En 2018 pour ses 70 ans, le prince de Galles avait sélectionné parmi les riches collections de la Royal Collection Trust des pièces historiques qui lui tenaient à coeur dans le cadre d’une exposition. Cliquez ici pour revoir plus en détails ces objets et faire une visite virtuelle de la salle.
Nuage Pâle
1 mai 2020 @ 06:40
Hétéroclite ! Entre Musée Camodo et salle de vente de l’Armée du Salut.
Antoine
1 mai 2020 @ 09:19
Le musée Camondo est au contraire très homogène. Des poignées de porte aux décrottoirs à chaussures rien qui ne soit du plus pur XVIIIe.
Ghislaine-Perrynn
1 mai 2020 @ 15:08
je suis de votre avis c’est même une référence dans le genre .
Robespierre
1 mai 2020 @ 15:41
Vous avez raison, il est tellement homogène qu’il distille un peu d’ennui. Tout est trop parfait, léché, mais c’est un musée super intéressant que je conseille pour mieux s’insérer dans le XVIIIe S
Nuage Pâle
1 mai 2020 @ 17:33
Je dis simplement que certaines pièces sont dignes du Musée et d’autres d’une brocante . Vous êtes prompts à la détente ,heureusement sans fusil :-)) o
Nivolet
1 mai 2020 @ 14:31
Musée Camando, l’avez vous seulement visité, comment peut-on écrire de telles âneries ? 😱
Gérard
1 mai 2020 @ 19:35
Nissim de Camondo précisément. C’est le nom du fils de Moïse de Camondo qui a tenu à appeler ainsi son musée en mémoire de son fils aviateur mort pour la France pendant la Première Guerre mondiale.
Pierre-Yves
2 mai 2020 @ 09:56
Et vous, comment pouvez-vous voler comme ça dans les plumes des gens qui formulent une simple impression ?
Francois
1 mai 2020 @ 07:59
Un effet de Bazar
Le mélange de pieces superbes et du reste est discutable .
Antoine
1 mai 2020 @ 09:26
Le prince a sélectionné « ce qui lui tient à coeur ». N’est-ce pas la même chose dans nos intérieurs où se cotoyent meubles de famille, souvenirs de voyages, meubles plus contemporains, etc… C’est ce qui en fait le charme. Je conserve des meubles ou des objets pas toujours très beaux mais qui sont chargés d’une charge émotionnelle telle que je les sauverais en premier en cas de sinistre.
Robespierre
1 mai 2020 @ 15:43
C’est justement ce qui manque au musée de Camondo, la touche personnelle. Evidemment c’est un musée, mais à l’origine c’était pensé pour une résidence, celle du fils de Camondo tué à la Première guerre mondiale.
berton
1 mai 2020 @ 08:35
Un peu fourre-tout mais de belles pièces .
Jean Pierre
1 mai 2020 @ 09:16
Un cabinet de curiosités.
marianne
1 mai 2020 @ 09:28
Quelques très beaux portraits !
Severina
1 mai 2020 @ 09:47
Des choix entre goût esthétique et cœur: un portait intime du prince de Galles
Robespierre
1 mai 2020 @ 11:14
Oh le veinard, quand on pense qu’il n’a qu’à faire son choix.
nini
1 mai 2020 @ 12:41
Ce mélange m’intéresse pourtant : pour découvrir ce que la sensibilité de Charles a sélectionné. Déjà à ce titre des étonnements me seront offerts, probablement, et bousculeront mes à-priori sur lui. Tant mieux.
Et puis comme au Louvre, j’ai vite fait de sélectionner un ou deux objets ou tableaux, pas plus, qui me questionnent et les contempler durant plus d’une heure parfois (avec un siège c’est mieux).
Mon luxe à moi, qui n’en revient pas d’avoir le droit d’être devant de pareils originaux.
Alinéas
1 mai 2020 @ 13:20
Une salle avec quand-même de belles pièces !
Danielle
1 mai 2020 @ 13:23
J’approuve le prince de s’être procuré ce plaisir.
Iankal21
1 mai 2020 @ 19:59
Magnifiques portraits des femmes Yezidi.
Caroline43
1 mai 2020 @ 13:31
Très intéressant ! Merci
Cosmo
1 mai 2020 @ 16:45
Dans un autre ordre d’idée, mais lié, au patrimoine voici une information intéressante.
Hervé Lemoine, directeur du Mobilier National, a décidé de mettre en vente un certain nombre de meubles et objets, actuellement entreposés, sans aucune destination particulière ni grande valeur historique. Les fonds doivent servir à aider les hôpitaux dans la crise sanitaire que nous traversons.
« On ne sait pas encore avec précision ce qui sera mis à l’encan. Une commission composée de conservateurs maison est en train d’arrêter une liste d’une centaine d’objets, principalement des meubles Louis-Philippe et XIXe siècle. «Nous choisirons du mobilier qui n’a ni valeur patrimoniale, ni valeur d’usage», explique Hervé Lemoine, directeur du Mobilier. La liste sera établie à l’unanimité des conservateurs, afin d’éviter le procès en «dilapidation des bijoux de famille». Les collections publiques sont réputées inaliénables – sauf en cas de déclassement- et le Mobilier national ne tient pas à apparaître comme celui qui braderait un héritage. Même pour la bonne cause. »
https://www.lefigaro.fr/culture/le-mobilier-national-cede-certains-de-ses-tresors-pour-soutenir-les-hopitaux-20200430
Robespierre
2 mai 2020 @ 11:52
Cette info est très intéressante, surtout pour ceux qui ont acheté une plus grande demeure et doivent la meubler. Je pense que les prix seront raisonnables. Moi je n’ai besoin de rien, sinon je serais allé faire un tour à cette ente.
ciboulette
1 mai 2020 @ 20:50
Ensemble très intéressant .
Corsica
2 mai 2020 @ 05:12
Comme JeanPierre, cette exposition m’a fait penser aux cabinets de curiosité où les genres se mélangeaient et étaient une porte ouverte sur des « merveilles » mais aussi, indirectement, sur la personnalité du propriétaire. Ici, on ne peut que constater que le prince Charles n’est pas mono maniaque et que ses champs d’intérêt sont très variés. J’aime le clin d’œil aux Medicis qui, comme on peut le voir sur le tableau de Zoffany ( La Tribune des Offices) , exposaient leurs pièces préférées à certains privilégiés, notamment les Anglais faisant leur Grand Tour. Merci pour cet article.
LOTTIE
2 mai 2020 @ 12:15
Parmi beaucoup d’autres « objets » qui semblent au premier abord assez « hétéroclites », le prince Charles a choisi un grand tableau de Johan Zoffany qui regroupe d’autres tableaux de la galerie des Offices. Le grand tableau central a tout de suite attiré mon regard : la Vénus d’Urbin du Titien ressemble beaucoup à l’Olympia de Manet : même posture de la femme, petit bouquet devenu grand, chat au lieu d’un chien, femme à l’arrière-plan devenue noire et placée juste derrière le lit. Les connaisseurs d’art de ce site trouveront peut-être ma « découverte » un peu naïve, signe d’une inculture crasse… Peu importe ! Merci beaucoup pour ce post qui m’a enrichie et m’a permis de trouver sur internet de nombreuses informations sur ces deux tableaux. Certains d’entre vous trouvent que ces choix du prince Charles sont faits de bric et de broc : d’abord, nous n’avons pas à les juger puisqu’il s’agit de choix personnels. Ensuite, cette exposition peut permettre à chacun de nous, si nous prenons notre temps d’y trouver des perles qui nous parlent, comme ce burnous de Napoléon 1ier, les portraits de Femmes Yezidi, le Bouddha ou l’icône de Notre Dame de la Tendresse. N’importe comment, quand on visite une exposition, on ne peut pas consacrer le même temps à chaque objet : on ne s’arrête que devant ce qui nous interpelle…