Le 10 juin 2001, la princesse Leila d’Iran, quatrième et dernier enfant du Shah et de l’impératrice Farah, était retrouvée morte dans sa chambre d’hôtel à Londres. Une douleur de plus pour l’impératrice. En tant que petite dernière de la famille, Leila avait toujours été très choyée par les siens. (merci à Marie Françoise)
DSilvî
11 juin 2018 @ 08:34
Un grand merci pour ces photos…. C était
Encore le temps du bonheur…..
Comme le temps passe….bon lundi?
Danielle
11 juin 2018 @ 08:41
Déjà 17 ans ! et peu de temps après l’impératrice perdait sa mère.
Pierre-Yves
11 juin 2018 @ 10:56
Ce terrible jour de juin 2001, l’Impératrice Farah ignorait, et sans doute heureusement, car je ne sais pas si elle aurait survécu à cette nouvelle, qu’un autre de ses enfants allait se donner la mort treize ou quatorze ans plus tard.
Je connais des gens qui sont exactement dans la même situation: deux de leurs quatre enfants se sont suicidés. C’est un calvaire à endurer. On n’est pas programmé, pas armé, quand on est parent, pour affronter cela.
mariejeanne
11 juin 2018 @ 11:33
Il me semble que Farah a dit que sa fille ne s’était pas suicidée mais que c’était une overdose médicamenteuse non voulue…?
Leonor
11 juin 2018 @ 14:06
Oui, mais bon …. Si différence il y a réellement, elle est bien ténue.
mariejeanne
12 juin 2018 @ 12:44
Ah bon vous croyez qu’il n’y a pas de différence entre un suicide et une overdose de trop de médicaments pour dormir, pour se réveiller, pour doper sa forme en somme et…le coeur lâche !
Christine J.
11 juin 2018 @ 21:02
« mariejeanne » qui peut le savoir … vous car vous savez tout…. « mdr »
Muscate-Valeska de Lisabé
12 juin 2018 @ 15:14
Vous êtes pénible,Christine.
Et c’est rien de le dire.
Votre vendetta contre Mariejeanne ne nous concerne pas.Et c’est vous et non elle qui se trouve ici mal jugée. Fichez-nous la Paix.
mariejeanne
13 juin 2018 @ 13:05
Quelle vendetta Muscate ? je ne connais pas cette personne…ne me suis jamais « chamaillée » avec elle sur ce blog ??? d’un coup, elle est apparue ! elle est pathétique et c’est un euphémisme..
Folie de me poursuivre comme cela…obsession de penser que je suis Christian ??? c’est à se demander si ce n’est pas lui qui « s’amuse…! »
En tous les cas, merci à toutes celles qui par leur commentaires interviennent pour lui dire de cesser…!
Vous, Milena K, Corsica, Sarita, Charlotte et celles que j’oublie mais elles sauront se reconnaître
Miléna K
15 juin 2018 @ 09:44
De rien,mariejeanne.Cette forme de harcèlement ,même si je n’en suis pas la victime,m’agace au plus haut poin rt je comprends que,la plupart du temps vous ignoriez les posts de cette…personne.t.Autant que les commentaires « gnan-gnan » qu’on peut lire sur ce site.
mariejeanne
15 juin 2018 @ 12:51
Et en plus à présent, on me demande de « disparaître » et de me taire…dixit « notre amie » Margaux/JuLise…???? sous l’article Charlotte/Fontainebleau, je crois.
Je me demande si ces « gentillesses » et harcèlement ne sont pas d’une et même personne ou bien, faisant partie de la bande avec laquelle, nous avions conversé si aimablement…il y a quelque temps.
Une obsession pareille relève de la psychiatrie…!
Sarita
16 juin 2018 @ 20:59
Elle finira par se lasser…en attendant je vous embrasse, mariejeanne :-)
mariejeanne
17 juin 2018 @ 13:46
Merci Sarita moi aussi je vous embrasse, la « folle » ou le « fou »…. perdure de ci de là…!
Milena K
12 juin 2018 @ 16:02
Mais vous n’en n’avez pas marre, »ChristineJ »?!!!
aggie
12 juin 2018 @ 09:29
overdose j’ai des doutes ; on peut difficilement avaler par erreur une vingtaine de médicaments au lieu de un ou deux mais ça devait être plus supportable pour cette maman de supposer ça
mariejeanne
12 juin 2018 @ 12:47
aggie, vous connaissez précisément le nombre de cachets avalés ? si le coeur est fragilisé, il lâche !
Carolus
11 juin 2018 @ 13:33
Pierre-Yves, c’est terrible !
Je n’ose imaginer…
JAusten
12 juin 2018 @ 19:03
Oui, je trouve que c’est terrible.
Robespierre
11 juin 2018 @ 11:28
Le couple iranien a bcp gâté ses enfants, et je me demande si cela ne les a pas desservis le jour où ils ont changé de statut. Une fois, j’ai lu une interview du second fils avant son suicide et c’était plein d’amertume de ne plus être un prince de famille régnante. Mais chaque enfant réagit avec son propre caractère. Le fils ainé qui vivait dans un palais pour lui tout seul, parait-il, et était terriblement gâté s’en est bien sorti.
framboiz 07
11 juin 2018 @ 13:39
Roby, était-ce un journal français , anglo-saxon? Je suis étonnée, je ne pensais pas, qu’il avait parlé à la presse …Mais je vous crois , bien sur et j’imagine bien l’interview , si quelqu’un nous la donnait en lien ,ça serait intéressant …
Changement de vie, de statut , de pays , exil …
Le Shah avait des problèmes psychologiques, ai-je lu dans « Ces malades, qui nous gouvernent , tome 2 « … Le terrain familial peut jouer +les circonstances , qui sont la goutte , qui font déborder le vase …
Pierre Yves ,Rob , je crois qu’on ne peut rien expliquer pour le suicide , poser des questions, tentatives pour comprendre …
framboiz 07
11 juin 2018 @ 13:41
Juste essayer de comprendre …
Mary
11 juin 2018 @ 14:36
Les enfants orientaux sont souvent traités en petits dieux et c’est une mauvaise idée.
Mary
11 juin 2018 @ 14:37
Dans les familles riches ,évidemment.
framboiz 07
13 juin 2018 @ 01:58
Et les enfants occidentaux en petits rois, qui deviennent des tyrans …
David?
12 juin 2018 @ 21:16
Je dirais Mary, les familles aisées et/ou royales, en général ont l’art de fragiliser leurs enfants.
Aujourd’hui la courbe des maladies mentales montent en flèche grâce aux enfants capricieux et gâtés.
Véronique Y
13 juin 2018 @ 10:01
Dans ma famille , mon frère et mes cousins ont été traités comme des dieux et j’en ai subi les conséquences en défaveur pour moi.
Mary
13 juin 2018 @ 23:18
C’est triste.
Marie-Francoise
16 juin 2018 @ 09:35
Je crois qu’Alireza Pahlavi avait surtout la nostalgie de son pays, de sa terre où il avait. grandi et tous ses souvenirs d’enfance ! Car pour un enfant perdre ses racines en même temps que son père c’est beaucoup à la fous quand on est si jeune. ! Regardez ce ne sont pas les deux enfants aînés de l impératrice qui ont sombré mais les deux plus jeunes ! Je ne vois aucun caprice d’enfants gâtés la dedans et ce fils fut toujours un enfant fragile et atypique dès son plus jeune âge !
Muscate-Valeska de Lisabé
11 juin 2018 @ 11:57
Cette commémoration n’est à marquer d’une pierre noire que pour la famille.
mariejeanne
12 juin 2018 @ 12:54
Oui Muscate mais tout de même avoir une pensée pour cette jeune femme même si elle n’est pas de notre famille…
Sur ce blog, on se souvient de tant d’autres…pourquoi pas elle ?
Muscate-Valeska de Lisabé
13 juin 2018 @ 20:24
Je ne sais pas. ..ce n’est pas une date de souvenir ronde,ça ne concerne pas une famille régnante. ..il me semble que ce drame est entièrement privé et ne concerne en rien le public.
Cette jeune femme pour moi,et je pense pour beaucoup, est une complète inconnue.
Rose-Brigitte
16 juin 2018 @ 09:24
Sans doute pcq vous n’étiez pas née en 1970 année de la naissance de Leila ! La famillevPahlavi était à cette époque en pleine célébrité pas une semaine sans que l’impératrice et ses enfants ne fassent la une des magazines ! J’habitais à l’étranger cette année là mais je me souviens parfaitement des reportages de presse écrite qui célébraient cette naissance
Marie-Francoise
16 juin 2018 @ 09:29
Un jour vous allez mourir étouffée par tant de haine pour cette famille qui fut régnante autant que le roi Constantin de Grèce avant de connaître l’exil ! Ressaissez vous !
Sarita
16 juin 2018 @ 21:02
De la haine? Muscate pose tout simplement la question du caractère privée de cet « anniversaire ».
Miléna K
18 juin 2018 @ 04:14
Comme souvent,dès qu’il s’agit de cette famille,vous êtes excessive,Marie-Françoise!
Pour moi,cette commémoration a un côté malsain.Je ne peux pas croire que la famille de la défunte ait coopéré à ce déballage tout à fait hors de propos.De plus,comme cela a été dit plus tôt,ce n’est même pas un chiffre rond(17 ans!S’il s’était agi de commémorer les 20 ns,j’aurais pu comprendre…et encore!)
Ce qui est privé doit rester dans le domaine du privé.Etes-vousà ce point en manque de sujet à proposer?!!
Claudia
11 juin 2018 @ 12:20
J’ai vu sa tombe au cimetière de Passy, toujours fleurie. Même dix sept ans après l’impératrice doit en être toujours dévastée, surtout après le décès de son second fils….Que de tragédies dans cette famille.
Mayg
11 juin 2018 @ 12:47
Elle ressemblait beaucoup à son père.
Véronique Y
11 juin 2018 @ 13:06
Bien sûr chaque année je pose des photos de Leïla sur ma page facebook , d’ailleurs il n’ y a pratiquement que des photos de l’impératrice et sa famille.
Marie de Cessy
11 juin 2018 @ 13:31
Triste destin pour cette princesse qui semblait très mélancolique.
stiernon
11 juin 2018 @ 14:10
Robespierre, vos propos concernant la vie du prince Reza me laisse perplexe parce que je n’ai jamais rien lu et entendu à ce sujet. Au moment de la chute de l’empire, il faisait ses études aux États-Unis depuis plusieurs années. Ses parents étaient au Maroc.
Leonor
12 juin 2018 @ 12:10
J’ai lu la même chose que Robespierre, à l’époque.
Robespierre
12 juin 2018 @ 14:03
j’ai dû lire cela dans un publication anglophone, j’en lis tellement, impossible de vous donner les coordonnées, mais je suis de bonne foi. Même que cette amertume m’avait frappé.
Mary
11 juin 2018 @ 14:36
Dans les familles riches,bien sûr.
Jean Pierre
11 juin 2018 @ 15:09
J’ai repensé à la phrase de Georges Pompidou citant Eluard et je l’ai donc recherchée :
» Moi, mon remords, ce fut la victime raisonnable au regard d’enfant perdu, celle qui ressemble aux morts qui sont morts pour être aimés. »
« Comprenne qui voudra. »
mariejeanne
12 juin 2018 @ 12:49
Cette phrase fût citée suite à l’affaire Gabrielle Russier.
Charlotte
12 juin 2018 @ 18:16
C’est la phrase qu’il a prononcée à la mort de Gabrielle Russier, après les évènements que l’on sait.
Claude-Patricia
11 juin 2018 @ 18:56
Bonsoir à tous,
Voilà ce que l’Impératrice écrit dans ses mémoires :
« La disparition de Leila, survenue le 10 juin 2001 à Londres m’a a nouveau précipité dans un désespoir sans fond, inconsolable. On ne se remet pas de la mort d’un enfant. Leila venait de célébrer ses 31 ans.
Depuis la mort de son père, alors qu’elle n’avait que 10 ans, elle était constamment préoccupée par la mort. A Williamston, cela m’avait inquiétée, et je lui avais fait rencontrer un professeur d’université iranien, en espérant qu’il saurait trouver les mots pour la décharger de cette angoisse. Elle avait traversé des années extrêmemnt douloureuses depuis notre départ d’Iran-années de deuil et d’effondrement de tout ce qui avait structuré sa vie. Elle commença a souffrir de fatigue dès le début de l’université. Elle se plaignait souvent de migraines, notamment, et n’arrivait pas à suivre le rythme des cours. Elle entreprit alors de consulter des médecins sur mon conseil, cependant qu’à l’université nous parvenions, avec l’accord de ses professeurs à alléger son travail. mais cela n’eut aucun effet bénéfique. Elle ne se plaisait pas à l’université, et comme elle était attirée par la poésie, la littérature et la musique, j’essayais de la convaincre qu’elle avait le droit d’écouter ses préférences, d’abandonner l’université et de se diriger vers les arts. A un moment, elle eut l’idée de réaliser un dessin animé à partir de certaines histoires de Ferdowsi qu’elle aimait beaucoup. Mais cela se révéla bien trop compliqué. Elle ne trouvait pas sa voie, et sans cesse elle revenait sur cette fatigue qui la minait du matin au soir.
Elle souffrait, j’essayais de l’aider -c’était si pénible de la voir se battre seule contre un mal qu’aucun médecin ne réussissait à identifier! Tous ces maux, toute cette douleur, c’était son malheur d’enfant qu’elle traînait comme un fardeau, je le devinais mais elle ne supportait pas qu’on le lui dise, qu’on ose avancer que cette mystérieuse maladie pouvait être psychosomatique. Cela la blessait comme si on avait voulu nier la réalité de son épreuve.
Elle était profondément meurtrie par les malveillances, les rumeurs, tout ce qui avait été écrit et continuait d’être dit et écrit sur la monarchie et sur le roi en particulier. Elle avait pour l’Iran un amour exclusif, patriotique, qui se confondait dans son cœur avec l’amour qu’elle éprouvait pour son père. Cela la conduisait à répondre avec une grande passion à tous ceux qui critiquaient devant elle le bilan de son règne. Je me souviens combien ces discussions l’enflammaient, mais l’épuisaient aussi. C’était difficile, pour elle qui avait quitté l’Iran petite fille, qui était si jeune encore, d’argumenter inlassablement avec des gens plus âgés, et parfois très agressifs ou amers. Elle était entière, émouvante, généreuse, de sorte qu’avec ses amis elle donnait également beaucoup. C’était elle que l’on appelait pour entendre des paroles d’encouragement, elle qu’on sollicitait quand ça n’allait plus. Elle arrivait toujours les bras chargés de fleurs ou de cadeaux, pour ses frères et sœur, pour moi-même, ou pour ceux qui vivaient près de nous, sachant trop bien, elle qui demeurait inconsolable, tout ce qui avait à soulager dans le cœur des iraniens.
Elle fit des check-up rencontra toute sorte de médecins, et, comme la fatigue et les douleurs persistaient en dépit des traitements, elle en vint à dire que personne n’était capable de la guérir. Alors comme toujours dans ces situations, elle tomba sur des fréquentations, des ‘amis, qui lui conseillèrent les somnifères, les calmants. Elle savait parfaitement que cela lui faisait du mal, mais quand elle n’en pouvait plus, elle en prenait. Elle dormait, ne souffrait plus. Elle en prit de plus en plus, consciente qu’elle jouait ainsi avec sa vie. Nous nous en rendions compte autour d’elle, et nous nous lui disions tout en étant impuissant à lui tendre efficacement la main. »
Leila voulu rester seule à Londres pour se fournir plus facilement en médicaments.
Son esprit vagabondait et croyait que son père était encore vivant.
Elle en repris pour dormir et mit le panneau « ne pas déranger » sur sa porte d’hôtel ce qui fit que le médecin ne put que constater le décès.
Claude-Patricia
JAusten
12 juin 2018 @ 19:10
la jeune princesse avait peut-être ce qu’on appelait autrefois la mélancolie. Il est difficile de s’en débarrasser.
Marie-Micheline
11 juin 2018 @ 21:00
Souvenir douloureux de la plus jeune enfant de Farah, qui ne s’était pas remise des malheurs de sa famille
Caroline
11 juin 2018 @ 23:12
Les suicides ne sont pas rares dans notre monde, chez les riches ou les pauvres ! Je me demande si Leila avait un mal de vivre malgré sa vie de princesse choyée!
Gatienne
12 juin 2018 @ 11:05
Manifestement oui, si elle était en possession de tous ces médicaments !
COLETTE C.
12 juin 2018 @ 15:24
Que de malheurs pour l’Impératrice. Elle a toujours réagi avec beaucoup de courage.
Muscate-Valeska de Lisabé
13 juin 2018 @ 20:26
Avait-elle le choix?…devant les épreuves,c’est marche ou crève, on en est tous là.
Charlotte
14 juin 2018 @ 13:59
Bon une minute de sourire !
Il vaut mieux continuer à marcher, parce que crever, c’est sur on y arrivera !
Sarita
16 juin 2018 @ 21:04
Continuez à marcher, Charlotte, j’aime vous regarder avancer :-)
Marie-Françoise
18 juin 2018 @ 21:29
MILENA K si vous avez des revendications à faire sur les sujets cautionnés par Régine, ceux proposés ici par de nombreuses personnes c’est donc à elle qu’il vous adresser car elle est la seule rédactrice en chef de ce blog ! je ne suis pour rien dans sa sélection et vous non plus ! donc je ne vois pas pourquoi vous vous en prenez à moi comme votre double cette chère Muscate !
Miléna K
20 juin 2018 @ 01:26
Mme Salens retient les articles qu’elle veut,c’est un fait et c’est somme toute logique.
Mais moi,je m’adresse à vous,contributrice, et j’ai tout à fait le droit de m’exprimer sur le bien-fondé des publications que vous proposez, que cela vous plaise ou non.Et,en l’occurence,je trouve celle-ci malvenue,ce qui n’engage que moi.
Enfin,il est tout de même curieux que vous ne sachiez pas faire la différence entre s’en prendre à quelqu’un et exprimer son opinion.
Et pour en venir à votre petit persiflage à propos de MV de L dont l’avis rejoint le mien ,il ne vous grandit pas!
Marie-Françoise
21 juin 2018 @ 18:42
je suis bien assez grande comme cela pour espérer qq centimètres de plus ! donc je répète car vous faites exprès de ne pas comprendre : oui je propose des infos à Régine – et rien ne vous empêche d’en faire autant- mais c’est bien elle qui fait le tri dans tout ce qu’elle reçoit chaque jour pour ne retenir que ce qui lui semble bon à publier ! que cela vous plaise ou pas ! il faudra vous y faire ça n’est pas prêt de changer !!
quand à mes remarques elles n’arrivent pas à la cheville des vôtres toujours dans la critique et le jugement !
Miléna K
24 juin 2018 @ 09:27
Je ne « fais » pas dans l’admiration béate (ou l’idolâtrie )des têtes couronnées,moi .De plus,les critiques peuvent être positives ou négatives,je ne vous apprend rien.Mais ce qui vous insupporte,et vous le savez parfaitement,c’est ,au fond,qu’on n’adhère pas à la dévotion que vous ressentez envers l’ex-impératrice.