amour par hasard (ou presque). ?
Robespierre n’a pas entièrement tort. Bianca est une femme sympathique et pleine de bon sens, cependant elle n’est pas la dernière à imaginer un beau mariage pour chacun de ses enfants. Ce n’est pas restreint à Viola et Vera.
Je trouve ça vulgaire , même …Faire Milan – Paris, chaque saison pour voir les mochetés des défilés et se montrer , c’est dur pour la planète.Un jour , ça se passera par vidéo !
euh oui…Lucrèce ce n’est pas non plus le top en matière d’éducation…mais pour son époque ça passait bien, dans son milieux…J’ai au moins lu un livre à son sujet des plus croustillant.
Il n’y a aucun rapport, ces jeunes filles ont un métier sérieux et de nos jours, l’entrepreneuriat est une valeur professionnelle très présente dans la noblesse européenne.
27 (Viola) et 25 ans. Elles ont fini leurs études depuis quelques années et sont à la tête d’une entreprise de chaussures vénitiennes plutôt florissante.
Elles sont habillées…en hiver!! Court mais chaud…l’équilibre est subtil, mais pas vilain…j’ai toujours un pb avec les cuissardes, mais à 20 ans ça passe.
J’ai eu la même cape et je l’ai adorée. ..je la portais avec des bottes…si notre Emilie Convers m’avait vue comme ça. ..^^ ;’))♡.
Ces jeunes femmes sont piquantes et belles.
Marielle
28 février 2018 @ 09:07
Mais toutes ces filles n’ont rien d’autre à faire?
Margaux ?
28 février 2018 @ 12:36
Vous n’avez pas d’autre réaction en réserve, que celle-ci ? Ces deux jeunes FEMMES sont loin des Maria Olympia & Co. Elles ont un métier dans le milieu de la mode, c’est donc normal qu’elles soient présentes à des défilés. Et que l’on ne vienne pas dire que leur job est de fabriquer des chaussures, que ça n’a rien à voir avec les vêtements ; le bas s’accorde avec le haut, donc elles sont bien à leurs places pour prendre la mesure des tendances, qui leur serviront à concevoir leurs produits.
Finalement, leur reprocher d’être à des défilés de mode, c’est comme me faire un procès d’intention parce que je me trouve à un salon médical…
Baia
28 février 2018 @ 14:00
Margaux, je suis assez d’accord avec Marielle. Toutes ces jeunes femmes, que l’on ne voit que lors des défilés de mode, peuvent effectivement sembler peu débordées par une vie professionnelle. Sans doute, ces deux jeunes italiennes, sont elles un peu protégées par vos relations familiales ?
mariejeanne
28 février 2018 @ 14:29
Qu’elle votre profession Margaux ? puisque vous parlez de médical, je ne comprends pas. merci pour votre réponse.
Vous avez tout à fait raison concernant les sœurs italiennes
clementine1
1 mars 2018 @ 07:12
et moi à un Salon de Généalogie et encore, je ne suis qu’une amatrice !
Margaux ?
1 mars 2018 @ 16:36
Sans aucun doute Baia, néanmoins mes « relations familiales » ne m’empêchent pas de critiquer ce que j’estime devoir l’être ; si Viola et Vera n’avaient pas eu une profession sérieuse, je les aurais peut-être alignées à la façon dont j’aligne les Maria Olympia et compagnie. Il y en a plein que je débine et qui me sont pourtant plus ou moins proches familialement.
Marie-Jeanne, je suis infirmière-anesthésiste.
Clémentine, les généalogistes amateurs sont généralement les plus intéressants à écouter ; mon cher et tendre pourrait vous le confirmer. ?
Luise
2 mars 2018 @ 16:25
Bravo. Une profession que c’est une vocation
Clément II
3 mars 2018 @ 16:36
Luise, je me garderais de vous raconter ce qui a donné l’envie à Margaux de « faire un métier dans la santé », puis ce qui l’a conduite à celui-ci en particulier ; vous auriez encore plus l’impression que c’est une vocation ! ?
Maintenant, vous comprenez pourquoi mon cœur bat pour elle. ?
(oui, oui, je sors)
Richard
4 mars 2018 @ 14:31
Margaux quel est votre lien de parenté avec ses deux jeunes comtesses ?
Margaux ?
6 mars 2018 @ 02:32
Richard, nous sommes cousines à plusieurs titres.
Margaux ?
6 mars 2018 @ 15:16
Clément, j’en ai déjà parlé ici.
Merci Luise. ?
Arielle
28 février 2018 @ 09:15
Ah ! les belles Italiennes !! Imbattables pour le chic sophistiqué, imbattables. J’adore.
monica
28 février 2018 @ 18:21
Arielle je plussoie
Robespierre
28 février 2018 @ 09:16
je pense que leur mère cherche désespérément à les marier. Autrefois on organisait des bals. Ces jeunes filles semblent en attente, sur le banc de touche, comme au football.
Margaux ?
28 février 2018 @ 12:37
Là-dessus, en revanche, c’est bien dit.
Gérard
28 février 2018 @ 21:54
Il ne leur est cependant sûrement pas difficile d’avoir des prétendants.
Margaux ?
1 mars 2018 @ 16:39
Il y a effectivement plus de queue devant le Palais Papadopoli que devant le Château de Dreux.
Muscate-Valeska de Lisabé
2 mars 2018 @ 19:15
Y’a de la jeunesse à marier au château de Dreux??^^ Je savais pas….Qui ça,qui ça?? ;-))
Gatienne
2 mars 2018 @ 21:03
Le jour où il y aura queue devant le château de Dreux pour les beaux yeux de Melle Antoinette, ne vous inquiétez pas, Margaux, nous en seront les premiers informés ! ?
Gatienne
2 mars 2018 @ 21:04
« SeronS… »
Gérard
2 mars 2018 @ 22:59
Les enfants des Vendôme ne sont pas encore à marier.
Clément II
3 mars 2018 @ 16:37
Sans rire, Gérard ? Le Roi de Dreux n’a pas poursuivi cette grande tradition familiale des mariages arrangés dès le plus jeune âge ? Sérieusement, tout se perd dans cette famille !
Christian
5 mars 2018 @ 17:00
???
Arielle
28 février 2018 @ 13:32
« Les marier » (sic) ??? quelle expression ringarde !! Pourquoi se marieraient-elles ?? Elles sont libres, riches, célèbres, elles gèrent une affaire florissante, elles peuvent avoir le monde à leurs pieds, si tant est qu’il y ait, dans le gotha, des jeunes hommes aussi doués qu’elles….
Robespierre
1 mars 2018 @ 14:30
elles ne sont pas riches. Leur père a dû louer son palais de famille et la famille s’agglutine au dernier étage. Leur affaire n’est pas florissante, mais elle existe.
Arielle
2 mars 2018 @ 12:41
Merci pour votre réponse qui nuance ma pensée, Robespierre.
Gérard
3 mars 2018 @ 17:24
Les Arrivabene occupent le vaste dernier étage de leur palais où même une grande famille peut se sentir à l’aise.
Ils n’exploitent pas l’hôtel qui est leur locataire.
Ce palais est avec le merveilleux Sveti Stefan au Monténégro le plus beau fleuron du puissant groupe singapourien Aman.
Il compte 24 suites qui sont peut-être les plus belles de Venise. Les contraintes qui étaient liées à la splendeur du palais baroque pour l’adapter à sa nouvelle destination ont été surmontées afin que les lieux restaurés soient magnifiés et c’était bien plus difficile que dans le village de pêcheurs monténégrin qui était déjà transformé depuis longtemps en adorable hôtel.
La princesse Bianca qui représente Christie’s à Venise habite donc avec son mari et leurs enfants dans ce qui était appelé le grenier et qui occupe le dernier étage du palais ce qui en fait représente deux niveaux. Certes les fenêtres sont plus petites qu’aux deux étages nobles mais c’est très vaste et en particulier le salon est immense et rempli de souvenirs de famille dans une atmosphère très confortable. Giberto y a son bureau et c’est là que toute la famille se réunit, Viola, Vera, Mafalda, Maddalena et Leonardo autour de Giberto et Bianca et du chien Bricola.
C’est en réalité là que le couple habite depuis 1989 quand ils avaient 28 et 23 ans et à l’époque ils devaient partager ce local avec l’Institut des sciences de la mer qui depuis a accepté en 2005 de partir comme beaucoup de locataires.
Car ce palais était très divisé et depuis longtemps. Du temps de la Première Guerre mondiale il y avait 86 personnes qui vivaient ici, huit étaient de la famille et les autres étaient des serviteurs ou des artisans. À 18 ans Giberto dont le père était décédé cherchait surtout à faire réparer le toit du palais et il obtint un prêt bancaire hypothécaire à cette fin mais fort onéreux à la suite de quoi il a renégocié les loyers avec les locataires. À l’époque la famille n’habitait plus le palais puisque la mère de Giberto (qui vient de décéder) s’était remariée avec un aristocrate et compositeur de Trieste. Le palais avait été divisé en appartements et en bureaux, la plupart des meubles et des peintures avaient été vendus. Après l’installation du jeune couple il y avait beaucoup de place vide que les enfants utilisaient volontiers pour faire de l’exercice mais les frais d’entretien étaient énormes et n’étaient pas entièrement couverts par les locations pour des festivités. C’est dans ces conditions-là que finalement après un premier essai qui ne fut pas concluant les négociations ont abouti avec Adrian Zecha, un indonésien, d’origine chinoise et tchèque (cousin de Che Engku Chesterina, princesse de Negeri-Sembilan), le patron alors d’Aman qui était devenu un ami. Giberto ne voulait pas gérer l’hôtel, il voulait se consacrer avec Bianca à leurs projets artistiques de verrerie, ce qu’ils font aujourd’hui.
Un long bail a donc été signé. L’hôtel est évidemment très onéreux mais nous sommes à Venise et le décor en vaut la peine et puis il y a deux restaurants et le spa et l’extraordinaire bibliothèque néobaroque des Tiepolo couverte de livres précieux au deuxième piano nobile. Comme les pièces n’ont pas été divisées pour ne pas abîmer les plafonds somptueux les salles de bains sont vastes ce qui est tout de même assez rare. On prend son petit déjeuner au premier étage dans l’ancienne salle de bal sur le Grand canal et l’on peut sortir sur le balcon ajouré. L’emplacement de l’hôtel est également idéal dans Venise comme la vue qu’on a depuis les chambres.
Et c’est ici que George Clooney et Amal Alamuddin ont passé leur nuit de noces tandis que toute la famille et le chien étaient en Toscane.
Le palais a été construit au milieu du XVIe siècle après la destruction de quelques maisons du XIVe siècle, vraisemblablement à partir de 1560 pour la famille Coccina par l’architecte bergamasque Giangiacomo dei Grigi qui avait en charge le palais Grimani voisin et était fils du célèbre architecte Guglielmo dei Grigi et élève de Jacopo Sansovino. Cette famille Coccina de Bergame venait d’obtenir le patriciat vénitien. L’hôtel fut achevé en 1570. L’étage noble fut décoré au début du XVIIIe siècle par Giandomenico Tiepolo et ses élèves avec les fresques du Charlatan et du Menuet. Son père Giambattista Tiepolo devait peindre, peut-être, également un plafond plus tard.
En 1745 l’hôtel fut acheté avec sa collection de peintures aux derniers héritiers des Coccina par l’électeur de Saxe pour 100 000 sequins et toutes les peintures partirent pour la Gemäldegalerie Alte Meister de Dresde.
En 1748 le palais fut revendu à la famille patricienne Tiepolo, qui n’était pas celle du peintre. Les Tiepolo collectionnaient les livres anciens et des objets d’art. Ils commandèrent également des statues plus tard à Canova.
En 1837 le palais appartint à Valentino Comello dont l’épouse Maddalena Montalban (1820-1869) avait été emprisonnée 28 mois par les Autrichiens pour ses activités anti-autrichiennes avant d’être libérée sur l’intervention personnelle de l’empereur et acquittée. Puis il passa au général et diplomate autrichien Bartholomäus von Stürmer (qui fut commissaire autrichien à Sainte-Hélène quand Napoléon y était détenu mais qui ne put jamais le rencontrer et eut à subir les exigences d’Hudson Lowe) et en 1864 aux comtes Niccolò et Angelo Papadopoli d’une famille de riches banquiers et marchands alliés aux Comello, originaire de Corfou admise au patriciat vénitien en 1791. Les deux frères possédaient déjà le palais Grassi et le palais Tiepolo. Ils firent apposer leurs armoiries sur la façade. Cette façade est une merveille d’architecture avec les trois ordres dorique, ionique et corinthien, qui s’harmonise parfaitement avec les deux pinacles du toit. Par la suite on devait retrouver les armoiries familiales sur les poignées de porte, les stucs des cheminées, les plafonds et les pieds de lampe. Ce fut lorsqu’en 1865 il fut demandé à Michaelangelo Guggenheim de mettre au goût vénitien néo-renaissance le palais. Ce sont également les Papadopoli qui étaient devenus propriétaires des deux palais voisins qu’ils firent détruire pour s’aménager un superbe et rare jardin de style néoclassique qui est un plus aujourd’hui pour l’hôtel. On y voit un puits gothique tardif.
C’était dans les années 1874-1875 et sous la houlette de Girolamo Levi (auquel on doit le grand escalier) avec aussi le concours de Cesare Rotta pour les fresques de la salle à manger avec des Cupidon, qui jouxte la salle de bal dont les fresques d’angelots en trompe-l’œil sont une splendeur. La riche collection numismatique de Nicolò Papadopoli Aldobrandini est maintenant au Musée Correr.
En 1922 le palais fut hérité par la famille Arrivabene Valenti Gonzaga du fait du mariage du sénateur Giberto Arrivabene Valenti Gonzaga (1872-1933) avec Vera Papadopoli Aldobrandini (1883-1946), la dernière de cette famille richissime. Ce sont les grands-parents de Giberto.
https://www.townandcountrymag.com/society/money-and-power/g2690/arrivabene-palazzo-papadopoli-venice/?slide=1
La mère de Giberto, Maria delle Grazie, des comtes Brandolini d’Adda (famille alliée aux Agnelli et aux Faucigny-Lucinge), dite Graziella, née en 1923, est décédée dans son château de Pieve di Soligo, une villa vénitienne du XVIIIe siècle, près de Trévise, devenue la villa Brandolini d’Adda ; elle avait 94 ans, et c’était le samedi 13 janvier 2018 au matin, ses obsèques ont été célébrées le 16 janvier 2018 en l’église de Solighetto par Mgr Giuseppe Nadal, curé de la paroisse. Elle était fille du comte Carlo et de Maria José Alvares Pereira de Melo des ducs de Cadaval. Elle fut volontaire pendant la Deuxième Guerre mondiale comme infirmière, elle était connue pour sa discrétion, sa gentillesse et son élégance, et après la mort de son mari elle vécut avec ses trois enfants non plus à Venise mais à Rome et à Pieve di Soligo jusqu’à son remariage avec Raffaello de Banfield, directeur du théâtre lyrique de Trieste, avec lequel elle s’était établie dans cette ville et où elle vécut jusqu’à la mort de son deuxième mari en 2008. Raffaello (Newcastle 1922-Trieste 2008) baron von Banfield Tripcovitch, compositeur, ami de tous les grands musiciens et chanteurs d’opéra de son temps, était aussi par sa mère héritier des amateurs et comtes Tripcovitch de Trieste. Il fit face avec beaucoup de dignité et d’esprit de sacrifice aux difficultés de cette firme. Son père Gottfried avait été le dernier survivant des chevaliers de l’Ordre militaire de Marie-Thérèse. Ils habitaient la villa Rive à Trieste.
Gérard
3 mars 2018 @ 18:56
Le baron Gottfried von Banfield (1886-1990), le père de Raffaello, fut le plus éminent pilote de l’aviation militaire austro-hongroise, le seul décoré de l’Ordre de Marie-Thérèse, il fut aussi consul honoraire de France à Trieste.
olivier Kell
3 mars 2018 @ 11:42
S agglutine …..bcp aimerait s agglutiner comme vous le dites dans un tel palais :-)
Clément II
3 mars 2018 @ 16:38
Leurs parents sont assez fauchés mais elles, elles ont des moyens. Leur petite entreprise tourne bien. ?
Robespierre
5 mars 2018 @ 13:36
Tant mieux, cela fait plaisir de voir que le travail et l’effort paient.
milou
28 février 2018 @ 14:16
Ca m’étonnerait que leur mère aie de si rétrogrades pensées…Robespierre!
Elles sont belles et bien plus élégantes que la plupart de ces princesses assoiffées de mode!
ml
marianne
1 mars 2018 @ 11:24
Robespierre, Jane Austen, c’ était il y a 200 ans …
Yannick
2 mars 2018 @ 02:50
Vous seriez surprise de la persistance de certaines coutumes dans certains milieux … Si jamais vous avez l’occasion de fréquenter un rally des bonnes sociétés normande et parisienne un de ces jours où les parents attendent des filles qu’elles ramènent un sang aussi bleu que le leur et des garçons de même ou à défaut en consolation une dot confortable de l’héritière d’un industriel …
Robespierre
2 mars 2018 @ 13:39
Yannick et Margaux vous avez compris ce que je voulais dire.
Margaux ?
2 mars 2018 @ 17:10
Il n’y a pas que dans les bonnes sociétés franciliennes et normandes que ça se pratique. C’est l’apanage d’un petit lot de nobles, bourgeois et riches agriculteurs – et pour les nobles, pas forcément les plus/mieux titrés, mais ça reste bien actuel dans de nombreuses régions, riches en histoire (autrement dit : la quasi-totalité de la France). ?
Après, c’est aussi une part du jeu et dans l’absolu, soit on marche à fond et ça fait plaisir à tout le monde, soit on se révolte et ça sème le souk dans le « château ». Ou alors on a de la chance, et on trouve l’amour par hasard (ou presque). ?
Clément II
3 mars 2018 @ 16:39
Par hasard ou presque, en effet.
Margaux ?
1 mars 2018 @ 16:40
Robespierre n’a pas entièrement tort. Bianca est une femme sympathique et pleine de bon sens, cependant elle n’est pas la dernière à imaginer un beau mariage pour chacun de ses enfants. Ce n’est pas restreint à Viola et Vera.
Silvia
28 février 2018 @ 09:32
J aime beaucoup. La tenue de verra,….bon jeudi. A tous
Ludovina
28 février 2018 @ 09:51
Ces deux jeunes-filles sont beaucoup mieux vêtues et plus naturelles…
JACKINE DU BOSC
28 février 2018 @ 10:02
Manteaux capes , mini jupes et cuissardes Ces jeunes filles sont dans le vent
Pierre-Yves
28 février 2018 @ 10:09
Et la princesse de ThaÏlande, elle arrive quand ? Je commence à m’ennuyer d’elle, moi …
mariejeanne
28 février 2018 @ 14:31
Mais elle est venue et repartie…elle a même fait la couverture de Vogue !
Faut suivre Pierre-Yves….(humour !) je vous l’accorde ce n’est pas simple !
Claude-Patricia
28 février 2018 @ 17:04
elle va arriver, ne vous inquiétez pas, avec le décalage horaire!! Mais n’est-elle pas en deuil…
Valérie R.
28 février 2018 @ 10:38
A la recherche non pas du temps perdu mais d’un riche mari…
belle
1 mars 2018 @ 00:24
d’apres la presse anglaise VIOLA aurait trouvé un prétendant avec Charles FORTE
Olivier Kell
28 février 2018 @ 10:54
Superbes toutes les deux….et ells n’ont pas le regard vitreux comme……..suivez mon regard :-)
monica
28 février 2018 @ 18:22
Olivier ???
giha
28 février 2018 @ 10:58
Pas très gai tout ça…..
Danielle.
28 février 2018 @ 11:41
J’aime bien Verra Arrivabene qui est fine et souriante.
Anne
28 février 2018 @ 12:11
Poser jambes écartées avec des cuissardes .. je ne sais si c’est Viola ou Vera .. mais ce n’est pas la plus distinguée!!!
framboiz 07
28 février 2018 @ 19:54
Je trouve ça vulgaire , même …Faire Milan – Paris, chaque saison pour voir les mochetés des défilés et se montrer , c’est dur pour la planète.Un jour , ça se passera par vidéo !
particule
28 février 2018 @ 12:38
Les parents de Lucrèce Borgia avaient d’autres ambitions pour leur fille !
Baboula
28 février 2018 @ 12:59
Particule ne nous dites pas que vous approuvez les façons de « papa « Alexandre !
JO
28 février 2018 @ 13:27
Devons nous rire?
Esquiline
28 février 2018 @ 13:38
Tout a changé depuis que les papes ne sont plus pères!
Cosmo
28 février 2018 @ 16:42
Surtout son pape de papa…
Claude-Patricia
28 février 2018 @ 17:06
euh oui…Lucrèce ce n’est pas non plus le top en matière d’éducation…mais pour son époque ça passait bien, dans son milieux…J’ai au moins lu un livre à son sujet des plus croustillant.
Val
28 février 2018 @ 23:30
Particule
Excellent !!! ?
Clément II
1 mars 2018 @ 00:25
Il n’y a aucun rapport, ces jeunes filles ont un métier sérieux et de nos jours, l’entrepreneuriat est une valeur professionnelle très présente dans la noblesse européenne.
Francois
28 février 2018 @ 13:14
Tout en noir et blanc
L’entrée très belle et très classique se marie
bien à ces tenues
Mais tout cela est assez sinistre
Mayg
28 février 2018 @ 13:29
Quelles horreurs ces tenues.Quand à la pose de Viola, no comment…
Laurent F
28 février 2018 @ 13:56
Beaucoup plus jolies que Maria-Olympia de Grèce et Amelia Windsor
COLETTE C.
28 février 2018 @ 15:53
Quel âge ont-elles ? Elles ne font pas d’études ?
Margaux ?
2 mars 2018 @ 17:15
27 (Viola) et 25 ans. Elles ont fini leurs études depuis quelques années et sont à la tête d’une entreprise de chaussures vénitiennes plutôt florissante.
Mary
28 février 2018 @ 16:15
Et les deux autres sœurs ,on les séquestre ? :-))
Margaux ?
2 mars 2018 @ 17:16
À 20 et 17 ans, on va leur laisser un peu de temps pour éclater au grand jour.
Corsica
28 février 2018 @ 16:42
Les années se suivent et se ressemblent : les deux jolies sœurs posent toujours avec leur sac bien en évidence.
Cosmo
28 février 2018 @ 16:43
Un remake de Marilyn ?
Claude-Patricia
28 février 2018 @ 17:19
Elles sont habillées…en hiver!! Court mais chaud…l’équilibre est subtil, mais pas vilain…j’ai toujours un pb avec les cuissardes, mais à 20 ans ça passe.
Muscate-Valeska de Lisabé
28 février 2018 @ 17:59
J’ai eu la même cape et je l’ai adorée. ..je la portais avec des bottes…si notre Emilie Convers m’avait vue comme ça. ..^^ ;’))♡.
Ces jeunes femmes sont piquantes et belles.
Carole 007
28 février 2018 @ 18:54
Ce sont mes deux préférées les jolies vénitiennes.
Elles ont un air éveillé, ça change.
Alinéas
28 février 2018 @ 19:11
Bien charmantes toutes les deux ; j’aime beaucoup la tenue de Verra mais je ne suis pas fan des cuissardes..!
Alinéas
28 février 2018 @ 19:16
Pardon ; c’est Viola qui porte des cuissardes..!
Gérard
28 février 2018 @ 22:02
C’est au musée Rodin dans l’hôtel de Biron, au préalable du Maine.
Valerielabelle?
28 février 2018 @ 22:50
J’aime bien leurs tenues. Bon elles ont tout de même un côté famille Adams.
Anna Claudia
1 mars 2018 @ 08:46
Elles sont superbes ; gagnent leur vie, et n’ont pas besoin d’un mari pour les entretenir.