Le prince Léka et la princesse Elia célèbrent leur premier Noël en tant que mari et femme. Ils ont choisi cette photo avec leurs deux chiens pour illustrer leurs vœux. (merci à Anne)
NICOLE
oui un joyeux NOEL à ce couple
que la vie leurs apportent joies et bonheur , car le prince LEKA à eu aussi beaucoup de chagrin d’avoir perdu ses parents . je leurs souhaitent que du bonheur et un bébé
peut-être pour l’année 2017.
Une très belle photo. Choix des couleurs, de la nature, de la pose naturelle …
Un jeune couple sympathique.
Je profite de ce commentaire , pour souhaiter a toutes et a tous les intervenants de belles Fêtes de Noël et une bonne fin d’année. J’écris maintenant très rarement, connaissant de graves soucis de santé, mais j’aime venir musarder dans tous vos écris , vos réactions et je m’évade ainsi de mes problèmes. Régine est sans contestations possibles la Souveraine des blogs » Royaux « et je tiens a lui adresser mes remerciements, parfois aussi;mes excuses lorsque un de mes rares commentaires tombe a la trappe…et je reconnais qu’elle a raison. La passion fait parfois écrire des bétises…je ne suis pas du signe du Bélier pour rien, J’adresse aussi mon amical bonjour a certains internautes avec qui nous échangeons depuis longtemps..ils se reconnaitront… merci a tous, Joyeux Noel, long serait l’hiver;….sans vous tous . MARC
Merci pour nous souhaiter de bonnes fêtes. Que l’an nouveau vous apporte du réconfort et un allègement dans vos problèmes de santé. La lecture de ce magnifique site égaie chacune de nos journées et d’avoir vue Régine dans « place Royale », je sais que tous les articles sont de grandes qualités car personne cultivée et raffinée.
Joyeux Noël à tous.
Un salut amical d’un(e) autre « bélier », que vos graves soucis de santé s’estompent le plus rapidement et durablement possible et ne soient plus qu’un épisode passé de votre vie .
Marc, quel plaisir de vous lire…c’est si agréable !
Je partage votre écrit , vous dites tout si bien …oui , ce site , excellent, comme vous le dites, est un petit coin de légèreté pour oublier nos soucis…nos maux de toutes sortes et malgré les fois où nos paroles dépassent nos pensées…-je suis Taureau ?-…il faut savoir s’apaiser…oublier…reprendre le ton du respect !
Vous nous-me manquez, très cher Marc…
Je vous envoie mes pensées les plus encourageantes, les plus fortes et surtout les plus affectueusement amicales!
Marc, j’espère que 2017 vous verra plus souvent laisser un message sur ce magnifique site ! Courage, je vous souhaite de tout cœur une amélioration de votre état de santé.
Sans tomber dans l’éternel « toujours pas d’enfant « Actarus, c’est la première impression que j’ai eu en voyant cette photo…Charmant couple, beaux chiens mais j’aurais préféré les voir couchés devant eux…un chien doit rester à sa place de chien !
Joyeux Noël !
Un beau couple avec ses chiens ! pourquoi un enfant remplacerait les chiens ? au contraire, je vois bien un petit héritier entouré par ces deux bons gros toutous !
Je profite de cette ambiance heureuse pour souhaiter de bonnes fêtes à l’équipe de Noblesse et Royauté ainsi qu’à tous les amis du site ; une pensée particulière à Marc et une meilleure santé !
L’épouse est chrétienne et ses concitoyens sont de toutes les confessions historiques à l’Europe « moderne » : juive (peu), chrétienne (orthodoxe et romaine) et musulmane .
Le prince connaît parfaitement la religion chrétienne dont lui ont beaucoup parlé sa mère et sa grand-mère. Et en Albanie les religions sont assez ouvertes sans quoi le pays serait invivable.
Certains Musulmans assez progressistes, et parmi les sunnites, acceptent de fêter Noël mais la plupart condamnent ou au moins rejettent pour eux-mêmes cette pratique pour son côté commercial, en ce qu’elle est également d’origine étrangère à l’Islam et en ce que les Musulmans pieux ne fêtent pas leurs propres anniversaires ni celui du Prophète ni celui d’Issa (Jésus), et ils observent que l’on ne connaît pas avec précision la date de naissance de Jésus qui est né sans doute au printemps ou en été tandis que la fixation tardive de la fête de Noël en décembre vient d’une pratique païenne antérieure au Christianisme.
» tandis que la fixation tardive de la fête de Noël en décembre vient d’une pratique païenne antérieure au Christianisme. »
Pas sur du tout :-)
« Noël, fête païenne ?
Un regard sur les premiers siècles de l’Eglise permet de corriger l’idée communément admise selon laquelle l’empereur Constantin aurait adapté le christianisme à la fête romaine du solstice d’hiver. Au travers de ce parcours historique, nous voici interpellés sur notre témoignage chrétien.
Le très commercial père Noël ou la coutume provençale des treize desserts ont l’art d’exaspérer certains chrétiens. Finalement, se disent-ils, Noël n’est qu’une fête païenne que l’Eglise a essayé de christianiser, et ceux qui désirent suivre l’Evangile dans sa pureté ne devraient pas prendre part à ces festivités ambiguës et compromettantes. Ainsi, en réaction à la débauche des illuminations de nos rues et à la frénésie de la consommation, certains croyants ont de la peine à s’associer aux fêtes de Noël organisées par leur communauté, et certaines Eglises vont même jusqu’à supprimer toute référence, y compris à la Nativité, pour aller à contre-courant du monde.
Cette période de fin d’année pose effectivement la question de la collusion entre la foi chrétienne et la mentalité païenne. Cependant, ce que certains ont longtemps considéré comme du syncrétisme s’avère être, au cours de l’histoire, bien plus conflictuel que ce que l’on pense généralement.
L’idée communément admise, c’est que Constantin, empereur de 306 à 337, ancien adorateur du soleil, pour imposer la foi nouvelle aux masses, aurait adapté au christianisme devenu officiel la fête romaine du solstice d’hiver. Or cette célébration païenne était relativement récente. Elle avait été instaurée une quarantaine d’années auparavant par l’empereur Aurélien vraisemblablement pour commémorer la dédicace du temple au soleil sur le champ de Mars, à Rome, en 274. Celui-ci l’avait appelée la fête de la naissance du soleil invaincu, et il l’avait fixée à la date du 25 décembre. Le but de l’empereur était de fonder sur de nouvelles bases le culte solaire romain tombé en désuétude et influencé par les cultes solaires orientaux, notamment le culte de Mithra.
Deux symbolismes solaires
Mais pourquoi ce culte autochtone du soleil avait-il sombré dans l’oubli ? C’est sans doute parce que, non seulement à Rome, mais aussi dans tout l’empire se répandait un autre culte, venu, comme le culte de Mithra, lui aussi d’orient : la foi chrétienne. Or Augustin, le célèbre père de l’Eglise, donne des indices qui laissent croire que la fête de la nativité du Seigneur Jésus a été célébrée le 25 décembre avant le schisme donatiste (qui eut lieu en 311), c’est-à-dire avant la conversion de l’empereur Constantin (312), à une époque où l’Eglise, allant affronter la terrible persécution de Dioclétien (303), était encore dans la clandestinité. Ainsi, ce ne peuvent donc être que des motivations internes qui ont poussés les chrétiens à célébrer la naissance de leur Sauveur le 25 décembre, et ce, en fait, grâce à des calculs cherchant à établir certaines dates historiques précises de la vie du Christ. En réalité, l’impulsion qui aurait pu guider certains vers la date du 25 décembre pour la naissance de Jésus provient des travaux exposés dans un ouvrage daté de 234 et attribué à l’évêque Cyprien de Carthage. Du coup, il est probable que la célébration de la nativité du Christ le 25 décembre soit antérieure, du moins dans certaines parties de l’empire, à l’instauration de la fête du Natalis solis invicti établie par l’empereur Aurélien.
Ce qui est en tout cas indubitable, c’est que l’ouvrage de 234 cite le texte de Malachie 3.20 » Pour vous qui craignez mon nom, le soleil de justice se lèvera, portant la guérison dans ses rayons » en référence à la naissance de Jésus. De ce fait, le symbolisme solaire chrétien est indépendant et antérieur au symbolisme solaire païen du culte de l’empereur Aurélien. Et il est fort probable que l’empereur, en rétablissant le culte solaire romain, ait voulu créer un monothéisme syncrétique capable d’embrasser tous les cultes de l’empire, et notamment de fournir une alternative aux succès grandissants des missions chrétiennes.
Une preuve a posteriori, c’est que les sermons de Noël que l’Antiquité chrétienne nous a transmis, loin de cautionner un quelconque amalgame avec les pratiques païennes, ne cessent au contraire de les dénoncer. Léon, évêque de Rome de 440 à 462, dans son septième sermon de Noël, invective ceux qui, ce jour-là, se retournent vers le soleil levant après avoir gravi les marches de la basilique et s’inclinent en l’honneur du soleil. » Que cette pratique vienne de l’ignorance, ou qu’elle soit inspirée par le paganisme, nous la déplorons et nous en souffrons vivement ; sans doute quelques-uns peuvent adorer ainsi le Créateur de cette belle lumière plutôt que l’astre lui-même, qui est une créature ; mais il ne faut pas moins s’abstenir de l’apparence même d’un tel culte. En effet, si un homme qui a renoncé à la religion des dieux rencontre cette pratique chez nous, ne sera-t-il pas tenté de regarder comme probable ce point de son ancienne croyance qu’il trouvera commun aux chrétiens et aux impies ? »
Pas d’assimilation
Ainsi, ce ne serait pas l’Eglise qui aurait tenté de christianiser un culte païen, mais ce serait l’empire romain encore païen, et se sentant menacé, qui aurait essayé de paganiser une fête des chrétiens. Et si Noël se paganise aujourd’hui par le commerce, c’est sans doute que Mammon, le dieu de l’argent et l’idole de notre temps, désire occuper le terrain qui revient en fait au seul vrai Dieu.
Cette même opposition entre foi chrétienne et paganisme se retrouve dans le quatrième canon du concile de Saragosse en 380, qui insiste pour que les fidèles soient présents à l’église pendant une période de vingt et un jours continus commençants le 17 décembre et allant jusqu’à l’Epiphanie (6 janvier). En effet, le 17 décembre débutaient les Saturnales, fêtes païennes marquant la fin de l’année, temps de débauche et d’oisiveté dont les pères de Saragosse semblaient avoir craint que les fidèles en fassent un mauvais usage.
Ce dernier exemple nous montre que non seulement le paganisme a réagi par rapport à la foi chrétienne, mais aussi que la foi chrétienne a réagi par rapport au paganisme. Toutefois, cette réaction ne s’est pas faite par assimilation d’éléments païens, mais par une organisation différente du vécu festif et cultuel.
Ainsi, pour reprendre la thématique solaire, les chrétiens n’ignorent pas la signification astronomique du solstice d’hiver, et ne sont pas insensibles aux changements qu’il produit dans l’ordre naturel, mais ils subordonnent cet aspect de la réalité à l’acte de salut opéré par le Christ en naissant de la Vierge Marie. Ce qui consacre la solennité du 25 décembre, dit encore Léon dans un de ses sermons, ce n’est pas tant la naissance du soleil nouveau que la nativité du Christ. Cependant, il reconnaît qu’ » aucun jour ne nous la rappelle plus que celui-ci, alors que la lumière nouvelle apparaît jusque dans les éléments. »
Les démêlés de Noël avec le paganisme d’hier et d’aujourd’hui nous montrent que la conformité à l’Evangile ne consiste pas pour l’Eglise à fuir le monde pour éviter d’être contaminée par lui, mais qu’au contraire le chrétien est appelé à témoigner d’une vision du monde où chaque chose est à sa juste place et où Dieu reçoit l’honneur qui lui est dû. C’est une attitude exigeante, car elle nous oblige à être en tension permanente entre deux compréhensions radicalement différentes de pratiques parfois au premier abord semblables : fêtons Noël, non pas comme les médias et la société de consommation nous y invitent, mais comme le croyant se doit d’honorer la naissance de son Seigneur, en conformité avec la Parole de Dieu.
agnes
23 décembre 2016 @ 09:04
Ce sont les chiens du 1er rang qui nous présentent leurs voeux.
le chien de droite est très content..
Muscate-Valeska de Lisabé
23 décembre 2016 @ 17:57
C’est faciès de toutous-à-bajoues ont toujours l’air triste…Je leur préfère infiniment mes museaux pointus.
adriana
23 décembre 2016 @ 09:11
jolie carte de voeux pour ce couple bien sympathique. bon vendredi
Lars de Winter
23 décembre 2016 @ 09:55
un couple tres charmant! mes voeux fervents a tous pour joyeux noel!
Nicole
23 décembre 2016 @ 09:55
Joyeux Noël à ce nouveau couple sympathique
maria
23 décembre 2016 @ 19:12
NICOLE
oui un joyeux NOEL à ce couple
que la vie leurs apportent joies et bonheur , car le prince LEKA à eu aussi beaucoup de chagrin d’avoir perdu ses parents . je leurs souhaitent que du bonheur et un bébé
peut-être pour l’année 2017.
Kayleen
23 décembre 2016 @ 10:29
Couple très sympathique
Marc
23 décembre 2016 @ 11:33
Une très belle photo. Choix des couleurs, de la nature, de la pose naturelle …
Un jeune couple sympathique.
Je profite de ce commentaire , pour souhaiter a toutes et a tous les intervenants de belles Fêtes de Noël et une bonne fin d’année. J’écris maintenant très rarement, connaissant de graves soucis de santé, mais j’aime venir musarder dans tous vos écris , vos réactions et je m’évade ainsi de mes problèmes. Régine est sans contestations possibles la Souveraine des blogs » Royaux « et je tiens a lui adresser mes remerciements, parfois aussi;mes excuses lorsque un de mes rares commentaires tombe a la trappe…et je reconnais qu’elle a raison. La passion fait parfois écrire des bétises…je ne suis pas du signe du Bélier pour rien, J’adresse aussi mon amical bonjour a certains internautes avec qui nous échangeons depuis longtemps..ils se reconnaitront… merci a tous, Joyeux Noel, long serait l’hiver;….sans vous tous . MARC
Danielle
23 décembre 2016 @ 14:26
Bonnes fêtes Marc et surtout meilleure santé pour cette nouvelle année.
C’est toujours un agréable moment que de vous lire.
Cordialement.
ciboulette
23 décembre 2016 @ 19:15
Courage , Marc ! Bonnes fêtes à vous aussi .
Albane
23 décembre 2016 @ 15:50
Merci pour vos voeux !
Joyeux Noël, bonne année et reposez-vous bien, Marc !
Albane
Roselila
23 décembre 2016 @ 18:19
Merci pour nous souhaiter de bonnes fêtes. Que l’an nouveau vous apporte du réconfort et un allègement dans vos problèmes de santé. La lecture de ce magnifique site égaie chacune de nos journées et d’avoir vue Régine dans « place Royale », je sais que tous les articles sont de grandes qualités car personne cultivée et raffinée.
Joyeux Noël à tous.
Pafoume
23 décembre 2016 @ 18:46
Un salut amical d’un(e) autre « bélier », que vos graves soucis de santé s’estompent le plus rapidement et durablement possible et ne soient plus qu’un épisode passé de votre vie .
framboiz 07
23 décembre 2016 @ 23:29
Marc, bonne santé à vous , c’est le bien le plus précieux …Amitiés .
marielouise
24 décembre 2016 @ 07:08
Marc, quel plaisir de vous lire…c’est si agréable !
Je partage votre écrit , vous dites tout si bien …oui , ce site , excellent, comme vous le dites, est un petit coin de légèreté pour oublier nos soucis…nos maux de toutes sortes et malgré les fois où nos paroles dépassent nos pensées…-je suis Taureau ?-…il faut savoir s’apaiser…oublier…reprendre le ton du respect !
Vous nous-me manquez, très cher Marc…
Je vous envoie mes pensées les plus encourageantes, les plus fortes et surtout les plus affectueusement amicales!
ml
Muscate-Valeska de Lisabé
24 décembre 2016 @ 16:53
Que la nouvelle année vous apporte de l’apaisement et du mieux en votre épreuve,Marc..
Doux Noël à vous.
Marielouise,Taureau de Mai?
DEB
24 décembre 2016 @ 11:02
Petite pensée vers vous Marc.
Continuez à musarder sur ce site.
Nous sommes tous avec vous et espérons une éclaircie pour votre santé en 2017.
Numérobis.
26 décembre 2016 @ 20:41
Marc, j’espère que 2017 vous verra plus souvent laisser un message sur ce magnifique site ! Courage, je vous souhaite de tout cœur une amélioration de votre état de santé.
Mary
28 décembre 2016 @ 11:47
Meilleure santé à vous Marc !
Continuez à écrire sur le site où nous vous lisons avec plaisir et intérêt .
Que 2017 vous soit favorable !
Actarus
23 décembre 2016 @ 12:01
Espérons que l’an prochain, un prince héritier aura remplacé les chiens. ;-)
marielouise
24 décembre 2016 @ 07:12
Sans tomber dans l’éternel « toujours pas d’enfant « Actarus, c’est la première impression que j’ai eu en voyant cette photo…Charmant couple, beaux chiens mais j’aurais préféré les voir couchés devant eux…un chien doit rester à sa place de chien !
Joyeux Noël !
ml
Naucratis
24 décembre 2016 @ 08:37
Pourquoi n’aurait-il pas une petite Laïka d’Albanie ? ;)
Actarus
24 décembre 2016 @ 10:13
Ne commençons pas. Et d’ailleurs, je connais un garçon qui est prénommé Laïka. ;-)
Muscate-Valeska de Lisabé
24 décembre 2016 @ 16:54
Sinon,il y a aussi ma grande chienne de 35kg,rousse et blanche,imposante bergère Torniak…Qui s’appelle Laïka. ^^
Naucratis
26 décembre 2016 @ 12:10
Je pensais vous faire sourire… raté !
Bonne fin d’année à vous !
Actarus
26 décembre 2016 @ 13:47
Mais je souris tout le temps, regardez ma photo ! ;-)
Un bon reste, comme on dit chez nous…
Actarus
26 décembre 2016 @ 13:51
Cela dit, j’avais bien compris votre actaruse. ;-) Wouf wouf.
Mary
28 décembre 2016 @ 11:43
Hilarant !
:-)))
Robespierre
24 décembre 2016 @ 19:29
Je l’ai pensé, mais n’osais pas le dire (trêve de Noël)
CLAIRE
29 décembre 2016 @ 18:17
Ah bon Actarus, on vire les chiens quand un enfants naît ?
Danielle
23 décembre 2016 @ 14:28
Un couple amoureux des bêtes ; comme c’est agréable de voir de telle photo !
corentine
23 décembre 2016 @ 15:28
très agréable ce jeune couple, je leur souhaite un beau bébé pour 2017
Albane
23 décembre 2016 @ 15:47
Ils sont beaux tous les deux !
Albane
23 décembre 2016 @ 15:51
La princesse dégage un air de gaieté, de spontanéité et de malice.
clement
23 décembre 2016 @ 16:08
Un beau couple avec ses chiens ! pourquoi un enfant remplacerait les chiens ? au contraire, je vois bien un petit héritier entouré par ces deux bons gros toutous !
Je profite de cette ambiance heureuse pour souhaiter de bonnes fêtes à l’équipe de Noblesse et Royauté ainsi qu’à tous les amis du site ; une pensée particulière à Marc et une meilleure santé !
June
23 décembre 2016 @ 17:01
Le chien renne de gauche est très digne ?.
Jeune couple sympathique.
Dominique d'amico
23 décembre 2016 @ 18:15
Couple sympa photo tres agreable
Je ne reconnais pas la race mais j aime les chiens
Denis
24 décembre 2016 @ 01:17
Le prince Léka, musulman , fête donc Noël ? curieux !
Anne-Cécile
24 décembre 2016 @ 10:25
L’épouse est chrétienne et ses concitoyens sont de toutes les confessions historiques à l’Europe « moderne » : juive (peu), chrétienne (orthodoxe et romaine) et musulmane .
Gérard
28 décembre 2016 @ 18:23
Le prince connaît parfaitement la religion chrétienne dont lui ont beaucoup parlé sa mère et sa grand-mère. Et en Albanie les religions sont assez ouvertes sans quoi le pays serait invivable.
Certains Musulmans assez progressistes, et parmi les sunnites, acceptent de fêter Noël mais la plupart condamnent ou au moins rejettent pour eux-mêmes cette pratique pour son côté commercial, en ce qu’elle est également d’origine étrangère à l’Islam et en ce que les Musulmans pieux ne fêtent pas leurs propres anniversaires ni celui du Prophète ni celui d’Issa (Jésus), et ils observent que l’on ne connaît pas avec précision la date de naissance de Jésus qui est né sans doute au printemps ou en été tandis que la fixation tardive de la fête de Noël en décembre vient d’une pratique païenne antérieure au Christianisme.
Marie de Bourgogne
29 décembre 2016 @ 14:46
Issa étant le neveu de Moïse et d’Aaron (sa mère, Myriam, étant leur sœur), il avait environ 1400 ans de plus que Jésus.
Marie de Bourgogne
30 décembre 2016 @ 13:27
@ Gérad
» tandis que la fixation tardive de la fête de Noël en décembre vient d’une pratique païenne antérieure au Christianisme. »
Pas sur du tout :-)
« Noël, fête païenne ?
Un regard sur les premiers siècles de l’Eglise permet de corriger l’idée communément admise selon laquelle l’empereur Constantin aurait adapté le christianisme à la fête romaine du solstice d’hiver. Au travers de ce parcours historique, nous voici interpellés sur notre témoignage chrétien.
Le très commercial père Noël ou la coutume provençale des treize desserts ont l’art d’exaspérer certains chrétiens. Finalement, se disent-ils, Noël n’est qu’une fête païenne que l’Eglise a essayé de christianiser, et ceux qui désirent suivre l’Evangile dans sa pureté ne devraient pas prendre part à ces festivités ambiguës et compromettantes. Ainsi, en réaction à la débauche des illuminations de nos rues et à la frénésie de la consommation, certains croyants ont de la peine à s’associer aux fêtes de Noël organisées par leur communauté, et certaines Eglises vont même jusqu’à supprimer toute référence, y compris à la Nativité, pour aller à contre-courant du monde.
Cette période de fin d’année pose effectivement la question de la collusion entre la foi chrétienne et la mentalité païenne. Cependant, ce que certains ont longtemps considéré comme du syncrétisme s’avère être, au cours de l’histoire, bien plus conflictuel que ce que l’on pense généralement.
L’idée communément admise, c’est que Constantin, empereur de 306 à 337, ancien adorateur du soleil, pour imposer la foi nouvelle aux masses, aurait adapté au christianisme devenu officiel la fête romaine du solstice d’hiver. Or cette célébration païenne était relativement récente. Elle avait été instaurée une quarantaine d’années auparavant par l’empereur Aurélien vraisemblablement pour commémorer la dédicace du temple au soleil sur le champ de Mars, à Rome, en 274. Celui-ci l’avait appelée la fête de la naissance du soleil invaincu, et il l’avait fixée à la date du 25 décembre. Le but de l’empereur était de fonder sur de nouvelles bases le culte solaire romain tombé en désuétude et influencé par les cultes solaires orientaux, notamment le culte de Mithra.
Deux symbolismes solaires
Mais pourquoi ce culte autochtone du soleil avait-il sombré dans l’oubli ? C’est sans doute parce que, non seulement à Rome, mais aussi dans tout l’empire se répandait un autre culte, venu, comme le culte de Mithra, lui aussi d’orient : la foi chrétienne. Or Augustin, le célèbre père de l’Eglise, donne des indices qui laissent croire que la fête de la nativité du Seigneur Jésus a été célébrée le 25 décembre avant le schisme donatiste (qui eut lieu en 311), c’est-à-dire avant la conversion de l’empereur Constantin (312), à une époque où l’Eglise, allant affronter la terrible persécution de Dioclétien (303), était encore dans la clandestinité. Ainsi, ce ne peuvent donc être que des motivations internes qui ont poussés les chrétiens à célébrer la naissance de leur Sauveur le 25 décembre, et ce, en fait, grâce à des calculs cherchant à établir certaines dates historiques précises de la vie du Christ. En réalité, l’impulsion qui aurait pu guider certains vers la date du 25 décembre pour la naissance de Jésus provient des travaux exposés dans un ouvrage daté de 234 et attribué à l’évêque Cyprien de Carthage. Du coup, il est probable que la célébration de la nativité du Christ le 25 décembre soit antérieure, du moins dans certaines parties de l’empire, à l’instauration de la fête du Natalis solis invicti établie par l’empereur Aurélien.
Ce qui est en tout cas indubitable, c’est que l’ouvrage de 234 cite le texte de Malachie 3.20 » Pour vous qui craignez mon nom, le soleil de justice se lèvera, portant la guérison dans ses rayons » en référence à la naissance de Jésus. De ce fait, le symbolisme solaire chrétien est indépendant et antérieur au symbolisme solaire païen du culte de l’empereur Aurélien. Et il est fort probable que l’empereur, en rétablissant le culte solaire romain, ait voulu créer un monothéisme syncrétique capable d’embrasser tous les cultes de l’empire, et notamment de fournir une alternative aux succès grandissants des missions chrétiennes.
Une preuve a posteriori, c’est que les sermons de Noël que l’Antiquité chrétienne nous a transmis, loin de cautionner un quelconque amalgame avec les pratiques païennes, ne cessent au contraire de les dénoncer. Léon, évêque de Rome de 440 à 462, dans son septième sermon de Noël, invective ceux qui, ce jour-là, se retournent vers le soleil levant après avoir gravi les marches de la basilique et s’inclinent en l’honneur du soleil. » Que cette pratique vienne de l’ignorance, ou qu’elle soit inspirée par le paganisme, nous la déplorons et nous en souffrons vivement ; sans doute quelques-uns peuvent adorer ainsi le Créateur de cette belle lumière plutôt que l’astre lui-même, qui est une créature ; mais il ne faut pas moins s’abstenir de l’apparence même d’un tel culte. En effet, si un homme qui a renoncé à la religion des dieux rencontre cette pratique chez nous, ne sera-t-il pas tenté de regarder comme probable ce point de son ancienne croyance qu’il trouvera commun aux chrétiens et aux impies ? »
Pas d’assimilation
Ainsi, ce ne serait pas l’Eglise qui aurait tenté de christianiser un culte païen, mais ce serait l’empire romain encore païen, et se sentant menacé, qui aurait essayé de paganiser une fête des chrétiens. Et si Noël se paganise aujourd’hui par le commerce, c’est sans doute que Mammon, le dieu de l’argent et l’idole de notre temps, désire occuper le terrain qui revient en fait au seul vrai Dieu.
Cette même opposition entre foi chrétienne et paganisme se retrouve dans le quatrième canon du concile de Saragosse en 380, qui insiste pour que les fidèles soient présents à l’église pendant une période de vingt et un jours continus commençants le 17 décembre et allant jusqu’à l’Epiphanie (6 janvier). En effet, le 17 décembre débutaient les Saturnales, fêtes païennes marquant la fin de l’année, temps de débauche et d’oisiveté dont les pères de Saragosse semblaient avoir craint que les fidèles en fassent un mauvais usage.
Ce dernier exemple nous montre que non seulement le paganisme a réagi par rapport à la foi chrétienne, mais aussi que la foi chrétienne a réagi par rapport au paganisme. Toutefois, cette réaction ne s’est pas faite par assimilation d’éléments païens, mais par une organisation différente du vécu festif et cultuel.
Ainsi, pour reprendre la thématique solaire, les chrétiens n’ignorent pas la signification astronomique du solstice d’hiver, et ne sont pas insensibles aux changements qu’il produit dans l’ordre naturel, mais ils subordonnent cet aspect de la réalité à l’acte de salut opéré par le Christ en naissant de la Vierge Marie. Ce qui consacre la solennité du 25 décembre, dit encore Léon dans un de ses sermons, ce n’est pas tant la naissance du soleil nouveau que la nativité du Christ. Cependant, il reconnaît qu’ » aucun jour ne nous la rappelle plus que celui-ci, alors que la lumière nouvelle apparaît jusque dans les éléments. »
Les démêlés de Noël avec le paganisme d’hier et d’aujourd’hui nous montrent que la conformité à l’Evangile ne consiste pas pour l’Eglise à fuir le monde pour éviter d’être contaminée par lui, mais qu’au contraire le chrétien est appelé à témoigner d’une vision du monde où chaque chose est à sa juste place et où Dieu reçoit l’honneur qui lui est dû. C’est une attitude exigeante, car elle nous oblige à être en tension permanente entre deux compréhensions radicalement différentes de pratiques parfois au premier abord semblables : fêtons Noël, non pas comme les médias et la société de consommation nous y invitent, mais comme le croyant se doit d’honorer la naissance de son Seigneur, en conformité avec la Parole de Dieu.
Pierre-Alain JACOT
pasteur à l’ERE d’Anduze »
Marie de Bourgogne
30 décembre 2016 @ 13:29
Oupppsssssssss
Gérard et non Gérad, bien entendu.
Milena K
24 décembre 2016 @ 02:30
C’est beau et naturel.Quel contraste avec la carte d’ un autre couple non -régnant:celui de Roumanie.
framboiz 07
24 décembre 2016 @ 04:40
Qui connaît la race de ces chiens ?
Ce fut leur couple ,les mariés de l’année …
Frédéric
24 décembre 2016 @ 12:48
Un très joli couple que j aime beaucoup et l espoir de leur pays
Ils sont sincères et touchants
Claudine Claire
25 décembre 2016 @ 20:09
Je partage votre point de vue Denis, mais peut être que ce n’est pas leur premier Noël.
J’attends avec impatience l’annonce d’une future naissance.
Valérie La Belle
26 décembre 2016 @ 06:59
C’est quoi comme race?