A La Haye, le roi et la reine des Pays-Bas ont applaudi le concert donné à l’occasion des 110 ans du Residentie orchestra. La Cour a dû démentir les rumeurs de décès du père de la reine Maxima. Jorge Zorreguieta qui souffre d’une leucémie, a pu quitter l’hôpital de Buenos Aires où sa fille lui a rendu visite la semaine dernière. Son état reste stable. (Copyright photos : www.ppe-agency.com)
agnes
23 novembre 2014 @ 09:22
Trop de blush, comme souvent.
Top le haut.
Claudia
23 novembre 2014 @ 09:45
Espérons que le père de la reine Maxima se rétablisse….. Dans un ordre d’idées plus futile, la reine use et abuse du blush, ça lui donne un teint rouge brique, les joues sont orange et leur couleur jure avec celle du rouge à lèvres.
Marie de Cessy
23 novembre 2014 @ 10:04
Elle a un bel ensemble
DEB
23 novembre 2014 @ 10:06
Elle se veut « orange » jusqu’au bout des joues.
Maquillage tel qu’on le faisait il y a une dizaine d’années .
Le bush est posé beaucoup plus discrètement aujourd’hui, selon la technique des deux 3 ( un à gauche vers l’intérieur et idem à droite) et les femmes y ont gagné en beauté naturelle.
Quant au noir, je le croyais, début 2014, englouti sous les couleurs et il revient en force squatter toutes les vitrines.
Ne parlons pas de la rue, qui est triste !
monica
23 novembre 2014 @ 18:33
DEB, que vient faire la rue dans votre commentaire. Quant au noir, c’est l’idéal pour un concert en soirée.
DEB
24 novembre 2014 @ 13:25
Le noir me va très bien donc j’en porte mais ce qui me frappe c’est son omniprésence . Les passants sont presque toujours habillés en noir et les vitrines des magasins semblent dédiées à cette couleur.
Je ne critique pas la tenue de la reine Maxima, qui lui va fort bien et est appropriée pour son activité.
Zeugma
23 novembre 2014 @ 10:23
Tout ce noir, ça change ……
Erato
23 novembre 2014 @ 13:13
Malgré un total look noir, la reine reste naturellement lumineuse.
De manière générale malgré l’élégance du noir on semble oublier que le bleu peut, avec classe, avantager la ligne sans coté « sombre ».
flabemont8
26 novembre 2014 @ 22:05
Zeugma , une petite obsession ? Après les cous , le noir ? Vous êtes un vampire africain, alors ? :-))
athenais
23 novembre 2014 @ 12:11
ah ben voilà une tenue soft ! quand on veut, on peut !
effectivement, il faudrait que le maquillage soit plus léger.
Danielle
23 novembre 2014 @ 13:13
La petite veste en velours est jolie mais le blush devient catastrophique chez Maxima, sa maquilleuse a t elle des problèmes de vue ?
Yannick
23 novembre 2014 @ 18:59
Je veux bien croire qu’ils sont souriants et c’est tant mieux, mais la première photo ne les montre vraiment pas à leur avantage.
Le roi fait « benêt ».
Lorraine G. F.
23 novembre 2014 @ 19:55
En effet, son blush aurait dû s’apparenter à la couleur de son rouge à lèvres.
Pour ce qui est de son blush trop accentué, il ne fut pas oublier que le reine Maxima, tout comme c’est le cas pour les artistes de la scène et pour toutes ces autres dames de la noblesse qui sont constamment sous le flash des paparazzi(s), qu’elles se doivent d’accentuer, en certaines circonstances, leurs maquillages pour ne pas paraître anémiques et pour être vues et appréciées de loin par leurs fans en bordure de rues qui, parfois, ont fait le siège pour les entrevoir pendant de très longues heures.
Pour ce qui est du noir, qu’à cela ne tienne pour les personnes qui en ont marre, le noir aura toujours sa place en matière de mode. Il fait grand chic en toutes occasions et sied presque à toutes les dames.
Lorraine G. F.
23 novembre 2014 @ 19:56
lire: faut – la reine – merci.
Francine du Canada
23 novembre 2014 @ 23:59
Heureuse d’apprendre que l’état de son père est stable; ceci dit, je crois que Maxima demeure très inquiète. Elle essaie de rester positive et de donner le change mais… je la crois très affectée par la maladie de son père. W.A. la soutient comme il l’a toujours fait; ces deux là forment une bonne équipe. FdC
Pierre-Yves
24 novembre 2014 @ 11:04
Puisque le sujet est un concert, je note, et ne m’en réjouis pas, que le prestigieux orchestre du Concertgerbouw d’Amsterdam est actuellement en difficulté, sous l’effet de coupes budgétaires drastiques.
Ailleurs, c’est pire: L’orchestre de chambre de Copenhague a été dissous, ainsi que celui de l’opéra de Rome (sans même parler de l’orchestre de la radio d’Athènes). En Allemagne, on fusionne des orchestres pour faire des économies.
Cela prouve, hélas, que les difficultés ne sont pas l’apanage exclusif de la France.
Et pour ceux qui, comme moi, croient fermement que c’est justement en période de crise que redouble le besoin de culture, celui d’aller à la rencontre du beau quand tant de choses vont mal, tout cela est assez difficile à avaler.
flabemont8
24 novembre 2014 @ 12:13
Je suis de votre avis , on a l’impression que tout ce qui fait de l’argent est favorisé au détriment du reste, pourtant tellement plus important pour l’esprit !
Yannick
24 novembre 2014 @ 23:35
Vous oubliez que tous ces orchestres sont financés par les impôts.
On devrait s’en inspirer en France, avec nos ogres France Télévisions et Radio France.
Corsica
25 novembre 2014 @ 06:51
Pierre-Yves, même aux États Unis, où pourtant le mécénat joue un grand rôle, le Met éprouve des difficultés . J’ai lu récemment que le déficit de 22 millions de $ de 2013, a été multiplié par huit cette année . Cette vénérable institution a du mal à remplir sa salle qui est immense et à renouveler un public plutôt vieillissant . En mai, après avoir menacé de se mettre en grève, les musiciens ont fait des concessions et l’administration coupe là où c’est possible . Résultat des courses : la programmation 2014-2015 affiche beaucoup de reprises .
Jacqueline
25 novembre 2014 @ 12:14
L’un des plus grands chefs du Concertgebouw, Bernard Haitink, dirige ce soir un beau concert brahms à Pleyel. Il a, me semble-t-il, démissionné de son titre de chef honoraire pour protester des nouvelles coupes budgétaires. Le classique étant moins rémunérateur que le foot et nos jeunes « élites » ayant décidé de s’identifier à d’autres choses, les orchestres sont en crise alors que l’offre culturelle en cd/dvd n’a jamais été aussi abondante, distorsion fréquente de la mondialisation…