C’est un programme chargé et plein d’émotion qui attendait le Prince Nicolas de Monténégro lors de ses trois jours de visites en Bretagne les 29, 30 et 31 août derniers.
Accompagné par sa charmante fiancée Nalini Errate qu’il présentait pour la première fois, le Prince est arrivé à Saint-Nicolas du Pélem en milieu d’après midi après une visite matinale consacrée à l’économie locale, l’architecture et l’écologie. Un déjeuner offert par la Communauté de Communes au Musée de la Résistance de Saint-Connan avait fermé cette première partie du périple costarmoricain.
Une foule impatiente attendait devant la mairie pavoisée des drapeaux français, monténégrin et breton. Le cortège composé du maire, du sous-préfet, des élus locaux et de la nouvelle Reine de Cornouaille, pélèmoise fraichement élue, accompagna le Prince Nicolas et Nalini au son des clarinettes.
A peine arrivé, le Prince s’est précipité pour embrasser Soeur Geneviève du couvent des Augustines de Gouarec, exceptionnellement autorisée à sortir, pour retrouver le bébé qu’elle avait connu il y a 73 ans.
A l’époque de la naissance du Prince pendant la seconde guerre mondiale alors que sa famille s’était réfugiée à Saint-Nicolas du Pélem, la jeune fille, qu’elle était, avait fabriqué la veille de la Libération de la petite commune une série de petits drapeaux alliés.
Une photo prise le 9 août 1944 immortalise cette instant avec le jeune prince de quelques semaines dans son landau partagé par son cousin germain un peu plus âgé.
Après un échange chaleureux sur le parvis, des retrouvailles très émouvantes et une visite de la mairie, un cortège s’est formé pour accompagner l’Altesse à sa maison natale à la sortie du village.
Une plaque gravée portant l’inscription : « Ici est né le 7 juillet 1944 S.A.R. Nicolas Petrovitch-Njegosh, prince héritier du Monténégro. » fut inaugurée sous les applaudissements.
Ensuite, danseurs et musiciens, accompagnés de la population et des élus prirent part à la plantation d’un chêne de Hongrie dans le jardin municipal pour cette occasion le prince déversa une bourse de terre de son pays en échange de laquelle il reçut une bourse de terre bretonne.
Beaucoup de personnes ayant connus ses parents s’empressèrent de lui apporter des témoignages émouvants voir bouleversants comme un homme qui vit son père se faire arrêter par les allemands. Il faut savoir que ses parents furent arrêtés et internés une première fois de 1941 à 1943 sur ordre d’Hitler à qui, ils refusèrent la proposition de reprendre le trône du Monténégro.
Libérés par l’intervention de leur tante Hélène, reine d’Italie, lui fût arrêté une seconde fois quelques mois avant la naissance de son fils. Il ne retrouva sa famille qu’après la Libération des camps en 1945.
C’est par un vin d’honneur donné à la salle Ty-ar-Pelem ou se tenait une petite exposition de photos anciennes que s’est terminée cette journée radieuse. Un dîner privé offert par la famille de Boisboissel, qui vient de fêter ses 700 ans, clôtura le tout au château du Pélem. » (Un grand merci à Hyacinthe pour ce premier volet de la visite du prince de Monténégro en Bretagne)
Vassili
5 septembre 2017 @ 04:49
On voit devant la Mairie les drapeaux de France, de Monténégro et de Bretagne mais pas celui de la Communauté Européenne. Angela Merkel sera ravie.
J’ai adoré la Bretagne et je garde de très bons souvenirs de la région.
cyril-83
5 septembre 2017 @ 05:54
Reportage très sympathique pour cette famille dont il est peu question. C’est pourtant l’une de ces familles détrônées qui ont obtenu un véritable statut par les républiques qui gouverne actuellement leurs pays.
Plusieurs fautes d’orthographe auraient dû être corrigées avant publication :
– 1re photo : ses trois jours de visites en Bretagne –> ses trois jours de visite en Bretagne
– 2e photo : Un déjeuner offert par la Communauté de Communes au Musée de la Résistance de Saint-Connan avait fermé cette première partie du périple costarmoricain. –> Un déjeuner offert par la communauté de communes au musée de la Résistance de Saint-Connan a clôturé cette première partie du périple costarmoricain.
– 3e photo : le Prince c’est précipité pour embrasser Soeur Geneviève –> le prince s’est précipité pour embrasser sœur Geneviève.
la jeune fille, qu’elle était, avait fabriquée –> la jeune fille, qu’elle était, avait fabriqué
– 4e photo : Une photo prise le 9 août 1944 immortalise cette instant –> Une photo prise le 9 août 1944 immortalise cet instant.
– 5e photo : un cortège c’est formé –> un cortège s’est formé.
– 7e photo : fût inaugurée –> fut inaugurée.
– 8e photo : il reçu une bourse –> il reçut une bourse.
– 9e photo : Beaucoup de personnes ayant connus ses parents […] voir bouleversants […] par les allemands –> Beaucoup de personnes ayant connu ses parents […] voire bouleversants […] par les Allemands.
– 12e photo : Libérés par l’intervention de leur tante Hélène, reine d’Italie, lui fût arrêté une seconde fois –> Libérés par l’intervention de leur tante Hélène, reine d’Italie, (??) fut arrêté une seconde fois. (la phrase n’est pas très compréhensible au juste…)
– 13e photo : la salle Ty-ar-Pelem ou se tenait […] c’est terminée cette journée radieuse –> la salle Ty-ar-Pelem où se tenait […] s’est terminée cette journée radieuse.
Baia
5 septembre 2017 @ 13:08
Vous n’avez pas d’autres occupations, cyril-83 ?
cyril-83
6 septembre 2017 @ 05:41
Baïa, oui, j’ai plein d’occupations et vous ?
Michèle
5 septembre 2017 @ 14:12
cyril-83
La rentrée scolaire a sonné,
Vous me rappellez de lointains souvenirs lorsque mon fils était au lycée en Allemagne. il m’a donné un devoir de français à signer au dernier moment, en me demandant de ne rien dire à son père. J’ai regardé son devoir, c’était une dissertation, et malgrè moi j’ai pris le fou-rire, 54 fautes, impensable.
Le professeur avait mis pour chaque accent manquant, ou mis du mauvais côté, mauvaise ponctuation et quelques fautes d’accords, un 1/2 point en moins par faute. j’ai signé et me suis permise de corriger les fautes qu’il avait faites dans ses corrections.
Pourquoi toujours faire remarquer les fautes dans les actualités de Régine, cela peut arriver et si cela vous contrarie vraiment, pourquoi ne pas lui passer un mail directement, ce serait plus délicat.
Certainement Régine privilégie et respect le text donné par la personne qui lui propose une actualité, en ne touchant à rien dan l’énoncé de son sujet, pas même les fautes d’orthographe.
Je dois faire aussi attention lorsque j’écris, tant pour les fautes, que les tournures de phrases, et l’emploi des majuscules, car ce n’est pas la langue que je parle à tout moment.
Michèle
cyril-83
6 septembre 2017 @ 05:46
C’est vrai, je n’ai pas pensé à écrire directement à Régine, vous avez raison, Michèle !
Le respect du texte a tout de même bon dos !
On fait tous des fautes d’orthographe, des coquilles, des oublis, des étourderies, appelons ça comme on veut. Tout comme en calcul, en géographie ou en histoire personne n’a la science infuse. On peut quand même passer un « contrôle technique » avant d’envoyer la version finale.
Cela dit, très beau reportage photo et grand intérêt pour cette famille oubliée.
Cheveyre
5 septembre 2017 @ 16:47
houlà, houlà, vous devez être agrégé en orthographe, grammaire, conjugaison …
AnneLise
5 septembre 2017 @ 19:59
Voilà un des commentaires tels que ceux que je déplore, un peu plus bas !
Voilà un commentaire qui n’est pas « Noble ! » Cyril-83 !
A quand votre admission à l’Académie Française ? ou au comité de lecture de prestigieuses éditions littéraires ?
Ce qui fait la richesse de ce site n’est pas la qualité de l’orthographe, bien que j’y sois attachée personnellement en ce qui me concerne, mais pour ce qui est des intervenants de ce site, je m’attache davantage à la qualité des informations qu’ils nous font parvenir.
Bonne nuit dans la consultation du dictionnaire !
Ghislaine-Perrynn
6 septembre 2017 @ 15:42
Nommez-moi clairement Anne-Lise
je n’ai pour habitude de reculer devant mes prises de position, que je confirme puisque vous jouez les censeurs , ce que vous reprochez à d’autres .
Vous n’avez peut être pas eu des ancêtres à qui l’on a fait porter une pancarte sur le cou « je ne dois pas parler breton » , alors , nous nous sommes appliqués à leur faire honneur et à parler le plus correctement possible et le breton et le français et certains d’entres nous y ont rajouté quelques langues supplémentaires.
AnneLise
6 septembre 2017 @ 19:14
Mais, enfin Ghislaine-Perrynn, qu’est ce que vous racontez ?
Où avez vous lu que je parle de vous ?
Vous faites une fixation ?
Je m’adressais à Cyril-83, j’espère qu’ici tout le monde l’a compris !
Lisez attentivement les interventions, je vous prie !
Suivez en la chronologie je suis intervenue le 5 septembre à 19h59 en réponse à Cyril, vous même le 6 septembre à 8h45 toujours à Cyril
Et vous me répondez le 6 septembre à 15h42 en m’accusant de je ne sais quoi !
Cherchez l’erreur !
Vous commencez vraiment à m’indisposer, essayez donc d’accuser réception des réponses que l’on apporte aux questions que vous posez et ensuite vous pourrez m’interpeller.
AnneLise
6 septembre 2017 @ 19:45
Et j’ajoute que tout cela ne me fait pas rire, comme vous l’avez fait lors d’une question que vous me posiez à laquelle j’ai répondu,mais que vous n’avez pas lue ou à laquelle vous n’avez pas voulu répondre.
Oui, je suis choquée, car dans un Tribunal, puisqu’apparemment vous voulez m’y faire comparaître on prend en compte tous les points de vue.
Je me mets rarement en colère,mais en l’espèce, vous y êtes arrivée.
Bravo !
AnneLise
6 septembre 2017 @ 19:25
Eh puis ras le bol de vos commentaires mettant en évidence les Bretons, gens fort honorables au demeurant, je n’ai pas la chance d’avoir des ancêtres bretons, mais de diverses régions y compris en Lorraine, fuyant le futur Empire Allemand en 1871 et errant sur les routes et ils étaient Protestants de surcroît…
Alors vos leçons, par pitié gardez les pour vous, je n’ai pas une racine, mais plein de racines à travers la France et même l’Europe Centrale et je me sens avant tout Française par le sang versé par mes aïeux pendant les deux Guerres Mondiales, la Guerre d’Indochine, la Guerre d’Algérie, par le service que j’ai modestement rendu à la France en plus de 45 années en oeuvrant pour que Justice soit rendue tant que faire ce peut à tous, Bretons y compris.
Je respecte vos origines, vos opinions, mais les faux procès me révulsent.
Que mon commentaire passe ou non, peut m’importe, mais il serait temps que vous repreniez un peu vos esprits, Ghislaine Perrynn avec tout le respect que je vous dois.
AnneLise
6 septembre 2017 @ 20:01
La colère aidant, j’ai fait une faute d’orthographe, il faut lire PEU et non peut !
Comme quoi !
Mais vraiment, là j’étais à bout !
Continuer à commenter ? ou se contenter de lire et de bouillir parfois ?
Eh bien, non, je ne baisserai pas les bras, je continuerai, n’en déplaise à certains en espérant que ces commentaires soient replacés dans leur contexte et non selon le bon vouloir des uns ou des autres.
cyril-83
8 septembre 2017 @ 10:28
AnneLise, mon commentaire était factuel et non personnel.
Le vôtre est personnel et persifleur, avec votre Académie française et vos « prestigieuses éditions » de je ne sais quoi.
Alors du calme…
On faits tous des fautes en parlant ou en écrivant, et je suis aussi concerné, surtout sur un clavier. Mais on peut essayer de se relire ou de se faire corriger, au moins par respect.
Dans ce cas-là, il n’y a eu aucune relecture et le nombre de fautes est particulièrement important. Vous vous en moquez ? Mais, vous avez le droit. Comme on a le droit aussi de ne pas s’en moquer.
Cela dit, je ne juge pas et ne jugerai jamais une personne pour si peu. Soyez gentille de faire de même.
AnneLise
9 septembre 2017 @ 11:59
Oui, Cyril-83, mon commentaire était personnel !
Car je persiste et signe, les sujets présentés sur ce site, émanent de contributeurs qui nous font partager des évènements.
Des fautes de français, d’orthographe peuvent s’y glisser, Régine ne peut de son propre chef les corriger.
Je n’incrimine ni l’auteur ni le présentateur, mais j’incrimine oui, celui ou celle qui point par point reprend les erreurs.
Je vous ai interpellé personnellement comme je le fais toujours lorsque j’ai quelque chose à dire à quelqu’un, ne me cachant jamais, derrière des « on » etc
Celà vous a déplu, tant pis, d’autres vous ont également un peu reproché votre correction, j’ai certainement été plus percutante et vous m’en voyez navrée, mais je ne changerai pas mon mode de fonctionnement sauf à être modérée par Régine.
Bon week-end.
cyril-83
10 septembre 2017 @ 08:32
Percutante est un bien grand mot, AnneLise. j’entends et comprends ce que vous dites et ce qu’ont dit 3 autres participants, mais ça ne m’a guère décoiffé pour autant. Vous avez raison d’être franche et je le suis aussi, mais je vous rassure, j’ai connu plus violent…
De mon côté, j’admets de nouveau que j’aurais pu passer directement par Régine, mais rien ne l’empêche (comme dans la presse) de corriger de son propre chef les fautes d’orthographe que nous pouvons appeler « coquilles » si elles ne sont pas volontaires. L’article est, par ailleurs, rédigé dans une langue tout à fait châtiée, ce qui contraste avec le nombre de « coquilles ». Donc, si le moyen que j’ai utilisé est discutable, il n’avait rien d’avilissant ni de personnel.
Gardez donc pour vous vos petites piques bon marché qui ne font guère avancer le schmilblick, d’autant que le débat est clos.
AnneLise
10 septembre 2017 @ 11:19
Dommage, Cyril-83, le début était sympathique, la fin beaucoup moins !
Et je constate avec amusement que « les petites piques bon marché » ne me sont pas une exclusivité !
Le débat est effectivement clos sur le sujet de l’orthographe, mais voyez-vous, j’ai pour habitude de répondre ou tout au moins d’accuser réception des interventions qui me sont adressées.
Bon dimanche.
cyril-83
11 septembre 2017 @ 18:19
« [Vous avez] pour habitude de répondre ou tout au moins d’accuser réception des interventions qui [vous] sont adressées », soit, surtout lorsqu’une intervention vous déplaît. Je vous ai donc blessée (!) par la violence de mon propos et croyez bien que je le regrette. Cela dit, je vous laisse le dernier mot et la dernière intervention, puisque vous semblez y tenir.
Ghislaine-Perrynn
6 septembre 2017 @ 08:45
Je vous apporte mon soutien , nous sommes souvent , nous, bretons, brocardés à cause de certaines de nos particularités mais ici et sur le sujet N° 2 , il y a matière à marquer sa surprise !
Personne n’est apte dans l’équipe à vérifier les textes imprimés ?
Nous sommes pourtant la région où les agrégés sont les plus nombreux de France .
Plus qu’une désinvolture , c’est un manque élémentaire de correction
cyril-83
5 septembre 2017 @ 05:55
Et moi aussi je fais des fautes, évidemment : ces républiques qui gouvernENT ! :D
MMDehove
5 septembre 2017 @ 13:28
S’il y avait autant de balayeurs que de correcteurs, les rues de nos villes seraient plus propres ! ??
… mais, merci quand même pour notre belle langue !
cyril-83
6 septembre 2017 @ 05:47
Mais je balaye aussi, MMDehove, je balaye aussi ! :)
Robespierre
6 septembre 2017 @ 14:59
Moi, devant un « e » muet, monsieur l’instituteur, je préfère un « i » au lieu d’un « y ». Mais chacun fait comme il l’entend. Je balaie et nous balayons.
cyril-83
6 septembre 2017 @ 15:47
Les deux sont corrects, Robespierre.
En revanche, le « moi, je » n’est pas du meilleur effet. :D
Et au passage, je ne suis pas instituteur…
Robespierre
8 septembre 2017 @ 11:33
oui, les deux sont correctes, mais je prefère un « i » devant un « e » muet.
cyril-83
9 septembre 2017 @ 11:25
Chacun emploie la forme qu’il veut, puisque les deux sont correctes.
Chacun peut aussi choisir de ne pas vérifier si ce qu’il écrit est correct ou non.
Pierre21
5 septembre 2017 @ 07:33
Il s’agissait donc d’une visite en tant que représentant officiel du Monténégro. Je me demande si le president de la République du Monténégro n’aurait pas idée de restaurer la monarchie après la fin de son mandat… en tout cas ça y ressemble!
Claudine Claire
5 septembre 2017 @ 08:06
Mais comme il est beau ce reportage et très intéressant, j’ignorais tout cela.
Je ferais des recherches.
Des photos réussies et lumineuses, des personnes épanouies, un vrai bonheur
ces retrouvailles. Merci
Actarus
5 septembre 2017 @ 08:25
Encore merci de m’avoir invité, même si je n’ai pu répondre présent, devant m’occuper de ma mère sur le point d’être opérée.
Gérard
5 septembre 2017 @ 15:25
Prompt rétablissement à votre Mère.
Robespierre
5 septembre 2017 @ 21:59
J’espère que cette operation se passera bien et que votre mère se rétablira vite.
Actarus
6 septembre 2017 @ 18:15
Merci messieurs.
Finalement l’intervention est reportée sine die car l’anesthésie générale pourrait entraîner des complications contre lesquelles le corps médical veut se prémunir.
clement
5 septembre 2017 @ 08:46
Fiancée ? n’avait-il pas une femme et des enfants ?
Régine
5 septembre 2017 @ 11:11
Le prince est veuf
Lars de Winter
5 septembre 2017 @ 09:30
Beau reportage.
Jérôme
5 septembre 2017 @ 09:47
Pardon, petite erreur dans l’orthographe du prénom de la fiancée du prince. C’est Nalini et non Nalimi.
Gérard
5 septembre 2017 @ 11:19
Est-elle une psychanalyste spécialiste de Lacan ?
MMDehove
5 septembre 2017 @ 09:54
Le Monténégro est un petit pays qui a beaucoup souffert durant toute son histoire. Quelle est la nationalité (ou double-nationalité ?) du Prince ? La reconnaissance de son statut d’héritier a dû être une grande joie pour lui, mais il reste attaché à son village natal et ses « origines » bretonnes et c’est bien.
Gérard
5 septembre 2017 @ 11:25
Il a expliqué qu’il venait souvent à Lannion sur le tombeau de sa mère mais qu’il ne s’était jamais rendu dans son village natal où il n’est pas resté bien longtemps et dont il n’avait aucun souvenir. Il a pu visiter sa maison natale mais on ne sait pas dans quelle pièce il est né.
Ghislaine-Perrynn
5 septembre 2017 @ 16:03
Il le peut sans déroger car sa famille maternelle est de facto tout aussi « noble » de fait que sa famille paternelle de jure .
Philippe Gain d'Enquin
5 septembre 2017 @ 10:02
Bien belle jeune femme que la « Reine de Cornouaille » !
Ghislaine-Perrynn
5 septembre 2017 @ 16:04
Merci pour votre appréciation PGE , être « Reine de Cornouaille » requiert des qualités physique et intellectuelle .
MIKA
5 septembre 2017 @ 19:38
Philippe Gain d’Enquin, beaucoup de gens ne connaissent pas la Cornouaille
(Pays de Quimper), magnifique région à visiter absolument !
et la confonde avec les Cornouailles anglaises !
Philippe Gain d'Enquin
6 septembre 2017 @ 17:21
Que j’ai visitée et appréciée, vous l’aurez compris…
Gérard
5 septembre 2017 @ 10:22
Eh bien nous ne savions pas que le prince qui est veuf depuis longtemps était fiancé. Heureux pour lui.
Ludovina
5 septembre 2017 @ 10:37
J’ai toujours trouvé ce prince très sympathique et empathique.
HRC
5 septembre 2017 @ 11:19
moi aussi.
framboiz07
5 septembre 2017 @ 19:56
Oui, Ludovina , et simple , mais dévoué à ce pays .
Je suppose que la reine locale est en noir et blanc ,la fiancée en noir et rouge …
Personnellement , si séduite et touchée par le thème, le texte, les photos, je n’ai pas vu les fautes et Dieu sait, si j’en ai corrigées dans ma vie de prof …
Très beau reportage : nostalgie , respect au prince, qui respecte les Bretons et son passé ,beaucoup de simplicité et de cœur parmi tous ces participants , c’est très émouvant : Merci à Régine et à Hyacinthe .
Robespierre
5 septembre 2017 @ 22:30
Et moi aussi.
JAY
5 septembre 2017 @ 10:37
Sympa ce prince et quelle belle proximité et simplicité dans sa démarche.
Sa amie est elle du Monténégro ?
Charles
5 septembre 2017 @ 10:55
Merci à Hyacinthe et Regine pour ce sujet interessant.
C’est pour ce type de reportage inedit et exclusif que j’apprécie tant Noblesse et Royautés.
DEB
5 septembre 2017 @ 11:32
Je partage votre avis Charles.
Un récit partagé par un des invités est toujours plus sympathique que celui d’un journaliste, pas toujours concerné par le sujet.
Patricio
6 septembre 2017 @ 03:53
Bien d’accord avec vous Charles
Amitié
Patricio
beji
5 septembre 2017 @ 12:54
Ce prince m’a toujours été sympathique.
beji
5 septembre 2017 @ 12:57
De quelle nationalité est la compagne du prince?
Ellen
5 septembre 2017 @ 13:06
Etonnant comme la fiancé du prince ressemble à sa défunte épouse. Quelqu’un sait de quelle nationalité elleest ?
maman monique
5 septembre 2017 @ 14:13
Merci pour ce beau et intéressant reportage,
ciboulette
5 septembre 2017 @ 17:18
Le prince a l’air sympathique et très ému par cette fête qui lui a été réservée . Et , ce qui ne gâte rien , toutes les dames sont belles : la fiancée et la Reine de Cornouaille ! La religieuse aussi était très heureuse de retrouver le prince , un peu grandi , il est vrai !
olivier kell
5 septembre 2017 @ 17:25
curieux parcours que celui de cette famille
avel
5 septembre 2017 @ 17:28
Merci pour ce reportage très intéressant.
Très émouvant l’accolade du prince et de la religieuse.
Il y avait un article l’autre jour dans « Le Télégramme » avec une photo de la visite du prince à Lannion, recueilli devant la sépulture de sa mère. Habitant tout près je me rendrai au cimetière du Forlac’h à la recherche de cette tombe. .
AnneLise
5 septembre 2017 @ 19:29
Magnifique reportage, dont ce n’est que la première partie, si j’ai bien compris.
Témoignage que les frontières ne sont que ce qu’elles sont : une ligne sur une carte de géographie et que nous sommes tous sur la même planète.
J’en profite, car jusqu’à présent et à ce que j’en ai lu, il n’y a pas ou peu de voix discordantes, un peu pour l’orthographe…
J’en profite donc pour espérer que tous nous prendrons la peine de lire attentivement les commentaires, ne pas nous arrêter au pseudo qui parfois semble poser problème à certains alors que en regardant bien il n’y a pas grand chose qui nous sépare.
Que nous essaierons de répondre quand une question nous est posée et que nous aurons à coeur d’en accuser réception.
Que nous laisserons notre ego de côté, que nous ne détenons la vérité, sur quelque sujet que ce soit, ni vous, ni nous, ni moi et que l’intérêt de ce site est justement de permettre de découvrir des avis différents qui sans nous faire dévier du nôtre peut nous faire réfléchir.
Que nous cesserons de nous agresser pour des choses finalement bien futiles, et accepterons d’accepter les avis divergents, en gardant nos propres convictions mais dans la simple convivialité qui est la richesse de ce site.
Que plutôt que de faire sans cesse référence à Wikipedia qui parfois est inducteur d’erreurs, nous ferons part de nos connaissances, de nos questions quitte à effectivement renvoyer à tel ou tel ouvrage ou à demander un supplément d’informations à un ami spécialiste.
Il n’est pas question de devenir des « beni oui oui » mais affirmer nos idées ne signifie pas mépriser celles des autres.
« I’ have a dream » !
C’est tout.
Bonne soirée.
JAusten
5 septembre 2017 @ 19:55
je ne voudrais pas être celle qui ne comprend rien, mais qui des deux femmes, celle en rouge et celle que l’on voit sur toutes les photos, est la fiancée du prince ?
zoemarie
6 septembre 2017 @ 09:25
Ce prince a fait connaissance avec une reine: Marion Burlot élue le 23 juillet 2017 pour représenter la Cornouaille bretonne pendant un an! reine éphémère donc..
Pas sûr que les danses bretonnes soient dansées au son des clarinettes uniquement! renseignements à prendre!!!!!
Alinéas
6 septembre 2017 @ 10:08
Charmantes photos de ce prince très empathique.!
Robespierre
6 septembre 2017 @ 10:30
Un lecteur du Golfe aurait pu penser que ce prince sympathique avait deux fiancées. J’ai hésité entre deux femmes et n’ai pas compris tout de suite que l’heureuse élue était la dame en rouge. Très avenante, au demeurant.
Vitabel
6 septembre 2017 @ 14:43
Merci Hyacinthe pour ce reportage, je ne savait pas que la terre natale du Prince du Monténégro était la Bretagne.
Ps : cyril-83 je trouve vos corrections quelque peu déplacées même si elles sont justifiées.
cyril-83
6 septembre 2017 @ 15:49
Vitabel, j’aurais dû penser à écrire à Régine en privé, effectivement.
Ghislaine-Perrynn
6 septembre 2017 @ 15:38
La Cornouaille n’est pas la région de Quimper même si cette ville est en quelque sorte la capitale . La cornouaille s’étend du département du Finistère , se prolongeant jusqu’au
sud-ouest des Côtes d’Armor et englobant cette avancée morbihannaise qu’est le pays du Roy Morvan (Guiscriff-56 – Scaër et le Faouët (29) voulue par Napoléon 1er.